Maudites Vacances (6) : Une Douche Et Du Savon.
Cocufié cinq fois en un peu plus de 24 heures, alors que jétais aux premières loges à chaque fois ! Qui dit mieux ? Je crois que je détiens une sorte de record, non ? Je pense à ça pendant que jenchaîne des longueurs de piscine.
Lavantage quand on fait du sport, cest que même si on narrive pas à se changer les idées, on réussit quand même à se fatiguer et ça évite de devenir fou.
Jenrage. Comme un forcené, je fais des allers-retours en crawl ou en dos crawlé. Jai décidé de nager jusquà épuisement et de me faire une « sieste-bronzage » ensuite. Je naurai sans doute pas résolu mon problème mais jaurai survécu à la honte, à lhumiliation, à la colère et surtout
à limpuissance ! Ma femme me trompe sous mes yeux avec mon copain Jonathan qui nous invite à passer une semaine de vacances chez lui (enfin, dans la villa quil a louée), et je suis incapable de len empêcher. Cest pas possible, comment ils font, les autres mecs, dans ce genre de situation ?
Je continue de nager pendant longtemps, très longtemps. Je suis essoufflé, jai bientôt des crampes, mais tant pis, je nage. Entre deux longueurs japerçois Jonathan qui lézarde sur un transat. Il a décidé de parfaire son bronzage pour mieux séduire ma femme ou il récupère après lavoir bien baisée ? Je men fous, je continue, je nage.
Après un bon moment, je vois Corinne qui arrive lair de rien, avec son mini maillot de salope allumeuse. Jai la rage, mais je ne marrête pas de nager. Elle sinstalle aussi sur un transat, pas trop près de Jonathan. Elle doit sentir quelle a beaucoup à se faire pardonner, je suppose. Bon, je continue, je nage. Cest tout ce que je sais faire, alors je le fais. Au moins Jonathan et Corinne verront que je ne suis pas nimporte qui dans ce domaine. Pas sûr que ça les épate, mais tant pis ! Je nage. Maudites vacances !
Tout a une fin, même les longueurs en piscine. Quand je marrête, je suis complètement cuit, essoufflé, vidé.
- Pfew ! Ben mon vieux, tes une vrai bête ! Tu as du nager en une heure ce que je nage en un an ! Moi, dans ce genre de situation, jaurais eu dix fois le temps de me noyer.
Je ne réponds pas. Dun côté je suis plutôt satisfait du compliment, mais dun autre je me dis que ce nest que de la flatterie pour essayer de me faire passer la pilule. Je ne suis pas encore prêt doublier ce qui sest passé depuis hier après-midi, et il y a ne serait-ce quune heure ...
Bon, faut que je récupère. Jétais déjà fatigué avant ces vacances, alors avec la quasi nuit blanche que jai passée et mon marathon aquatique
Je ferme les yeux, jarrive un peu à me détendre et à relativiser les choses. Bon, daccord, je suis cocu et lorgueil en prend un sacré coup, mais je suis encore vivant, non ? Et maintenant ? Sils recommencent tous les deux, je fais quoi ? Jai beau réfléchir, je narrive pas à trouver une issue à cette situation. Je tiens toujours à Corinne et elle mexcite même plus que jamais. Comment peut-on être excité par une femme qui vous fait souffrir ? Je ny comprends rien !
Je massoupis un peu malgré ces questions qui me tourmentent. Jonathan et Corinne discutent de temps en temps mais je suis trop crevé pour rester en éveil. Ils ont lair sage. Pourvu que ça dure !
Ivre de fatigue, je mendors. Quand je me réveille, il me semble, à les entendre parler, quil ne sest apparemment rien passé pendant mon somme et je me sens soulagé. Je garde les yeux fermés. Jai dormi combien de temps ? Dix minutes ? Une heure ? Impossible de savoir. Jentends Corinne qui parle tout doucement, comme si elle ne voulait pas me réveiller :
- Bon, moi, jai assez lézardé, je vais me prendre une petite douche avant le dîner.
- Tu veux un coup de main ?
Je garde tous mes sens en éveil. Je me méfie de Jonathan chaque fois quil veut aider Corinne.
- Non, non, pas la peine, tu peux rester. Tu auras juste besoin de lancer le barbecue dici une heure.
