Mon Assistante 2
Le lendemain, Isabelle arriva tôt et sembla étonnée de me voir déjà derrière mon bureau.
Je lui dis bonjour tout en prenant le temps de la regarder. Ses cheveux en cascades bouclées encadraient son doux visage. Elle portait un top couleur crème à peine décolleté mais qui soulignait à merveille ses courbes et un jean slim qui avantageait ses longues jambes et lui moulait les fesses.
Mon regard qui sattardait sur son anatomie lui mit le rouge aux joues. Je ne pus déterminer si cétait de honte ou denvie.
La matinée sécoula comme dordinaire entre des réclamations internes et externes. Plutôt calme pour un vendredi en fait. Mais Isabelle ne sabsenta pas pour autant, ce dont je fus presque déçue car limaginer prendre du plaisir dans les toilettes faisait monter mon excitation.
En rentrant de déjeuner, je fis une halte aux toilettes et, là, me remémorant les caresses de mon assistante, je commençai à caresser mon sexe au travers de la dentelle de mon boxer. Je voulais plus mais nosai pas me branler ici car je ne pouvais prendre le risque dêtre surprise.
Je quittai donc à regret les toilettes avec les pommettes colorées et me retrouvai face à Isabelle, tout sourire
Elle me repoussa dans le box, ferma le verrou et saffaira sur les boutons de mon chemisier.
« Désolée, Madame. Jen peux plus. Je me suis retenue jusqu'à maintenant mais jai envie de vous, là, maintenant.
- Isabelle
vous pourriez peux être mappeler Caroline...» lui dis-je tandis que ma cuisse sinsinuait entre ses jambes et venait presser son sexe.
Un léger gémissement séchappa de sa bouche. Ma main glissa sur sa nuque et mes lèvres vinrent pincer les siennes, puis ma langue la lécha.
Ses mains étaient maintenant dans mon soutien gorge, soupesant ma poitrine moins imposante que la sienne mais quand même généreuse. Elle roulait mes pointes entre la pulpe de ses doigts, chaque pression menvoyant une décharge de plaisir dans le bas ventre.
Tout en continuant notre baiser, mes mains sévertuaient à défaire les boutons de son jean. Lorsque je parvins enfin à le lui baisser, je massis sur la cuvette. Je découvris son sexe, ses lèvres charnues et gonflées de sang, une légère ligne noire sur son mont de Vénus. Pour le reste, une vulve parfaitement épilée. Je posai alors ma paume sur son abricot encore fermé mais déjà humide.
Je déposai des baisers le long de laine mapprochant de plus en plus près de son sexe, puis à lintérieur de la cuisse, où la peau est si fine. La paume de ma main appuyait et faisait des cercles sur ses lèvres suintantes.
Mes lèvres se posèrent sur les siennes, les léchant sur lextérieur et, les écartelant avec mes doigts, je mappliquai à découvrir chaque millimètre de lintérieur de celles-ci. Je sentais ses hanches bouger et basculer vers moi, nattendant que je lui fourre ma langue dans la chatte.
Je lui titillai le clitoris dune langue raide puis lui lapai le sexe fort, de bas en haut, de grand coups de langue, qui augmentaient mon plaisir et le sien pour mattarder ensuite longuement sur son bouton. Ma langue molle était chaude et venait râper celui-ci, de plus en plus vite.
Le souffle dIsabelle saccélérait, laissant échapper des petits cris de temps à autre.
Elle se retourna et sappuya contre le mur, se débattit avec son jean et, les jambes écartées et le buste penché en avant, elle offrit à ma vue sa croupe généreuse et toute sa féminité.
Je maccroupis alors presque sous elle. Levant le menton, japprochai ma langue de son sexe et la fit glisser lentement le long de sa fente. Doucement, ses lèvres souvraient, laissant son jus couler timidement sur ma langue.
Mes doigts écartèrent encore plus sa fente pour que ma langue la lèche plus langoureusement du haut de son sexe jusquau bord de son anus.
Je sentais les douces contractions de son vagin sur mes doigts. Ma main libre se glissa dans mon boxer trempé, récupéra ma mouille sur mes doigts, caressant au passage mon bouton surexcité, puis déposa celle-ci sur sa rose de la pulpe de mon majeur. Son trou se contracta immédiatement.
