Franck Et Moi 2

Nous restâmes l’un contre l’autre un long moment et, avant que je ne bouge:
« Tu as soif ?
- De toi, oui !
- Non, sérieusement, parce que moi oui…
- Dis moi où c’est j’y vais.
- Dans le frigo amène la bouteille d’eau, s’il te plaît.»
J’en profitai pour vite aller mettre un peignoir. Il me retrouva à l’entrée de la salle de bain, me tendit la bouteille d’eau et, tandis que je buvais, défit la ceinture de mon peignoir, effleura la peau de mon ventre puis soupesa mes seins.
Franck me déshabilla entièrement, d’abord mon peignoir, puis mon soutien gorge, ses pouces caressant mes pointes tendues. Puis, s’agenouillant devant moi, il me prit une jambe, retira mon bas, puis l’autre.
Il se dirigea vers la douche, fit couler l’eau et régla la température. J’observai son corps. Il était bel homme et il devait faire du sport au vu de la forme de ses fesses. Je penchais pour du hand.
Il se retourna, me prit par la main et m’entraîna sous la pomme de douche. Sa bouche entreprit d’explorer mon corps, ma peau.
Il releva mes bras, déposant de doux baisers sur le creux de ma paume, dans le poignet, remontant jusqu’à la naissance de mon cou, mes seins, sa langue jouant sur mes tétons alors qu’il tenait toujours mes bras. L’eau coulait sur ses cheveux, sa salive se mélangeait à l’eau.
Tout mon corps ondulait sous ses baisers. Il lâcha mes bras et ses doigts parcoururent ma peau. De très légers effleurements qui m’électrisaient. Il descendit sur le haut de mes cuisses.
Attente insoutenable. Je voulais sa langue et ses doigts mais il faisait durer l’attente, monter le désir en moi.
Ses pouces remontaient à l’intérieur de mes cuisses, s’arrêtaient juste avant de toucher mon intimité, puis caressaient ma croupe, son souffle si près de mon sexe. De ses deux mains, il pinça doucement mes lèvres en appuyant sur mon clitoris. Ses yeux croisèrent les miens mi-clos. Je ne pouvais plus réprimer mes gémissements.


Enfin, sa langue se fit inquisitrice. Il l’immisça le long de mes lèvres gorgées de mouille puis écarta celles-ci et prit le temps d’observer. Sa langue était chaude et très experte. Il concentra son attention sur mon bouton, son appendice se faisant tour à tour très doux ou au contraire dardait sur mon clito.
Mon bassin bascula en avant, offrant à ses douces caresses l’entrée de mon vagin. Il souleva ma jambe et la posa sur le banc de la douche. Sa langue visita mon puits ressortait pour me lécher la fente.
Il introduisit ses doigts en moi tout en continuant d’aspirer mon bouton. Mes mains se resserrèrent sur ses cheveux. Il entrait et sortait. Essayant à chaque fois d’aller plus en moi.
Je sentais monter la jouissance, enserrer mon bas ventre et électriser mes reins. Mes gémissements se transformèrent en un râle rauque. Son pouce remplaça sa langue sur mon clitoris. Ses yeux ne quittaient plus les miens. Il voulait me voir jouir encore…
« Je veux ta queue !! » les mots étaient sortis comme prononcés par une autre.
« Non, attends encore un peu. » me répondit mon nouvel amant dans un sourire.
Il se releva en couvrant ma peau de baisers. Ses caresses se firent plus appuyées. Ses doigts pincèrent mes tétons, m’arrachant un soupir. Il coupa l’eau et enroula son bassin autour d’une serviette qui ne cachait rien de son excitation. Avec une seconde, il entreprit de me sécher. Je m’enroulai ensuite dans cette serviette trop petite qui laissait deviner la naissance de mes fesses.
Comme je me dirigeais vers le salon, il m’arrêta et m’entraîna dans la chambre face à la salle de bain. Je remarquai son tatouage dans le dos.
Il me retira la serviette, me coucha sur le lit et s’étendit sur moi. Son sexe battait contre le mien.
Je le voulais tellement fort. Je voulais qu’il me baise, purement et simplement.
Mais il déposa un baiser sur mes lèvres. Mes mains découvraient sa peau, ses muscles, ses fesses, les siennes descendirent le long de mon corps.
Il souleva son bassin puis, de son gland, commença à caresser ma fente. Il s’introduisit ensuite en moi.
J'avais l’impression que son membre était encore plus gros et plus long que dans l’ascenseur. Il n’en finissait pas de coulisser en moi, centimètre par centimètre. J’essayais d’onduler pour le faire entrer plus vite mais plus j’essayais d’accélérer plus il ralentissait.
Une fois au fond de moi, Franck commença de lents allers-retours, peau contre peau, lèvres contre lèvres, nos souffles et nos soupirs se mêlant. Je me laissai guider par mon amant délicat, apprenant à connaître son corps. Il avait des bras bien dessinés, un dos musclé mais fin. Ses reins s’arrêtèrent un instant, puis il sortit son membre totalement pour le rentrer d’un seul coup. Il recommença à plusieurs reprises, augmentant l’intensité de mes gémissements.
