Je Me Suis Servi D'Elles - 3 Et 4 - Pauline Et Julie

Hé non bandes de petits coquins, j'ai pas couché avec les deux en même temps, c'est simplement que ces deux filles ne sont vraiment qu'une passade, cette histoire sera courte, parce qu’il ne s'est rien passé de particulier

Me voilà donc quelques jours après cet 'interlude' avec Nathalie, je me sens comme le roi du monde, à pouvoir niquer un peu qui je veux, mais au fond de moi commence à poindre un sentiment de dégoût.

Dégoût pour moi même parce qu'avec les derniers échanges de Nathalie, je vois à quel point il est facile de s'attacher, et que mon comportement ne peut que faire souffrir les gens.

Je dis les gens, je pense surtout à Daphné qui m'attends sagement à la maison tout en grossissant chaque jour

Je me sens coupable vis à vis d'elle, je suis inquiet aussi, j'ai l'impression qu'elle se doute de quelque chose, les 'soirées du boulot' et les 'je reste bosser un peu plus tard ce soir' commencent à s’enchaîner.

Mais bon, j'essaye de trouver une justification pour moi-même, si je reprend mon historique sexuel, je n'ai au final été qu'en couple, quasiment jamais célibataire et même quand je l'étais, je n'avais pas cette expérience qui me permettait aujourd'hui de draguer facilement, c'était même plus le contraire, j'avais du respect pour les femmes et je détestais les types comme celui que j'étais devenu, mais il faut bien se rendre à l'évidence, les sales types qui prennent les nanas pour des mouchoirs à sperme, bah eux ils baisent, le prototype du mec sympa, ouvert, un peu geek sur les bords, lui il nique rarement.

C'est sur ces réflexions, que je commençais à parler avec Pauline. Elle aussi les jeux de découverte par mail très peu pour elle, elle cherche du concret.

Comme je culpabilise un peu je lui dit que je suis en couple elle me répond qu'elle s'en fout, elle cherche à baiser un point c'est tout.

Elle à environ 40 ans, patronne d'une boite d’événementiel, un physique que j'aime bien (gros cul, belles hanches, gros seins) par contre elle n'est pas vraiment belle, et à un énorme poil sur le nichon droit.



Quand je dis énorme, je pourrais presque dire que c'est un baobab tellement il est gros et long, je ne comprend toujours pas pourquoi elle tient absolument à le garder, mais bon, chacun son truc.

Étant surchargée, elle me propose de passer chez elle, elle à un créneau de 12h30 à 16h30 ce mercredi

Ça tombe bien, il me reste des RTT, et surtout je n'aurais pas à mentir à Daphné  !

Le jour venu, me voilà au fin fond du 14eme à chercher pendant au moins 30 minutes sa porte.

Bref, un beau bordel, il fait chaud, et j'arrive chez elle en sueur.

Je demande la possibilité de prendre une petite douche, elle me répond que c'est ok, et qu'elle va me regarder le faire.
Dans son attitude, on sent tout de suite la femme qui à l'habitude de diriger des gens, cela ne me dérange pas du tout.

Me voilà donc dans sa douche à me frotter en essayant de prendre l'air détendu, elle est assise par terre, dos au mur et se caresse à travers son jean.

Lorsque j'ai fini, elle prend une serviette et me sèche entièrement, en s'attardant bien évidemment sur les parties les plus intéressantes (pour elle) de mon anatomie  : mes tétons, ma bite, et mes fesses.

Lorsque je suis tout sec, elle me prend par la queue pour m'amener dans le salon.

Je découvre alors un grand appartement, plutôt bien agencé et joliment décoré, mais ce que je remarque en premier, c'est la grande fenêtre du salon qui s'ouvre sur un grand espace.

Depuis son appartement on peut voir les autres appartements situés au même étage, et probablement l'inverse est vrai.

J'engage la conversation en lui demandant si c'est pas dérangeant une vitre ouverte à la vue de tout l'étage, elle me répond que non, elle s'en fout, elle est plutôt exhibe alors vraiment elle en a rien à cirer.

Sans rien rajouter, elle s'agenouille et se met à me sucer.

J'en profite un moment, elle est normalement douée, rien d'exceptionnel …

Au bout de quelques minutes, je me retire, elle se relève et se met toute nue.


C'est à ce moment que j’aperçois son poil, énorme, à moitié enroulé sur lui même.

Et comme à chaque fois qu'elle sera face à moi, je ne verrais que ce poil, c'est pour vous dire, si la levrette fut ma position favorite ce jour là.

Elle me demande de la lécher, et se place debout, le torse sur le bureau, les jambes tendues et me présente son cul.

