La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 385)
Suite de l'épisode N°371 - Mary au château
Marie la cuisinière, Walter le Majordome, et Mary esclave MDE fraichement arrivée depuis le début de la soirée au Château de Monsieur le Marquis Edouard d'Evans, arrivèrent enfin au premier étage au terme d'une ascension de nombreuses marches de l'escalier principal. Le petit groupe s'arrêta un moment. Les coups de cravaches cessèrent également, ce qui ne déplut pas à Mary et en remercia intérieurement Walter. Elle put aussi constater qu'elle se trouvait sur une douce moquette bleue, ce qui permit de soulager ses genoux un peu endoloris et meurtris par la pierre brute de l'escalier. Elle ne sut combien de fois les coups de cravache s'abattirent sur ses fesses, trop concentrée à tenir celle qu'elle avait dans sa bouche afin de ne pas la faire tomber. Mais, elle en déduisit assez nombreux, pour ressentir une vive chaleur sur celles-ci, et l'image qu'elle regardait discrètement dans la glace murale à sa gauche, au début du long couloir de l'aile gauche de la demeure ancienne, lui reflétait une rougeur uniforme de son derrière qui ne la laissait pas indifférente.
En se voyant, la belle brune sourit secrètement pour ne pas se faire remarquer par Marie ou Walter et que ceux-ci croient qu'elle se moquât de la situation. Alors qu'il n'en était rien. Chez elle, elle avait tendance à éviter les miroirs, les glaces car elle se trouvait plus de défauts que de qualités alors qu'elle se regardait souvent habillée. Mais c'était avant qu'elle fasse connaissance avec le Maître. Son regard face à son reflet avait changé depuis qu'elle acceptât d'être sous Son joug. Ce changement, elle le devait au Maître qui exigeait qu'elle se mette à nue devant lui que ce soit au sens propre comme au sens figuré, et qu'elle apprenne en Sa noble présence ou non d'enlever toute pudeur. Il lui faisait découvrir son corps en se caressant devant Lui lors de leurs séances virtuelles ou lui ordonnait de le faire régulièrement devant une glace.
Mary se regarda donc dans la glace et malgré la bave qui coulait modérément à force de serrer la cravache, était en admiration mais aussi excitée de voir son fessier coloré uniformément et elle sentait sa chatte s'humidifier de plus belle. Malgré sa discrétion (du moins elle pensait en avoir) et plongée dans sa contemplation, elle ne vit pas l'oeil expert de Marie l'observer et sourire en devinant ce que faisait la belle soumise et ladite Marie appréciait le spectacle qu'elle offrait. Walter, voyant le regard amusé de son amie, suivit aussi le sien sur Mary et devina vite comme sa complice que la belle brune n'était pas indifférente à son reflet dans le miroir. Sa légère ondulation de ses hanches la trahissait également. De plus, le clin d'oeil que lui décocha la perverse cuisinière, lui fit comprendre qu'elle ne souhaitait pas rester passive face à ce tableau et qu'elle avait surement un idée derrière la tête. Mais à ce moment, le téléphone de service de Walter sonna. Le Majordome décrocha en se mettant à l'écart. C'était Monsieur le Marquis d'Evans qui appelait.
- Walter, je voulais savoir où tu en étais avec ma nouvelle recrue. J'espère qu'elle ne te donne pas trop de fil à retordre.
- Oh non, Monsieur le Marquis. Pour tout vous dire, elle fait partie des quelques esclaves en devenir qui connaissent la définition du verbe "obéir". Toutefois, j'ai dû la punir pour lui apprendre à maîtriser ses cris de surprises pour des petits malheureux coups de cravaches pour la sortir de ses rêveries. Sa punition n'est pas finie, mais elle s'est montrée courageuse jusqu'à présent et sa chatte brillante me témoigne que cette petite chienne trouve un certain plaisir à sa situation.
- Et où es-tu ?
- Je suis au premier étage au début du couloir de laile gauche menant à la salle de soin.
Son patron le coupa d'une voix faisant apparaître un certain mécontentement :
- Seulement ? Faut-il te rappeler que Mary soit présentable devant son mari et moi au plus vite dans la petite salle-à-manger pour nous tenir compagnie pour le dîner et pour que je lui offre sa petite cérémonie de bienvenue ?
Walter sans être déstabilisé par cette voix qui montrait toute l'autorité du maître des lieux, expliqua :
- Veuillez m'excuser Monsieur le Marquis, j'aurais plus vite effectué vos ordres, mais je dois avouer que le charme et la dévotion que cette nouvelle petite chienne dégage ne peut vraiment pas me laisser de marbre, tout comme Marie (en épelant M-A-R-I-E) qui est intervenue alors que je réprimandais cette femelle-esclave pour ses mauvaises manières. Le repas qu'elle doit vous servir à Vous et Monsieur Hervé étant prêt, elle tenait à m'accompagner pour m'aider à préparer votre soumise et ainsi faire plus connaissance avec elle....