Je n’avais plus aucune notion du temps ou de l'espace. J’avais l’impression qu’il était plusieurs.
Je sentais ses mains me caresser partout à la fois. Alors que je relevais mes jambes sur son bassin, il m’en saisit une, l’appuya sur son épaule et passa la sienne par-dessus mon autre jambe.
Je sentais à présent sa queue butée contre ma matrice. Cette position me fit jouir presque immédiatement. Je ne pouvais plus retenir mes cris. Il me pilonna encore et encore, une de ses mains pétrissant ma poitrine.
Me faisant pivoter encore un peu, il se trouva derrière moi, en levrette. Je lui tendis ma croupe.
Ses mains m’empoignèrent les hanches fortement et il me fit coulisser sur son sexe, la tête écrasée dans les coussins. Je mordis ma main de plaisir. Sentir ses couilles taper mon clitoris allait me faire exploser encore une fois. Mes jambes se crispèrent d’orgasmes. Il resta au fond de moi sans bouger.
Puis il reprit ses lents allers-retours, ses mains caressant mon dos, des épaules aux fesses. Je me hissai sur mes avant-bras et m’empalai profondément sur sa queue, accélérant le rythme de nos ébats.
Je me pris alors une claque sur la croupe qui me surprit autant qu’elle m’excita.

« Chhhhhht, doucement. Profite. Promis, je te baiserai après. Tu l’as dit on a tout notre temps…
»
Puis il appuya mes épaules contre le coussin et continua à me faire l’amour comme il l’avait décidé, me faisant jouir de sa langueur et de sa douceur. Il empoigna mes fesses à pleine main.
Le feu de sa main était encore présent sur ma peau.
J’enserrai son sexe par les spasmes de mon vagin, ce qui le fit grogner plus fort. Je recommençai alors encore et encore. Je voulais qu’il jouisse en moi et de moi comme il m’avait fait jouir déjà tellement de fois.
Je le sentis se mettre à genoux tout en tenant fort mon bassin. Son rythme devint effréné. Mes seins ballottaient de tout côté. Je m’agrippai au coussin jusqu’à sentir le flot de jouissance m’envahir. Il se retira précipitamment et gicla de chauds et longs jets sur ma croupe frissonnante.
Nous nous écroulâmes alors tous les deux, moi sur le ventre et lui encore à moitié sur mes jambes. Il caressa mon dos, recueillit de sa semence et me la proposa. Je lui léchai le doigt comme s’il s’était agi de son sexe.« Ça va ? » demanda-t-il doucement.
En guise de réponse je lui souris et vins me coller à lui. L’alcool et la jouissance eurent raison de moi. Je m’endormis contre mon nouvel et tendre amant.
Je ne sus combien de temps je m’étais assoupie mais il n’y était plus. Je m’étirai, encore frissonnante au souvenir des mes orgasmes. Je pensai intérieurement:
« Quel beau parleur! Oui, je te baiserai après. Tu parles ! »
J’enfilais mon peignoir pour aller prendre à boire. Chaque pas me rappelait la longue et lente pénétration de son sexe en moi.
En arrivant dans le salon, je fus étonnée de le voir à la cuisine portant simplement son boxer, le nez dans mon frigo.
« Eh ! La belle au bois dormant, tu n’as rien à manger ici. J’ai faim et je dois reprendre des forces.
- Tu n’aimes pas les yaourts ? » le taquinai-je.
« Tu veux des œufs brouillés ?
- Des œufs, ou un œuf ? »
Je le regardai, perplexe.
Merde, l’œuf ! Il était resté dans la salle de bain !
« Moi, je n’en prendrai pas. Toi, fais comme tu veux » dis-je l’air de ne pas avoir compris.
Je sortis une poêle, trois œufs, et m’affairai à sustenter mon amant affamé. Je nous servis ensuite deux verres d’eau fraiche.
« Qu’est ce qui t’a fait changer à ce point? Dis-moi.
- Comment ça? À quel niveau ?
- Caro, ça commence à faire un moment qu’on se connait. Je n’ai jamais caché mon attirance pour toi. Alors, pourquoi ce soir ? »
- Je ne sais pas, l’alcool peut-être. mentis-je.
- Non, c’est autre chose. Tu es plus animale, plus à fleur de peau qu’avant.- Est-ce vraiment si important ?
J’ai juste envie et besoin de prendre mon pied, c’est tout ! Ne va pas te mettre martel en tête.
- Je pensais plutôt à te mettre autre chose et ailleurs » me dit il en se collant dans mon dos, les mains sur mes seins.
- Je croyais que tu avais faim »
Je servis les œufs sur une assiette, me retournai en lui tendant l’assiette et une fourchette et m’accroupis devant lui.
