Maudites Vacances (10) : Nuit Et Jour (Épilogue)
Cocufié plusieurs fois par jour et ridiculisé par le mec qui baise ma femme : il moblige à le sucer, et en prime depuis hier il a même commencé à me sodomiser pour pimenter le tout. Heureusement que ça se fait en labsence de Corinne, sinon je crois que jen mourrais de honte !
Jusquà présent, si les jours sont un enfer, les nuits sont calmes, mais je ne suis jamais tout à fait rassuré : le fait de dormir à trois dans le même lit (gigantesque, mais
quand même !) est toujours un peu angoissant pour moi.
Ce soir, je suis crevé et il faut que je récupère en dormant un minimum. Pour être sûr quil ny ait pas de mauvaise surprise, je me suis mis entre Jonathan et Corinne. Comme ça, ils ne pourront pas batifoler sans que je men aperçoive. Cela dit, ils nont jamais tenté quoi que ce soit devant moi pendant la nuit : il faut croire que jai quand même droit à un minimum de considération.
Après extinction des feux, les respirations se calment et nous finissons tous les trois par sombrer dans les bras de Morphée.
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Je suis réveillé en sursaut et je mets quelques secondes à comprendre ce qui se passe. Je sens quelquun qui saffaire dans mon dos et qui me descend mon boxer. Avant que jaie vraiment réalisé ce qui marrive, je me trouve entièrement nu. Dans la pénombre je distingue devant moi Corinne qui est visiblement en train de dormir. Cest donc Jonathan qui joue à je ne sais quoi. Je tourne la tête dans sa direction et lui chuchote tout doucement, pour ne pas réveiller Corinne :
- Mais
Quest-ce que tu fais ?
- Chut !
Jai du mal à retrouver mes repères et à mettre mes idées en place. Je suis encore à moitié endormi et mes neurones sont paresseux. Mais les choses se précipitent. Je sens un glissement furtif dans mon dos, puis un contact froid et gluant dans la raie de mes fesses et sur mon anus. Je comprends en une fraction de seconde ce que Jonathan prépare : il veut me sodomiser, là, maintenant, tout de suite, alors que je suis à quarante ou cinquante centimètres de Corinne.
- Non mais, ça va pas, non ?
- Chut ! Tais-toi, Corinne dort.
La panique me submerge. Cest pas possible, il faut réagir. Je sens déjà la queue raide de Jonathan qui glisse entre mes fesses, à la recherche de mon petit trou. Jessaie de me dégager de cette situation invraisemblable, mais Jonathanme tient par les hanches et ne veut pas que je lui échappe. Il sensuit une sorte de combat silencieux qui dure plusieurs secondes pendant lesquelles aucune issue ne semble se préciser clairement. Et puis tout à coup jentends une sorte de soupir devant moi : Corinne sagite dans son sommeil : elle est sur le point de se réveiller. Je suis pétrifié et mimmobilise aussitôt. Non, tout mais pas ça !
Je reste donc sans bouger et sans faire de bruit, attendant que Corinne replonge dans un sommeil profond. Mais ces quelques secondes me sont fatales : Jonathan, profitant de mon immobilité et de ma passivité, en profite pour avancer ses pions, ou plutôt sa queue. Il a glissé son braquemard dans ma raie, puis a réussi à positionner son gland sur ma rondelle. Maintenant il avance son bassin pour me sodomiser. Lentrée est lubrifiée par le gel, il me tient fermement par les hanches et moi, de mon côté, je nose plus bouger. Jessaie de me contracter pour résister, mais Jonathan ne renonce pas pour autant. Il pousse avec toujours plus de détermination et, pour être sûr de mener son entreprise à bien, il pose ses mains sur mes fesses, et les écarte pour pouvoir mieux passer.
La crainte de la douleur me fait lâcher prise, puis la panique me submerge quand je sens sa bite qui me rentre dans le cul une fois de plus. Oui, ça y est ! Je me fais sodomiser encore une fois par le mec qui cocufie ma femme depuis plusieurs jours, et je ne peux my opposer de peur de la réveiller. Jonathan me pénètre lentement, mais surement, puis simmobilise au fond de mon cul, sans doute pour profiter de cette nouvelle victoire.Ensuite il me tire en arrière le plus loin quil peut, probablement pour méloigner de Corinne.
