¨Pourquoi Je Suis Devenu Ostéopathe, Christelle
OSTEOPATHE, quel beau métier
Christelle, une patiente qui apprécie "mes manipulations".
Après l'histoire que je vous ai raconté avec mes nageuses, je vais maintenant vous conter mes aventures avec les clientes de mon cabinet d'ostéopathie.
J'ai poursuivi mes études est suis maintenant ostéopathe . Comme la majorité de mes confrères, je travaille dans un beau cabinet bien éclairé en étroite collaboration avec mes collègues kinés. Mon mobilier : un bureau, un divan, un lavabo et bien sûr ma table de massage sur laquelle tant de monde passe entre mes mains. En effet, ce sont mes mains qui font la différence pour mon travail. Leur douceur, leur fermeté, leur souplesse en font des outils pour la remise en forme de mes patient(e)s. Dailleurs beaucoup de ceux qui sont passés sur ma table le reconnaissent :
- Vos mains sont très douces, cest tellement agréable ce que vous me faites ! Bref, voilà pour le détail de mon activité professionnelle.
Je vais maintenant laisser la suite du récit à l'une de mes patientes qui a bien voulu le raconter.
Christelle:
Je m'appelle Christelle et j'ai 25 ans plutôt jolie, 1m62, 55kg, blonde, avec une belle poitrine arrogante. Je souffre depuis quelques temps d'une douleur chronique au bas du dos et vient régulièrement chez mon ostéopathe, Patrick F.. L'homme est attirant , la trentaine, marié, 3 s, je l'ai appris lors de nos conversations pendant les précédentes séances.
Il m'a informée que sa clientèle est souvent plus âgée et que c'est agréable de manipuler un beau corps comme le mien.
Je suis son dernier rendez-vous de la matinée, je suis seule dans la salle d'attente.
Au cours des dernières séances, derrière mes paupières closes pour mieux ressentir ses manipulations, j'ai bien senti son regard brûlant parcourir mes formes, mes fesses, détailler le haut de mes cuisses, caresser mes seins, rouler sur le creux de mes hanches et dévaler la courbure de mes reins... J'ai senti tout cela, bien nettement. Une douce chaleur envahi mon bas ventre et je sens que ma chatte commence à s'humidifier. Mon désir de cet homme se fait de plus en plus fort . Il ouvre la porte, me dit bonjour et me fait entrer dans son cabinet surchauffé. Il mesure à peu près 1m80, dans les 75 kg, , d'allure dynamique. Il porte une blouse avec des manches courtes à même la peau qui découvrent des avant-bras musclés et un pantalon de toile blanche. Je lui explique que j'ai toujours cette douleur dans les lombaires.
Il ferme la porte délicatement derrière moi et me déclare qu'il va travailler ma colonne vertébrale pour me détendre. Jaccepte bien volontiers. Il me demande de me dévêtir. Cest ainsi que je me retrouve en slip et petit soutien-gorge.
Je mallonge sur le ventre et lui offre une vue sur mes fesses charnues. Il ne bronche pas et détache mon soutien-gorge commençant à me masser les cervicales. Il me fait tellement de bien que je me surprends à gémir de bien-être.
Excusez-moi lui dis-je, mais vous me faites tellement de bien que j'en gémis.
C'est très bien, détendez-vous, je vais vous dénouer, vous êtes tendue comme la corde d'un arc. Son massage suit mes vertèbres de plus en plus bas. Ses mains sont douces et massent le bas de mon dos, effleurant à chaque passage l'élastique de mon slip qu'il descend sur mes fesses. Puis ses mains descendent encore plus bas et massent le haut de mes fesses au dessus du tissu. Le contact est agréable.
Comme je ne dis rien il continue à descendre encore et me masse carrément les fesses jusqu'au coccyx, alternant massages appuyés et légers. Je rougis violemment et n'ose pas bouger, le souffle coupé. Je suis quasi-nue entre ses mains, et je trouve cette situation assez excitante. Je perçois quil nest pas non plus indifférent, que ses massages quil prodigue en qualité de professionnel ont un petit plus érotique.
Il rattache mon soutien- gorge et me demande de massoir sur la table de massage.