Jessaie dentrouvrir légèrement les paupières. Corinne ramasse ses affaires et se dirige vers la maison. Jonathan la regarde partir comme à regret, puis jette un coup dil dans ma direction et semble réfléchir. Que va-t-il faire ?
Cette hésitation dure quelques dizaines de secondes. Jonathan semble indécis, impatient, fébrile. Il regarde à droite, à gauche. Tout à coup il se décide, se lève en silence, puis se dirige à son tour vers la maison.
Pendant tout ce temps, je suis resté les yeux mi-clos derrière mes lunettes de soleil en me demandant ce quil avait derrière la tête. Maintenant je me dis que cétait à la fois une très bonne et une très mauvaise idée.
Une très bonne idée : mon honneur est sauf car tout le monde pense que je dors encore.
Une très mauvaise idée : ça donne le champ libre à Jonathan qui va aller baiser Corinne.
Je me fais peut-être des idées : si ça se trouve il va aux toilettes, ou se changer, ou chercher un bouquin, un verre ou je ne sais quoi. Mais cest ainsi quand on a peur dêtre cocufié : on craint le pire, tout le temps, à chaque fois. Et en plus, les cocus en puissance, ils veulent connaître létendue de leur infortune, ils veulent vérifier !
Corinne est partie. Deux minutes après Jonathan la suivie. Il va la rejoindre, cest sûr ! Il faut que jen aie le cur net.
Je me lève à mon tour et mapproche de la maison en silence. Personne. Mmm
Cest louche. Je me dirige vers la chambre. Personne à lintérieur, mais jentends du bruit dans la salle de bains. Leau coule. Normal, Corinne est sous la douche. Mais
Où est Jonathan ? Je crains le pire. Japproche tout doucement.
Au moment de pousser la porte, je sens une montée dadrénaline. Jai peur de ce que je vais voir, mais je suis également mal à laise de jouer ainsi les voyeurs. Je me sens doublement en position dinfériorité. Je sens bien que je devrais faire demi-tour tout de suite pour éviter de me couvrir de ridicule ou pousser la porte dun coup et faire cesser cette comédie sur le champ. Oui, mais voilà, bien que je sache que ce nest pas la meilleure solution, je me cache comme un minable et je pousse cette porte tout doucement, en faisant attention de ne pas me faire remarquer.
Quand je vois suffisamment à travers lentrebâillement de la porte pour comprendre ce qui se passe dans la salle de bains, toutes mes craintes se confirment. Non seulement Jonathan est bien là, mais il a retiré son maillot de bains et il est avec Corinne. Ma femme est donc en train de prendre sa douche avec lui, et pas besoin dêtre voyant pour prévoir la suite !
Lhistoire se répète donc comme hier quand ils ont « batifolé » dans la piscine alors que je me cachais derrière les rideaux. Maintenant, cest probablement pire car je suis tout près deux, et jai une vue imprenable de « trois-quarts dos » qui me permet de suivre les événements, de voir tous leurs gestes, dentendre chaque mot de leur conversation :
- Alors comme ça tu veux simplement me rendre service ? Tu veux juste me savonner le dos, cest ça ? Tu crois que je vais gober ça ?
- Mais enfin, Corinne ! Je nai aucune arrière-pensée, je tassure. Quest-ce que tu vas imaginer ?
- Et si tu tes mis à poil, cest que tu ne veux pas mouiller ton maillot de bains, cest ça ?
- Absolument !
Tu parles dun dialogue ! Jai compris comment ça va se terminer et eux aussi.
Pendant ce temps, Jonathan profite de la situation : il savonne les épaules de Corinne, frotte, caresse, masse, fait mousser au maximum. Puis il soccupe de son dos, étend son massage, va un peu sur le côté,
Corinne est totalement passive, abandonnée à ses mains baladeuses. Elle lui tourne le dos, et, pour mettre un peu de piment, elle se cambre de façon suggestive. La salope ! Même moi je commence à bander, alors jimagine que pour Jonathan qui a en plus les sensations tactiles de la peau, de leau, du savon,
- Mmmm
Oui, cest pas mal, tu peux continuer comme ça
Jonathan senhardit, passe sur le côté. Il lui savonne maintenant les flancs et jai compris son idée : ça va se finir sur ses seins, cest évident !
- Mais dis-donc, cest ça que tu appelles le dos ?