- Alors, ma poule, une petite sodomie nocturne pour le fun ?
- Cest pas du fun, cest du viol.
- Je parie que tauras une gaule denfer dans deux minutes.
- Espèce de salaud
- Oui, vas-y, proteste pendant que je te lime, ça minspire
Lentement et calmement pour ne pas réveiller Corinne, Jonathan commence à aller et venir dans mon cul, dans ce mouvement si caractéristique du mâle en train de saillir sa femelle, avec la lenteur de celui qui a tout son temps et qui sait quil est en terrain conquis.
Jai beau solliciter toutes mes forces mentales, rien ny fait : entre ce sexe qui va et vient dans mon cul et ces mains qui me flattent la croupe ou me tiennent par les hanches, inexorablement, lexcitation recommence à monter et je me mets à bander comme me lavait prédit ce salaud de Jonathan. Je narrive pas à lutter et je suis de plus en plus à la merci de cette bite qui me ramone. Malgré la peur de me faire repérer par Corinne et la honte de me faire sodomiser, je bande et mon excitation ne semble pas devoir sarrêter.
Comme je le craignais, Jonathan vérifie létat de mon sexe. Ma bite est dure comme du bois. Il doit jubiler. Cest sa grande fierté : il baise ma femme et en prime il me fait jouir en menculant. La totale ! Après quelques minutes de ce traitement, il me passe un mouchoir et me chuchote doucement à loreille.
- Vas-y, ma poule lâche-toi si tu ne veux pas que je tencule jusquau petit matin.
« Ma poule ! » Déjà que je ne supporte pas quand il appelle Corinne ainsi, mais là, cest le pompon ! Le pire, cest que je nai pas dautre choix que de lui obéir car je le crois bien capable de continuer à me ramoner pendant une éternité si je naccède pas à sa demande. De toute façon, je suis en train de prendre un pied pas possible avec cette queue qui rentre et sort de mon cul en me procurant des sensations incroyables.
- Alors, ma salope, tu prends ton pied, hein ?
Je ne réponds pas, je ne veux pas lui faire ce plaisir, même si je sais quil a raison. Tout en écoutant la respiration de Corinne qui semble toujours dormir à poings fermés, je calme ma propre respiration et retiens mon envie de gémir pour faire un minimum de bruit. Bon sang, cest vrai que je suis une vraie salope. Je me fais quasiment violer et jarrive à y prendre du plaisir
Non, cest trop, je ne peux plus tenir. Je me décide à me finir et me branle à toute vitesse, toujours avec le souci de faire le moins de bruit possible. Quand je finis par éjaculer dans mon mouchoir, je suis fier de moi car jai réussi à le faire en silence, sans réveiller Corinne. De peur que Jonathan nait rien remarqué, je linforme en chuchotant :
- Cest bon, salaud, tu mas eu.
Comme prévu, Jonathan peut à présent se lâcher à son tour, ce quil ne manque pas de faire : des coups plus profonds et plus rapides, ses mains qui agrippent mes hanches et mes fesses. Bien quayant éjaculé, je me délecte de cette intrusion et ces attouchements possessifs. Quelques dizaines de secondes de ce traitement plus tard, il se bloque en moi et lâche la purée, en évitant de faire du bruit, mais en murmurant quand-même :
- Ouais
Cest super
Je tengrosse, ma salope !
Le retour au silence absolu et à limmobilité totale est rapide. Je planque mon mouchoir sous loreiller, je récupère mon boxer et lenfile discrètement, puis je décide de me rendormir. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, je me sens merveilleusement bien, calme, détendu et comblé. Une douce volupté menveloppe pendant que je sombre dans le sommeil. Non, décidément, je crois que je suis un peu bizarre
Ce que je viens de subir ressemble plutôt à un cauchemar, non ? Alors pourquoi est-ce que je me sens si bien ?
