L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 18) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Nérée au bain et Endymion mis en cage -
Ils voyagèrent ainsi de longues heures, Hélène chevauchant suivie par lesclave femelle Clytia et lesclave mâle Endymion transformé en véritable chien par le Dieu des Forgerons, Héphaïstos ... Après plusieurs heures, ils purent enfin apercevoir les fumées d'une bourgade dont ils s'approchèrent avec circonspection, ignorant vers quel genre de société ils s'avançaient. La Belle Maîtresse descendit donc de sa monture et observa un moment, Clytia se tenant un peu en retrait, le chien tout près d'elle, mal à l'aise avec le manche du fouet profondément enfoncé dans son fondement... Ce n'était pas une cité, mais déjà plus un simple village. Si les premières maisons semblaient plutôt des huttes, il y avait déjà quelques maisons de pierre, entourant une agora, certes modeste mais animée... Jugeant qu'il serait possible de trouver là l'occasion d'un repos bien mérité, Hélène fit signe à Clytia de la préparer. L'esclave s'empressa de choisir un élégant péplos pour sa Maîtresse qui déjà s'était dévêtue. Toujours fascinée par lexceptionnel corps si parfait d'Hélène, la charmante esclave au crâne rasé resta, un bref instant, bouche bée. Hélène percevant le trouble l'attira à elle d'un geste brusque et l'embrassa à pleine bouche. Hélène sentit le corps de Clytia qui tremblait, elle força l'esclave à se tourner, l'attirant de dos contre Elle, passant Ses Mains sur la poitrine ferme, sur le ventre palpitant, sur les lèvres intimes frémissantes et déjà humides...
- Suffit !, lâcha La Maîtresse en repoussant l'esclave qui déjà était prête à s'abandonner sous le regard aussi désespéré qu'impuissant du chien-homme... - Une étreinte de Ma Personne se mérite, l'aurais tu oublié ?
- Oh non, non Divine Maîtresse, s'empressa Clytia en baissant les yeux avec humilité.
Alors Clytia tendit le péplos de fine étoffe couleur ivoire à sa Maîtresse qui le revêtit avec aisance.
- Ta transformation en chien nous a bien facilité ce long trajet sans perte de temps à ce que tu puisses évoluer à quatre pattes sur une si longue distance mais maintenant que nous approchons dune petite cité, je préfère tavoir, auprès de Moi, en tant quesclave mâle humain à Me servir, car en chien tu ne me seras daucune utilité
Relève toi et suis nous, les esclaves mâles peuvent aller nus, cela ne choquera personne dit-Elle.
Les habitants des faubourgs de la petite cité virent ainsi arriver le trio, Hélène chevauchant à l'avant, avec Clytia marchant à sa suite et menant en laisse Endymion nu, courbé, les mains liées dans le dos afin de le priver de toute tentation de pudeur déplacée qui aurait pu naître en lui au moment d'être pour la première fois ainsi exhibé en public dans toute l'humiliante réalité de sa servilité nouvelle.
Puis Hélène claqua dans Ses doigts afin d'intimer à Endymion l'ordre de La suivre. Ils sortirent et Hélène mena l'esclave jusqu'à la masure du forgeron des lieux. Un homme daspect rustre aussi haut que large, poilu, sentant l'ail et la sueur rance. Laissant Endymion agenouillé devant l'échoppe, Hélène expliqua quElle avait du travail à faire faire au forgeron, celui-ci linvita alors à changer de pièce et ainsi Elle accompagna l'homme dans l'arrière-boutique, d'où après quelques minutes s'élevèrent des rires gras... La discussion dura encore un moment, puis Hélène visiblement satisfaite et le forgeron sortirent et s'approchèrent de l'esclave mâle.
- Alors, le porc, il paraît qu'tu sais pas t'tenir ?, lui souffla-t-il en plein visage avec une haleine aussi chargée que nauséabonde... - Ben je crois qu'je vais p'voir fair quek chose pour toi, affirma la brute tout en pétrissant la verge de l'esclave qui ne pouvait réfreiner une honteuse érection...
L'homme le fit tourner, exhibant le sexe dressé sous les yeux dHélène qui prit un air offusqué visiblement moqueur.
- Je vous le disais... ce mâle n'a aucune retenue ! Si vous me confectionnez ce que je veux, je vous en laisserai l'agrément jusqu'à la fin de la semaine. Mais au travail d'abord, dit-Elle d'un ton ferme mais enjoué.
Obtenant alors un grognement d'acquiescement du rustre forgeron qui entraîna l'esclave vers son établi et le força à s'allonger de dos sur une planche. L'inquiétude qui gagnait Endymion avait mis un point final à l'érection et c'est donc une verge flasque que le forgeron mesura précisément à l'aide de fils de diverses longueurs...
