Liberté.
La curiosité gagna Maxime. Il quitta son bureau puis essaya de la suivre. Les choses se bousculèrent dans sa tête mais il sefforçait de marcher le plus naturellement possible, sans montrer le moindre signe dempressement. En aucun cas il ne voulait éveiller des soupçons parmi ses collègues sur son départ soudain.
Il continua son chemin et sorti des bureaux par une porte secondaire. Personne. À sa gauche, lentrée principale de la compagnie. À sa droite, pas moins de six ascenseurs permettaient daccéder à cet étage. Se pouvait-il quil ait mal interprété Axelle ?
Elle était arrivée au travail ce matin avec une nouvelle résolution : vivre selon ses propres valeurs. Il ne serait plus question dagir uniquement en fonction de lapprobation des autres, amis, famille ou connaissance. Elle allait arrêter dignorer ses besoins. Elle allait prêter attention aux signes que la vie pourrait placer sur son chemin. Et même si ses actions pourraient avoir des conséquences importantes, elle allait les accepter. Elle avait décidé de faire confiance à la vie.
Il fallait que sa première action dans cette nouvelle vie soit significative. Marquante. De son bureau, elle vit que Maxime était déjà arrivé. Il était encore tôt et beaucoup de monde se trouvait encore dans le trafic. Maxime était son collègue de travail depuis quelques années déjà et elle avait eu loccasion de travailler en équipe avec lui.
Elle prit une profonde respiration et se leva. Arrivée à son cubicle, elle le salua et sapprocha de son oreille.
« Jte veux en moi. », lui murmura-t-elle.
Elle lui fit un clin dil puis reparti immédiatement dans le couloir laissant son collègue ébahi.
Maxime entendit le claquement dune porte. Il reconnu immédiatement ce son typique : il sagissait dune des quatre portes de secours qui sétait refermée. Elle était dans la cage descalier. Il remarqua la présence de la réceptionniste au travers de la porte de lentrée principale.
Axelle était en haut, adossée au mur. Un sourire apparut sur son visage lorsquelle le vit. Elle était vêtue dun chemisier à manches courtes et dune jupe coupée aux genoux. Il avait un peu de difficulté à réaliser la situation. Arrivé à sa hauteur, elle détacha quelques boutons et laissa paraître le haut de sa poitrine. Elle leva les yeux et le regarda : aucun doute sur ses intentions. Lexcitation commença à se faire ressentir.
Il passa sa main sous son chemisier en direction dun de ses seins, tout en commençant à lembrasser. Leurs langues sentremêlèrent. Il détacha les boutons restants et fit sortir, lun après lautre, ses seins de lemprise de la brassière. Maxime fit glisser ses doigts autour des tétons qui commencèrent à se durcir, ne demandant quà être gober.
Il prit la main dAxelle et les jeunes amants se déplacèrent dans le recoin de la petite pièce de maintenance des ascenseurs.
Elle déposa ses mains sur les épaules de Maxime et le poussèrent vers le bas. Il sagenouilla. Elle remonta sa jupe et, dune main, écarta sa culotte puis, de lautre, poussa la tête de son nouvel amant vers son sexe.
« Manges-moi. », lui demanda-t-elle.
Il sorti sa langue et la fit glisser entre les lèvres humides pour ensuite la remonter sur son clitoris. Elle dirigea la tête de Maxime selon ses désirs. Sa respiration se fit plus profonde. Les mains posées sur ses fesses, Maxime se mit à aspirer le clitoris, la vulve puis sa langue parcouru lentrée de son vagin. Il allait là où elle le désirait et elle sy abandonnait.
Elle avait besoin de plus et était prête à en recevoir plus. Elle le releva et ladossa contre le mur. Cétait à son tour. Elle se mit à frotter lentrejambe de Maxime puis défit le bouton de son pantalon et en sortit un pénis bandé.
Verge à la main, Axelle linvita à sallonger sur le sol. Elle enleva sa culotte et se mit sur le dos, jambes écartées, prête à laccueillir. Il la pénétra très lentement pour percevoir la chaleur de son vagin. Il commença alors à la baiser pendant quelle soccupait de son clitoris. Elle aimait cette combinaison : la masturbation rendait la pénétration plus intense. Il profita de cette position pour lui mordiller et aspirer ses tétons, tantôt le droit, tantôt le gauche.
Cela ne prit pas beaucoup de temps avant quelle soit sur le point de jouir. Il fit son possible pour retenir son éjaculation aussi longtemps que nécessaire malgré laccélération de la cadence. Quelques secondes passèrent et des petits cris étouffés par sa main restée libre se firent entendre. Maxime ralenti son va-et-vient et dut subir les sensations dune verge au bord de lexplosion.
Elle se redressa, prit le pénis humide en main et se mit à le branler rapidement. Il ne put résister très longtemps à cette intense masturbation avant dêtre envahit à son tour par un orgasme et de perdre tout contrôle. Il ferma ses yeux et sabandonna à son éjaculation libératrice.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!