Il passe derrière moi pour me manipuler le dos puis se met à genoux sur la table et positionnant mes bras derrière la tête, met sa jambe droite dans mon dos et tire fortement , je ressens une douleur dans le dos et mes os craquent, ce mouvement fait tellement ressortir ma poitrine que la fermeture de mon soutien-gorge saute , il sarrête et sexcuse , je lui réponds gênée mais effrontée: - Ca ne me dérange pas, je suis adepte du naturiste!
Et je retire mon soutien-gorge. Il se repositionne et reprend ses mouvements , mais je sens que quelque chose a changé.
Il change de position et se mettant face à moi exerce quelques manipulations.
Je sens son sexe à travers le tissu de son pantalon et je mouille comme une folle dans ma petite culotte. On dirait qu'il bande vu la bosse qui appuie contre mon ventre, il relâche sa pression et je me lance espérant qu'il ne me rejette pas. Sans détacher mon regard de ses yeux bleu dazur, j'appuie ma main sur la bosse qui déforme son pantalon, il ne réagit pas. J'ai les jambes en coton, debout face à lui, je m'enhardie et déboutonne sa braguette, y plonge la main pour la voir réapparaître avec un énorme mandrin même pas en érection. Mon regard ne peut se détacher de cet engin que je libère de ma main. Sous mes attouchements, son sexe prend une ampleur phénoménale. Il est long et épais
d' environ 21 ou 22 cm sur 6 cm de diamètre. Je n'ai jamais vu une bite aussi grosse.
J' empoigne la colonne de chair que je décalotte très lentement.
Les yeux dans les yeux, je masturbe lentement sa hampe généreuse. Je la trouve très à mon gout. Il m'interroge.
- Tu l'aimes ma queue ? Elle te plais ? Tout en continuant à se faire branler il fait glisser doucement ma culotte à mi-cuisse, puis remonte une main dans mon entrejambe et glisse un doigt dans ma fente détrempée.
- Tu as l'air d'aimer ce genre de massage, ta chatte est toute mouillée.
Son souffle est court, son doigt caresse doucement mon minou, glissant de la vulve jusqu'au clitoris qu'il titille avec précision. Il m'embrasse à pleine bouche introduisant sa langue entre mes lèvres.
Je continue à le branler doucement. Il retire sa bouche de la mienne, appuie sur mes épaules me mettant à genoux devant sa bite d'une raideur incroyable que je branle toujours avec application. - Suce moi, prend ma queue en bouche!
J'avance la tête, me mets à lécher doucement le gland, la queue toujours à la main. Ma langue s'enroule autour de son gland, le titillant puis glisse le long de la hampe, mon autre main caressant ses couilles pleines. Sa main appuie sur ma nuque et mes lèvres absorbent sa queue, j'essaie d'en prendre le plus possible en bouche mais elle est vraiment grosse surtout son gland. Il m'impose son rythme et me baise la bouche. Je m'applique de mon mieux. Il grogne de plaisir, nos regards se croisent et on dirait que ça l'excite encore plus.
- Tu suces comme une reine, on voit que tu apprécies mon engin!
Il me relève et me conduit vers le divan, enlève sa blouse et son pantalon. Je le reprends en bouche presque trop petite pour avaler son gland turgescent. Il est énorme... Je m'interroge tout en continuant à sucer sa colonne de chair.
- Est-ce que je pourrai me faire pénétrer la chatte par un tel morceau?. Je n'ai jamais eu l'occasion auparavant d' avoir un chibre de ce calibre dans mon petit con de femme...