- V'la Votre Seigneurie... l'travail s'ra terminé demain dans la journée, j'pense... le lendemain matin au plus tard, je m'y engage, foi de forgeron !, dit-il.
- Faites au mieux, de la célérité de votre travail dépendra la durée de votre plaisir, ne l'oubliez pas. mais ne négligez pas la qualité, je ne saurai accepter un travail bâclé, lança Hélène.
Puis se saisissant de la corde servant de laisse à Son esclave et l'entraînant à Sa suite sans plus un regard pour l'esclave mâle qui trottinait docilement à Sa suite. Ils étaient de retour à l'auberge et l'esclave fut laissé à l'entrée de l'établissement, tandis que La Belle Hélène y entrait, pour découvrir le tenancier et un jeune homme sur le pas de sa porte, observant Clytia assise sur le sol, immobile. L'arrivée de La Maîtresse fit promptement s'éloigner les deux hommes, mais Hélène rappela le tenancier.
- Que votre serviteur prépare mon bain, ordonna-t-Elle
- Euh... oui Dame... c'est... c'est mon fils, répondit le commerçant
- Fils ou serviteur que m'importe, répondit Hélène, entrant dans sa chambre et refermant la porte.
Elle s'approcha de Clytia et caressa son crâne lisse et doux
- Ooh quelles journées ! Nous méritons bien un peu de repos. (Elle délia Clytia et la fit venir à Elle) - On me prépare mon bain, mais en attendant, viens donc m'apporter un peu de délassement, car je suis vannée par cette longue route, dit La Belle en se laissant glisser sur le modeste lit.
Ainsi couchée La Belle Hélène ouvrit ses cuisses afin que la jeune femme soumise vienne y plonger son visage et donner à sa Maîtresse tant vénérée l'apaisement et le plaisir qu'Elle venait d'exiger. Clytia avait déjà retrouvé sa place sur le sol et Hélène somnolait lorsqu'on toqua faiblement à la porte... Clytia se leva et alla ouvrir, révélant le fils de l'aubergiste qui, découvrant Hélène alanguie sur la couche se mit à rougir et baissa instinctivement le regard vers le sol. La Divine Beauté, qui avait vu périr pour elle les plus grands héros de la Grèce fut touchée et amusée par le trouble qu'Elle ne manquait jamais de susciter chez les hommes de tous âges et de toutes conditions. Elle se leva et s'adressa à lui :
- Eh bien !? (celui-ci rougissant plus encore, il bredouilla)
- Le... le bain, le bain est prêt Dame
- Parfait, mène-nous-y donc ! dit Hélène d'un ton n'admettant aucune réplique.
C'est donc guidées par lui quHélène et son esclave femelle gagnèrent les bains. Hélène entra dans l'eau d'une agréable fraîcheur naturelle et s'installa, tandis que Clytia s'agenouillait derrière Elle afin de s'occuper de sa Somptueuse Chevelure, quelque peu malmenée par le voyage. Le jeune homme allait s'éclipser lorsquHélène frappa dans ses mains :
- Qui t'a permis de nous quitter ?, s'enquit-Elle tandis que le jeune homme semblait fondre sous Son Regard, restant muet Quel est ton nom !?
- Nérée" répondit-il avec hâte
- Eh bien Nérée, qui t'a permis de t'éloigner ? N'es-tu pas au service de la clientèle de ton père ?
- Si... euh oui Dame
- Parfait... Viens donc par ici, lui dit Hélène en faisant signe du bras.
Le jeune homme blond à la peau claire vint vers Elle... Il était gauche et gêné, manifestement sans aucune expérience... Hélène fit jaillir un de ses pieds de l'eau et le maintint ainsi hors de l'eau...
- Frotte, dit-Elle à Nérée.
Clytia tendit un petit grattoir à Nérée qui s'en saisit. Il allait venir dans l'eau afin d'atteindre le pied qui attendait lorsque la voix dHélène tonna
- Mais à quoi penses-tu donc ? Poses cette tunique dégoûtante sinon tu vas souiller mon eau ! (Nérée demeurait immobile) - Eh bien quattends-tu ?
- Mais... je... je vais être nu
- Et alors ? (le ton dHélène était à la fois moqueur et enjôleur) Allons, ne tardes plus ! Défais-toi de ce chiffon et viens !