J’entreprends donc de la lécher tranquillement, la chatte et le cul. A un certain moment elle passe son bras en arrière et vient appuyer sur ma tête pour que ma langue rentre au plus profond de son cul, elle à bien raison, c'est tellement bon de se faire lécher l'anus …

Lorsqu'elle relâche ma tête, elle m'indique le tiroir ou il y a des capotes et me demande de la baiser.

C'est direct, c'est parfait.

J'enfile donc la capote, me place derrière elle, et je l'enfourne d'un seul coup.

Je découvre alors avec stupéfaction le petit vice caché de Pauline... quand elle baise, elle jouit.

Mais elle jouit fort, très fort, elle hurle carrément dès l'instant ou je suis en elle.

Et elle hurle des insanités, beaucoup, tout le temps, et vraiment très fort.

OUI, VAZY, BAISE MOI, PUTAIN, BAISE MOI, DEFONCE MOI LA CHATTE, OUI C'EST BON, VAZY, OH OUI C'EST BON, PUTAIN, C'EST BON, OUI, OUI , etc...

Je pourrais continuer sur le même registre, mais c'est à peu prêt pareil à chaque instant ou je la ramone.

Probablement l'ensemble des dieux de l'ensemble des panthéons y passent, elle aime ma queue, et elle le fait savoir.

Moi je mon coté je n'en mène pas large, avec ses hurlements et la baie vitrée en face de moi, je sens que je commence à perdre mes moyens, je me fais des soucis pour ses voisins (et accessoirement pour mon ouïe)

Les fois ou elle ne parle pas, elle meugle, vagit et pousse des hurlements comme dans les pornos, mais en plus fort encore.

Autant de bruit, moi cela me déconcentre, je sens que petit à petit, je perds de ma superbe.


Et puis alors que je sens que je commence à flancher, un déclic se fait dans ma tête et je me dis 'ha mais attend, OSEF, je suis pas chez moi, c'est pas mes voisins, la meuf je la reverrais jamais plus, qu'elle hurle, rien à foutre'

Cette simple pensée me redonne de la vigueur, et je la bourre comme jamais, je l'agrippe par les hanches et j'y met tout mon cœur...

Dans un hurlement à peine plus fort que les autres, elle jouit, ses jambes se mettent à trembler, sa gorge émet des grognements, bref, elle s'est donnée à fond.

Elle prend quelques minutes pour récupérer, et s'aperçoit que je n'ai pas encore joui

Elle me dit qu'elle veut mon sperme sur elle. Je propose une branlette espagnole, comme ça je pourrais venir sur son visage.

Sans attendre ou même prendre le temps de réfléchir, elle s'allonge et me fait signe de m'approcher.

J'humidifie de ma salive le sillon entre ses seins, et je m'y installe confortablement.

Je reste sans bouger tandis qu'elle fait coulisser ses deux énormes globes (et son poil) autour de ma queue.

J'accompagne parfois le mouvement et par moment, elle arrive à me lécher le bout du gland. Évidemment, quelques minutes de ce traitement, et j'envoie ma sauce un peu dans sa bouche entrouverte, mais principalement sur son visage.

Elle est donc là, allongée nue sur le dos, les jambes écartées et me demande de la caresser pendant qu'elle étale mon sperme de son visage sur l'ensemble de son corps.

Je m'attarde donc sur son bouton, et elle se met à jouir (relativement doucement) tout en se caressant le corps avec mon sperme.

Quand elle se relève, mon sperme a séché, et elle file prendre une douche.

J'en profite pour me rhabiller. Elle sort de la douche, reste totalement nue, me propose un café, ce que j'accepte volontiers.

Alors que je veux partir, elle me demande de rester encore un peu, dézippe ma braguette et se met à me sucer.


Je viens dans sa bouche, et au lieu d'avaler elle recrache le tout dans sa tasse de café, touille comme si c'était du sucre, et s'installe tranquillement en sirotant son breuvage.

J'ai regardé la scène l'air interloqué, mais bon après tout qui je suis pour juger.

Je m'en vais, elle est sur le palier de son appartement, toujours nue, et tandis que je lui fais la bise, j'insère deux doigts dans sa chatte, recueille un peu de son jus et suce mes doigts en lui faisant un petit clin d’œil.

Je n'aurais de vagues nouvelles de Pauline que mois plus tard, un mail qui surgit de nul part, me demandant si je vais bien et si je me souviens d'elle.

Je lui répond que oui, je me souviens TRES bien d'elle, que je suis papa d'une petite fille, et bientôt d'un garçon.

