J'Ai Pervertis Ma Collègue - 2 -
Nous sommes dimanche après-midi, Fannie me téléphone pour me dire que son mec part au sport et quil sera absent durant 4 heures. Je lui dis de passer chez moi pour papoter. Fannie arrive, toute souriante, nous prenons un café, discutons et puis à un moment je me dis que puisquelle est là autant en profiter.
-bon allez viens de sucer, jai trop envie.
-quoi ?
-bah ! oui, tu nes pas venu juste pour passer le temps, alors viens bouffer ma queue.
-ça va toi, je suis là ment pour faire ça.
-à lorigine non, mais now oui, aller viens.
Fannie me regarde et finalement vient sagenouiller, sort ma queue et commence à me sucer. Je lui prends la tête par les cheveux et lui fait faire une bonne gorge profonde. Oups là elle résiste, mais bon sans trop persévérer elle gobe jusquau bout. Je me fais sucer longuement, très longuement, profitant de cette bouche de petite bourgeoise qui se prend pour le centre du monde. A un moment je stop tout, je la lève et la déshabille entièrement. Je lui caresse les seins, puis descend ma main sur ce sexe poilu, lui tirant quelques poils au passage. Un doigt la pénètre, bien elle lubrifie. Je la plaque face à la table de ma salle à manger et la prend profondément.
-tes venu juste pour ça,
-non cest pas vrai, je voulais juste te voir
-mais oui, cest ça, tes vraiment une chaude de la chatte
-non mais
..
Je lui claque les fesses deux ou trois fois.
-aie aie, tu fais quoi ?
-juste une mise ne condition.
Et je la laboure, la baise comme elle le mérite.
-tu sais tu peux couiner ici, personne ne tentendra.
-je ne
..
-je veux que tu couines, alors couine
-oui encore, encore, prend moi
-bien continue, exprime toi
La pression commence à monter, alors je marrête et me retire. Ma langue vient lecher cette chatte poilu, nettoyer cette mouille puis je remonte sur sa rondelle et commence à lécher, baver, introduire ma langue.
-mais tu.., non pas là
Je ne dis rien et continu, lempêchant de se relever, un doigt allant lui branler la chatte. Je la pénètre de nouveau en pénétrant un doigt dans sa rondelle bien lubrifié.
-nooon pas là
-cest moi qui décide, tinquiète pas.
Je continus la baisant en lui doigtant la rondelle avec un, puis deux doigts. Fannie ne dit plus rien, elle se laisse faire appréciant de plus en plus. Je me retire et me présente devant cette rondelle.
-nooon, nonn arrête, je
Je force, crache sur le cul et la pénètre lentement.
-ahhhh, arrête, tu vas me faire mal.
-chuuttt, décontracte toi Fannie, laisse toi aller.
-mais je tai dit que je ne voulais pas.
-toi non moi oui.
Et je commence à lui baiser le cul. Je la prends jusquà la garde, je la possède par le cul. Je la baise de plus en plus vite.
-alors ce nest pas bon ?
-je sais pas, mais, ahh ahh ahh
-Tu vois tu aimes te faire baiser le cul
-tes
..ah ah cest bon oui
-tu es vraiment une sale bourgeoise de merde une vraie salope
-euh ! oui cest vrai, je suis une salope. Je
-non tu es ma salope bourgeoise
-encore, oui je suis ta salope, jen peu plus je vais jouir
Tu va jouir, alors prend ça. Jaccélère mes vas et vient et me vide dans son cul juste après quelle ait jouit. Je reste dans son cul quelques instants puis me retire. Fannie reste affallé sur la table, la rondelle ouverte, mon jus coulant légèrement.
-Alors, cétait pas bon ?
-si, mais jamais je navais fait ça. Si jai bien jouis, mais tu es allé loin.
-quoi ?
-tu mas fait faire des choses et dire des mots, je me reconnais plus.
-et alors, tes bien une salope bourgeoise NON ?
-non, je peux pas te laisser dire ça.
-bah si, cest comme ça Fannie, il faut accepter.
-Pauvre con, je pars.
-OK tu peux partir.
Fannie vexé, se rhabille et part en claquant la porte. Bon pas grave, seulement heureusement quelle est en voiture, nayant pas de slip elle va être juste un peu embarrassé avec le jus que je lui ai laissé dans le cul.
Deux heures plus tard un sms arrive. « je suis désolé, mais tu es dur avec moi », je ne réponds pas. Deuxième sms « tu veux plus me parler ? », alors la je réponds. « tu es seul ? », « oui », « ok phone moi ». Aussitôt Fannie me téléphone. nous discutons et la situation sappaise, Fannie est devenue calme et objective. Tout est rentré dans lordre.
Deux semaines plus tard, Fannie déboule dans mon bureau.
-ce soir on peut se voir ? R rentrera tard.
-je ne sais pas, suis pas sûr de pouvoir.
-oh aller, viens diner à la maison.
-tu crois que cest une bonne idée, chez toi ?
-pourquoi tu dis ça ?
-si R reviens plus vite ?
-et alors ?
-si on se voit ce nest pas que pour diner Fannie, jai envie de te posséder.
-on peut se voir sans ment que tu me
-bon bon ok.
Jarrive chez Fannie pour une soirée cool et sans baise, juste passer un bon moment sympa, pourquoi pas finalement. Je vais voir la petite bourgeoise dans son environnement. Nous dînons, discutons de choses et autres. Elle a un appartement agréable, niveau cuisine ce nest que du surgelé, comme toute bourgeoise, elle ne sait pas cuisiner. A un moment Fannie reçoit un sms.
-ah, R sera là dans une quarantaine de minutes.
-bon alors je vais y aller.
-Non, il sait que tu es là, tinquiète pas.
-je minquiète pas, mais il est déjà 23h et demain je démarre de bonne heure.
-cest comme tu veux.
Avant de partir je lui demande un dernier verre deau, ce qui nous amène dans la cuisine. Ce jour là, il fait beau et chaud, la fenêtre de la cuisine est ouverte. Je prends Fannie par le bras et lapproche de la fenêtre, lui pose les mains sur le rebords. Je lève sa jupe et commence à lui lécher la chatte.
-tu fais quoi, arrête, R va rentrer.
-y en a pas pour longtemps Fannie, et en plus tu es humide, alors laisse toi faire.
Fannie se retire un peu de louverture de la fenêtre, pour quelle ne soit pas vu, moi je lui lape la chatte et tous ces poils, ma langue la pénètre de temps en temps.
-regarde dehors, regarde qui peut te voir.
-oui baise ta salope, baise moi comme tu veux.
Sans problème, je la rapproche au maximum de la fenêtre, la tête et ses seins sont bien visible de lextérieur. Jécarte ses fesses pour admirer ma queue prendre cette chatte poilue.
-putain, quelle chatte de bourgeoise.
-elle te plait, elle te plait
-oui maintenant que tu as des poils
-salop cest toi qui
ah oui
-prend mon jus bien à fond.
Je me vide en elle, je lui remplis son intimité de mon jus. Pour la finir je lui pénètre la rondelle avec deux doigts et Fannie part dans son plaisir. Je me retire, ramasse ma queue.
-bon jy vais.
-ouiiiii, tu mas pas fait de cadeau.
-quoi ? jai juste sauté une salope bourgeoise avant que son mec ne rentre. Dailleurs dépêche toi de te nettoyer la chatte.
-je vais à la douche.
Nous nous séparons. Une heure après je reçois un sms de Fannie « il est rentrée 5 minutes après ton départ ».
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