Maudites Vacances (8) : On Joue À Cache-Cache ?
Maudites vacances ! Comme je le craignais après notre promenade au clair de lune, je suis totalement à la merci de mon « copain » Jonathan. Il faut reconnaître quil est franc, direct et quil tient ses promesses : il se tape ma femme sous mon nez depuis deux jours, et maintenant, comme si ça ne lui suffisait pas, je dois lui faire des gâteries quand il en éprouve le désir. Je ne sais pas comment jai réussi à me mettre dans une situation pareille, cest vraiment une histoire de fous ! Il a trouvé mes points faibles : je suis un cocu incapable de réagir quand il baise ma femme, honteux mais en même temps excité, et, pire que tout, fasciné par ce salopard et surtout par sa queue. Du coup, je me cache, je joue les voyeurs et je me masturbe pendant quil se tape Corinne et, de fil en aiguille, jen suis arrivé à tailler une pipe au mec qui me fait cocu ! Maintenant je suis coincé : je dois mabsenter sous un prétexte quelconque pour quil puisse profiter de ma femme, et, quand elle nest pas là, cest linverse : je dois le sucer pour le satisfaire encore et encore, et pour éviter quil révèle tout à Corinne. Le problème, cest que Jonathan est insatiable : plus ça va, plus il en veut. Il a trouvé son rythme de croisière : six fois par jour ! Tiens, je vous raconte mon troisième jour de vacances :
9 heures. Quand Jonathan entend Corinne partir avec la voiture, il ne perd pas une seconde. Nous avons passé tous les trois une nuit chaste dans son gigantesque lit, alors il veut se rattr. Il écarte les draps et va droit au but :
- Putain, ma salope, regarde-moi ça comme jai la gaule ! Tu mas trop bien sucé hier soir et jen ai encore des frissons. En plus jétais tellement excité cette nuit que jai regretté ma promesse de ne pas toucher à ta femme. Il va falloir que tu me montres tes talents, mon vieux, je suis en manque
Effectivement, Jonathan est en érection. Je ne vais pas pouvoir me défiler. Je préfère ne pas discuter, de toutes façons jai toujours le dessous et je finis par me faire avoir, alors, allons-y ! Je contemple un instant sa grosse queue fièrement dressée, tendue et impatiente.
- Ouais
Cest génial
Putain, tu suces comme une vraie salope, toi ! Continue, oui, comme ça
Jadore
-
- Super, oui
Encore
Voilà une journée qui commence bien
Oui, cest bon, continue, jai envie de juter dans ta bouche
-
- Oui, branle-moi la tige, cest super
Cest une bonne mise en forme
Une pipe comme ça au réveil, cest que du bonheur !
-
Je le suce ainsi pendant de longues minutes. Ce salopard doit le faire exprès : il se retient pour que je le suce plus longtemps. Il prend son pied mais il fait durer car Corinne nest pas près de revenir, alors il en profite
Je nai pas le choix, je ne me pose pas de question et je fais ce quil me demande. Je maperçois que jarrive à lavaler de plus en plus profondément sans m. Il aime, on dirait, à entendre ses grognements et ses gémissements.
Cest pas possible, ça va jamais finir : je commence à avoir des crampes car ça doit faire un quart dheure que je suce la queue de ce salopard. Je suis presque surpris quand il finit par gueuler, se lâcher et éjaculer dans ma bouche en me traitant de salope une fois de plus. Javale son sperme avec humilité et docilité. Je suis bizarrement fier de moi, même si je nai visiblement pas le beau rôle.
À peine Jonathan a-t-il repris son souffle quil sactive à saisir ma queue pour en vérifier létat.
- Cest bien ce que je pensais, ma salope : ça texcite tellement de me sucer que tu bandes comme un bouc ! En fait, tes un peu comme ta femme, ça te plait de toccuper de ma queue, hein ?
Le salaud : voilà quil recommence comme hier, à minsulter et à me branler en même temps, et je narrive pas à lui résister. Je me laisse masturber sans résister. Il accélère tout en commentant la scène et en annonçant le programme de la journée.Lexcitation et le plaisir montent et submergent ma volonté. Jai honte dêtre si faible, mais ça ne mempêche pas de prendre mon pied. Jonathan a trouvé un rythme diaboliquement brutal et excitant à la fois et je dois my soumettre comme si jétais sa chose.