- Cest pour téviter de la fatigue. Je me dis que tu es mon invitée, en tant que gentleman, je me dois de têtre agréable
Cest vrai, cest du travail en plus, mais je tai à la bonne et je suis prêt à faire un petit effort !
- Bon, si ça ne te coûte pas trop alors, pourquoi pas ?
Ils sont en train de se faire un sketch ou quoi ? En tout cas, ça évolue régulièrement et inéluctablement : Jonathan soccupe des flancs et des reins de Corinne, descend, remonte,
Il fait durer, le salaud, il a compris comment chauffer Corinne et il ne sen prive pas. Je sens quil va lui savonner les seins dans pas bien longtemps. Oui, il y vient, il sen approche,
Non, il repart comme sil nétait pas intéressé, il revient sur les reins, il remonte à nouveau.
Cest pas possible, ce type est un pervers sadique. Moi, je vais avoir une crise cardiaque, et Corinne va finir par gémir et supplier pour quil aille plus loin, cest couru davance !
Pendant des secondes interminables il va, il vient, il approche et il séloigne, mais je sais bien quil ne pense quà ça (ou alors cest moi qui suis obsédé ?). Quand enfin il atteint le côté de ses seins, quil les savonne avec douceur, quil refait le coup du « je méloigne et je reviens » pour prendre possession des lieux, je suis presque soulagé. Jai le cur qui bat à cent à lheure, et une excitation terrible menvahit : je bande tellement que je suis obligé darranger mon sexe dans mon maillot de bains.
Cest incroyable : je souffre abominablement de voir ma femme aux mains de ce manipulateur lubrique, et pourtant jai limpression que je suis encore plus excité que les autres fois ! À ny rien comprendre ...
Oui, ça y est, maintenant, comme je my attendais, il lui prend les seins à pleines mains, les savonne, les presse, les caresse, les pétrit,
Putain, jen peux plus, je deviens fou ! La tension monte aussi dans la douche, dailleurs :
- Toujours aussi obsédé, à ce que je vois !
- Mais non, mais non, cest juste pour te rendre service
- Et quest-ce que je sens contre mes fesses ? Tu as encore une crampe ?
Effectivement, Jonathan bande comme un cerf en rut et frotte sa queue contre les fesses de ma femme pour bien lui faire comprendre dans quel état desprit il est.
- Mon pauvre ami ! Comme ça doit être inconfortable ! Il va encore falloir que tu te soulages, cest ça ?
Cest reparti pour de la provocation à haute dose : Corinne remue son cul, le frotte contre la queue de Jonathan pendant que ce dernier a pris possession de ses seins. Tout ça se passe évidemment dans une débauche de savon, de soupirs, ... Autant dencouragements explicites dun côté comme de lautre. En tout cas, Jonathan ne perd pas le nord :
- Ne tinquiètes pas, je me charge de tout. Laisse-toi aller
Elle va bientôt passer à la casserole, cest évident. La bite raide de Jonathan qui se frotte contre les fesses de Corinne, qui passe dans sa raie avec des petits allers retours suggestifs,
Et puis linstant fatidique arrive : un petit coup de rinçage, et Jonathan guide sa queue, part à la recherche dun lubrifiant plus naturel. Il frotte son gland contre la fente de Corinne, appuie sur les épaules de cette dernière, linstalle dans la position adéquate, et enfin enfonce son dard dans la chatte de ma femme avec une délectation affichée.
- Ouais
Cest toujours aussi bon de tenfiler
Jadore ta chatte douce et chaude
Tes le meilleur coup de lannée, il ny a pas de doute !
Corinne a encaissé la pénétration en gémissant. Elle est penchée en avant, appuyée contre le mur, cambrée pour mieux offrir sa croupe à Jonathan. Comme une bonne salope en chaleur, elle attend de se faire saillir par le mâle en rut.
- Mmmm
Toujours aussi tendu ? Il faudrait te faire soigner
- Tinquiète, ça va aller, jai trouvé le remède à mon problème. Tu sais que tes vraiment super bonne, toi ? Et puis cest encore mieux de te palucher avec du savon !
Jonathan a repris ses « explorations savonnées » : les hanches, les fesses, les flancs, les épaules, et, bien sûr, les seins. Quand Corinne se redresse il lui prend la poitrine à pleines mains, malaxe ses globes et pince ses tétons ; quand elle se penche en avant il soccupe plutôt de ses hanches et de ses fesses ; parfois il la prend par les épaules et lattire à lui afin de pouvoir la pénétrer plus profondément. Comme les fois précédentes, il alterne et varie au gré de linspiration, accélère ou ralentit le rythme, et, une fois de plus, Corinne monte en pression et gémit comme une bonne salope qui se fait limer, qui prend son pied et qui en redemande.
