Joyce Est 'Enfin' Revenue
Je nen reviens encore pas ! Elle vient de me téléphoner pour la première fois depuis un an
Elle cest Joyce, celle qui devait devenir ma femme
Aujourdhui elle mappelle parce qu'elle est en panne de voiture sur un parking dun motel, et, apparemment son mari, puisquelle sest mariée depuis notre rupture par défit ou dépit ! ne sais pas quelle est là et elle ne tient pas a ce quil soit au courant, alors Joyce compte sur moi pour la dépanner discrètement
Avec cette fille cétait sublime de faire lamour, le sexe était une drogue pour elle et jétais son fournisseur attitré, son corps est un violon sur lequel mes doigts, ma langue, ma verge servaient darcher, jen tirais des sons de jouissances inhumains
Alors pourquoi avoir quittée une telle fée ? Voici lexplication, un jour je reçois un message sur mon portable : rejoint moi vite sous le pont de chemin de fer, jai trop envie -
cest bien la première fois quelle me donnait rendez vous dans un endroit retiré alors que nous avions des lit confortables a disposition
je veux en avoir le cur net, je my rends donc sans répondre
Deux voitures sont discrètement stationnées, la sienne et celle de julien, mon meilleur pote
? je mavance sur le petit chemin sans faire de bruit et là je la vois adossée a une pile de pont, dépoitraillée jusquà la taille, les seins a lair puisquelle na jamais porté de soutient gorge, qui ne servirait a rien pour supporter une poitrine irréprochable, une jambe relevée très haut, et devinez qui tient cette jambe ? Mon pote qui la baise allégrement, debout, a grands coups de bite, effondré je repars sans me faire voir après avoir fait tout de même un cliché du couple illégitime, jai simplement envoyé un sms de rupture accompagné de la photo explicite
. Nous ne nous somment jamais revus
Joyce, mon amour, la femme de ma vie, pourquoi mavoir fait ça ? Celle quun rien faisait jouir, la sensualité lui sortais par tous les pores de la peau, depuis ses lobes doreilles lorsque je lui mordillais et enfonçais ma langue au plus profond de son pavillon, a ses orteils que je suçais avec ferveur, en noubliant évidement aucunes zones sensibles de son corps, seins, nombril, aines, dessous de genoux et jen oublie surement, la chatte ? Elle y passait en dernier une fois quelle était chaude comme la braise !
Nous faisions ensembles ce que beaucoup de couple nosent pas pratiquer
je vais vous en révéler quelques détails au risque de vous choquer
.
Ce nétait pas des fellations quelle pratiquait sur moi, cétait une véritable avaleuse de sabre, elle ingurgitait mes vingt deux centimètres entièrement, ses lèvres et ses dents collés contre mon pubis, son menton sur mes testicules, elle aspirait littéralement ma verge, aussi elle profitait rarement du goût de mon sperme qui fusait directement dans son sophage, a linverse elle savait me faire venir dans son palais et me le faire boire aussitôt lors dun baiser passionné
Joyce connaissait aussi la technique pour me faire décharger sans me masturber ou me sucer, simplement a laide de deux doigts profondément enfoncés dans mon rectum, elle massait ma prostate jusqu'à éjaculation, le résultat était rapide, souvent je navais pas le temps dêtre totalement en érection, elle léchait ma semence éparpillée par paquets sur mon ventre, jadorais ça !
Sans être fétichistes, nous aimions la chaleur de lurine sur nos corps, nous pratiquions quelquefois cela après avoir fait lamour pour se nettoyer mutuellement elle, a cheval au dessus de moi, marrosait copieusement du mélange épais de nos jus, de la queue au visage, moi, pour lui rendre la politesse jenfonçais ma queue a moitié bandée, car, raide aucuns hommes ne peut pisser, jarrosais son vagin, lui prodiguant un lavement jouissif
Aujourdhui elle oser me téléphoner pour la sortir dun mauvais pas, des tas de souvenirs remontent a la surface, jai envie de savoir si elle a changé physiquement alors tant pis pour ma fierté, je me précipite sur ce maudit parking
mini jupe, top court, je reconnaitrais sa silhouette élancée a cinq cent mètres, elle fait nerveusement les cents pas
- Bonjour Joyce
- Bonjour Nicos, excuse-moi de tavoir téléphoné mais je ne connais personne dautre que toi qui puisse maider
- Bien sûr, je suis le con de service
ceci dit, tu es toujours très belle
- Tu es toujours aussi élégant
- Bon, trêve de baliverne quy a-t-il ?