Depuis cette réponse, plus de nouvelles de sa part.

Pauline a été salutaire, car après ce petit épisode, je me sens bien.

J'ai toujours quelques regrets vis à vis de Daphné mais bon, vites oubliés.

C'est sur ces pensées agréables, et quelques jours plus tard que je prend contact avec Julie.

Julie se décrit comme une joueuse invétérée de poker (texas hold em), elle a 27 ans, pas très grande, plutôt jolie, mais sans plus, vraiment dans la moyenne.

Elle à par contre et je m'en aperçois très vite, un véritable problème avec  le jeu, elle est accro.

Tout pour elle est un jeu, chaque question, chaque action découle d'un jeu, d'un pari, de la chance, bref, si elle ne perd pas d'argent, je ne sais pas si avec moi elle gagne au change, parce que invariablement et en dépit de n'importe quelle probabilités existante, elle perd.

Évidemment mon jeu des questions est une réussite avec elle, les échanges fusent, le record étant le second jour ou je lui parle avec plus de 80 mails échangés.

Je sais a peu près tout d'elle avant même de l'avoir vue, tout comme elle, sa vie est moyenne, je ne m'attarderais pas dessus.

Je viens de passer cadre, ce qui me donne 12 jours de RTT supplémentaires, j'en profite donc pour la voir un jeudi après-midi

Notre première rencontre à lieu chez elle, c'est un petit appartement dans le 20eme sympa, mais sans plus.

Les formalités d'usage expédiées (salut, ca va, bien merci, toi ? tu veux un café,merci) les choses sérieuses commencent

La règle est simple, puisque tout pour elle est un jeu, j'ai proposé que notre relation soit basée la dessus.

Nous jouons pour tout, et le perdant exécute les gages du gagnant. Ces gages peuvent être de tout nature, nous laissons libre court à notre imagination, toutefois rien d'illégal, ou de sale.

Nous avons décidés que le destin serait un D20 (un dé à 20 faces) celui qui à le plus grand nombre l'emporte.

Chacun peut faire une proposition, soumettre une idée, et jette le dé. L'autre peut alors faire une contre proposition ou simplement se défendre en jetant le dé à son tour

Simple, uniquement basé sur la chance, chacun à le même nombre de chance que l'autre … enfin, pas Julie.

Sur les 6 premiers jets de dé, elle se retrouve nue, j'ai tout gagné.

Elle est plutôt bien foutu, de jolis seins fermes, des hanches comme j'aime, et une petite chatte tout rasée.

Je m'approche d'elle pour lui caresser un peu le corps, elle frissonne un peu, à moitié de froid, et à moitié de plaisir, surtout lorsque je m'attarde sur son sexe et son anus.

- Tu me suces, je dis en jetant le dé  qui s'arrête sur un 16
- Tu enlèves tout tes vêtements d'un coup, elle rétorque en jetant le dé à son tour... sur un 3.

J'enlève mon pantalon, descend mon boxer et sort ma queue. Elle s'agenouille devant moi.

Je dis :

- Tu avales !
Je fais 15
- On fait un 69
Elle fait 13

Je vois à sa tête qu'elle est plutôt déçue, j'ai presque envie de lui dire que c'est le jeu, mais elle m'enfourne dans sa bouche et commence à me sucer, de façon plutôt classique je dois dire, sans grande passion.

Comme j'ai malgré tout envie qu'elle passe un bon moment, je m'allonge, et l'installe au dessus de moi en 69 comme elle l’espérait.

Et tandis que je me délecte de sa délicieuse chatte toute épilée, elle reprend sa fellation avec plus d'entrain, en appuyant son bassin contre ma bouche.

Toutefois, comme j'ai gagné précédemment, alors que je sens que je viens, je prend sa tête entre mes mains, et lui maintient la tête pendant que j'éjacule dans sa bouche.

Je maintiens encore un peu afin qu'elle soit obligée de tout avaler, ce qu'elle fait plutôt avec entrain tant elle prend du plaisir à sentir ma langue sur ton bouton.

Je sens qu'elle voudrait jouir sous mes coups de langue, mais je m'arrête et la laisse pantelante, avec un peu de sperme au commissure des lèvres.

Elle prend le dé :

- Tu continue de me lécher
Et fait un 12
- Tu te branles devant moi a quatre pattes
Je fais 13

Je me retire de sous elle, et je la regarde avec un intérêt non dissimulé se faire du bien, agiter ses doigts luisants de mouille sur son sexe.

Dans cette position, je peux allègrement caresser son corps, ses seins qui pendouillent. Sa respiration s’accélère tandis quelle s'approche de la jouissance.

