La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 382)
L'esclave e73700MDE endure les morsures du fouet - (suite de lépisode précédent N°381) -
Je me retrouve maintenant seul dans cette immense salle souterraine aux voutes impressionnantes constituées de pierres anciennes datées de plusieurs siècles. C'est sans aucun doute une des caves du château car tout au fond sont remisés de nombreux et énormes tonneaux de vins. Je suis impressionné par la majesté du lieu qui me fait dire que je suis dans un des chais du château. Lieu parfait pour la conservation du Beaujolais en fûts de chêne car la fraicheur et lhygrométrie paraissent convenir. En effet, on sent la fraîcheur et l'humidité d'une cave, mais c'est très supportable. Jusqu'à présent je subissais, sans m'intéresser à mon environnement proche et plongé dans une lumière faible et douce. En levant les yeux, je distingue au plafond, à terre et contre les murs tout une panoplie d'instruments BDSM, des chaînes, des cordes... Plusieurs cages grillagées sont suspendues à dépaisses chaînes scellées solidement au plafond de pierre, cages où un homme tiendrait sans souci. Il y a aussi un trône hautement placé, trône magnifique et paré de dorures sculptées et ciselées dans un beau bois vernis et massif. Des épais coussins moelleux posés sur le siège doivent assurément apporter un réel confort de bien-être. Sur chaque accoudoir du trône un anneau métallique est fixé et pour chacun de ses anneaux, il est accrochée une chaîne-laisse de quelques mètres, ce qui laisse à penser quau bout de chacune de ces laisses, une ou un esclave doit y être attaché pour le plaisir du Maître des lieux lors des séances BDSM.
Et puis, il y a tous ces instruments de circonstance avec entre-autres, un tabouret à pointes, un palan mécanique, un impressionnant pilori monté sur une estrade, une cage d'angle, un banc inclinable, un chevalet, plusieurs croix de Saint André, un cheval espagnol, des étriers de suspension, des camisoles et divers cordages en chanvre et anneaux shibari.
Je suis encore nu, mais libre de mes mouvements, le corps endolori, maculé et souillé du sperme de tous ces inconnus. Rétrospectivement, je regarde avec effroi tous ces instruments et même si j'ai subi un instrument de suspension sans dommage, mis à part le forçage de mon anus et de ma bouche par de nombreux inconnus, les autre instruments me font peur et je redoute maintenant que quelqu'un revienne ici et me fasse subir le sort qu'on subit, jadis, les soumis à Monsieur le Marquis de Sade (jai même appris que cet Illustre personnage a été lhôte durant plusieurs mois en 1784-1785 de laïeul du Maître, ici même dans ce Château, sur les Terres de la Famille des Evans). Je suis effrayé et en même temps mon désir de soumission est là, bien présent sous forme d'un pincement au coeur, comme un appel, irrésistible. Oui je ressens cette envie dêtre, de vivre ce que je suis, un simple soumis, et rien que de penser à limmense chance dêtre sous le joug de Monsieur le Marquis dEvans, le désir de Lui obéir en devient jubilatoire. Oui tout cela me fait désirer encore plus à nêtre plus quun vulgaire chien servile pour Le satisfaire pleinement, Lui le Maître
J'en suis là dans mes pensées lorsquun bruit me fait sursauter. Je pensais voir apparaître Walter ou Firmin venant me soumettre à ces instruments et je m'apprête à subir des traitements abominables en dehors de la présence du Maître vénéré.
Que va-t-il m'arriver, n'ai-je pas subi et satisfait Le Maître en étant donné et pénétré par tant d'inconnu(e)s pour Son bon plaisir. Mais me sentant seul avec Lui, et même autant impressionné que je suis, je finis par m'abandonner en confiance à Son bon plaisir en souhaitant même qu'il de Son pouvoir de Maître pour que je lui donne la plus grande satisfaction. Mais, je m'aperçois alors qu'il n'est pas seul. Les participants qui ont fait de moi leur vide-couilles selon La Volonté du Maître sont là. En effet, Ils entrent tous derrière Lui et se mettent en cercle tout autour de moi et du Maître et je pense alors qu'ils vont être les spectateurs d'un divertissement dont le Maître est le centre. Il a fière allure dans Son costume strict en prenant une posture de dresseur de fauves. Comme je suis toujours dans la position agenouillée, il me lance un ordre sec:
- Met-toi sur ce lit, couché sur le dos.
