Leslie So13

Leslie SO13 – Souvenirs
Il l’avait bien grosse

Vous le savez, j’aime autant les femmes que les hommes, et je ne déteste pas les expériences avec les mecs bien membrés.
Il y a déjà pas mal de temps, bien avant de connaitre Laure, je prenais parfois du plaisir solitaire en me servant d’un gode spécial de bonne taille, très réaliste il ressemblait à un vrai sexe d’homme, le gland circoncis bien en évidence au bout d’une tige aux veines bien dessinées, il avait en plus des bourses et comportait en sa base une ventouse.
L’avantage étant que je pouvais me sodomiser avec en le chevauchant, alors qu’il était fixé au sol ou sur la table basse, ou même parfois sur ma table de chevet dans ma chambre, et aussi en le fixant sur une paroi verticale et m’embrochant pour me prendre moi-même debout.

Les dimensions de cet amant de mes moments solitaire étant de vingt centimètres par quatre et demi de diamètre, comme j’e n’étais pas encore disposée comme maintenant, je dois avouer qu’avant de me le mettre je devais me préparer avec minutie…
Je m’amusais énormément avec ce gode, pas loin de deux heures à chaque utilisation, je m’entrainais avec aux gorges profondes, au cas où un jour je devrais mettre une grosse queue dans ma gorge ou alors la prendre dans mon anus.
Mais être assis entièrement sur un engin pareil, et sentir les couilles à l’orée de sa rondelle, quelle sensation de plaisir de se sentir ainsi comblée, et cela me faisait jouir à chaque fois !

Bien-sûr, j’allais souvent sur internet pour avoir un éventuel contact et faire une rencontre. Dans mon profil je ne cachais pas mon état de transexuelle et faisais très attention aux contacts qui m’envoyaient des propositions de rencontre pas très claires, voir louches.
Un soir, un mercredi, j’ai reçu un message intéressant d’un homme sur mon profil du site de rencontres, l’homme, dont le pseudo était : « TTBM pour gourmande ».
Son descriptif précisait qu’il était bien membré, sans précisé la taille de son engin, et qu’il habitait Paris intra-muros.

Son message disait juste à mon intention : « Si tu es intéressé envoie moi un message et nous en parlerons de vive voix ».

Après un moment de réflexion, je décidais donc de lui envoyer un message pour lui proposer un dialogue avant une éventuelle rencontre, précisant que je pouvais recevoir.
Eh oui, beaucoup d’internautes cherchant une aventure refusent de recevoir de peur d’être embêtés après la rencontre, voir même quelquefois harcelés par des personnes peu respectueuses. Pour ma part, prenant les précautions de rigueur, je n’ai jamais été embêté, car je ne me branche pas si mon instinct me le conseille.
J’ai reçu une réponse quelques minutes plus tard me proposant un contact à vingt heures.

A l’heure convenue nous étions ensemble entrain de dialoguer :
- Bonjour, je suis là… Et j’envoie.
- Moi aussi ! Sa réponse
- T’as un prénom ?
- Oui, Roger et j’ai quarante ans.
- Leslie et j’en ai vingt-trois.
- T’es une vraie transexuelle, membrée et avec de la poitrine.
- Oui, j’ai l’attirail complet et opérationnel.
- T’aime te faire sodomiser ?
- J’adore et je ne laisse pas passer une occasion…
- Et par une grosse queue, ça te tente ?
- Ca dépends grosse comment !
- Comme t’en as jamais vu !
- Alors donne-moi un rendez-vous que je constate si ce que tu dis est vrai, pour le moment je suis partante…
- Tu peux recevoir ?
- Oui !
- Alors je t’envoie un mail pour le rendez-vous !

Le lendemain, jeudi, en rentrant à la maison, j’ai été consulté mon profil et j’ai vu :
« Vous avez reçu un nouveau message. »
C’était une réponse pour la rencontre avec Roger, il me confirmait qu’il était d’accord pour me rencontrer le vendredi soir et me proposait que l’on se voie place Saint Michel, devant la fontaine à vingt heures et qu’il aurait un œillet blanc au revers de sa veste, pour que je puisse le reconnaitre.
Sur le coup, j’avoue avoir ressenti une certaine excitation de rencontrer cet homme au membre imposant et je me suis mis à bander très fort.

Je lui répondis que j’étais d’accord et que je serais en tailleur pantalon gris perle, avec moi aussi un œillet blanc au revers de ma veste.

Je dois avouer que j’ai passé une soirée dans une certaine impatience du lendemain, si bien qu’avant de m’endormir, je me suis donné du plaisir en solitaire avec mon joli gode.
Après m’être excitée dans mon lit, nue, en me godant avec un petit gode afin de bien me préparer l’anneau, j’ai fixé mon gode sur la table de nuit et je me suis sodomisée en me branlant, jusqu’à pratiquement perdre connaissance de jouissance. Après avoir éjaculée comme une folle, je me suis couchée et je me suis endormie…

Le lendemain, j’avais hâte que ce soit l’après-midi, et en rentrant du travail, j’avais juste le temps de me préparer, après une douche, je me suis à nouveau préparée l’anus, je voulais être préparée pour ne pas souffrir au cas où cet homme serait véritablement très membré.
J’ai sortis la vaseline et deux godes, un petit pour commencer et le gros que j’avais utilisé la veille. Une noix de vaseline sur le petit gode et hop, direction mon petit trou, juste pour m’ouvrir l’anus, une fois bien préparée, je lubrifiais bien le gros et le voilà à la place du petit dans mon intimité, la pénétration fut lente, la sensation de m’ouvrir centimètre après centimètre était délicieuse. Je fis quelques allers retours et je m’empalais entièrement dessus. J’arrêtais après cinq minutes de ce traitement et décidais de me laver et d’enfiler un string en pensant de plus en plus à ce que j’allais prendre dans la soirée, mais je sentais que mon œillet était resté entrouvert.

