La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 386)

L'esclave e73700MDE au Château - (suite de l’épisode précédent N°382) – Sous l'autorité de Monsieur Walter.

Tous me tournent les talons et quittent les lieux et on me laisse ainsi un long moment m’imposant d’attendre sans bouger dans la fraicheur des lieux. Je me retrouve donc seul, nu et prostré, agenouillé, la tête baissée et les mains derrière le dos dans l’obscurité du bandeau que l’on m’a fixé sur mes yeux et qui m’interdit toute lumière. Je frissonne autant d’appréhension que de froid. Au bout d’un bon quart d’heure, j'entends des pas lents et mesurés. La porte grinçante s'ouvre lentement et à l’odeur de fraicheur mentholée d’un parfum masculin que je reconnais, je devine aisément l'imposante stature de Monsieur Walter qui revient. Il s’approche sans un mot et m’ôte le bandeau, ce qui me permet de m’apercevoir qu’il est toujours dans sa tenue de Majordome sévère. Il tourne et retourne lentement autour de moi et dans un silence inquiétant, il me toise de toute sa hauteur arrogante avec un petit rictus de satisfaction. Une cravache à la main droite, il s’amuse tout en tournant toujours autour de moi de la tapoter dans le creux de la paume de sa large main gauche. Je prends peur en gardant la tête baissée car je me sens vraiment inférieur, petit comme une larve insignifiante devant l’imposant charisme du domestique, mais je me rassure en pensant qu'il va me conduire dans un des cachots de soumis (es) et me laisser prendre une douche après les épreuves et les humiliations que j'ai subies. Il s’éloigne une seconde pour aller appuyer sur l’interrupteur près de la porte afin d’allumer la lumière de la pièce qui s’était éteinte quand tous étaient partis et je me retrouve cette fois pleinement dans la lumière vive de la pièce où j'ai été exhibé et humilié en position prostrée.

- Lève la tête petite chienne, dit Walter d’un ton laconique.

L'immense stature du Majordome me domine de toute sa hauteur, je me lève timidement, immobile, j'attends ses ordres, angoissé, penaud et humilié de la situation d’infériorité que je ressens.

J'aperçois alors une bosse dans son pantalon et je regarde ce qui habituellement me répugne chez un homme habillé. Le Majordome fait durer l'attente pour me faire "mijoter" dans l'incertitude, dans un silence qui devient de plus en plus lourd. Puis il lance finalement:

- Alors la pute, qu'est-ce que tu attends ? Je m'impatiente…

Je comprends alors avec stupéfaction que la nuit n'est pas finie et que mon supplice va continuer. Les paroles du Maître "Walter occupe-toi de nettoyer Notre nouvelle femelle esclave et conduis-la... " prennent alors une signification qui éloignent de moi la pensée de la douche et du repos...
Je bouge mes épaules endolories et je me remets à genoux et je caresse avec avidité le membre, que je devine déjà dur à travers le pantalon, ce qui il y a peu m'aurait paru impensable à faire. Telle une chienne en chaleur, je lèche ce pantalon au niveau de la bosse, puis je me recule de quelques centimètres pour défaire la belle ceinture de cuir et déboutonner le pantalon. Ensuite en défaisant quelques boutons de sa chemise en coton, je caresse un ventre velu en descendant vers un pubis poilu. Je sens son impatience par un violent coup de reins :

- Alors, ça vient?"

Je passe alors ma main dans son slip, le baisse délicatement et je sors maladroitement un sexe énorme, de belle taille sous mes manipulations et mes douces caresses qui vont de la verge à des couilles poilues et fermes. L'homme a un soupir de satisfaction ce qui me rassure car il va peut-être me laisser aller me reposer après avoir eu ce qu'il voulait. Alors, en attendant, je m'attelle à la tâche de faire durcir encore plus le gland dans ma bouche mais aussi à enfourner le mandrin en l'entourant comme dans un écrin et en le masturbant doucement pour le faire grossir de plus en plus. Je salive abondamment pour qu'il glisse bien dans la bouche et se sente au chaud, avec douceur et application. L'effet ne tarde pas, l'homme commence à haleter, excité par cette pipe que je commence à faire avec un certain art et avec un plaisir de soumis, je dois bien l’avouer. Je caresse aussi les couilles bien fermes en sentant une toison fournie. Je m'applique au mieux, en tenant la verge dans la bouche et en salivant et en la branlant tantôt avec une grande douceur, puis avec des mouvements rapides en maintenant peu de pression sur le membre. L'effet est saisissant, le membre raidi à son maximum emplit maintenant ma bouche en la distendant. Alors, l'homme maîtrise parfaitement la situation, sachant très bien ce qu’il veut, il prend ma nuque avec ses deux mains et d’une pression forte m’obligeant à plaquer ma tête contre son ventre, Walter s'enfonce brutalement encore plus profond dans ma bouche.