Je suis mort de jalousie et de honte, mais ça ne mempêche pas davoir une trique monstrueuse. Tout en regardant ma femme se faire grimper par ce salaud de Jonathan, je me surprends à me caresser la queue. Cest vrai que je suis excité, que ça me fait un effet terrible de voir ma femme me cocufier ainsi, alors pourquoi ne pas atténuer mes souffrances en me donnant un peu de plaisir ?
Pendant ce temps, Jonathan ne mollit pas, au contraire. Il est en train de la baiser à toute vitesse en la faisant gémir et crier de plaisir. Visiblement, cest reparti pour un orgasme dont elle a le secret, et quil na pas envie dabréger.
- Cest super de te bourrer comme ça, ma jolie. Tout est bon chez toi, on peut pas sen lasser !
Tout en disant ça, il se met à lui caresser la croupe de façon indécente. Il passe même dans la raie de ses fesses, sattarde sur son petit trou quil se met à titiller. Corinne a un sursaut au moment où il tourne sur sa rondelle.
- Mmmm
Mais dis-donc, on dirait que tes drôlement sensible de ce côté-là ?
- Ohhh ! Cochon ! Dégoûtant ! Non ! Je
ça suffit !
- Détends-toi, ma toute belle, détends-toi, cest les vacances
Ce salaud est en train dexplorer sa rondelle et il nous refait le coup de « lapproche progressive » : je tourne un peu, je méloigne, je reviens avec un peu plus de curiosité, je recommence avec un peu plus dautorité. Et puis, comme je le craignais, il lui rentre un doigt dans le cul avec assurance et contemple leffet obtenu. Il faut croire que ce mec est un as de la baise : comme Corinne se fait limer en rythme depuis quelques minutes déjà, elle ne tente rien pour interrompre cette nouvelle intrusion, au contraire.
- Espèce de gros dégoutant ! Jai pas besoin de savon par là !
- Mais si, mais si, ma chérie, il ne faut rien oublier, et puis, tu vas voir, ça va te faire du bien
- Cochon ! Cest bon, ça suffit, laisse mon cul tranquille !
Corinne a beau protester, tout dans son comportement incite Jonathan à aller plus loin : des réticences qui ressemblent plutôt à des encouragements, des gémissements qui rappellent davantage le plaisir que le dégoût, des mouvements dacceptation et non de répulsion,
La salope ! Elle remue du croupion pour mieux se faire limer la chatte et doigter le cul, et, comme si ça ne suffisait pas, elle ajoute la bande son.
- Mmmm
Bon, après tout, pourquoi pas ? Mmmm
Oui,
Oh ! Salopard, cest vrai que cest pas si mal
- Tes vraiment une super bombasse, ma choute. On a pas fini de rigoler, tous les deux !
Ce mec est une ordure : moi, je suis misérablement derrière la porte à me branler, et pendant ce temps il soccupe de ma femme en lui faisant des trucs pas possibles. Le pire, cest quil obtient de cette salope ce que je nai jamais réussi à avoir en trois ans. Il la baise, il la doigte, il la fouille et elle accepte tout, elle prend son pied par tous les bouts, par tous les trous !
Jen ai marre, jen peux plus, c'est de pire en pire. Pour linstant, il se contente de la limer et de la doigter, mais ça dure, ça dure et ça monte en puissance. Elle gueule maintenant pour de bon, elle a atteint lorgasme, ça se voit, ça sentend.
- Putain, tes super chaude, ma salope ! Cest trop bon de te bourrer la chatte !
- Ahhh ! Ouiiii
Salaud ! Cest bon, jaime
Encore ! Ouiii
Plus fort !
Maintenant il est presque en train de la démonter, et en plus il active son doigt dans son cul à une vitesse dingue pour ajouter du piment. Jai limpression quon nest pas loin de la fin. Moi-même je ressens tellement de tension que je me dis que, plutôt que de mourir tout de suite, je ferais encore mieux de me branler jusquau bout et de me soulager.
