Charlotte Sévèrement Punie À La Maison
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis sur notre lit.
Sur le ventre, nue. Un coussin sous mon bassin.
Jai les mains attachées derrière mon dos, et les jambes de chaque côté du lit.
Position complètement indécente.
Camille ma passé un bandeau sur les yeux, je suis dans le noir.
Il y a cinq minutes que jattends dans le noir, je ne bouge pas. Il ny a pas un bruit.
Je me sens honteuse de mon comportement après coup.
Lorsque je rentre du travail ce matin, je croise le voisin. Je le trouve craquant et beau gosse. Je porte un haut noir décolleté et mes cheveux blonds sont lâchés derrière mon dos. Je porte un short taille haute rose, qui laisse entrevoir le bas de mes fesses.
Je me réjouis de porter cette tenue et de le croiser.
Je le salue en sortant de ma voiture, il est devant chez lui. Il sapproche pour me parler mais je laisse tomber mon sac et des feuilles sen échappent. Je me penche pour les ramasser, le voisin vient maider. Il me sort deux, trois banalités.
Jen profite pour me pencher légèrement sous son regard. Je lobserve derrière mes lunettes. Il me mate furtivement plusieurs fois. Je lui souri, le remercie et nous nous éloignons.
Lorsque je me retourne pour rentrer chez moi, je vois Camille qui me regarde à travers la fenêtre.
Mince. Il est déjà rentré. Puis il a tout vu.
Je suis dégoûtée mais je me résigne à rentrer.
_ Salut Camille, ça va ?
Aucune réponse. Je ne le vois pas.
_ Tu es rentré tôt ce soir cest bien.
Jessai de prendre un ton gentil et doux.
Je vais du côté de la cuisine qui donne sur le salon ouvert.
_ Oui. Je me suis dit quil fallait que je te consacre plus de temps en ce moment.
Sa voix me fait sursauter. Il est dans un coin du salon, je ne lai pas vu en rentrant.
_ Javais des projets bien sympathiques pour toi et pour nous.
Je me retourne et le regarde, je pose mon sac sur le comptoir.
Je ne bouge plus et le regarde.
_ ça texcite que le voisin te mate ?
Je baisse le regard.
Je lache un petit non à peine audible.
_ Tu me mens en plus.
Je sens mes joues rosirs. Je regarde toujours le sol.
Il est devant moi, assis, les mains posées à plat sur ses genoux.
Il a un air sévère et dur.
Je naime pas le voir comme ça.
Sa voix est douce et ferme. Je ne lentend pas souvent sadresser à moi avec ce ton, je sais que jai dépassé les limites.
_ Je suis très déçue de voir que tu ne peux tempêcher de te conduire comme une gamine aguicheuse avec les autres mecs.
Ça rigole, ça sourit, ça gesticule, ça bouge ses fesses, offre son décolleté, fait onduler ses cheveux.
Combien de fois vais je te dire de ne plus te conduire de la sorte ?
Je ne bouge toujours pas et continue à regarder le sol. Il mimpressionne toujours par son charisme et son calme. Il est sûr de lui, même en colère il reste placide.
Ça me donne des frissons.
_ Jai peut être été un peu trop loin, mais je ne pensais pas à mal.
_ Tu mas déjà répondu ça la dernière fois.
Les hommes sont dangereux, tu ne dois pas les afficher comme ça. On ne sait jamais.
Je constate que tu ne comprends pas.
Je te parle dun dernier point et je décide comment changer le programme.
Ta réponse à ma question va en dépendre.
Javale ma salive difficilement. Je le regarde. Je ne sais pas de quoi il veux parler. Je reste à lécoute de sa question.
Il me regarde un moment dans les yeux, il fait durer le suspens.
_ Que portes tu sous ton short ?
Sa question me fige, je comprends ou il veux en venir.
Jai complètement oublié de porter ce quil ma demandé ce matin.
Je suis en panique dans ma tête.
_ Je porte une culotte en coton.
_ Et ?
Je ne veux pas le faire attendre en cherchant une réponse. Je réponds vite en bafouillant.
_ Et rien désolé, je suis désolée Camille, jai complètement oublié ce matin, excuse moi, je ne voulais pas, si javais su je ne laurai pas oublié.