Il cite ce lit de caserne lequel les montants sont constitués de barres cylindriques d'une hauteur dun mètre environ. Jobtempère rapidement. Le Maître se munit d'un fouet à lanières souples qu'il fait claquer plusieurs fois au-dessus de moi dans de rapides sifflements dair. Puis Il me lie les poignets et les chevilles aux quatre coins du lit, mais en haut des montants à l'aide de cordes tressées prévues à cet effet.
Je sens maintenant les lanières effleurer légèrement mes tétons de mâle inférieur puis je les sens fouettés dans un mouvement tournant très habile et efficace. Le Maître sait que je suis encore vierge pour cette activité que je n'ai pas encore subit et Il manifeste une adresse telle que je reçois les coups sans broncher. Mais Il accélère la cadence et la force alors je me tords sous les coups et les morsures du martinet, impuissant, tel un ver de terre. Oui cest ce que je suis là en ce moment précis, un petit ver de terre malléable et fragile lequel on peut samuser avec sadisme et sans aucun état dâme. Ma croupe frémit, se soulève au rythme de mes spasmes et s'offre aux regards et aux envies perverses des spectateurs. Je sens mon anus s'ouvrir spasmodiquement et presque naturellement dans un désir subit d'être possédé, pénétré, besogné, souillé. Tour autour de moi, j'entends des commentaires vulgaires et blessants qui attisent ma honte et me ramène à ce que je suis en réalité : Un simple vide-couilles. Le Maître continue consciencieusement son oeuvre avec une maîtrise parfaite à laquelle j'essaye de participer pour sa satisfaction. Il avait commencé à fouetter mon ventre et ma poitrine, mais maintenant ce sont les côtés quIl daigne soccuper, mes jambes, mes fesses et ma croupe subissent le fouet. Je me tords de plus en plus sous les regards des spectateurs Dominateurs et du Maître qui semble satisfait. Cela doit être cela, car les coups cessent et je vois le Maître s'approcher de moi et se mettre sur mon corps avec l'intention de me posséder dans cette posture
Je sens la luxueuse soie de Son costume, jentends le bruit de zip de sa fermeture Eclair descendre de sa braguette.
Alors, Il détache mes liens et m'ordonne de me mettre debout les bras levés, jai un peu de Son Noble sperme qui dégouline entre mes jambes. Il me lie les poignets à une chaine fixée un peu plus haut que mon corps, les pieds liés au sol, jambes écartées. Je sens un bandeau me couvrir les yeux et un bâillon-boule forcer ma bouche. Je suis dans le noir, peu rassuré, à la merci du Maître ou de n'importe lequel des spectateurs. Mais je me rassure en sentant les mains Du Maître me palper la taille et les fesses. Ses mains rectifient ma position, cambrent mes reins et exposent mes fesses, puis un énorme plug pouvant être retiré par une cordelette est enfoncé dans mon anus de façon à disparaître pour laisser place à un trou béant. Il rend ainsi disponible aux coups de fouet mon anus et toute ma croupe. J'attends avec anxiété lorsque je sens une morsure sur mes reins. J'ai un tressaillement de douleur qui s'apaise assez vite. Mais le répit est de courte durée. Les coups de fouet, d'abord espacés se succèdent à un rythme accéléré. La lanière lacère les reins, puis les côtés, le dos, les fesses. Les coups d'abord dans le sens transversal, s'appliquent parfois dans le sens vertical et zèbrent mon dos. Ils sont appliqués avec art et je sens leur efficacité dans la douleur. A un moment, je sens ma croupe et mon anus tressaillir alors qu'une fulgurante douleur m'envahit. Je crie et hurle dans le bâillon qui enserre ma bouche et j'enrage intérieurement mais j'ai la fierté de résister et de manifester mon obéissance totale, obéissance voulue, confiante et désirée. Je subis le fouet remplacé par un paddle qui me rend sans doute mes fesses écarlates, mais je ne peux le voir à cause du bandeau sur les yeux. Puis les coups cessent et j'entends la voix Du Maître comme dans un rêve:
- Tu as subi avec honneur les deux premières épreuves au cours desquelles tu es devenu Mon soumis véritable et Mon vide-couilles. Maintenant tu es mon esclave en obéissant à tout ce que j'exigerai de toi sans te poser de questions, tu m'appartiens corps et âme. Walter occupe-toi de nettoyer Notre nouvelle femelle esclave et conduit-la
Je ne m'imaginais pas alors ce que signifiait "nettoyer" et "conduit-la"
mais jallais très vite le découvrir
(A suivre...)
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