Rapports De Bon Voisinage, 1

RAPPORTS DE BON VOISINAGE
Chapitre I
Martine avait étendu ses sous-vêtements sur le fil qui était juste en face du bureau de Julien, elle avait décidé de provoquer un peu les choses, cette après-midi- là elle serait seule et elle savait que Julien ne quitterait pas son bureau retenu par les longues corrections auxquelles il avait devait faire face en cette fin d’année universitaire. Il verrait nécessairement ses jolies culottes et ses soutien-gorge. Elle guetterait du grenier s’il s’attarderait à regarder par la fenêtre. Vers 15 h, elle n’avait rien remarqué, aussi elle décida de faire le premier pas. Elle téléphona à Julien pour lui demander un service, elle lui expliqua que c’était son tour de tondre la pelouse, mais elle prétexta qu’elle manquait de carburant. Julien s’offrit à lui en procurer. Il quitta son bureau, et vint avec son jerrican. Martine s’était intentionnellement vêtue de manière à être particulièrement séduisante. C’était l’été, elle portait un short très court, moulant et elle avait un haut qui laissait son dos nu, découvrait largement sa belle poitrine dont les tétons pointait sous le coton. En se baissant pour dévisser le bouchon du réservoir de la tondeuse elle ne manqua pas de mettre en valeur son décolleté. Tout était prétexte pour le montrer : elle prétexta qu’il fallait tenir l’entonnoir, vérifia plusieurs fois l’arrivée de l’essence. Julien ne fut pas dupe. Il voulut prolonger sa présence, et s’offrit à tondre la pelouse. - Mais tu as du travail, Carole me l’a dit ce matin. –
- Bien sûr, mais il faut bien faire un break.
- Je ne voudrais pas r, quand même, dit Martine en s’accroupissant devant la tondeuse pour procéder à une dernière vérification.
- Mais non un peu d’exercice me fera du bien.
- Bon alors c’est d’accord, c’est vrai qu’il n’y en a que pour une demi heure. Mais attend je vais voir si mon linge est sec.
Julien attendait. Martine s’était mise face à lui pour décrocher ses sous-vêtements, , elle ne se pressait pas pour pouvoir multiplier ses sourires.

Julien les lui rendait et osa : « Benoît a de la chance d’avoir une femme aussi sexy ! »
- C’est vrai j’aime les belles choses,toi aussi je vois ça ; bon allez ! bon courage. A tout à l’heure !
Julien tondit la pelouse, il était environ quatre heures quand il termina. N’entendant plus le bruit du moteur, Martine ouvrit la fenêtre qui donnait sur le jardin, et demanda à Julien s’il voulait se rafraîchir.
- Ok, je range la tondeuse et j’arrive.
- Lorsqu’il fut dans le couloir, Martine lui dit : Mais tu es en sueur, tu devrais prendre une douche ?
- Oui, c’est vrai, je vais aller la prendre à la maison et je reviendrai.
- Mais non, prends la ici. On sera ensuite plus à l’aise pour prendre un verre non ?
- Alors d’accord.
- Martine conduisit Julien à la salle de bain. Et en lui montrant le fonctionnement du mitigeur, elle feignit de se montrer maladroite en s’aspergeant d’eau.
- Ah ! zut, quelle maladroite ! dit-elle en enlevant son haut qui dégagea sa très jolie poitrine.
- J’ai vraiment de la chance aujourd’hui apprécia Julien qui ajouta : non seulement j’ai vu tes jolis dessous mais j’ai droit à tes seins ! magnifiques !
- Merci dit Martine, mais tu sais tu n’es pas le premier à les admirer, à la plage j’aime bien les montrer.
Julien aima cette spontanéité qui reposait sur la complicité . Il enleva son tee-shirt pour être dans le même état que sa voisine qui visiblement aimait prendre des initiatives, mais il renversa les rôles en baissant son jean.
Loin de s’éloigner, Martine resta :
- Ne te gêne pas, tu sais ! Continue !
- A une condition, rétorqua Julien.
- Laquelle ?
- Que tu prennes ta douche en même temps que moi !
- Mais volontiers !
- et Martine baissa son short qui découvrit un string minuscule qui cachait d’autant moins son pubis qu’il était en voile. Il découvrit avec plaisir que sa voisine avait une abondante toison et ne sacrifiait pas à la mode de l’épilation, il lui en fit la remarque :
- Tiens, tu gardes ta foufoune , j’aime bien tu sais.