- Alors, mon chou, tu aimes la branlette, à ce que je vois
Je vais te branler à chaque fois que tu me suceras, on va faire une équipe du tonnerre, tu vas voir. Taimes ça, hein ma salope ?
- Je
Je
Ohhh
Oui
Ouiii
- Tu veux que je marrête ?
- Non
Non
. Continue
Encore
- Tinquiète pas, je suis un vrai copain, je vais te faire juter
Et puis ensuite, quand ta femme reviendra, tu iras faire un tour pour que je puisse la baiser, hein ?
- Ohhh
Oui
- Cest bien, cest très bien. Tu te cacheras et pendant que je la tringlerai, tu pourras te branler encore une fois, hein ?
- Oui
Oui
- Allez, vas-y maintenant, montre-moi comment tu jutes !
Incroyable : à peine quelques secondes après cet ordre, jéjacule sur mon ventre. Jonathan contemple son uvre en rigolant.
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11 heures. Jonathan et Corinne font de la bronzette au bord de la piscine. Je viens de partir en prétendant vouloir faire une promenade dans la campagne environnante, mais je suis revenu aussitôt en me cachant pour regarder ce qui se passe. Je ne suis pas déçu. Ils jouent à « je tatt et je me sauve », et, évidemment, Jonathan a réussi à coincer Corinne. Elle fait semblant de se débattre et de résister, mais cest pour mieux lexciter.
Moi, je suis allongé dans un buisson à quelques dizaines de mètres de là. Jai des jumelles pour mieux mater. Je bande comme un âne quand je vois ce qui se passe ; jentends les gémissements de ma femme qui montent en puissance. La salope ! Elle se laisse aller pour mieux lexciter. Quant à lui, il est aux anges. Il sait que je suis planqué dans le buisson, il ma vu et il sarrange pour moffrir les meilleurs angles de vue pendant quil lutine ma femme.
Ça y est ! Il la pénétrée et maintenant il la prend en levrette. De temps en temps il tourne la tête vers moi comme pour me dire « Regarde comment je la baise, ta femme ! ». Corinne est en train de jouir comme une bonne salope qui se fait ramoner et qui prend son pied. Elle ne peut pas me voir car elle est de profil. Ses seins ondulent au rythme des coups de queue quil lui met. Il varie et fait durer, comme les fois précédentes. De temps en temps il la bourre en la tenant par les hanches, à dautres moments il ralentit et se penche pour lui prendre ses gros seins à pleines mains, puis il recommence à accélérer. Il commente, fier de son coup, il la traite de tous les noms pour mieux asseoir sa domination, il lui flatte la croupe comme si cétait sa pouliche, parfois même il lui met des claques sur les fesses
Cette salope gueule à chaque initiative, jouit comme une dingue. Moi, jen peux plus, cest trop, je me finis car ces deux-là mexcitent à baiser comme des bêtes assoiffées de sexe. Jéjacule en silence pendant queux sont en train de se lâcher en gueulant. Je me retire discrètement et misérablement, la queue entre les jambes, sans me faire repérer.
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14 heures.
Il me chuchote des obscénités, mais au lieu de faire durer, il abrège. Il me guide, me donne des ordres, me caresse la tête (oui, cest ça, comme un toutou !). Cinq minutes plus tard, cest plié, il se raidit, émet un petit grognement étouffé et me gicle dans la bouche. Javale tout, maintenant je suis habitué. Comme les fois précédentes, il me renvoie lascenseur à sa manière et me masturbe de force. Je suis contre le mur, soumis au va-et-vient brutal de sa main sur ma queue. Il sourit, fier de son pouvoir, tout en continuant à me traiter de cocu et de salope ce qui, bizarrement, a pour effet de me stimuler. Jen suis à la troisième branlette de la journée mais je ne men lasse pas et lexcitation monte très vite. La peur de nous faire surprendre nous oblige lun et lautre à ne pas traîner. Cinq minutes plus tard, je pousse un gémissement étouffé et jéjacule en serrant les dents. Une fellation et une masturbation en dix minutes. Qui dit mieux ?
