Maudites Vacances (7) : Promenade Au Clair De Lune.

Jonathan et moi faisons une promenade digestive avant d’aller nous coucher. Corinne a décidé de rester seule à la maison et du coup nous voilà entre hommes. L’amant de la femme et le cocu. De quoi parle-t-on dans ces cas-là ? Je ne sais pas, mais en tout cas, je suis sûr d’une chose : lui comme moi, nous ne pensons qu’à ça. Lui se dit qu’il va pouvoir se taper ma femme dès qu’il aura récupéré, ce qui est probablement déjà le cas (ça fait maintenant trois heures qu’il l’a baisée et sodomisée), et moi je me demande comment je vais faire pour réussir à garder la tête haute. En plus, dans l’immédiat, je me demande comment éviter qu’il la baise devant moi pendant toute la nuit dès qu’on sera rentrés à la villa. Maudites vacances !
Il fait doux, presque frais. C’est génial après la fournaise de cette journée de canicule et l’enfer que j’ai dû subir. Si j’oubliais un peu ce qui s’est passé depuis hier, je trouverais l’ambiance calme, sensuelle et merveilleusement agréable. Jonathan rompt le silence d’une façon inattendue :
- Tu sais ce qui doit être génial, par une soirée de ce genre ? Se faire sucer au clair de lune !
Je trouve la remarque tellement bizarre et déplacée que je reste dans voix.
- Tu sais que j’ai toujours rêvé de me faire sucer par un mec ? C’est le moment où jamais, non ? J’adorerais que tu me taille une pipe, là, maintenant. Qu’est-ce-que t’en dis ?
Quel culot ! J’ai peine à croire ce que j’entends. Je suis à la limite de suffoquer d’indignation, mais je trouve quand même la force de répondre :
- Non mais, et puis quoi encore ? Tu baises ma femme sans te préoccuper de ce que ça me fait, et ça ne te suffit pas ? Tu veux que je te remercie en te faisant une gâterie ? Tu devrais te réveiller, mon vieux : ce qui se passe depuis hier ne me plait pas, mais alors vraiment pas du tout !
Jonathan s’arrête de marcher et se tourne vers moi.
- Attends, arrête de jouer les vertueux. Ne me raconte pas de conneries et sois un peu honnête.


- Comment ça ?
- En fait ça t’excite quand je baise ta femme. Ça te bouscule un peu, mais ça te plait bien, au fond. Un peu de piment dans ta vie : jouer les voyeurs, voir ta femme sous un autre jour, la regarder jouer les salopes, la voir jouir. Tu ne peux pas dire le contraire. Tu râles pour la forme, mais au bout du compte, tu adores ça.
- Tu te trompes. Je pourrais à la rigueur tolérer qu’elle me trompe, mais je trouve insupportable qu’elle le fasse devant moi.
- Menteur : au contraire, ça t’excite.
- Tu dis n’importe quoi !
- Arrête, s’il te plait. Je t’ai vu tout à l’heure.
- Comment ça ?
- Quand je sodomisais ta femme sous la douche. J’ai vu ton reflet dans le miroir de la salle de bains. Tu nous matais, tu bandais et tu te branlais.
- …
- Tu ne dis rien parce que tu sais que j’ai raison. Ce qui te pose problème, ce n’est pas de voir ta femme se faire baiser, c’est la honte de la laisser faire devant toi. En fait, j’ai la solution à ton problème.
- Je suis curieux d’entendre ça.
- Voilà : je ne dis rien à ta femme pour tout à l’heure, je ne lui raconte pas comment tu t’es branlé pendant que je l’enculais. Et je vais plus loin : je te sauve la mise en me débrouillant pour qu’elle ne te voie pas à chaque fois que je la baise.
- Tu peux m’expliquer ça ?
- Eh bien, tu t’arranges pour me laisser seul avec elle sous un prétexte quelconque, je la baise tant que je veux et toi tu peux mater en douce, ni vu ni connu. Elle n’en saura rien et ton honneur sera sauf.
- Tu te fous de ma gueule ? Tu me demandes l’autorisation de baiser Corinne à ta guise, c’est ça ?
- Je t’assure, tu as tout à gagner. De toute façon, tu as bien vu que je la baise quand je veux, non ? Je te propose de t’en tirer la tête haute.