Ma langue abandonna alors son sexe pour venir lubrifier le réticent anus de mon assistante qui se détendit alors instantanément, laissant la pointe de ma langue le pénétrer et découvrir sa muqueuse lisse et douce. Puis mon index revint se poser à lentrée de son cul qui souvrit délicatement.
Je my introduisis alors le plus lentement possible. Isabelle se cambrait au maximum, aspirant mon doigt au plus profond delle, son vagin enserrant plus fort mes doigts.
Je faisais aller et venir mon doigt en elle. Je sentais mon autre main qui sagitait sous son autre cavité quand, dun coup, je sentis tous ses muscles se tétaniser et son jus couler le long de mes doigts puis dans ma paume. Je léchai alors sa cyprine douce et amère à la fois en continuant de lui branler lanus. Elle serra les jambes.
« Caroline, sil vous plait
Je n'en peux plus ! »
Je sortis alors mon majeur et lenfonçais dans son sexe, fouillant et récupérant sa liqueur. Je me redressai et, mappuyant contre son dos, vins lui offrir mes doigts à lécher.
« Tu aimes ton goût ? Moi, jai particulièrement apprécié. Meilleurs que les desserts de la cafétéria,
non ?
- Ce nest pas désagréable mais je préfère la vôtre. »
Je laidai ensuite à se rhabiller puis elle sortit de son sac à main un uf de taille assez conséquente.
Elle caressa lentrée de mon sexe avec lobjet très doux qui se mit à vibrer. Jétais au bord de la jouissance. Les vibrations sarrêtèrent et, dun seul coup, Isabelle menfonça lobjet profondément dans le vagin. Une vague de plaisir menveloppa.
« Vas-y. Remets-le en route.
- Non, Caroline, vous devez attendre. Vous ne jouirez pas maintenant. Il va falloir vous montrer sage à présent.» Me murmura-t-elle doucement avant de sortir des toilettes.
Je remontai ma lingerie, reboutonnai mon chemisier avant de sortir puis, devant la glace, je refis mon chignon et ce nest quen refermant la porte principale des wc, que je vis laffichette sur la porte.
Sanitaires et toilettes
HORS SERVICE
Veuillez vous rendre au 3éme étage
Merci de votre compréhension
Je souris et mapprête à rentrer dans mon bureau lorsque David, un de nos commerciaux, minterpelle pour me parler dun prospect. Au même moment, je sens dans mon intimité une vibration douce et discontinue. Surprise, je laisse échapper un petit cri, feignant presque aussitôt un point de côté. Je congédiai David et lançai un regard que je voulus noir à Isabelle, qui me renvoya un regard innocent.
Isabelle me fit signe quelle avait une ligne pour moi au sujet de notre appel doffre. Je massis donc à mon bureau et décrochai la ligne en attente.
Les vibrations reprirent plus fort que précédemment. Je fus obligée de me mordre la lèvre pour ne pas geindre. La conversation dura une éternité et les vibrations ne cessèrent dêtre modulées par mon assistante qui me fixait grivoisement. De la douce caresse vibratile à la secousse vaginale, mon souffle commençait à être court. Arrivant difficilement à écouter mon interlocuteur, je prétextai une conférence téléphonique pour abréger mon exquis calvaire.
Je raccrochai et alors que je pus enfin mabandonner au plaisir et à la jouissance, Isabelle arrêta luf. Je me tournai vers elle, le regard suppliant. Elle réenclencha la télécommande, visiblement sur la puissance maximale, car une onde de jouissance me parcourut des reins jusquau fond du ventre. Mes mains se crispèrent sur les accoudoirs et je ravalai un râle de jouissance.
Mon assistante était aux anges. Je vis son excitation briller dans ses yeux.
« Il est 16h, Madame. Je peux partir ou vous avez encore besoin de mes services ?
- Non...Euh
Oui, Je vous en prie Isabelle. Allez-y.
- Merci, Madame. Bon week-end.
- Isabelle ?
- Oui, Madame ?
- Jai encore quelque chose à vous
- En effet. »
Elle sapprocha de moi et me tendit la télécommande.
« Bon week-end, Caroline.» me dit-elle avec son plus joli sourire.
- Bon week-end, Isabelle. À lundi »
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