Comme elle tend ses fesses, j'en profite pour approcher ma bouche de son anus, et me met à le lécher.

Elle paraît surprise, se relève en me demandant.,

- Whoa c'était quoi ça ?
- Euh, un anulingus ! Comme un cunni, mais sur l'anus quoi …
- Oh mais c'est génial, je connaissais pas, c'est super, tu veux pas le refaire s'il te plait ?
- Jette un dé
- Tu me lèches l'anus
Elle fait un 8
- Tu me lèches l'anus aussi
Je fais un 15

Je vois bien qu'elle est dégoûtée, et comme je sais ce que c'est quand on aime ça je lui propose de me mettre au dessus d'elle, et si elle me fait jouir en me léchant le cul, je lui rendrais la pareille.

Elle me demande de lui expliquer ce qu'elle doit faire, je lui explique succinctement que c'est comme lécher n'importe quel trou, faut y aller en douceur, en profondeur, avec de la passion.

Je me place donc au dessus d'elle, ma queue bien au chaud entre ses deux seins, baisse un peu le bassin, et elle entreprend aidée de ses mains à me lécher et caresser le cul de façon tout à fait exquise.

Je me vois donc obligé de lui faire la même chose, je lui fait soulever son bassin, passe ses jambes sous mes aisselles, et plonge mon visage entre ses fesses.

Nous nous léchons mutuellement pendant plusieurs minutes, avec mes doigts je cherche sa chatte et m'amuse à alterner léchage de cul, tripatouillage de clito, et rentrage de doigts.

Elle de son coté à trouvé mon périnée, mes couilles, et s'amuse à faire coulisser ses seins autour de ma bite.

Nous jouissons ensemble, et j'éjacule sur son ventre.

Nous reprenons à peine nos esprits, qu'elle se saisit du dé, le jette en disant :

- Tu lèche et avales ton sperme de mon ventre
Elle fait un 15
Piqué un vif, je jette le dé à mon tour
- Je recrache le tout dans ta bouche et TU avales

Le dé tourne tourne, façon Inception, roule plusieurs fois sur lui même et s'arrête sur le 17.

Elle fait mine de se relever, mais je la maintiens au sol, aspire mon sperme dans ma bouche, et j'approche de son visage.

Elle veut se reculer, mais je lui montre le dé arrêté sur le 17. Dépitée, elle se laisse faire, je la penche en arrière et vide ma bouche dans la sienne.

Elle a un peu de mal, mais fini par tout avaler.

Je lui roule quand même un belle galoche, elle est brave cette fille, je commence à l'apprécier.

Nous faisons une petit pause, je suis vidé, et elle à besoin de boire un truc.

Tout en buvant un café et en fumant une clope, nous parlons un peu, j'essaye de comprendre le pourquoi de son addiction aux jeux, mais je comprend très vite que c'est ancré tellement en elle, que je ne pourrais pas lui faire dire quoi que ce soit la dessus, pour elle, c'est sa vie, c'est totalement normal, le hasard est avec la mort la seule certitude de sa vie.

Y a pas à dire, elle sait mettre l'ambiance cette fille...

Elle me rassure en me disant qu'elle prend énormément son pied comme ça, et que même si parfois elle doit se faire un peu violence pour jouer le jeu et aller jusqu'au bout, on ne la force pas, personne ne lui fera faire un truc qu'elle ne veut pas faire.

Tandis que nous parlons, je la caresse, et je sens qu'elle remonte en pression.

Elle me demande si ça fait longtemps que j'aime qu'on me fasse des trucs au cul, je lui répond que oui, que depuis que j'ai commencé à me branler, vers 11 ans, j'ai toujours été sensible et attiré par ce coté de mon anatomie.

- Tu t'es déjà fait enculé ?
- Oui, plusieurs fois, je lui répond, et hormis la première fois ou il m'a fait mal, j'ai toujours pris un pied d'enfer, et toi ?
- Non jamais, mais j'aimerais bien te voir a quatre pattes avec quelque chose dans le cul, et elle jette le dé et fait 2
- Mais c'est pas possible, explose-t-elle
- Pareil, je veux te voir avec quelque chose dans le cul, et je lance mon dé : pour un 9

- Au fait, tu voulais me mettre quoi dans les fesses, je demande ?
Elle grommelle et me sort un vibro de taille moyenne de sa table de chevet

- Ha bha c'est parfait ça, je dis, ça ira parfaitement pour une première fois
- C'est quoi la meilleure position ?
- Celle ou tu te sens le plus à l'aise, pour commencer à 4 pattes, c'est pas mal.