Je ne sais quoi répondre, comme d’habitude. Jonathan a l’art de présenter les choses d’une façon tellement tordue qu’on finit par trouver ses arguments recevables. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.
Pendant que je reste silencieux à réfléchir, je le vois qui se déshabille.
- Mais, qu’est-ce-que tu fais ?
- Je te le dis, je me sens super excité. Rien que de parler de tout ça, tu vois l’effet que ça me fait ?
Il est nu à présent, et, bien qu’il fasse nuit, le clair de lune est largement suffisant pour mettre en valeur une érection tout ce qu’il y a d’honorable. Je suis à nouveau muet et j’essaie de comprendre. Jonathan vient de se déshabiller et il espère que je vais le sucer ?! Encore une situation incongrue, mais je ne suis plus à ça près ! Je le regarde, estomaqué. Il a l’air fier de son effet. Il se caresse doucement la queue et, du coup, cette dernière grossit un peu plus et gagne en rigidité.
- Allez, s’il te plait, ne m’oblige pas à te supplier. Vas-y, suce-moi. Je te promets que je ne dirai rien à ta femme.
Ça me fait tout drôle de voir Jonathan nu, en érection, me demandant que je le suce. J’ai l’impression, d’une certaine façon, qu’il est en état d’infériorité. En fait, je suis franchement troublé de voir son corps dénudé et sa grosse queue bandée devant moi, comme s’il y avait un érotisme contagieux.
- Et puis quoi encore ? Quel intérêt pour moi ?
- Si tu me fais juter, je te promets que je ne toucherai pas à ta femme de toute la nuit. Juré ! Remarque, je suis con, je vais peut-être le regretter. Avec la forme que j’ai, je ferais peut-être mieux de la niquer dans toutes les positions, cette salope !
Cette vision d’horreur, de honte et d’humiliation me glace les sangs. C’est vrai que dans l’état où il est, si je ne fais rien, il va la baiser toute la nuit, et je vais toucher le fond. J’ai comme une révélation tout à coup. En fait, j’ai déjà fait le calcul dans ma tête : si je ne veux pas avoir la honte de ma vie devant ma femme tout à l’heure, il va falloir que je le suce. Mais ce qui me fait vraiment bizarre, c’est que l’idée ne me déplait pas. C’est quand même incroyable, non ? Un mari cocu qui envisage de faire une fellation à son rival ! J’essaie de réfléchir, mais, une fois de plus, je me trouve dans des contradictions inexplicables.
Pendant ce temps, Jonathan continue de se caresser la bite et de faire des commentaires.
- Oh, putain, tu sais que je suis de plus en plus excité ? Je parie que tu arriveras à me sucer comme un chef ; plus j’y pense et plus j’ai la trique. Salopard, tu me fais languir …
Je pense à un truc que Jonathan ne sait pas : j’ai eu des expériences homosexuelles il y a quelques années, avant mon mariage, et ça n’avait pas été désagréable, au contraire ! Mais de là à sucer le mec qui me fait cocu, il y a de la marge, non ? Pendant que je me dis tout ça, je réalise que je suis d’une parfaite mauvaise foi : j’ai envie de sucer cette bite raide qui se dresse devant moi, et je cherche des arguments pour ne pas le faire. Jonathan a raison, j’ai tout à y gagner : ça restera entre lui et moi, Corinne n’en saura rien et je pourrai passer en prime une nuit sereine s’il ne la baise pas. Insensiblement, sans m’en rendre compte, je regarde la queue de Jonathan qui continue de grossir et de durcir. Il a du s’en rendre compte et il en joue. Ce salaud a compris que j’étais en son pouvoir.
- Mmmm … Qu’est-ce que tu attends ? Mon sucre d’orge frétille d’impatience …
Bon, tout est joué, je vais le sucer, c’est évident. Le pire, c’est que plus ça va, et plus j’ai envie de sentir son sexe coulisser dans ma bouche. Mais j’ai ma fierté, et je ne veux pas qu’il s’imagine que ça me plait, alors je me retiens, je ne dis rien, j’essaie de prendre un air détaché et j’évite de me précipiter, mais c’est pas évident : un mec qui bande, c’est comme une nana qui gémit : c’est de l’excitation communicative. Je m’approche de lui, je m’agenouille à ses pieds. Un sourire radieux lui illumine le visage car il a la confirmation que son stratagème a pris. Il va se faire sucer, là, maintenant, tout de suite, dehors et au clair de lune, quelques heures après avoir baisé ma femme devant moi.