Pendant que je prends sa bite en bouche, il se met à me sucer le bout des seins, qu'il aspire avec dextérité et tendresse... Je chavire sous la caresse et jouis de plus belle, écartant encore davantage les cuisses. Habilement, il sait profiter de chaque occasion que je lui offre d'aller plus avant : il m'introduit doucement mais avec fermeté un doigt dans la chatte puis deux et me branle jusqu' à des orgasmes fous... Je n'y tiens plus et me tortille comme un ver... Je me redresse et vois ce que je n'avais encore jamais vu : ma cyprine blanche couler de ma fente jusque sur l'intérieur de mes cuisses. J'ai l'impression que je me suis vidée et que je suis exsangue... Il écarte un peu plus mes cuisses, ouvre les lèvres de ses doigts et fait glisser sa langue dardée dans mon intimité. Il me lèche la chatte dans tous les recoins jouant avec mon clitoris qu'il fait rouler sous sa langue, à la sensation des caresses que je ressens à cet instant, je défaille et j'ai la fente en feu. Je sens son souffle chaud dans mon entrejambes torride, ou il a plongé son visage, me suçant la chatte d'une façon que je ne connaissais pas encore. Je me délecte de sa caresse, le bout de sa langue me fouille l'entrée du con.... Son nez frotte en même temps doucement le trou de mon derrière, c'est un délice
Je n'en reviens pas, ça fait plus de 20 minutes que je le branle et le suce et il n'a toujours pas jouit, c'est qui ce mec?
Ses mains caressent mon corps, s'attardant sur mes seins qu'il se met à sucer à tour de rôle, une main malaxant ma poitrine , l'autre sur mon bas ventre pour rapidement glisser entre mes jambes. De ma main je lui saisis la queue et recommence à branler ce que je n'ai pas dans la bouche, lui aussi me branle à nouveau la chatte. Très vite je recommence à gémir, mon ventre va à la rencontre de ses doigts qui entrent et sortent de ma grotte chaude et humide. Je sens son membre se durcir encore dans ma main qui le branle.
- Je vais tout te lâcher dans ta bouche, tu vas adorer!
Il accélère le rythme, je sens un ou deux soubresauts annonciateurs de sa jouissance et des décharges de foutre inondent ma bouche, j'ai juste le temps pour ne pas sous sa charge abondante de sortir le membre de ma bouche et je continue à le branler, il décharge abondamment des giclées de foutre blanc, très consistant qui n'en finissent pas accompagnées de râles rauques, au moins huit à dix giclées abondantes et très puissantes m'inondent la poitrine, ce que j'adore... J'en ai partout, sur le visage, le cou, les seins, mon buste est couvert de foutre chaud. - Avale mon sperme! ordonne t il.
Je ne l'ai jamais fait avant et je n'aime pas ça mais je n'ai pas le choix contrainte davaler jusqu'à la dernière goutte sa semence que j'ai gardée en bouche.
- Nettoie moi bien la queue maintenant!
Je m'exécute avec application sa bite à la main, toujours aussi longue, toujours aussi raide, il ne débande même pas. Je n'ai jamais connue un partenaire pareil.
Il me soulève et m'allonge sur la table, sur le dos, les jambes écartées, je le supplie de me baiser. Il sourit debout devant moi, la bite à la main il place son engin à l'entrée de ma vulve. Mais il me fait languir. Je n'en peux plus.
- Baise moi s'il te plait, enfonce ta grosse bite en moi!
Il fait aller et venir sa queue le long de mes lèvres, agaçant mon clitoris, reprend sa caresse le long de ma vulve, la frappant avec son gourdin. Puis enfin, il positionne le gland à l'entrée de la vulve et pousse doucement, faisant disparaître le gland dans ma chatte, puis se retire, et recommence son manège affolant encore et encore. J'ai envie qu'il me l'enfonce dans ma chatte gluante N'en pouvant plus je cris:
- Vas y baise moi, plante la moi bien profond, défonce moi avec ton nud!
Accédant à mon désir, il fait pénétrer son engin fabuleux en moi. Elle est si épaisse que même mouillée comme je le suis, je la sens me distendre les chairs. Il se retire et replonge encore un peu plus profondément, ressort à nouveau et d'une seule poussée la plante en moi jusqu'à la garde butant sur le col de mon utérus, je n'ai jamais connue cette sensation d'être complètement remplie. Il commence à limer, entrant et sortant doucement presque entièrement, alternant les coups de boutoir doux et puissants. Je gémis. Il madministre une claque sur les fesses. Que cest jouissif ! Cest cinglant, et à la fois extra de sentir sa queue en moi qui vient buter jusquà la garde. Il alterne des mouvements très doux, me pénétrant à peine pour ressortir immédiatement après, puis il me prend dun coup brutalement en faisant claquer son corps contre mes fesses. Ca fait si longtemps qu'il me pénètre que j'ai la chatte en feu.