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16 h 30 : Cette terrasse et cette piscine, cest le baisodrome local. Je sais que Jonathan veut se taper Corinne, et, si je ne dégage pas, il va le faire comme si je nexistais pas, et ça, je veux léviter à tout prix. Janticipe le truc en racontant que jai trop chaud et que jai envie de faire une sieste au frais, dans la chambre. Comme ça, je méclipse discrètement, mais je reviens pour observer ce qui se passe, planqué derrière les rideaux du salon. Cette fois, il ne lui saute pas dessus comme un bouc en rut. Il se passe plusieurs minutes pendant lesquelles il sorganise, il se prépare. Il va se baigner dans la piscine. Comme il fait chaud et quil vante la fraicheur de leau, Corinne ne tarde pas à le rejoindre. Cest reparti pour des jeux deau, bousculade et chahut. Quelques minutes plus tard, Corinne sest arrangée pour perdre son haut de maillot. Cest foutu. Les seins de Corinne, il y a de quoi réveiller un eunuque. Jonathan a les yeux qui lui sortent de la tête. Je sais quil ait père et mère pour pouvoir soccuper de ses seins, mais il na pas besoin den arriver là. Deux minutes plus tard, ils ont trouvé un nouveau jeu. Corinne fait la planche et Jonathan lui lèche les seins avec application. Elle roucoule pour mieux lexciter. Il a déjà une bosse qui déforme son maillot (et moi aussi). Encore une variante de cocufiage dans la piscine en perspective.
16 h 50 : Cest devenu chaud. Simple et classique, mais très chaud : ils sont tous les deux dans le petit bain, Corinne penchée en avant, cambrée et les mains reposant sur le bord de la piscine pendant que Jonathan est en train de la pénétrer par derrière à grands coups de bite. Tantôt il la tient par les hanches, tantôt il lui pelote les seins. Quand il trouve quelle ne jouit pas assez fort, il invente un truc : il commente la scène, ou il lui caresse le clitoris, ou il lui pince les tétons, ou il accélère, ou il ralentit, ou il change de position. Il regarde dans ma direction. Il sait que je suis là à mater comme un misérable et ça a lair de lui plaire. Il me fait un petit signe de connivence. Cest vraiment une ordure mais je ne peux mempêcher de lenvier, de ladmirer, dêtre fasciné par son audace. Il baise ma femme furieusement, il en dispose à sa guise et cette salope jouit et jouit encore et en redemande.
17 h 10 : Malgré mon excitation, jai réussi à me retenir déjaculer. Jai décidé de me caler sur leur rythme. Jy arrive super bien. Maintenant, ça fait vingt bonnes minutes quil la ramone. Elle a eu au moins trois orgasmes et à chaque fois jai cru devenir fou de honte et dexcitation. Quand enfin Jonathan se lâche, je peux moi aussi me libérer. Nous jutons à quelques secondes dintervalles, lui dans la chatte de ma femme assise au bord de la piscine, penchée en arrière et offrant ses seins dardés à la vue de Jonathan, moi dans un mouchoir, planqué derrière les rideaux. Je me sens malgré tout fier de moi davoir réussi à contrôler aussi bien mon éjaculation. Oui, cest vrai, je me contente de peu
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19 h 00 : Cette fois-ci, cest moi qui fais de la bronzette sur un transat entre deux passages dans la piscine, mais lheure du dîner approche. Corinne se lève et se dirige vers la chambre pour se changer (je suppose). Jonathan me jette un clin dil complice et la suit quelques minutes plus tard. En fait, il nous refait le coup dhier soir, mais avec ma bénédiction. Jattends un peu et me lève à mon tour. Je me dirige silencieusement vers la chambre (qui elle-même donne dans la salle de bains). Pas besoin de mener une enquête approfondie, il suffit de se diriger au bruit. Jentends Corinne qui gémit, il doit être déjà en train de la limer. Jarrive devant la chambre, la porte est entrebâillée, je mapproche tout doucement et à pas de velours pour ne pas quon mentende et quonne me voit pas.