Le Marquis d'Evans était certes un peu agacé car il aimait que ses ordres soient effectués au plus vite, mais surtout il était aussi très impatient de s'occuper et de profiter de sa nouvelle esclave le temps du week-end. C'était vraiment une aubaine que sa petite chienne Mary puisse venir dans Le Beaujolais à l'occasion de la fête du vin nouveau. Lors de leurs discussions virtuelles, elle lui disait qu'elle se rendait régulièrement dans cette région pour rendre visite à des amis de son époux qui leur proposait depuis de nombreuses années son aide pour les vendanges. En apprenant sa venue, il savait que c'était l'occasion rêvée de la faire venir au Château et ainsi la faire progresser dans sa soumission. Il savait aussi, qu'elle souhaitait de tout coeur le rencontrer réellement. La volonté de la belle brune lui fut confirmée quand il apprit qu'elle avait réservé une de ses chambres d'hôte à l'office du tourisme du village où se situait la demeure ancestrale. Il n'hésita donc pas à rejoindre Mary qui, même si elle espérait la présence du Maître vénéré, fut surprise et heureuse de se retrouver dans ses bras le temps d'une danse où rapidement, il lui expliqua son plan pour la ramener au plus vite au château (lire les premiers épisodes).
Le seul obstacle que le Noble redoutait, et quil devait gérer en Sa faveur, était la réaction dHervé, l'époux de Mary. Soit Il craignait que le couple mette un terme à leur mariage, soit que Mary ne puisse plus vivre sa soumission. Malgré l'entrée remarquée dHervé qui montrait, comme le Marquis s'attendait en toute logique, un mélange de colère et d'incompréhension, Il se félicitait de son stratagème qu'Il avait combiné grâce au fantasme de la belle brune de voir son mari se faire sodomiser par un homme. Le Marquis dEvans était aussi fier de sa soumise qui à travers ses mots a su convaincre son époux d'accepter sa nouvelle vie qu'elle a choisi et que malgré tout son amour envers lui ne changera pas. Voyant que Mary ne jouait pas la comédie par son attitude qu'elle adopta face au Maître pendant leurs discussions, Hervé décida de la laisser vivre sa condition d'esclave qu'elle a librement choisi. Le Marquis était même persuadé qu'à l'issue du week-end, Hervé lui serait d'une précieuse aide quand celui-ci retournera avec son épouse-esclave dans son foyer à moins de 150 kilomètres.
Le Noble propriétaire du Château ancestral de la famille des Evans, en donnant "carte blanche" à son fidèle Majordome Walter pour s'occuper de Mary, connaissait suffisamment son côté pervers et avait l'intuition qu'il ne s'accommoderait pas de faire une simple toilette à la belle. De plus, il était accompagné de Marie la cuisinière. Malgré les nombreuses heures passées devant les fourneaux pour démontrer ses talents de cordon bleu hors pair, elle n'hésitait pas à mettre la main à la pâte dans l'éducation des esclaves qui ont librement choisit leur servitude sous le toit de ce Château. Elle se révélait être une Domina tout aussi perverse et redoutée que son complice et ami Walter. Le Maître des lieux se prépara donc à attendre encore un bon moment avant de pouvoir dominer personnellement sa belle soumise. Mais il appréciait l'intérêt qu'elle suscitait pour ses deux principaux employés.
Le Marquis Edouard d'Evans attendra le moment venu pour profiter à son tour de sa belle chienne et mesurer son potentiel à lui être soumise. Le long week-end ne faisait que commencer et il s'était promis de mettre en suspend exceptionnellement une grande partie de ses activités professionnelles et avait même refusé une invitation mondaine chez monsieur le préfet pour s'occuper exclusivement de Mary. Il avait la ferme intention de la laisser repartir à lissue du week-end rejoindre sa vie "vanille" définitivement soumise à lui, et quelle puisse vivre dans son couple sans crainte vis-à-vis de son mari ce qu'elle est vraiment, sans rien cacher à son époux et donc en toute liberté. Quel beau paradoxe, se pensait-elle ! Vivre librement de nêtre plus libre ! Mais dappartenir au Maître et ce choix étant délibéré, en étant saine de corps et desprit
Sortant de ses pensées pendant qu'Il écoutait Walter se justifier, Le Marquis d'Evans demanda plus calmement au Majordome :
- Et qu'attends-tu, Marie et toi pour rejoindre la salle de soin avec ma chienne ?
- Après une courte pause pour que votre petite protégée reprenne ses esprits brièvement, nous comptons nous y rendre. Mais cette petite femelle en chaleur se mire à notre insu (du moins elle le croit) devant la glace murale à côté de Votre bureau. C'est Marie qui l'a remarquée et m'a fait comprendre qu'elle avait une idée derrière la tête pour s'amuser du spectacle.
Le Marquis, soudainement intéressé, par les propos de Walter et tout sourire aux lèvres déclara :
- Quelle coïncidence ! Je me trouve précisément en compagnie dHervé dans le bureau. En moi-même je savais que la préparation de Mary allait tarder, ainsi que le diner. Et comme je ne voulais pas perdre de temps à attendre, je souhaitais finaliser quelques papiers pour mes différents projets professionnels tout en faisant connaissance avec Hervé qui est un hôte très amical. Nous discutons aussi de sujets divers et je réponds aussi à ses questions concernant l'art de la D/s. Avec la bonne sonorisation de la pièce, j'ignorais totalement que tu étais à côté. De plus le faux placard dans le mur est fermé. Mais je vais de ce pas l'ouvrir et me régaler avec Hervé du spectacle que nous offre la glace sans tain. Je vais aussi allumer le micro. Mon invité a tout aussi hâte que moi d'entendre et de voir ce que mijote ma cuisinière préférée
Walter, je compte sur toi pour ne pas dévoiler notre présence devant Mary
Après confirmation du Majordome, le Marquis d'Evans mit fin à la conversation. Walter rejoignit sa complice de Marie, curieux de connaître lui aussi la suite...
(A suivre
)
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