- Mon taco ne démarre plus
- Quel dommage ! cétait avant ou après le motel ?
- Ahhhhh, je vois ce que tu veux dire
.
- Merde ! tu ne tes même pas faite tirée ??
- Ne te force pas à être vulgaire
- Ouvre-moi le capot et essaie de démarrer
- Rien ne sallume
- Je vais vérifier la batterie
La femme vient saccouder sur laile sur laile opposée, les bras croisés sous ses seins nus les font remonter a quasiment jaillir du corsage, ils semblent toujours aussi fermes, du coup jen lâche mon portable qui glisse sous la voiture, il est là prés de la roue
je dois me coucher sur le dos pour pouvoir le saisir , mais en face il y a aussi deux jambes, terminées par deux cuisses pleines, bien ouvertes, Joyce sest accroupie, elle ne porte pas de culotte, ses poils pubiens sont aussi bien entretenus quil y a un an... ils laissent voir le trait fendu de ses lèvres fines
- Tu trouve ton portable ?
- Euuuuhhh
. non
. oui je le vois, je nai quà tendre la main
Quest-ce qui me prend de tendre le bras vers sa fourche ? Personne aux alentours ne peux deviner ce qui se passe sous cette voiture, cest à peine si elle frémit lorsque jentre en contact avec lintérieur de sa cuisse brulante, au lieu de se retirer elle savance a toucher la carrosserie, mes doigts effleurent sa vulve, Joyce lâche un miaulement de satisfaction
- RRRROOOOOOUUUUMMMMM !! va-y enfonce les
.ouuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii
- Tu mouille toujours autant salope !
- Oui tu as raison je suis une salope, je reconnais que jai eu tors de te tromper avec julien, je ten supplie ne retire pas tes doigts de ma chatte, branle moi, fait moi jouir ici
Je lastique énergiquement, sans complaisance, à la dure, comme autrefois lorgasme la terrasse en une minute, un rond mouillé tache lasphalte
- Cest toi qui as réservé la chambre ?
- Oui, tu veux quont y aille ?
- Tu parais être en manque, je te préviens, si nous y allons je vais te faire payer cher ton infidélité
En chemin je la questionne sur ce rendez vous manqué
- Avec qui fait tu cocu ton mari cette fois ? Qui est le poseur de lapin ?
- Personne, cest toi que jattendais
julien baise comme un pied, le rendez vous sous le pont de chemin de fer tétait réellement destiné, mais par inadvertance il est aussi parvenu a julien, il était là avant toi et il a su trouver mon point faible.
- Qui est ?
- Tu le connais pour lavoir pratiqué des centaines de fois, sans crier gare, il ma directement mis la main au cul et ma touchée la chatte, comme jétais sans culotte ses doigts ont vite débusqué mon clitoris, et tu sais comme moi quune fois mon bouton décalotté cest fini, il faut que je baise, ça duré seulement trois minutes, il baise comme un lapin
- Pourquoi lavoir épousé ?
- Pour te faire enrager et que tu viennes me tirer des griffes de ce con, mais ta fierté a dit non
- Sur le lit je vais savoir si tu mens
déshabille toi avant dentrer dans la chambre
- Ça va être vite fait, regarde
La chambre donne sur le parking, nimporte qui peut la voir prendre son temps pour baisser sa jupe et faire passer le top par-dessus sa tête, nue comme un ver, les deux mains sur les hanches, elle me toise
- Alors ? Je suis une miquette ?
- Salope tu me fais bander, entre !
- Si tu veux que je te suce comme avant, fou-toi à poil !