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Jai du dormir comme une souche, car quand je me réveille, il fait déjà jour.
Jenfile une robe de chambre à toute vitesse et sors de la chambre en silence. Quelle heure est-il ? Je ne sais pas et je men fous. Où sont-ils tous les deux ? Que font-ils ? Je nen sais rien mais je crains le pire, comme dhabitude. Je me dirige vers la cuisine. Jentends des bruits de voix. Ils sont en train de prendre le petit-déjeuner ? Non, ce serait trop beau. Je caresse cet espoir quelques secondes mais je dois vite déchanter. Ce nest pas une discussion de petit déjeuner, ce sont des soupirs et des gémissements. Cest pas vrai ?! Il est en train de la baiser ! Mais je naurai donc aucun répit ? Maudites vacances !
Je mapproche à pas furtifs et risque un il dans la cuisine. Oui, cest bien ça, ils sont tous les deux à poil et il est en train de se la faire. Ça a du se décider à toute vitesse, car je vois par terre la nuisette et la robe de chambre de Corinne ainsi que le boxer de Jonathan. Ils me tournent le dos tous les deux, du coup je peux mater sans risquer de me faire voir. Corinne est penchée, appuyée sur la table, et Jonathan la prend par derrière.
- Salope, tu mexcites trop à remuer du cul comme ça. Vas-y, continue, jadore
- Mmmm
Cest ça quon appelle le matin triomphant ? Espèce de bouc en rut !
- Toi, tes une vraie bombe : plus je te baise, plus jai envie de te baiser !
- Mmmm, oui, cest bon, tu peux y aller mon cochon
Cest pas mal
Oui, encore, comme ça !
Classique, mais toujours aussi bandant. Je suis habitué, maintenant : le voyeur lubrique qui se tripote en regardant sa femme se faire tringler. Deux minutes plus tard, jai la trique et je mastique en les regardant et en les écoutant. Ils ont lair pressés ce matin. Peut-être quils ont peur dêtre interrompus ? Mon excitation monte au rythme de leurs grognements, de leurs gémissements et de leurs commentaires. Je vais bientôt éjaculer. Je ne me pose plus de questions. La honte et la souffrance sont au second plan. Seul compte linstant présent et le plaisir que je peux en tirer.
Ça y est : ils narrivent plus à se contenir, ils commencent à baiser de façon plus brutale et bruyante, la fin nest pas loin. Corinne a un orgasme, Jonathan ne va pas tarder à y passer aussi. Cest le moment que je choisis pour me finir comme les autres fois. Jéjacule dans mon mouchoir et je me sauve sans demander mon reste pendant que Jonathan pousse un long gémissement rauque en se vidant dans la chatte de ma femme. Tu parles dun début de journée !
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Corinne, comme tous les matins ou presque, est partie faire des courses en ville. Je me retrouve seul avec Jonathan et je sais ce que ça veut dire. Cest un homme dhabitude, et qui ne lâche jamais un avantage acquis. Je vais avoir droit au grand jeu, comme hier matin, et ça pourrait bien prendre du temps, sachant que Corinne ne risque pas de nous interrompre.
Quelques minutes plus tard, mes prédictions se confirment : on se retrouve dans la chambre comme hier et Jonathan me réclame une fellation. Je suis habitué maintenant et je finis par trouver ça presque naturel. Le rituel se met donc en place :Jonathan est allongé en attente de mes soins. Je me penche vers lui et le prends en bouche, puis je joue avec sa queue pour la faire grossir encore plus. Ça fonctionne bien : il durcit sous ma langue, mais jai encore une incertitude : il va éjaculer dans ma bouche ou me sodomiser ? Mystère
En attendant, jaccomplis ma tâche consciencieusement. Jonathan est aux anges, je le suce toujours aussi bien car il est déjà en train de soupirer, de gémir et de me traiter de salope.