Je fais durer un peu. Pour moi, c’est tellement excitant que ça me trouble. J’ai le cœur qui bat à tout rompre.
Je m’aperçois que je suis en manque : une éternité sans sucer de queue alors que je suis si doué et que j’adore ça. Pourquoi ? La vie est étrange, finalement.
J’approche mon visage, je prends sa queue délicatement dans ma main, je la branle tout doucement, puis je me décide à l’enfourner. J’y vais avec calme et détermination. Je suis dans un autre monde et des souvenirs enfouis depuis longtemps remontent à la surface. Son sexe raide, chaud et palpitant de désir me remplit la bouche. Quand j’entends Jonathan pousser un long soupir de contentement, je retrouve la délectation de la fellation, la satisfaction de dominer un homme et de le mener par le bout de la queue. Pour moi, c’est comme une revanche. Je suis celui qui donne le rythme, celui qui décide qui doit jouir, quand et comment. Il ne tarde pas à commenter :
- Oh, oui, mon salaud, c’est bon, j’adore …
- …
- Oui, continue … Oh, putain, tu suces trop bien, c’est super. Oui, vas-y, c’est ça, caresse-moi les couilles.
- …
- Ahh ! Salope ! C’est génial, oui, c’est ça, ouiiiii ….
C’est bien ce que je pensais : quand on atteint le sommet de l’érotisme, il n’y a de place que pour le féminin : maintenant qu’il me traite de salope, c’est qu’il a franchi un cap et qu’il perd toute volonté. Il est totalement en mon pouvoir. Ma langue passe sur son gland avec une lenteur sadique et une délectation perverse. Je vais le transformer en loque gémissante et il va me supplier de l’achever. Je continue mon truc en variant : des petits coups taquins avec la pointe de la langue sur le sillon du gland, des allers et retours profonds du bord des lèvres à l’entrée de la gorge, des immobilisations pour le faire languir suivi par des accélérations qu’il reçoit comme des décharges électriques, de longs passages sensuels et enveloppants avec la langue qui emprisonne son gland et le masse à la fois …
- Salope ! C’est trop fort, c’est trop bon. Ouais, c’est génial, t’as une super bouche de suceuse, toi ! C’est encore mieux qu’avec ta femme ! …
Bizarrement, loin de ralentir mon enthousiasme, cette remarque me motive encore plus. J’ai envie de le rendre dingue de ma bouche, de le faire jouir tellement fort qu’il n’aura même plus envie de demander à Corinne de le sucer. C’est vrai que j’ai tout à y gagner …
Les minutes qui suivent sont surréalistes. Je donne tout ce que j’ai : je varie le rythme et la profondeur, je joue de la bouche, de la langue et des lèvres, je lui caresse ou lui griffe les couilles selon l’inspiration, je passe mes mains derrière ses jambes, remonte le long de ses cuisses, arrive sur ses fesses que j’effleure ou saisis à pleines paumes. Pendant tout ce temps, Jonathan s’abandonne toujours plus au plaisir que je lui inflige et qu’il maîtrise de moins en moins. Il soupire, gémit, grogne. Ses mots sont de plus en plus confus, ses phrases de moins en moins construites.
- Ahhhh ! Salope, oui, c’est bon, comme ça, encore ! Ouais … Plus vite, ouais … à fond … Ouais … J’aime … Ahhhh ! Non ! C’est pas possible, c’est trop fort, vas-y, ouiii …
Il est prêt pour l’estocade, l’éjaculation n’est pas loin, je le sens. J’attends le moment idéal pour le finir. Je glisse dans la raie de ses fesses, passe un doigt impudique. Dans l’état d’excitation dans lequel il est, il ne résiste pas et se contente de sursauter. Je mouille mon doigt, reviens à l’attaque et atteint sa rondelle. Je tourne dessus, puis, finalement, je lui rentre mon doigt humide dans le cul.