« Mange. Ça va être froid et je n’aime pas le gâchis. »
Je sortis son sexe à peine bandé, le caressai doucement, le soulevai pour prendre ses couilles en bouche, l’une après l’autre. Je mis ses "ah" et ses "oh" d’approbation sur le compte de mes caresses, n’étant pas une grande cuisinière. Sa queue se redressa dans ma main. D’un grand coup de langue, j’humidifiai sa hampe de salive et le branlai tout en continuant de lui lécher les burnes. Sa queue était comme je l’avais remarqué plus tôt. De bonne taille et, à présent, parfaitement droite.
« On ne peut même plus manger en paix. Tout se perd.
- Désolée, je voulais juste t’être agréable. »
Il me sourit, me releva par le menton, caressa mes fesses sous le satin du peignoir. Je me sentais déjà fondre quand, dans un souffle, il me dit :
« Prête pour ta séance de baise?»
Je me liquéfiai à ces mots. Ses doigts commencèrent à se rapprocher de mon sexe. Ma mouille coulait déjà de mes lèvres entrouvertes.
« Oui, prends-moi »
Franck me pencha alors le buste en avant sur la table de la salle à manger. De son pied, il écarta mes jambes et vérifia l’humidité de ma chatte. Il s’accroupit derrière moi, écartant mes lèvres et mes fesses. Il plongea sa langue de mon sexe jusqu'à mon anus, insérant à peine celle-ci. Je me cambrai et tendis ma croupe le plus possible.
« Hmm, tu es dégoulinante, même pas besoin de te préparer. »
Il se redressa. Son gland étala mon jus de ma fente jusqu’à mon œillet.« Non, s’il te plait.
- Chhhhhhhht fais-moi confiance »
Ben non. Plus sûre de vouloir lui faire confiance, plus sûre de vouloir ma séance de baise.
J’étais là sur la table, les seins écrasés sur la vitre, les jambes écartelées, ruisselante d’envie et tremblante d’appréhension. Il continua ses allers et venues et m’enconna violemment. Je lâchai un cri de surprise autant que de plaisir. Ses coups de reins étaient forts et rapprochés. Son bas-ventre tapait contre mon anus détrempé et cela m’excitait.
Il n’avait plus rien à voir avec l’amant tendre et délicat de tout à l’heure. Sa bestialité me comblait et je me laissais aller à crier mon plaisir, ce qui sembla lui donner plus d’ardeur encore. Il me retourna, bascula mes fesses au bord de la table et releva haut mes jambes.
Son regard se fit plus sombre. Il attrapa mes seins et martyrisa mes pointes durcies, les malmenant pour mon plus grand plaisir. Je ne me reconnaissais pas. Il me défonça durant de longues minutes à un rythme soutenu. Je sentis les muscles de mes cuisses se tétaniser. Il me souleva de la table. Je m’accrochai à lui tandis qu’il me remplissait de son membre.
Puis il s’assit sur une chaise. Je lui tournais le dos et m’empalai seule sur lui. Agrippant ma taille, il me fit monter et descendre sur son sexe.
« C’est ça que tu voulais ? Dis-le moi!
- Oui, c’est ça.
- Tu voulais quoi ?
- Je voulais que tu me baises ! »
Plus il me laminait plus je voulais sa queue profondément en moi. Ses doigts se posèrent sur mon clito et me branlèrent délicieusement. Je n’en pouvais plus. Mes muscles me brûlaient mais je le voulais encore et encore.
Il me souleva à nouveau et m’entraîna jusqu’au canapé. Il me bascula sur le dossier, le cul en l’air et la tête sur l’assise. Il se positionna derrière moi et promena son gland de ma fente à mon trou. Je commençais à trouver cela agréable mais son sexe se logea à nouveau dans mon vagin tandis que son pouce me massait l’anus. Il appuya légèrement la pulpe de celui-ci et s’introduisit doucement. Ne sentant que peu de résistance, il lâcha un filet de bave entre mes fesses puis enfila un doigt qu’il fit glisser très lentement. Étrange contraste de vitesse et de force entre son sexe et son doigt.
Un autre filet de bave descendit le long de ma raie. Un second doigt s’enfouit en moi. Je jouis de cette pénétration. Ses doigts accélèrent la vitesse et me branlèrent à la même vitesse que sa queue. Je mordis ma lèvre pour ne pas crier mais je ne pouvais les sons gutturaux que j’émettais.
« Tu en veux plus ?
- Oui, je te veux tout ! »
Il sembla hésiter un instant puis je sentis son gland à l’entrée de mon œillet. Il pressa doucement. Une sensation de brûlure intense envahit mon fondement. Franck s’arrêta puis reprit sa lente progression en me chuchotant à l’oreille de me caresser pour aider à oublier la douleur.
Les poils de son pubis touchaient mon cul. Il était donc totalement en moi. La sensation de brûlure passa et je commençai à sentir le plaisir revenir dans mes reins. Franck me sodomisa doucement, guettant mon plaisir, puis accentua ses va et vient.
Je me branlai aussi fort que je pouvais, la mouille suintante à la naissance des cuisses.
L’orgasme me prit d’un coup. Mon corps fut pris de tremblements. Un râle rauque s’échappa de ma gorge. Je le sentis alors se cambrer au fond de mon cul et gicler en moi profondément…

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