Incroyable Mouche Floflo

Ahh… quel beau temps, Sophie-Véra la donzelle du moment de Gillou se vautre à mi ombre sur la plage nudistes pas très loin de la plage, toute seule à se réjouir du farniente total. Plage strictement interdit aux hommes sur cette île paradisiaque.
Bras étendus, jambes écartés, modèle de moule bien rasée, une légère brise l’excite à naturellement à ouvrir ses lèvres vaginales au combien charnues… Les feuillages de plusieurs palmiers lui abritent des rayons UW, sa bronzette par la chaleur et le brise lui est assurée. Sa vulve en l’air libre, odorant des ses secrétions intimes de la journée que Gillou lui a provoqués dans la matinée, prend l’aération et sensation de liberté absolue ; Jusqu’à… ?
Jusqu’à une mouche s’y installe, butiner. A moitié endormi, Sophie-Véra, ne s’aperçoit guère de l’intruse. Se vautrant, elle consomme cette liberté, le mieux qu’elle puisse, repliant une jambe inclinée, ouvrant d’avantage exhibant son intimité vaginale et anale. Sophie-Véra aurait été violée avec certitude, si les hommes avaient eu accès à cet endroit, s’attribuent toutes indulgences devant un tribunal. Quelle aubaine pour la mouche, qui fait des va-et-vient inlassables sur ces deux orifices, consommant un dessert ahurissant, enivrant…
Il va de soit que ses allers-retours stimulent ces parties génitaux fur-et-à-mesure… à tel point, que dans son semi sommeil, Sophie-Véra, inconsciemment, chasse intruse par ses caresses inconscientes. Mais dès que la voie est libre, la mouche, -qu’on va appeler Floflo- pour mieux pimenter et corser l’histoire, continue l’entrain de s’enivrer. Floflo agissait comme e, excitant par sa course sur le capuchon du clitoris de Sophie-Véra, se relevant au-dessus de sa chatte béante, la faisant revenir à elle, constatant son excitation extrême. Comment, se faire niquer par une mouche, furieuse, Sophie-Véra la chasse. Mais à peine recouchée, Sophie-Véra la ressent à nouveau son intruse œuvré. – Décision prise, Sophie-Véra se laisse faire pour voir ce quelle en est capable d’apporter à son confort.

Au bout d’un moment cela lui agasse ces allers-et-retours, une fois sur son clito, trimballant par son périnée sensible, une fois sur son œillet, Sophie-Véra se décida, de la rattr avec une serviette. Délicatement sortie de cette prison, Sophie-Véra la tient par ses pattes, arrache une aile à Floflo et la repose délicatement sur son pubis. Voilà ! Je veux voir ce que t’en est capable salope de Floflo. Enragée Floflo va droit au but, se pose sur le petit gland grandissant, commence sa course folle, tourne en rond assouvir son ivresse, ensuite elle parcours ces lèvres charnues, de plus en plus boursoufflures de long en large, butine la nouvelle sécrétion de cyprine, s’y baigne un moment, se sauve un instant sur la jambe, pendant Sophie-Véra s’assure que sa chatte est franchement ouverte au maximum, ramassant avec ses doigts ce délicieux nectar, portant ses doigts au fond de sa bouche, lapant son liqueur, mmmhhh, merci Floflo.
Ô non, elle n’a pas besoin de l’appeler à l’ordre du jour, Floflo a su profitée de l’épanchement du liquide de la vulve de Sophie-Véra, et s’y trouve maintenant au plus profond de la fente écartée, provocant un séisme de Sophie-Véra et cries de joie. Oui Sophie-Véra en ai enfin consciente que ses intimités répondent spontanément aux ardeurs incessantes de Floflo. Le clito de Sophie-Véra remonte au ciel, elle a une envie d’y porter sa main, mais à cette parfaite révélation sensorielle de Floflo lui fait d’avantage et beaucoup plus longtemps la monter vers un seul but… de son orgasme jouissive à tout prix. Plusieurs limites ont été déjà dépassées, enclenchent la coulée de cyprine, et, et, et….ehhh, Sophie-Véra se voit secouée d’orgasmes d’une ampleur rarement atteints jusqu’à lors. Bon pendant l’efflue nouvelle de jouissance de Sophie-Véra, Floflo subissait la plus belle de mort, noyée au fond de la caverne de Sophie-Véra. Floflo s’est remplie ses poumons et se laissait mourir en héro.
Sophie-Véra, une fois calmée, n’en revient pas à cet événement incroyable, elle s’est faite carrément niquée par une mouche et cette aventure aiguise son appétit sexuelle… on n’en peut rester là… pas possible !
Sophie-Véra promène ses yeux au long la plage à droite et à gauche… et d’un coup, stupéfait, caché par un long tronc d’arbre couché sur la place, elle découvrit une fille avec un magnifique sourire complice… se levant, elle s’approche de Sophie-Véra, s’installe à coté d’elle, leurs yeux sont subjugués, les visages s’approchent pour les réunir dans un long baiser dévorant, leurs mains apprécient leurs courbes, les lèvres s’installent appréciant mutuellement leurs corps, leurs tendres mains trouvèrent leurs intimités, les jouant, les gouines très langoureusement à tour de rôle, elles s’adonnent corps et âmes, jouissent en symbioses des multiples fois, sans être dérangés par d’autres plagistes.
Si, oui, elles se seront données en spectacle.
C’était, il n’y a qu’un mot à cela, le coup de foudre instantané. Elles se tiennent en mains, se baignent, se réinstallent, se baisent, se caressent in « love ».
Les premières paroles prononcées par Sophie-Véra sont:
-comment t’appelles-tu ma déesse, moi c’est Sophie-Véra.
-moi, je m’appelle Florence et Flo entre amis.
-Dis-moi, tu m’as observé depuis quand Flo ?
-Depuis le tout le début, Sophie-Véra, d’A à Z, je t’ai vu ta chatte offerte à l’air libre, j’ai vue la mouche se poser et ton assouvissement jouissive, qui m’avais mise dans un état, je ne sais plus comment, ensuite je suis tombé amoureuse de toi Sophie-Véra, plus rien me retenais. Je te rappelle, on s’était mouillées ensemble à distance, je n’ai encore jamais vécu un érotisme pareil. Si tu lui avais pas l’arraché l’aille, je l’aurais fais à ta place ! Ma chatte cochonnait cyclone pendant ta jouissance.
Nos regards en disent tout. Sophie-Véra n’a qu’une seul question :
-Chérie Flo, veux-tu habiter avec moi ? Sans aucune hésitation Flo réponde :
-OUI, chérie Sophie-Véra, je serais à toi !
-Viens Flo je te présenterai mon cochonnai Gillou qui va être ravi. Gillou adore les lesbiennes. Il clapote ma chatte comme une vraie gouine et maintenant il en aura deux.
(Histoire autobiographique, mais arrivé à moi et ma voisine)


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