Martine rougit un peu, et confessa que c’est son mari qui le lui avait demandé.
- C’est un amateur alors, continue Julien en enlevant son boxer. Martine fit glisser son minuscule string, le dégagea de ses pieds. Julien tendit la main pour le lui demander. Elle lui laissa volontiers, et immédiatement il le porta à ses narines. Il huma, en fermant les yeux, le petit triangle de coton du fond. Martine qui le désirait depuis plusieurs heures y avait laissé les traces de ses émotions. Julien ne fut pas long à manifester son contentement : son sexe se déploya. Martine était très heureuse d’avoir ainsi la certitude d’avoir provoqué le désir de son voisin. Nue elle-même, elle se mit à genoux pour lui rendre hommage . Grâce à son mari, elle savait l’art de pointer sa langue et de le passer sur toute la longueur de la hampe, en allant et venant, en en faisant le tour et en lappaant de temps à autre le gland qui se gonflait.
- Ben dis donc, tu sais y faire, dit Julien. La bouche pleine , Martine poursuivit sa délicate manoeuvre et ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’elle fit gicler le sexe hors de sa bouche pour avouer :
- Ce serait dommage que tu n’en profites pas, non ?
- Quand je pense à tout ce temps que nous avons perdu toi et moi !
- Pourtant je t’ai tendu la perche !
- C’est vrai, j’ai tout de suite compris pourquoi tu faisais exprès de faire sécher tes petites culottes devant la fenêtre de mon bureau, quand ton mari et ma femme n’étaient pas là. Mais tu veux peut être qu’on prenne la douche ensemble.
- Bien sûr.
Ils enjambèrent la baignoire et Martine se pendit à la barre qui soutenait la pomme de la douche, dans la position d’une stripteaseuse. Sous la pluie tiède qui était déjà une caresse, Julien étendit le gel sur son corps, en ne négligeant aucune partie de son corps. Il prit plaisir à longer en la massant la ligne ondulée de sa colonne vertébrale ; partit de celle-ci pour gagner les flancs de sa partenaire, ce qui lui permit de soupeser et d’enduire de gel des es lobes galbés et pesants, il insista surtout entre ses cuisses et fit aller et venir la tranche de sa main entre les coussinets de sa chatte.
Dès qu’ils furent rincés, Martine leva une cuisse pour la plier et marquer sa soumission :
-Viens ! prends-moi, je veux être ta salope.
Julien coinça son gland entre ses fesses, qu’elle serra pour lui suggérer qu’elle accepterait tout de lui. Mais il considérait qu’une sodomisation était un stade ultime qu’il se promettait d’atteindre, mais rien de ne pressait. Il se contenta de la pénétrer normalement et n’éprouva aucune difficulté. Martine le désirait depuis le début de l’après-midi, aussi son vagin s’était-il abondamment lubrifié. Julien allait et venait en elle doucement sortait même son sexe avec la certitude de le réintroduire avec une réelle facilité qui en disait long sur la complaisance de sa partenaire, voire sur les sentiments qu’elle nourrissait à son endroit. Certes elle devait aimer être prise en levrette, mais jamais il n’avait éprouvé une telle collaboration. Naturellement, il accéléra le rythme, et ses cuisses claquaient parfois sur les fesses rebondies de Martine. Il les claqua à différentes reprises, les pinça même, mais les recouvrit de tendres caresses qui finirent par la faire gémir.
- Oh oui, continue, chéri ! Donne ! Vas-y !
Mais Julien aimait faire durer le plaisir , il voulut cependant satisfaire sa voisine qui était prête et n’hésitait pas à marquer franchement les étapes de son plaisir. Il se cambra en arrière pour pénétrer au plus profond du vagin de Martine, et dans un râle il lâcha sa semence dont il espéra qu’elle adhéra à la muqueuse dont il sentait la douceur. Martine cria, il râla de nouveau. Ils eurent envie de se coucher, ils sortirent de la baignoire et s’étendirent sur une moelleuse descente de bain. L’eau continuait de couler doucement, favorisant leur assoupissement. Ils perdirent la notion du temps, le téléphone fixe sonna.
Ils se réveillèrent, et Martine nue se précipita. C’était sa fille qui se plaignait de ne pas avoir de réponse à ses SMS ( et pour cause !) et qui avait dû appeler sur le fixe, elle avait appris que son cours de danse prévu pour la fin de l’après-midi avait été annulé, et elle souhaitait que sa mère vienne la chercher.
Martine mit au courant Julien, elle ne pouvait se dérober, alors qu’elle aurait souhaité connaître encore plusieurs étreintes. Elle se sécha rapidement les cheveux , Julien dit qu’il le ferait chez lui. Elle enfila le petit string qui avait déclenché leur désir, remit son short qui épousait ses formes et ajusta son haut. Ils s’embrassèrent derrière la porte d’entrée avant de se séparer :
- Je te dois un verre, Julien !
- Mais quand tu voudras !
- Tiens voilà le numéro de mon portable, -elle l’écrivit rapidement sur un pense-bête -mais pas de blague hein, tu envoies d’abord un SMS.
- D’accord et même chose pour moi, évidemment.
Elle lui offrit une nouvelle fois ses lèvres. Julien revint chez lui partagé entre le remords né de son infidélité et la satisfaction d’avoir été comblé. Cette dernière finit par chasser ses scrupules et il se promit de prolonger cette liaison très charnelle qui ne faisait que commencer et à laquelle il mettrait un terme si elle devenait trop dangereuse pour son couple. Certes Carole était libérée et comme partenaire elle lui donnait toute satisfaction, mais Martine avait su apporter un peu de cet inattendu qui avait pimenté son après-midi. Et ne l’avait-elle pas encouragé à devenir son amant ?
Dans la voiture, Martine parlait avec sa fille de la journée, elle sentait le sperme de Julien qui coulait de son vagin et qui allait immanquablement transpercer le fond de son string. L’intense souvenir de son étreinte la rendit inattentive à ce que lui disait sa passagère :
- Maman je te parle !
- Oui, Vanessa, excuse- moi, je me demandais si on ne devait pas faire des courses et j’essayais d’en dresser la liste.
- Laisse tomber, j’ai un contrôle demain, j’aimerais bien réviser.

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