Bingo ! Jonathan est en train de baiser ma femme en levrette et il a bien préparé mon angle de vue : trois quart dos. Comme ça, je peux voir la grosse bite de Jonathan qui rentre et sort de la chatte de ma femme. Je peux contempler le cul de Corinne, ses hanches que Jonathan agrippe avec autorité, ses seins qui bougent au gré des coups de reins quelle encaisse. Idéal pour un voyeur comme moi : je suis tout près, jai une vue super excitante de ma femme qui se fait enfiler, jentends tout (comme dhabitude, ça gémit, ça gueule, ça grogne et ça commente), mais je ne risque pas de me faire repérer puisque Corinne me tourne presque le dos.
À un moment donné, Jonathan tourne la tête dans ma direction. Il ma vu et il me fait un clin dil. Le salaud. Daccord, il sait que je suis là, mais je trouve toujours aussi humiliant cette complicité, ce regard de connivence qui semble dire « Une belle salope, ta femme, tas vu comme elle aime se faire ramoner par ma grosse queue ?! ».
Mais il y a toujours pire. Maintenant quil sait que je suis aux premières loges, il senhardit : il se penche vers la table de nuit, saisit un tube de gel, sen met un peu sur le doigt. Je frissonne, terrorisé et impuissant. Il va la sodomiser et je vais voir ça en direct, à deux mètres de moi.
Quand Corinne réalise ce qui lattend, cest trop tard. Elle jouit trop fort, elle est donc incapable dempêcher Jonathan de mener à bien son entreprise. Il est déjà en train de lui doigter le cul. Elle proteste malgré tout, mais cest pour la forme.
- Non, pas par là, pas ce soir
- Mais si, ma belle, faut pas que tu perdes la main
- Espèce de gros dégoutant, je ne veux pas, arrête !
- Quest-ce que tu dis ? Je nai pas bien compris
Tout en disant ça, il ressort sa queue du vagin de ma femme et se met en position pour la sodomiser.
- Cochon ! Salaud ! Tas très bien entendu ! Ohhhhh !
Ça y est, cest plié : il vient de lui écarter les fesses et de lui enfoncer sa bite dans le cul. Le cri dindignation et de surprise quelle pousse nest pas très convaincant. Maintenant quil la emmanchée jusquà la garde, il simmobilise un instant pour savourer sa victoire. Il a pris possession des lieux, il lui caresse les fesses, lui met un petite tape pour bien montrer qui est le maître. Corinne ne bouge pas. Elle est vaincue, résignée. Elle attend docilement.
Moi, jai une trique denfer. Je suis subjugué par ce spectacle et je ne vois plus quune solution à mon problème : masturbation puis éjaculation pour la cinquième fois de la journée. Jai sorti ma queue et je commence à me branler en me calant sur le rythme de Jonathan qui sodomise ma femme : tout doucement au départ, comme dans un ralenti ultra sensuel, puis de plus en plus vite pour finir par lui bourrer le cul comme une brute.
Jonathan peut être fier de son coup : Corinne pousse des feulements de jouissance à chaque fois quil senfonce dans son fondement. Il a trouvé le bon tempo et il sen régale. Je vois nettement sa grosse queue qui dilate lanus de ma femme à chaque poussée. Il samuse même à lui écarter les fesses pour que nous puissions mieux voir lun et lautre. Mais tout ceci nest rien à côté de la bande son qui accompagne cette sodomie.
- Alors, ma poule, ça te plait de te faire casser le cul ?
- Ahhh ! Salaud !
- Mmmm
Taimes sentir ma grosse bite dans ton cul ?
- Ohhh ! Ohhh !
- Réponds-moi, salope !
- Ohhh ! Je
Je ten prie
- Jentends rien !
- Salaud ! Oui, cest ça, jaime
- Quest-ce-que tu dis ?
- Espèce de vicieux ! Vas-y, cest bon, rentre-moi ta bite dans le cul !
- Mmmm, jaime quand tu me parles comme ça, ça minspire.
- Ahhhh ! Oui, comme ça ! Encore ! Défonce-moi !
et ainsi de suite. Comme à chaque fois, ils se lâchent comme des bêtes. Jai limpression que Corinne prend encore plus de plaisir quand elle se fait sodomiser. Pour Jonathan et moi, cest pareil. Le fait que je sois derrière lui à les regarder doit encore plus le motiver, et moi je suis possédé par la vision de ma femme qui se fait dominer et enculer ainsi tout en prenant un plaisir incroyable.