Je lâche l'énorme vit que je reçois jusqu’à ma gorge comme si ma bouche était un vagin. Là je panique, je suffoque, je vais mourir étouffé, me dis-je ! Mais le Majordome est habile, il ne me déchire pas et use sans violence superflus de ma bouche comme d'un vagin humide d’excitation. Je le laisse faire en sentant son rut, et en essayant au mieux que ma bouche satisfasse ce membre gonflé de plaisir qui va bientôt exploser dans un torrent de jouissance qui va l'emplir du liquide chaud et épais pour sa (et ma) plus grande satisfaction. Alors il impose sa cadence en des allers et retours réguliers alternant quelques secondes ci et là afin que je puisse reprendre de l’air dans mes poumons, quand au bout d’un sublime temps à se faire bourrer la bouche ainsi, les premières giclées vont au fond de ma gorge qui les avale goulûment. Puis le sexe s'extirpe de la bouche et je vois le Majordome se délecter à regarder les giclées jaillir sur ma langue puis sur mes lèvres, mes yeux, mon nez et mon cou. Je prends plaisir à cette humiliation supplémentaire de se sentir ainsi souillé de sperme sur mon visage (se qui est un de mes fantasmes quand c'est moi qui jouis sur un visage).
Je comprends mieux maintenant ce qui était impliqué quand Le Maître avait dit: "Walter occupes-toi de nettoyer Notre nouvelle femelle esclave et conduis-la...". Que va maintenant me réserver le "conduis-la!" ? Monsieur Walter savourait pour l'instant sa possession en regardant son œuvre quand je l’entends m’ordonner :

- Avale tout maintenant jusqu'à la dernière goutte en me montrant comment tu déglutis et tu savoures ma semence !

Je m'exécute en attendant que je puisse me reposer un peu. De mes doigts, je m’essuie le visage ramassant les trainées de spermes que je sens dégouliner de mes joues, du menton etc... Je les ramasse de bas en haut afin d’éviter qu’elles ne tombent à terre pour les porter sur ma langue tendue et goulue et ainsi qu’aucune gouttes ne soient perdues. Je lèche mes doigts emplis de foutre et je me surprends agréablement de me sentir si chienne ainsi. Quand une fois terminé, je m’aperçois qu’un peu de sperme est tout de même tombé au sol, je n’ose bouger, alors Monsieur Walter soulève mon visage par le menton et j'entends un cliquetis, d'une laisse. Je suis brusquement tiré sur le côté et un ordre bref retentit:

- A quatre pattes ! Et lèche ainsi le sol, tu ne vas pas laisser de mon précieux sperme souiller ce parquet multi-centenaire.

Me voyant dans cette servile position d’un quadrupède en train de lécher le sol tel un chien, je me sens très humilié mais aussi très excité et un plaisir immense m’envahit tout le corps, je me sens simplement à ma place. Ma langue essuie le parquet quand je sens une claque sur les fesses et un ordre laconique :

- Ca suffit comme ça, tu finirais par enlever le vernis. Aller maintenant vient par ici, sale cabot !

Je sens alors la laisse se tendre et mon cou tiré et je ne me fais pas prier pour évoluer à quatre pattes aux pieds du Majordome. C'est moins dur que sur les graviers, les pierres du couloir que nous empruntons sont froides mais plutôt polies. Je suppose et j'espère que nous nous dirigeons vers un endroit où Le Maitre a prévu que je passe la nuit après ces séances bien animées et éprouvantes. Nous pénétrons dans une pièce plus exigüe que celle que nous venons de quitter... C'est alors que j'entends la voix de la perverse cuisinière Marie...

(A suivre...)