Jen suis là de mes réflexions lorsque tout à coup Jonathan ralentit et sarrête même complètement. Il sort sa bite de la chatte de Corinne, retire son doigt de son cul et se met en position pour la sodomiser. Oh, non ! Jusquau bout jespérais que ça narriverait pas, mais maintenant, je comprends que rien ne me sera épargné.
Avec une délectation perverse, il se prépare à enculer ma femme sous mes yeux. Submergée par son orgasme, elle semble incapable de réaction et il le sait. Il guide calmement sa queue dans sa raie, sattarde sur son petit trou, le titille gentiment,
Il cale son gland sur son anus, prend Corinne par les hanches. Linstant est dun calme impressionnant. Le temps suspend son vol. Nous avons tous compris ce qui se joue, même Corinne qui semble se réveiller :
- Espèce de salaud ! Cest ça que tu voulais, hein ?
- Oh, oui ! Tout est bon chez toi. Un cul comme le tien, nimporte qui se damnerait pour pouvoir en profiter. Tu sens ma queue ? Je vais te la mettre bien profond dans ton adorable postérieur. Tu vas voir : la sodomie, cest mieux que tout !
Maintenant que Jonathan a bien annoncé la couleur, il peut se concentrer sur sa tâche. Il tient Corinne par les hanches, lattire à lui tout en avançant son bassin. Je suis totalement fasciné par cette scène. Ma femme se fait sodomiser sous mes yeux et moi, la gorge sèche et les jambes tremblantes, je ne trouve rien de mieux que de me caresser la queue pour vérifier que jexiste et que je suis encore en vie.
- Ohhh ! Espèce de gros cochon !
- Détends-toi, ma toute belle, détends-toi
Centimètre par centimètre, il progresse dans le cul de ma femme et prend possession des lieux. Corinne, tremblante, soumise et passive, attend quil ait fini de lemmancher. Elle est courbée en deux afin de lui faciliter cette pénétration inhabituelle pour elle. Je suis bien placé pour savoir que Corinne est peu coutumière de cette pratique. Deux ou trois fois, au début de notre relation, jai bien essayé de la sodomiser, mais jai rapidement abandonné lidée. Bien quelle ait été séduite par lidée, la réalité était fort différente : peu de plaisir, beaucoup dinconfort et un résultat décevant.
Mais aujourdhui Jonathan semble sur la bonne voie. Corinne est toujours parcourue de frissons de plaisir. Son orgasme nest pas terminé, et cest ça qui lui permet daccueillir la bite de Jonathan sans réticence. Oui, ça y est ! Il lui a enfoncé sa grosse bite dans le cul jusquà la garde et maintenant il sarrête un instant, autant pour quelle shabitue à cette intrusion contre nature que pour profiter lui-même du plaisir de lavoir une fois de plus et plus que jamais !- en son pouvoir.
- Ma salope, cest pas fini, tu vas voir, tu vas adorer. Jai limpression que cest pas tous les jours que tu te fais ramoner le cul. Tes serrée comme une pucelle
- Ohhh
Il passe sa main devant pour lui caresser le clitoris et attiser son plaisir. Corinne est immobile, il na aucun mal à lui faire ce quil veut. Elle gémit aussitôt quil la touche, il en profite alors et repart pour un tour : caresse entre ses jambes et sur ses seins, et début de va et vient dans son cul. Tout doucement, presque timidement au début. Je maperçois alors que je suis en train de suivre son rythme : je me branle la queue à la même vitesse quil encule ma femme. Calmement et voluptueusement au début, mais en augmentant progressivement la vitesse.
- Ouais
Cest bon, cest bon, salope. Jaime ton cul serré de sainte nitouche. Je vais tapprendre à jouir par-là aussi, tu vas voir
- Ohhh
Ohhh
Ahhh !
Cest théoriquement impossible de savoir si elle aime ou si ça lui fait mal, mais à priori, vu comment elle se laisse faire sans protester, je pencherais plutôt pour la première solution. La suite me donne raison :
- Mmmm
- Oui, cest ça, jadore quand tu remues le croupion, je parie que ça te plait de te faire enculer.
- Ohhh
Hhhh
Ohhh
- Hein que ça te plait de te prendre ma bite dans le cul, ma jolie ?
- Ohhh
Je
Je ten prie
Ohhh
- Réponds-moi ? Taimes la sodomie ?
- Ohh
Je
Oui
Ohhh
Cest bon
!