Pendant cinq ou dix minutes Jonathan bourre ainsi le cul de ma femme pendant que je me masturbe en essayant de ne pas éjaculer trop tôt. Lexcitation réussit à calmer partiellement ma honte et ma souffrance, mais jai quand même conscience de ne pas être dans une position très enviable.
Les dernières secondes sont frénétiques et bestiales. Cest trop, je nen peux plus, je finis par gicler dans mon mouchoir pendant que Jonathan pistonne ma femme à toute vitesse en grognant. Corinne est dans une sorte de semi inconscience orgasmique. Elle nest plus que cris et gémissements. Quelques secondes après moi, Jonathan se bloque et éjacule dans un long cri. Moi, je suis déjà en train de me sauver en silence après mêtre essuyé.
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22 h 30 : Jonathan propose une promenade digestive. Corinne décline linvitation, sous prétexte quelle est fatiguée (tu parles, elle sest fait baiser trois fois et a fini par une bonne sodomie, il faut quelle récupère si elle veut recommencer demain). Moi, comme un con, je dis oui et pourtant je sais ce qui mattend. Jonathan va encore me demander de le sucer au clair de lune, cest évident. Finalement, je commence à le connaître et il na pas tant dimagination que ça : dès quil a trouvé un truc qui marche, il sy accroche.
Un quart dheure plus tard, cest reparti avec une petite variante bucolique. Il est allongé dans une clairière isolée, en haut dune colline qui surplombe le paysage. Cest un spectacle féérique sous la lune, et cest encore mieux quand on se fait tailler une pipe : cest ce que je memploie à faire. Je suis devenu un expert : jen suis à ma quatrième fellation en 24 heures et, à entendre Jonathan gémir, je suis plutôt doué.
Jai limpression de vivre par procuration : plus Jonathan baise ma femme, plus je le suce et plus ça mexcite. Ça devrait être linverse, mais non : je bande encore et je sais comment ça va finir.
25 minutes plus tard, je suis encore en train de sucer ce salopard. Il est vraiment très fort pour se retenir. Lair est doux, il est confortablement allongé, il regarde le ciel et le paysage, il soupire, conquis par ma langue, ma bouche, mes lèvres, mes caresses sur ses couilles. Par moments, je risque la crampe alors je marrête et je le branle, puis, quand jai récupéré, je recommence. Cest pas possible, on va y passer la nuit ! En fait, je le comprends. Quand on a une bonne suceuse à sa disposition, pourquoi se fatiguer ? Il faut se laisser aller au plaisir et ne pas se dépêcher.
Au bout dune demi-heure, il finit par capituler et lâcher prise (faut dire que jai trouvé une technique de fellation à laquelle on ne peut pas résister éternellement). Jai encore droit à plusieurs giclées de sperme que javale avec la satisfaction de celui qui a bien fait son travail. Jonathan est un homme de parole et dhabitude : il soccupe de moi quelques secondes plus tard. Cette fois-ci, cest moi qui suis allongé et qui contemple le paysage, cest lui qui me branle.
La situation nest pas du tout la même, je me sens ridicule à me faire branler ainsi, mais je prends quand même un sacré plaisir : ce soir Jonathan est sympa, il a décidé dêtre moins brutal et de faire durer un peu plus. Je me laisse faire (de toutes façons, suis-je capable dautre chose ?) et, pendant plusieurs minutes, je me fais masturber comme un puceau pendant que Jonathan annonce déjà la journée du lendemain. Je me sens presque serein, en tout cas de moins en moins angoissé : à part me faire surprendre par Corinne et dêtre encore plus ridicule, que peut-il marriver de pire que depuis ces trois derniers jours ? Quest-ce que Jonathan peut encore inventer dautre ?
Je finis par jouir au bout de quelques minutes dune masturbation honteuse mais jouissive. Ce que je ne sais pas à cet instant, cest que quand on a touché le fond, on peut encore creuser plus bas. Maudites vacances !
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