Je me redresse pour le sucer à nouveau , je suis accroupie face à lui. Il a ses mains dans mes cheveux et je sais quil aime ce que je lui prodigue. Il soupire de plaisir. Lorsque je sens quil est à la limite de lexplosion, je me relève, me retourne docilement et lui présente avec appréhension mon petit orifice bien serré pour quil puisse me sodomiser.
- Maintenant je veux que tu m'encule!
Les doigts de ma main se saisissent de cette barre de chair d'une taille peu commune. Je sens le gland épais s'immiscer entre mes fesses, maintenant que je connais la taille énorme de son pénis, je crains qu'il ne me déchire.
Je lattire à moi, il se rapproche après s'être lubrifié abondamment la verge. Je le sens bien obéissant. Après tout, cest moi qui demande la sodomie. Ma main presse sa queue. Je pose lextrémité de son gland sur ma rosette et entreprends de me lenfiler dans lanus. Lintromission commence. Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle . Jamais cela ne rentrera, malgré ma mouille qui enduit ma muqueuse anale.
Je présente à tâtons, le bout de son gland sur le centre de mon cratère. Je recule mon cul vers ce pal tendu et je pousse sur mon sphincter pour mouvrir. Je sens la chaleur de sa queue contre mon anneau. La lubrification aidant, il glisse et entre en moi. La douleur de l'intrusion initiale est si vive que j'écarte les cuisses au maximum pour minorer la douleur. Le gland se décalotte et entre sans coup férir dun seul trait. Je me sens me dilater de plus en plus.
Il sarrête et me demande :
Ca va ? Je ne te fais pas trop mal ?
Non
mais va doucement
Et jespère que tu vas me faire du bien
Il ne bouge plus. Il laisse le temps à mon sphincter de s'habi. Mon cul se détend comme par enchantement. Dun petit coup de rein, je lui fais comprendre quil peut continuer à me pénétrer. Doucement, il pousse sans aucun arrêt et surtout sans aucune brutalité, sans forcer sur ma rondelle, son sexe avance, dilate, perfore mon cul. Ses mains écartent mes fesses, mouvrant lanus pour faciliter la pénétration. Je suis en train de subir le pire des supplices, celui du pal et jy prends un certain plaisir inconnu jusqu'à ce jour.
Il pousse toujours et bonne élève, je laide de toutes mes forces. Je ne vois pas où il en est dans mon enculage. Je tourne la tête et constate, outrée notre reflet dans une glace fixée au mur. Son sexe monumental est loin dêtre totalement entrer dans mon fondement. Il en reste un bon bout en dehors. Voyant mon regard dans la glace, il senquière de ma condition :
- Ca va toujours ?
- Oui mais tu es tellement énorme que je me demande si je vais pouvoir tout avaler ce que tu me propose
- Ça te plait?
- Cest bon, fort, très fort, mais délicieux.