Il n'y avait rien à ajouter. Nérée se déshabilla et entra dans l'immense baignoire deau, venant frotter la plante des pieds de La Dame avec application. La toilette dHélène dura... dura... tandis qu'il s'occupait d'un pied, Hélène promenait l'autre entre les cuisses du jeune homme et appréciait la façon dont la verge inexpérimentée se dressait avec rapidité et vigueur. Nérée demeurait appliqué, autant qu'il le pouvait avec les sensations inconnues et tellement troublantes pour lui ! LorsquHélène lui retira Ses Pieds, il ne sut plus quoi faire, demeurant une nouvelle fois immobile, l'air perdu. Mais Clytia avait appris à reconnaître les pensées et les désirs de sa Maîtresse. En ayant terminé avec l'abondante et flamboyante chevelure de La Belle Hélène, elle entra à son tour dans l'eau et s'approcha de Nérée. Elle vint tout contre lui, caressant son torse glabre, lui offrant ce qui était sans doute le premier et doux baiser qu'il eut connu ! Guidé par l'esclave experte, Nérée devenait le jouet aussi docile que fort convenable de l'esclave qui accomplissait ainsi La Volonté devinée de sa Maîtresse.
Clytia s'agenouilla alors dans l'eau, disparaissant entre les cuisses du jeune homme qu'elle se mit à sucer avec avidité. Nérée gémissait et tressaillait à cette caresse buccale dont il n'aurait jamais pu imaginer l'existence quelques minutes plus tôt. Puis l'esclave se redressa, ruisselante de l'eau du bain et se colla à lui, l'enlaçant et entourant les hanches du jeune homme de ses cuisses pour venir s'empaler sur son sexe dressé... Il faillit s'effondrer mais parvint à garder un équilibre précaire tandis que Clytia se laissait aller et venir autour de sa verge, lui faisant découvrir des voluptés insoupçonnées sous le regard satisfait dHélène qui appréciait ce langoureux spectacle qui prit fin dans un grognement bestial du jeune homme qui se répandait brusquement et rapidement en Clytia... Nérée venait de découvrir son premier rapport sexuel. Hélène sortit alors du bain et claqua des mains, signifiant ainsi à l'esclave qu'il était temps pour elle de revenir s'occuper de sa Maîtresse. Ce que fit Clytia, délaissant Nérée qui ne savait quelle attitude prendre maintenant avec sa verge ramollie et sa semence gouttant dans l'eau du bain...Clytia séchait Hélène qui se tourna vers le jeune homme et le congédia d'un geste hautain...
Presque deux jours passèrent avant que le forgeron n'envoie enfin un garçonnet du village prévenir Hélène que l'objet était enfin terminé. La Belle Hélène mena donc Endymion jusqu'à la forge où la brute poilue l'attendait avec fierté.
- Qu'La Dame soit satisfaite, j'y ai perdu presk un jour de plus, mais je pense qu'ell va êt' contente !, dit-il avec déférence...
L'esclave mâle fut cette fois encore allongé sur la planche et on écarta ses cuisses afin de bien dégager son paquet... Le forgeron s'enfonça alors dans son local et en revint avec un objet cliquetant... qu'il montra à Hélène. Celle-ci s'en saisit et observa avec grand intérêt confection et mécanisme durant de longues minutes avant d'approuver dun hochement de tête et de tendre à nouveau l'objet au forgeron. Alors, celui-ci se pencha sur Endymion et fixa la cage de métal autour de son sexe, avec un anneau qui, passant à l'arrière de ses couilles scellait fermement le dispositif. Les frôlements ayant excité les sens de l'esclave, il ressentit un début d'érection... bien vite stoppé par les dimensions réduites de cette cage qui désormais emprisonnait sa virilité.
- Bien, dit Hélène. Tu as bien travaillé (Elle sourit au forgeron) - Eh bien, selon notre accord, il restera donc avec toi durant les trois jours qui restent, tu peux en user et en r à ta guise... Amuses toi bien, mais ne l'abîme pas !, conseilla-t-Elle en prenant congé.
Hélène partie sans un mot de plus et le bestial forgeron se pencha sur Endymion qui osait à peine respirer... Le forgeron avait posé sa main épaisse et sale aux doigts courts et fermes à l'intérieur de la cuisse du mâle... un filet de bave s'échappait de ses grosses lèvres...
- Mmmhh ... t'es une bonne bête... t'vas me faire plaisir !, dit-il d'une voix gourmande, répandant une haleine lourde et avinée...
Puis une chose incroyable se passa. Le grossier forgeron et sans quil sen aperçut (puisque il ne pouvait voir son propre visage) changea de tête dun seul coup ! En effet, sa tête prit le même visage de celui qui était apparu sous les traits du Dieu Héphaïstos, la Divinité des Forgerons
(A suivre
)
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