Je me suis maquillée et je me suis habillée comme convenu, le string était en place, mais pas de soutien-gorge sous mon chemisier.
En sortant de chez moi, j’étais excitée comme une puce, mais en même temps j’avais une certaine appréhension car j’allais recevoir chez moi un homme qui allait me sodomiser et, de plus, avec certainement un gros morceau entre ses jambes.


Je me suis rendue à pied, n’habitant non loin du lieu de rencontre et quand j’y suis arrivée, j’avais le cœur qui bat. Je le reconnais, il est au rendez-vous, lui aussi m’a vu et se dirige vers moi en souriant, certainement heureux de ne pas avoir un lapin !
Il m’embrasse sur les deux joues et me dit :
- Je suis gâté, vous êtes très belle !
Je lui renvoie aussitôt le compliment en lui disant qu’il n’est pas mal non plus.
Et je lui demande de me suivre jusque chez moi. En le voyant s’approcher de moi, j’avais eu le temps de le détailler, c’est un homme de quarante ans environ, plutôt grand et bien bâti, certainement sportif, il porte des cheveux grisonnants coupés courts et à les yeux verts.
Pendant le trajet vers la maison, nous nous disons des banalités, la glace se brise rapidement et je me sens plus à l’aise, il me prend par la taille et marche à mes côtés comme un amant de longue date, il me met en confiance…
Arrivés à la maison, il m’a demandé s’il pouvait prendre une douche car il voulait se présenter à son avantage et surtout ne pas sentir la sueur, je lui ai dit que c’était d’accord en le conduisant vers la salle de bain.

Mais là, tout est allé très vite dans mon esprit, j’avais laissé mon gros gode et la vaseline sur le meuble de salle de bain et lorsque nous sommes entrés dans la salle de bains, j’ai vu sur son visage un sourire coquin.
Je suis sortie rapidement de la salle de bain pour le laisser se laver, certainement avec le rouge au joues, mais qui puis-je, maintenant il savait que je me godais seule.
Je vais dans ma chambre et me déshabille en ne gardant que mon string. Je l’écoute se laver, et au moment où il est en train de se sécher, je rentre dans la salle de bain à l’improviste.
Il se retourne face à moi et mes yeux sont à ce moment instinctivement attirés vers l’entrejambe où pend un gourdin au repos qui déjà à une belle taille.
Il arrête de se sécher et se rapproche, il sort mon sexe de mon string et commence des va-et-vient, je fais de même en branlant cette massue, mais mon envie de l’avoir en bouche est trop forte, je m’agenouille devant lui à ses pieds et commence à sucer et prendre en bouche cette masse de chair.

Au fur et à mesure de mes allers et retours, elle gonfle dans ma bouche, elle devient de plus en plus grosse et de plus en plus dure, quel engin !
Il me fait me retourner les mains contre le mur et se met derrière moi et commence à me faire une feuille de rose, puis il prend la vaseline sur le meuble et enduit mon anus d’une bonne quantité, et fait rentrer un doigt puis deux.

- Humm…
Je pousse des gémissements, savoir qu’un homme joue avec mon cul sans savoir ce qu’il va faire, c’est excitant. Tout en me doigtant l’anus, je l’entends me dire :
- Tu es déjà bien ouverte !
Mais ayant le dos tourné, je n’ai pas vu qu’il avait pris le gros gode que j’avais laissé sur le meuble, je le sens à l’entrée de mon cul et il le fait rentrer. Je gémis de plus en plus. Il commence des mouvements d’aller-retour rapides, j’adore, mais maintenant c’est sa grosse queue que je veux.

Je me dégage de son étreinte et l’emmène dans ma chambre, et là il enfile une capote. Je suis les bras en appui sur le lit avec le cul prêt à accueillir sa queue. Il se met derrière moi, positionne son gland sur ma rosette et fait rentrer son chibre entièrement.
- Hoo ! Comme c’est bon, dis-je.
Il me ramone à grand coups de reins, je n’en peux plus, ses coups de queue sont violents, je finis par m’allonger sur le lit et il continue son ramonage en règle, je mords la couette pour ne pas crier, je laisse les gémissements et les soupirs sortir de ma bouche.
Je sens ses couilles taper contre les miennes, il m’encule à me couper le souffle, je peux à peine respirer…
En disant :
- Salope !
Il me fait me retourner sur le dos, les jambes en l’air et me ramone quelques minutes dans cette position, sa pénétration est profonde, puis il m’encule alors que je suis sur le côté, un peu comme dans la position du fœtus, il est debout sur le bord du lit et dans cette position, il me bourre encore plus profondément.
Le plaisir est fort et je crie de bonheur, alors il continue jusqu’à tout lâcher dans sa capote…

À ma grande surprise, il ne débande pas. Il me dit :
- T’as un vrai cul de nana, c’est top bon.
- J’ai voulu une grosse queue et que j’ai été servi, dis-je.
- Retourne-toi, me dit-il.
Il enfile une nouvelle capote et m’enfourne son énorme sexe dans le cul, je suis à quatre pattes sur le lit et il me bourre à fond à un rythme infernal. Je mords à nouveau la couette et reste dans cette position en acceptant ses assauts, c’est trop bon.
Le rythme s’accélère encore plus, jusqu’à s’arrêter dans un râle puissant. Je m’effondre sur le lit, je ne sens plus mes jambes et mon anus doit être béant après un tel traitement.
Mon amant se rhabille, me fait un baiser sur le cul, et me dit :
- Quand tu veux pour une prochaine…

A suivre…

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