- Ahhh ! T’es une super salope, toi ! Ouais, c’est bon, tu m’as eu, vas-y !
Je ne me fais pas prier. Je commence à lui limer le cul avec mon doigt en un va-et-vient particulièrement suggestif. Le mâle conquérant, le queutard qui baise ma femme et prend toutes les initiatives se trouve à gémir de plaisir en se faisant doigter le cul. Oh, que c’est bon ! Elle est là, ma revanche et je la savoure.
Encore quelques secondes de ce traitement et les soupirs ou les grognements montent en puissance, puis, tout à coup un long cri ; Jonathan se bloque, se raidit et, comme je m’y attendais, se vide en moi : plusieurs jets de sperme giclent dans ma bouche, et je les avale aussitôt. Je suis agréablement surpris, car au lieu du dégoût que je craignais, c’est avec délectation que j’accueille ce liquide chaud et gluant, un peu salé. Je n’en perds pas une goutte, ce qui est facile car Jonathan, qui en est à sa cinquième éjaculation de la journée, n’a pas une « production » très abondante. J’en suis presque frustré, mais je me dis déjà que j’aurai sans doute la possibilité de recommencer prochainement …
Jonathan reprend son souffle, comme s’il récupérait d’une épreuve sportive. De mon côté, j’en fais autant. Je lui retire mon doigt du cul et je reste quelques instants immobile avec sa queue dans la bouche. Son membre viril perdant de sa rigidité, je me décide finalement à l’abandonner. Je suis un peu ankylosé, agenouillé ainsi depuis de longues minutes, alors je me redresse, ne sachant trop comment me comporter. La semi obscurité qui règne m’arrange bien, au fond. C’est Jonathan qui finit par briser le silence qui s’est installé.
- Eh ben ma salope, toi au moins, tu sais sucer ! T’es super doué, à croire que t’as fait ça toute ta vie !
Il est radieux et enthousiaste, il s’approche de moi tout en parlant et, avant que j’aie le temps de comprendre ce qu’il a en tête, il me met une main entre les jambes pour vérifier l’état de mon sexe.
- Mais dis-donc, ma salope, tu bandes comme un cerf en rut ! C’est donc ça ! Finalement ça t’excite de me sucer la queue, hein ? T’est peut-être bien fait pour ça …
Je ne trouve rien à répondre car il a raison : je suis terriblement excité et mon érection est là pour le prouver. Jonathan n’a pas perdu de temps et s’est saisi de mon gourdin, comme s’il avait peur que je lui échappe. Je bredouille quelques mots confus :
- Mais … Que … Qu’est-ce que tu fais ?
- Tu sais, moi, je suis ton copain : je baise ta femme pour que tu puisses mater, je te laisse me tailler une pipe parce que t’as une bonne bouche de suceuse qui ne rêve que de ça, et maintenant je vais te finir parce que t’en a trop envie et que tu n’oses pas le demander. Tu vas voir comme c’est bon d’éjaculer au clair de lune. Détends-toi …
Je suis dépassé par les événements et ne sais trop quoi répondre. Jonathan a pris les commandes et il a déjà glissé sa main sous mon caleçon. Il tient ma tige à pleine main, et il finit de me descendre mon caleçon et mon bermuda de l’autre. Il a pris la direction des opérations de façon autoritaire. Il est déjà en train de me branler avec une certaine vigueur tout en me donnant des instructions précises :
- Allez, retire ton teeshirt et fous-toi à poil complètement, sois pas timide ! Oh, putain, c’est pas possible, ta bite est de plus en plus raide, t’es un vrai cochon, toi ! Tu m’avais caché ça, hein ? Je ne te savais pas aussi tordu, mais rassure-toi, ta femme n’en sauras rien … Je vais te faire gicler. Tu vois, c’est bien d’avoir un vrai copain …
Je suis nu, adossé à un arbre, et Jonathan me branle à toute vitesse en commentant la situation. Je suis dans un état second, à la fois indigné par tout ce qu’il me dit, mais terriblement excité par cette masturbation presque e à laquelle je n’arrive pas à me soustraire. Mon excitation et mon plaisir montent si fort et si vite que je suis incapable de répondre aux inepties que me déverse Jonathan. Du coup, il en profite, il en rajoute, et mon silence est interprété comme une acceptation.
