Anniversaire 3
ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS
« Mon chéri, tu mavais demandé dêtre sexy, den montrer un peu plus. Tu mavais dit, jaime quand les hommes te regardent, te désirent. Tu as vu ce que cest, tes collègues te voient à poil et je pense que tu dois y trouver un grand plaisir. Tu vois ce que cest que dêtre désiré ou peut-être pas en montrant ce que tu as nous a montré. La fessée ? De lérotisme ? Tu as pu voir, jespère que tu as pris beaucoup de plaisir à te faire rougir les fesses. Une femme doit savoir donner du plaisir à son homme, elle doit aimer son sperm. Tu as essayé, si tu as aimé, tu trouveras facilement ta place. Tu as tellement de copains, il te suffira dêtre convaincant. Mais il te reste une chose. Tu te rappelles : jai envie de ton petit cul, tu verras, ça fait un peu mal au début mais tu y trouveras rapidement ton plaisir. Il ny a que les petites pucelles bourgeoises qui le refusent à cause de leurs traditions à la con. Pour me convaincre, tu as du redoubler dinventivités, des mamours, des menaces. Eh bien, ce soir, tu vas aussi connaître. Je ne demanderai pas à Philippe de le faire, je préfère quand son sexe soccupe de moi, jen éprouve tellement de plaisirs. Tu te rappelles de ce site où on peut élargir ses pratiques sexuelles, augmenter son plaisir, où tu me montrais toutes sortes de godes ou autres ustensiles qui me feraient tellement plaisir, où jétais incapable de choisir la couleur ou la taille et bien, jai réussi à en trouver un pour toi. Tu avais raison, on y trouve des choses formidables et même plein de conseils. Jai envoyé un mail où jai expliqué comment je désirais défoncer le trou du cul de mon connard de mari et les conseils reçus mont beaucoup aidé. Je leur ai dit que cétait ton grand fantasme, quouvrir un trou du cul était ta recherche de lextase. Comme je ne connaissais que ta minable bite, je les ai laissé choisir et jai suivi leurs conseils. Ils mont proposé de te préparer, jai hésité, car pénétrer un petit trou du cul à sec, cest bandant ! nest-ce pas mon chéri ? »
Je commençais à avoir très peur de la suite.
« Mets toi à 4 pattes, mon chéri et relève bien ton cul, il faut que la pénétration soit plus aisée. Si tu écartes tes fesses avec tes mains, la vue sera encore plus délicieuse et jaimerais que tu me demandes de tenculer. Bon, je sais, ton éducation, tes principes, ce nest pas facile, mais pour le plaisir du couple, cest indispensable. Le désir partagé décuple le plaisir. Alors, décuple notre plaisir, prends la position »
Comme je ne bougeais pas, le cercle sest resserré et Philippe ma pris par les cheveux pour mobliger à me mettre à genoux, puis à ma collé la joue contre le sol. Jétais là, à 4 pattes, devant mes collègues et je me recroquevillais du mieux que possible, les mains dans le dos attachées par les menottes. Jai reçu une grande claque sur les fesses mordonnant de relever mon cul. Comme je nen avais pas envie, de multiples claques mont à obéir. Jétais là, dans ma propre maison, à poil, à 4 pattes, le cul relevé devant ma femme et mes collègues. Quelle humiliation !
« Voilà, mon chéri, je suis content que tu acceptes de partager notre plaisir. Quel dommage que tu ne puisses pas écarter tes fesses et me demander de tenculer. Je ne voudrais pas mettre une limite à ton plaisir de toffrir. » Et sadressant à tout son entourage « Chacune votre tour, vous allez lui écarter les fesses, vous admirerez son petit trou de pucelle et cracherez dessus pour le lubrifier. Nhésitez pas à faire des commentaires comme « quil a lair bien serré, quil est bien plissé, il ne demande quà souvrir ».
Et lune après lautre, elles sont venues mécarter les fesses, jetant un regard plus ou moins long sur mon trou du cul et sur mon humiliation, lâchant quelques commentaires sur mon pucelage à prendre, voire même quelques révélations sur leurs propres expériences.
« Pousse mon chéri, fais travailler tes sphincters. La première fois, tu vas avoir mal car tu nauras su te relâcher. Fais le travailler, pousse comme si tu voulais lâcher un pêt et puis relâche. Ce nest pas très compliqué »
De mon côté, j avais envie de serrer les fesses, de ne pas laisser me prendre ce petit côté interdit. Malgré toutes mes contractions, jai senti un doigt se poser sur mon trou, sappliquant à étaler le gel sur ma rondelle et jai surtout senti un doigt forcer mes petits muscles.
Voulant échapper à cette pénétration non désirée, jai cherché à me rebeller, à vouloir me relever mais une main à plaquer ma tête au sol et dautres mains se sont chargées de relever mes fesses. Et jai senti un doigt senfoncer dans mon petit. Je ne peux pas dire que cela me faisait mal, cétait seulement humiliant, surtout avec les commentaires : » vas-y, enfonce lui un doigt, ouvre lui son petit trou, encule ce petit pédé
» Jai senti le doigt chercher à mélargir, quelques va et vient, puis je me suis rendu compte quaucune résistance nétait possible. Mon cul a du être envahi par 2 doigts, javais perdu la partie. Je me sentais mouvrir mais jai crié de douleur quand mon anneau a été distendu. Ce nétait plus des doigts, quelque chose de beaucoup plus gros qui me forçait à mouvrir. Jai retourné la tête et jai vu Annick, placée derrière moi. Mes yeux pleuraient et javais beau gueuler, je me sentais envahir et javais de plus en plus mal. Jaurais voulu expulser cet objet qui prenait possession de mon cul et cest avec une profonde douleur que je lai senti senfoncer.
Alors, jai gueulé de plus en plus fort, javais limpression que mon trou du cul allait exploser, jai essayé de me débattre mais toutes ces mains mempêchaient le moindre geste. Les aller retour se sont accélérés, je me faisais défoncer. Une main a pris mes couilles et les a serrées très fort, accentuant encore ma douleur.
« Voilà, mon chéri, tu viens de découvrir tous les plaisirs dêtre femme et il ne reste plus que celui de te faire jeter. Prends tes valises et tire-toi, tu te rhabilleras sur le palier, je nai aucune envie que tu tattardes ici, nous avons prévu une fête avec mon chéri. Tu recevras dici peu ma demande de divorce. Un dernier conseil, si tu retrouves une femme, rappelle-toi de cette soirée et demande lui ce quelle a envie. Mais peut être que tu trouveras ta place, tu mas lair dun bon suceur et maintenant que ton petit trou nest plus vierge, tu tes ouvert de nouvelles perspectives. Allez, ouste, casse-toi ».
Je me suis relevé, tête baissée, jai récupéré mes vêtements, pris mes 2 valises et ai quitté la maison. Je me suis rhabillé sur le palier, avec une seule envie, me venger, leur faire payer ce quelles mavaient fait endurer.
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