_Tais toi.
Il a le visage fermé et me regarde.
Je me tais immédiatement et attend.
Il se lève et vient vers moi. Il mesure environ 1,80m, il est plutôt barraqué. Plutôt le genre à être impressionnant.
Moi cest plutôt le genre à être impressionnée par lui, car avec mes 1,70 et mes 55kg, je suis plutôt fragile à côté.
Le soleil se couchant, donne une jolie lumière sur nos jeunes visages. Il est très beau.
Il sapproche de moi, me prend dans ses bras et me serre tout doucement. Je ne comprends pas et ne mattendais pas à ça.
Je me décontracte doucement.
Il me serre de plus en plus en fort. Je me sens bien dans ses bras.
Il me regarde quelques secondes en me souriant. Jai vraiment limpression quil sest calmé et quil nest plus en colère.
Il se pense dans mon cou en me serrant avec harder et me dit à loreille :
_ Ma chérie, tu sens tellement bon. Tu es belle et drôle.
Tu as un corps magnifique, je comprends que tu veuilles jouer avec et le montrer.
Je passerai mon temps à tadmirer.
Mon rôle est de te protéger, tu ne dois pas te conduire de la sorte.
Tu nen peux plus, ça te travaille je le vois.
Garde ton attitude daguicheuse pour toi devant ton miroir.
De plus tu nas pas mis le petit plug que je tavais demandé de mettre ce matin.
Je suis hors de moi.
Je narrive pas à soutenir son regard et baisse les yeux.
_ Regarde moi Charlotte. Ouvre ta bouche.
Je le regarde et ouvre la bouche lentement.
Il insère deux de ses doigts à lentrée de ma bouche.
_ Je ne vais pas passer mon temps à devoir surveiller ton petit cul, alors je vais le calmer une bonne fois pour toute.
Il menfonce ses doigts doucement au fond de ma gorge.
Quand il arrive au fond, jesquisse un mouvement de recul, il att ma tête avec son autre main. Il me force à recevoir ses deux doigts tout au fond de ma gorge.
Jessai de me decaler. Pour me maîtriser, il me penche à plat ventre sur lîlot derrière moi et me coince avec son corps. Il me tient ma tête dun main.
_ Voilà ma belle, accepte mes doigts, comme tu vas accepter la punition qui tattend. Il force encore au fond de ma gorge.
Je bave sur le plan de travail. Ma culotte commence à être mouillée.
Jai peur de ce quil va me faire.
Si je te soulage ton petit cul, tu le remueras moins tu verras, et tu seras tranquille.
Il sort ses doigts de ma bouche.
Il me dit calmement :
_ Tu as deux minutes pour te mettre à plat ventre sur le lit. Dépêche toi.
Il se relève et me délivre, je me redresse, essuie ma bouche et me dirige vers la chambre.
Camille est derrière moi. Je ne sais pas exactement où. Le bandeau me fait perdre la notion de lespace.
_ Charlotte tu mas beaucoup déçu, tu le sais. Je vais tadministrer ta punition et ce sera tout pour ce soir.
Je frissonne et commence à frotter ma petite chatte sur le coussin.
Une claque vient rebondir sur mon derrière.
_ Tu ne bouges absolument pas. Tu ne mérites pas de te frotter.
Il se place derrière moi. Il se présente devant ma petit chatte et me pénètre avec son sexe.
_ Tu es contractée, on dirait que tu as peur de quelque chose.
Il fait quelques aller retours.
Il sarrête et sort de mon sexe.
_ Allez Charlotte, il est temps que tu me montres à quel point tu regrettes.
Il place sa bite durcie devant mon petit trou. Je remue les fesses et les jambes.
Il me plaque le bassin fermement avec une de ses mains.
De lautre, je sens quil fait couler du lubrifiant entre mes fesses.
_ Quand on fait la vilaine, il faut assumer.
Tu vas morfler ma chérie, mais cest pour ton bien. Tu te sentiras mieux après. Tu seras plus calme.
Je commence à respirer plus fort, je ne peux plus du tout bouger. Mes fesses sont à sa merci.
Il commence à me pénétrer et je sens mon anus resiter.