- Je men doutais ! Tes vraiment faite pour la baise, ma toute belle. Dans toutes les positions, à toutes les heures de la journée, par tous les trous ! Jai pas fini den profiter, tu vas voir !
- Oh, oui, salaud ! Cest bon ! Jaime !
Apparemment, cest bien parti : il est en train de lenculer comme il faut, bien profond, bien régulier et vraiment vite. Plus de problème, ça coulisse en souplesse, Corinne se fait bourrer le cul et exprime sa satisfaction pour le plus grand bonheur de Jonathan
et de moi ! Oui, aussi incroyable que cela puisse paraître, je me branle maintenant à toute vitesse et je suis tellement excité par le spectacle de ma femme en train de se faire sodomiser sous mes yeux que je ne vais pas tarder à juter.
Je jette un coup dil inquiet aux alentours. Oui, cest ça, sur la table de nuit il y a une boîte de mouchoirs. Jen prends un rapidement puis je reviens à mon poste dobservation. Jai un instant de honte qui menvahit, mais lexcitation est plus forte que tout : au moins, personne ne peut me voir pendant que je me branle, alors, lhonneur est sauf !
Maintenant, cest un véritable orgasme à trois qui se prépare : je me cale à nouveau sur le rythme de Jonathan en train denculer ma femme. Elle gémit ou feule de façon ininterrompue, et lui grogne comme une bête pendant quil la bourre. Encore une baise brutale et bestiale, et moi je me prépare à éjaculer en même temps que lui, pour avoir limpression que je domine encore quelque chose, pour avoir encore limpression que ma femme mappartient un peu.
Quelle salope ! Je nen reviens pas. Elle mexcite à se laisser baiser et enculer ainsi, à hurler à chaque coup de queue quelle prend dans le cul, à manifester bruyamment la satisfaction de la femelle qui jouit, grimpée par un mâle en rut.
Jen peux plus, je vais jouir, je sens le point de non-retour qui sapproche, jessaie de ralentir, cest dur
Celui qui na jamais vu sa femme jouir sous les assauts dun autre mec ne peut probablement pas comprendre, mais il ny a pourtant rien de plus excitant et envoutant comme spectacle, même si la honte et la souffrance sont là
Jonathan est probablement au bout de sa route lui aussi, car il pistonne ma femme avec frénésie, et il ne pourra pas tenir bien longtemps à ce rythme denfer. Corinne a du mal à rester debout, elle saccroche aux robinets de la douche pour ne pas glisser. Elle continue de crier à chaque coup de boutoir, elle jouit visiblement comme une malade.
- Oui, vas-y, gueule encore, salope ! Cest bon de se faire défoncer le cul, hein ? Oui, cest ça, continue de gigoter, jadore
Tiens, prends ça, et ça encore
.
- Ahhhh ! Salaud ! Ahhh ! Jen peux plus !
Ohhhh, cest bon
.
- Ahhh ! Salope, tu mas eu ! Ahhhhhhh !
Jai compris : Jonathan éjacule dans son cul, et du coup cest pour moi le signal. Je me branle à toute vitesse pour me soulager, et dans létat dexcitation qui est le mien, il ne me faut que quelques secondes pour arriver à mes fins. Dune main je finis de me masturber, de lautre jessaie de recueillir le sperme qui gicle de ma queue pour éviter quil ne tomber par terre. Le plus dur est de rester silencieux pendant que le plaisir me submerge. Cest un peu frustrant mais jy arrive malgré tout. Essoufflé, penaud, honteux mais apaisé, je me décide à me retirer en vitesse en jetant un dernier coup dil derrière moi.
Jonathan et Corinne sont calmés, presque immobiles. Je nose rester à les regarder reprendre leur souffle, de peur de me faire repérer. Est-ce quils vont recommencer leur douche sensuelle ? Est-ce que Jonathan va continuer à la faire jouir en lui doigtant le cul ou lui caressant le clitoris ? Je ne le saurai sans doute jamais et ce sera ma punition, car je ne suis pas prêt à prendre le risque de rester et de me faire repérer en train de jouer les voyeurs. Je me sauve comme un voleur.
À quand la prochaine humiliation ? Jai limpression dêtre sous ce toit depuis une éternité et pourtant ça ne fait même pas 48 heures que nous sommes arrivés.
Maudites vacances !
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