En moins de temps quil faut pour le dire je suis aussi nu quelle, le sang bat dans ma verge tendue à me faire mal, depuis un an cest la paume de ma main enduite de lubrifiant qui me sert de vagin, aussi, même si ça ne doit pas durer je veux profiter au maximum de son corps, les yeux gourmands de Joyce fixent ma queue , elle sagenouille au bord du lit , debout je lui fais face, bien campé sur mes jambes , le bassin cambré en avant, elle saisi ma bite, ouvre la bouche autant quelle peut, je mintroduit aisément, pose une main derrière sa tête et la force a avaler, surprise elle essaie de me repousser
- lâche ma queue, laisse moi faire
apparemment tu as perdu lhabitude, il a une quéquette si minable que ça ton mec ?
- huuuummm-huuuummm
Implacablement ma queue senfonce dans sa gorge, elle hoquette, rougi, des larmes coulent de ses beaux yeux en amande qui me regardent et me disent : Fait comme tu veux, je ne reculerais pas ! Une salive épaisse suinte aux commissures de ses lèvres, ça y est, je suis dans sa gorge, je la laisse shabi au diamètre, elle respire fort par le nez, je lâche sa tête, elle se recule légèrement pour mieux se poignarder avec mon membre, puisque mes mains sont libres je vais tâter sa poitrine et fais rouler ses tétons hyper- allongés entre mes doigts
Joyce se trémousse, elle prend autant de plaisir a cet exercice quautrefois, je ne me fais pas sucer, je baise sa luette
- Cest bon hein ? Tu te souviens ce que tu faisais en me pompant ? Comment occupais-tu tes doigts ?
Pas besoin den dire davantage, sa main saventure entre ses jambes, sans doute pour prélever de la mouille, je sépare mes pieds autant que possible, deux doigt fins tournent autour de mon anus avant de trouver le centre de lanneau et de sy enfoncer par petites touches alternatives
Ma prostate est sollicitée, leffet nest pas spectaculaire en tant que plaisir mais ma verge sait en reconnaitre les bienfaits, comme Joyce ne peut pas concilier les deux actions je reprends sa tête dans ma main et plonge ma queue dans son gosier a un rythme soutenu, la double caresse mamène rapidement a la jouissance, après deux grosses contractions de mon membre mon sperme est projeté au-delà de ses amygdales, ses joues gonflent, elle rougit, rugit mais accepte mon offrande, satisfais et vidé je me retire, elle sessuie la bouche du dos de la main en souriant
- Tu nas pas changé, tu es toujours un bon mâle
- Je vais te le prouver si tu te mets à quatre pattes
- Que vas-tu me faire ?
- Te prendre le ptit trou et te pisser dans le cul avant que je ne débande trop
- Tu ne me las jamais fait par là !
- Justement !
- Ça ne risque rien ?
- Pour le savoir il faut essayer
- Je veux être ta chienne, alors va-y encule moi
- Julien te prend par là ?
- Il voudrait bien mais je refuse, avec toi ce nest pas pareil, je suis ta chose
La vue indécente quelle moffre me fais rebander, je dois penser a ce qui cest passé sous le pont pour faire retomber la pression
il y a un an, sous le pont Julien devait être enfoncé profondément dans son ventre, il a tâté ses nichons, son foutre a souillé sa chatte a jamais, lavait-elle sucé avant ?
Ça y est ça marche ! Jai la bonne rigidité pour lemmancher, elle essaie de se dégager mais je la maintiens vissée sur mon ventre, ma vessie est pleine, je dois me concentrer un bon moment avant que ma pisse veuille bien sortir, au début cest seulement quelques gouttes, puis cest le déluge, autour de mon gland la pression de son boyau se relâche
- OOOOOHHHHH ! Que cest boooooooooooonnnnnnnnnnnn mon amour ! Cest meilleur que dans la chatte ! Va-y donne moi toute ton urine !
- Je rêve ? tu mas appelés mon amour ?
- Je suis a toi, je ne rentre pas chez lui, emmène moi chez nous !!!!
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