Je me contracte sous la douleur lorsquil passe son gland. Je commence à lui demander darrêter.
_ En ne mettant pas ton plug, cest toi qui a jugé ne pas en avoir besoin.
Maintenant je vais te monter jusquà la garde, on va y aller en une fois.
Sur ces mots, il commence à senfoncer en moi, je tente de lui échapper, en vain.
Je commence à avoir des sanglots et des petits râles dans mon souffle court.
Il se stoppe à la moitié et me dit :
_ Je naime pas les chouineuses comme toi. Tais toi où je te baise la bouche avec mes doigts.
Jessai de me calmer et de me taire.
Il reprend aussitôt son chemin à travers mes fesses et mécarte un peu plus sur son passage.
Je nen peux plus, mon cul me brûle, jai mal et en même temps, je suis trempée. Mon vagin se contracte et me fait mal.
Je ne tiens plus, la situation est trop difficile pour moi.
Cest la première fois quil est si sévère avec moi et ça me coupe les jambes.
Je regrette mon comportement de fille sexy.
Il est au trois quart en moi, il reste une partie de sa bite qui devient énorme.
Je ne tiens plus.
_ Pardon Camille, pardon je suis désolée, jai mal aux fesses, arrête toi stp.
Il sarrête énervé.
_ Ouvre ta bouche.
Je suis en colère parce quil ne mécoute pas.
Il place ses doigts sur mes lèvres.
Je nai pas envie de lui offrir ma bouche et mes fesses.
Il presse doucement et sûrement ses doigts.
_ Dans une seconde si tu nouvres pas la bouche, je ressors et menfonce totalement.
Je dessers mes mâchoires et ses doigts me pénètrent.
_ Je vais te prendre la bouche et te pénétrer de force entièrement ton petit cul en meme temps. On verra ce qui bavera le plus.
Il enfonçe ses doigts et je sens quil me pénètre plus rapidement le cul quauparavant.
Il savance jusqu à la garde et au fond de ma gorge.
Je suis complètement ouverte et humiliée par Camille.
Je ressens une douleur vive à lanus, je me sens totalement rempli.
Il est allongé au dessus de moi et ne bouge pas.
Il sait que j ai horreur de cette position, si rabaissante et humiliante je trouve.
Je suis nue, les fesses relevées.
Et pour me punir, il sen prend à mes fesses.
C est un supplice je veux quil arrête jai trop mal.
_ Voilà ma belle, tu es encore bien serrée, je te sens te contracter autour de la base ma bite. Cest bien ne bouge pas, tu es à moi.
Voilà une bonne sodomie pour calmer tes ardeurs. Je bande comme un âne en plus. C est ça, tu peux couiner un peu, jattends que tu me sentes bien et je sais que tu naimes pas quand je reste ainsi en toi sans bouger.
Cest un de mes moments préférés.
Je tencule complètement et je sais que tu naimes pas, que tu as honte. Alors jaime te dominer et te posséder de la manière qui te convienne le mieux. Tu es mienne.
On a fait la vilaine à aguicher les mecs ?
Tu te calmes désormais ?
Jai la tête qui tourne, il me met dans un état de souffrance et denvie de lui faire plaisir que je ne lui réponds pas.
Je le sens senfoncer un peu plus, je pousse un petit cri plaintif.
Je lui répond :
_ Oui ! Promis, jarrête.
Jai du mal à parler.
_ Jai du mal à te croire.
Je le sens senfoncer un peu plus.
_ Jimagine létat de tes fesses, et ce que tu dois ressentir.
Tu peux faire mieux pour que je te libère. Un petit effort ma chérie.
Je tente une nouvelle fois.
_ Je mexcuse, je suis désolée pour mon comportement, plus jamais.
_ Tu peux encore mieux faire en me demandant toi même ce qui va arriver.
Tu vas me demander de te sodomiser avec de longs et puissants coups de rein, comme la petite chatte excitée que tu es afin que jéteigne ce feu au fond de tes fesses et que tu puisses te tenir tranquille.
Cest la panique dans ma tête, je nai jamais encore subi de sodomie sans préparation. Et je trouve que la punition est très très sévère.
#i cococcharlotte5
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!