Sa Masturbation
Nous somme mariés depuis une bonne dizaine dannée. Cest souvent elle qui provoque mes érections. Elle aime voir ma bite en extension. Il lui arrive de la prendre quand je dors. Elle la masse doucement pendant mon sommeil. Je réagis assez vite dit-elle. Elle aime me prendre en main, me caresser doucement, me faire bander ; quand je suis dur, sans me réveiller, je me mets sur le dos. Alors là, elle jubile, elle ouvre les draps, se penche vers la pine, ouvre sa bouche, la goute un peu avant de lengouffrer dans sa bouche. Je me réveille à cet instant. Elle lèche la queue de bas en haut. Le gland ne fait pas le poids devant sa gourmandise particulière. Ce genre de réveil est plus quagréable.
Elle mexcite, elle sexcite. Pour se calmer un peu, elle passe une main sur sa chatte. Elle vise son clitoris. Je sais pour la voir faire souvent quelle exerce une légère pression tournante sur cet organe.
Mais le gros de ses orgasmes a lieu vers 17 heures.
Elle reste sur le lit, nue. Elle met à coté delle ce quelle appelle ses amants : un gode spécial con (relevé vers le bout) un gode à cul et un chapelet rigide avec une bonne douzaine de billes. La cérémonie est toujours la même. Pour elle se masturber est sérieux : cest son plaisir qui est en jeu. Rien ni personne ne peut la déranger.
Elle est assise au bord du lit. Devant le grand miroir, elle caresse ses seins jusquà ce quils soient assez durs. Ensuite elle se relève en se tournant pour enfiler le chapelet dans le cul. Quand jai la chance dêtre là, je vois quelle met un soin extrême à cette pénétration particulière. Ses fesses sont tendues vers larrière, sa main droite tient bien le chapelet. Elle caresse son anus avec la première perle Elle la fit entrer facilement. Elle attend un instant comme pour savourer la petite pénétration. Elle recommence avec les autres avec un espacement de deux ou trois minutes. Elle laisse sortir une espèce de lacet qui retient les billes.
Elle se couche enfin. Elle commence par se caresser eu peu le clitoris. Son autre main revient toucher la dernière perle du cul : elle y entre franchement un doigt. Quand elle se tend, le ventre vers le haut, le doigt encore plus profond dans le cul, elle gémit, elle se fait presque mal en jouissant.
Si je suis là, je bande, je voudrais bien la baiser, lenculer, la lécher.
Elle enlève les billes les unes après les autres. A chaque passage, un orgasme. A peine le dernier « fait plaisir » est sorti, elle prend le gode de devant. Elle se caresse le petit rocher avec le gode, depuis le début jusquau bout : Elle recommence plusieurs fois les yeux fermés vers je ne sais quelle pensée érotique (peut-être ma queue ou celle dun de ses ex ?)
Enfin elle se baise, le gode a des aller et venues pire que les miennes. Il lui fait du bien, elle arête souvent en le sortant, le léchant pour récupérer son jus. Elle le remet pour arriver au deuxième but : jouir encore. Je remarque que ses seins bougent en même temps que sa baise, plus que la normale. Quand elle jouit cest pire : son ventre, ses seins, ses cuisses sont prises dans des mouvements incontrôlés. Même ses gémissements sont plus forts.
Elle se calme un peu à la fin de lorgasme. Mais son désir reste vif : elle veut la suite. Elle laisse le gode dans le con, elle prend lautre, le mouille avec sa salive, le pose sur le cul. Elle le rentre avec une espèce de méchanceté. Ses deux trous remplis, elle coordonne les mouvements. Les rares fois où je suis là, jembrasse les pointes des nichons, jaspire les tétons à défaut de pouvoir la lécher ailleurs.
Jadmire sa faciliter à se branler.
Comme elle voit que je suis excité de la voir se masturber, quelle a bouche libre, elle me demande de venir lui donner le biberon particulier. Je baisse le prépuce, je lui mets la queue sur les lèvres. Elle lembrasse dabord avec de petits bisous. Elle sort sa langue pur attr la bite. Elle aspire fort pour prendre la queue.
Il marrive dêtre libéré en bandant encore. Elle est débarrassé des godes. Elle prend le gode suivant, bien vivant celui là en se mettant en levrette. Jaime me coller à ses fesses avec le pubis. Je sens la queue contre son périnée. Elle me met en place. Nous sommes prêts pour la grande scène du final, celle où nous saluons le public à la fin
Je trouve toujours son cul mouillé. Elle la fait exprès. Ma queue glisse en elle, elle me force à la mettre en entier. Comme la première fois quand elle me la demandé par une timide « encules moi ». Cest toujours aussi bon, aussi lubrique. Elle fait ce que jaime quelle se fasse à et instant : elle se branle. Elle est devenue une spécialiste de la sodomie. Nos trop brèves séances de baise se terminent dans son magnifique cul que jaime lécher après.
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