- Alors, ma salope, on a encore de bons moments à passer, hein ? Je vais niquer ta femme dès demain, et tu vas pouvoir mater. Tu vas te branler pendant que je la baiserai. C’est ça que tu veux, hein ? Hein que ça t’excite ?
Comme je ne réponds pas, il accélère la cadence et me masturbe comme s’il voulait me traire.
- Réponds, salope ! Hein que tu vas te branler pendant que je la baiserai ?
- Oh … Je … Je … Oui …
- Ça t’excite quand je nique ta femme, hein ? T’aimes ça, hein ?
- Salaud ! Je … Je … Je t’en prie …
- Réponds-moi, je veux t’entendre me le dire.
- Oh … Salaud … C’est bon … Oui, …. Oui, j’aime ça …
- Je le savais bien ! Rassure-toi, tu vas te régaler : je vais l’enfiler par tous les trous, ta femme, je vais la faire gueuler matin, midi et soir, cette salope. Elle a pas fini de tâter de ma queue, tu vas voir …
J’ai conscience de m’enfoncer un peu plus dans un gouffre sans fond, mais je suis incapable de réagir. Jonathan martyrise ma queue en me branlant à toute vitesse. Je suis bloqué au bord de l’orgasme et de l’éjaculation, incapable de me libérer, prisonnier de mon excitation et dans l’impossibilité de résister à Jonathan, aussi bien physiquement que mentalement. J’accepte tout, je subis tout, et le pire, c’est que j’y prends du plaisir. Jonathan continue :
- Et puis, quand j’en aurai fini avec ta femme, tu me feras des gâteries, comme ce soir. Visiblement ça te plait, alors il n’y a pas de problème, hein ? J’adore ta bouche de suceuse et je n’ai pas l’intention de m’en priver. Tu me suceras chaque fois que je te le demanderai, hein ? Réponds !
- Oui … Oui …
- C’est bien … J’aime quand on est d’accord … Maintenant, vas-y, laisse-toi aller et montre-moi comment tu gicles, ma salope.
À ce moment, peut-être parce que je me sens libéré (ou prisonnier) suite à ces promesses, ou à cause du ton autoritaire de Jonathan, ou à l’occasion d’un changement de rythme dans sa manière de me masturber (ou à cause de ces trois raisons), le plaisir monte en moi encore plus et je sais que je vais jouir. Je perds pied définitivement, je soupire, je gémis, je crie.
- Alors, ma poule, tu gémis comme une vraie petite salope, hein ?
- Ouiii … Ohhh … Ohhhh …. Ohhhh ….
- tu apprécies le traitement ?
- Aaahhhh ! Salaud ! J’en peux plus, ça vient …
- Oui, c’est bien ma salope, montre-moi comment tu jutes …
- Aaahhhhh !
Je suis à ce moment submergé par mon orgasme et me libère de toute cette tension accumulée en éjaculant de manière désordonnée, à l’aveuglette. Dans la semi obscurité du clair de lune, je ne distingue rien, et de toute façon je secoue la tête de gauche à droite, en criant, les yeux fermés. Jonathan, pendant ce temps, s’est arrêté de me masturber mais a continué à serrer mon sexe dans sa main, ce qui a permis d’augmenter et de faire durer mon plaisir. Quand ma jouissance se termine, il me lâche enfin pendant que je reprends mon souffle.
- Eh ben, mon vieux, t’es comme ta femme, toi : quand tu lâches les élastiques, ça s’entend. Heureusement qu’il n’y a pas de voisins. On dirait que t’aimes la branlette, hein ?! Bon, faut qu’on se rhabille et qu’on rentre, quand même. Et puis, il faut dormir parce que les journées vont être bien remplies, je sens. Sympa, ces vacances, non ?
Je ne réponds pas. Je commence seulement à réaliser ce qui m’attend : à partir de demain matin, Jonathan aura deux salopes à sa disposition. Il va se partager entre Corinne qu’il baisera et moi qui le sucerai. J’ai beau y prendre du plaisir par moments et lui a beau essayer de me convaincre avec ses arguments douteux, je ne peux pas m’empêcher de penser que dans cette situation, c’est quand même moi qui me fais avoir. Maudites vacances !

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