La lente mais inexorable poussée continue, jusquau moment où je sens le contact de ses couilles sur mes fesses. Il reste quelques instants immobile pour que ma rondelle accepte la dimension de son mandrin. Il est entré entièrement en moi !!! Jamais je naurais cru que cétait physiologiquement possible. Je sens son énorme sexe au plus profond de moi et jy prends un certain plaisir. Et à ce moment, cest moi qui commence à bouger mon cul. Lentement, jentame une série de va et vient. Je mempale à chaque fois au plus profond, et cela de plus en plus vite. Je lui offre mes reins. Prenant appui sur moi, ses mains passent sous mon torse, il saisit mes seins blancs qui ballottent au rythme des assauts. A chaque poussée de mes fesses, ses couilles claquent sur mon cul. Il me pilonne comme un forcené. Je me laisse faire. Il mépingle comme un papillon. Jhalète. Cela mexcite et me fait mouiller comme une malade. Patrick nhésite pas et ne se retient plus. Soudain du fin fond de mon ventre une boule grossit, enfle. Elle explose. Je rue des quatre fers pour quil me défonce, me pilonne. Je hurle, je crie : ¬
- Continue, ne tarrête pas, défonce moi, enfonce ta queue en moi
Puis dun seul coup, alors que le traitement que je subis me plait plus que tout, sans savoir pourquoi, il sort lentement sa queue brillante de mon anus. Il écarte de nouveau mes fesses, positionne de nouveau son sexe et s'enfonce lentement, mais sans sarrêter, je cherche ma respiration. A croire que la place prise par son sexe, chasse lair de mes poumons. Le plaisir de la pénétration se termine quand ses testicules viennent claquer sur mes fesses. Il recommence sa pénétration ; les allers-retours se font sur un rythme lent mais régulier. Doucement, la cadence saccélère. Les mouvements de Patrick déclenchent un nouvel orgasme anal. Je hurle de plaisir, lui demandant de me défoncer comme une putain. Il se retire encore, laissant un vide cruel dans mon ventre. Je lui dis de ne pas sortir, de me prendre encore. Pourtant, son sexe sort encore puis encore. Son gland est au bord de ma rondelle je serre mon cul pour le garder. Je me retourne vers lui et dun regard suppliant l'implore : ¬
Reviens, entre encore, reviens fort, très fort
Son regard se plante dans le mien et sans rien dire, il pousse violement son sexe au plus profond de mon cul, le tout dune seule et unique poussée. La nouvelle intromission de son braquemart me submerge de bonheur. Ce sont comme des flashs certainement comparables à ceux que lon obtient avec des drogues. Je crie. Il reste quelques secondes, plante son sexe en moi et repart. Je gémis, je supplie. Il donne un grand coup de reins et revient aussi vite, aussi loin, aussi fort. Ses coups de reins sont de plus en plus marqués.
Le plaisir arrive à toute vitesse. Je le sens gonfler dans mon ventre. Il vient
Il est là. Un coup de poignard me transperce les reins. Je suis immobile, comme paralysée. Mon corps nest plus quun réceptacle à sexe et mon cerveau est incapable davoir dautres pensées que pour le sexe et le plaisir qui en découle. Je hurle. Je marque-boute sous lui et moffre ainsi encore plus. Il me perfore. Je le sens sortir parfois entièrement de mon cul, mais il y retourne dun trait, comme si sa queue avait toujours connu le chemin.
Plus rien ne fait obstacle à ses coups de boutoir. Il entre, sort, entre, sort. Patrick est devenu une machine à me baiser, un mandrin qui me pilonne sans cesse. Moi je ne suis plus quun trou, quun cul qui soffre pour se faire enculer. Il mencule pendant longtemps et pourtant cela dure trop peu. Je hurle toujours. Je nen peux plus. Le plaisir fait place à la douleur. Mon sexe, mon anus tout est douloureux de plaisir. Je nen peux plus. Je lui crie :
Viens, vite
Donne moi ta semence, donne-moi tout
..
Ma demande le libère. Il se vide aussitôt. Son sperme sécoule dans mon ventre. De longs jets, de longues saccades qui se déversent en moi. Une tornade de plaisir commence dans mes reins et sachève dans mon cerveau. Mes sens sont exacerbés. Je ressens très exactement ce quil me fait subir. Patrick continue à se vider inondant mes entrailles.
Plaisir différent mais agréable, très agréable. Je mécroule sur le divan. Il se laisse choir sur moi. Il mécrase. Si mon corps a difficilement accepté son sexe, il ne veut plus le laisser partir. Je serre les fesses, contracte mon anus pour le garder en moi. Mais Patrick se retire. Malgré tous les efforts de mon sphincter dilaté, je ne peux empêcher son sexe de me quitter. Je me vide de lui. Il bascule sur le coté près de moi. Cette sodomie a été fabuleuse. Ma bouche est trop sèche pour parler. Il membrasse. Il ruisselle de sueur mais sa queue n'a pratiquement pas débander, c'est fou.
Puis brusquement tout s'arrête , il se lève, remet ses vêtements, me demande de me rhabiller et me dit.
Je vous note un rendez-vous la semaine prochaine à la même heure pour une nouvelle séance?????
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