Je la sens quand même un peu emmerdée mais elle s’exécute de bonne grâce
- Vas-y doucement quand même s'il te plait, elle me demande
- Mais oui, mais maintenant si tu te tais pas, je jette le dé pour savoir si je te défonce les fesses ou pas
- d'accord ..

Je passerais les quelques minutes suivantes à préparer son anus, et à faire en sorte que cette expérience soit la plus douce et sympathique possible.

Comme toujours au début de mes mouvements, elle à un peu mal, et au fur et à mesure que son anus se détend, le plaisir commence à monter en elle.

Toujours avec son vibro fiché dans son cul, je me glisse sous elle afin qu'elle puisse me sucer et que je puisse lécher sa chatte.

Ses gémissements vibrent sur ma queue, sa chatte mouille sur mes lèvres, elle jouit, en douceur, tranquillement, elle est vraiment belle comme ça.

Elle est allongée, pantelante, avec son vibro toujours dans les fesses. Je rebande et sur le moment j'ai envie d'être en elle.

- Je jouis dans ton cul, le vibro dans ta chatte
Je fais 11
- L'inverse, mais tu met une capote
Elle fait 6
Elle reprend
- Écoute j'ai vraiment pas envie que tu viennes dans mon cul, laisse relancer le dé s'il te plaît, si tu gagnes ce coup-ci, je fais ce que tu veux
- D'accord, mais si tu perds, je te baise les 3 trous, dans l'ordre que je veux, et je jouis ou je veux, si tu gagnes, tu peux me demander ce que tu veux.
- Ça marche.

Elle saisit le dé, le frotte dans ses mains, souffle dessus, et le lancer d'une pichenette toute maîtrisée

Comme auparavant, le dé tourne pendant longtemps et s'arrête sur le 18.

Elle jubile et me dit de préparer mes fesses parce que c'est à mon tour.

Je suis bon joueur, et puis je dis rarement non à une sodomie, au final, je suis gagnant aussi.

Je lance le dé qui s'arrête sur ...le 20

Je vois le visage de Julie qui se décompose

- Mais c'est pas possible ça, comment tu peux avoir autant de chance ?? Perdre avec un 18 putain, mais je rêve
De mon coté, j'essaye de ne pas hurler de rire tellement la situation est géniale pour moi, je la taquine un peu :

- Oh tu sais, d'habitude, j'ai pas autant de chance aux dés.
- Wé mais là c'est juste n'importe quoi putain, j'ai rien gagné du tout
- Oh tu sais, c'est pas un concours hin
- Non mais tu dis ça parce que tu gagnes, mais moi ça me fait chier de perdre
- C'est du hasard Julie, et puis si tu veux pas aller jusqu'au bout malgré ta promesse, tant pis c'est pas grave, je ferais sans.

Je sais que pour les joueurs dans son genre, une telle phrase sonne comme le plus terrible des affronts.

Piquée au vif

- Non mais c'est bon t'inquiètes, je vais le faire, c'est juste que j'ai jamais vu ça, tu veux que je fasse quoi et comment ?

- Bon déjà, je vais te lécher 5 minutes histoire que tu décompresses un peu, pour le reste, tu verras, met toi déjà à 4 pattes, c'est plus facile pour accéder aux trous.

Elle grommelle mais s’exécute.

Je prendrais ensuite mon temps pour bien la lécher, puis je la prendrais d'abord dans la chatte, puis dans le cul, je la ferais me sucer un peu au sortir de son cul, puis j'y retournerais quelques minutes pour m'y vider dans un râle de plaisir.

Elle jouira fortement une fois, puis une autre fois plus doucement lorsque j’éjacule en elle.

Nous passons ensuite plusieurs minutes à nous cajoler, dans les bras l'un de l'autre à rajouter un peu de douceur dans cette après-midi qui en fut jusqu'à lors dépourvue.

Fini les jeux de dés, il n'y a plus qu'elle et moi, elle qui me parle d'avenir, moi qui l'écoute.

Elle en arrive à comprendre enfin qu'elle et moi ça n'existera jamais, que ce que nous avons vécu cet après-midi était unique et n'arrivera plus.

Nous nous quittons bon amis. Je repartirais de chez elle avec des souvenirs plein la tête et la chance d'avoir connu une fille qui se donne à fond et pour qui le jeu est tout.

J'aurais de ses nouvelles récemment, elle va bien, mais à mis un peu de temps à s'en remettre de notre expérience

Elle est maintenant mariée et attend son premier .

Elle ne joue plus du tout, et me remercie de lui avoir permis d'ouvrir certaines de ses portes, je cite « notamment celle de derrière, lol »

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