Encore quelques longues minutes (ce salopard sait bien se retenir pour faire durer le plaisir) et jai la réponse à mon interrogation : il me fait allonger sur le dos et se met en position pour me sodomiser. Il me refait le coup du « regarde-moi dans les yeux pendant que je tencule », que je trouve incroyablement humiliant et mystérieusement excitant (je dois être maso, quand même !). Un peu de gel, puis il me pénètre donc en mobservant, et sarrête avec sa bite plantée bien profond. Il contemple son uvre. Enfin, le petit sourire du baiseur fier de lui au coin des lèvres, il commence à aller et venir en moi. Une fois de plus jai la gaule pendant que je me fais limer, pour ma plus grande honte et mon plus grand plaisir. Je me dis que pour mettre fin à tout ça, comme les autres fois, le mieux que jai à faire est encore de me masturber, mais quand je fais mine de prendre ma queue et de me branler, Jonathan interrompt mon geste et, sans cesser daller et venir en moi, me saisit les deux poignets quil immobilise en pesant de tout son poids.
- Mais, quest-ce que tu fais ?
- Je veux vérifier un truc : si tes vraiment la salope que je pense, tu vas juter rien quen te faisant limer le cul.
- Tes vraiment un pervers, toi ! Ça va tapporter quoi ?
- Même si je préfère baiser ta femme, cest quand même aussi assez sympa de te faire jouir en tenfonçant ma bite dans le cul. En plus, jai envie de prendre le temps de te bourrer et de te faire gueuler, ma poule !
Encore ce « ma poule » que je ne supporte décidément pas. Ce qui minquiète le plus, cest que je crains bien quilnarrive à ses fins : le plaisir monte lentement mais surement pendant quil me besogne : je suis immobilisé et presque captif alors quil me sodomise, et, finalement, ça mexcite encore plus. Le fait quil me traite de salope ou quil commente la situation avec des mots cochons et quil me domine de tout son poids ajoute aussi à cette excitation. Je suis comme hypnotisé par son regard et par son envie de me faire jouir, je narrive pas à résister. Si ça continue ainsi, je vais avoir la honte suprême déjaculer rien quavec sa bite qui me ramone le cul. Plus jy pense, plus je me rends compte que ce serait laboutissement de ces situations humiliantes que jendure depuis plusieurs jours. Ce jeu pervers monte encore dun niveau. Jonathan le sadique encule Nicolas le honteux, et tous les deux sont en train de prendre leur pied.
Oui, cest ça, je me rends bien compte que je narrive pas à calmer ce plaisir qui monte en moi. Je suis subjugué une fois de plus par ce pervers qui mimpose une jouissance que je voudrais éviter à tout prix. Malheureusement pour moi, je nai pas la force de résister. Je capitule. Cest foutu. Jai définitivement perdu la bataille. Je suis déjà en train de pousser des cris de plaisir et Jonathan la bien compris. Il continue de plus belle, il rentre et sort sa queue de mon cul dans un rythme lancinant et inexorable. Il observe et écoute chacune de mes réactions. Il fait durer pour lui comme pour moi. Je vais devenir fou.
- Alors, taimes ça, hein, ma petite salope ?
- Ahhh ! Salaud, jen peux plus, je ten prie
- Mmmm
Quest-ce que tu dis ? Ten veux encore ?
- Ahhh ! Cest bon, espèce de gros dégoûtant, finis ce que tas à faire
- Mmmm
Jadore quand tu gueules comme ça
Jadore quand tu pètes les plombs.
- Oui, cest ça
Finis-moi, ... Espèce de pervers.
- Oh, que jaime ça ! Plus je te bourre, plus ten redemande, hein !
- Ahhh ! Ohhhh
Mes gémissements et mes cris sont ininterrompus maintenant. La honte me submerge au rythme de cette grosse bite qui me ramone le cul. Toutes mes forces mabandonnent. Je rentre dans un orgasme qui séternise et je pousse un long cri, tout près de suffoquer. Ma queue se raidit encore et crache plusieurs giclées de sperme pendant que je perds pied et que je secoue la tête à droite et à gauche en fermant les yeux.
- Ouais, ouais
Vas-y, salope, lâche-toi
Tu vois que javais raison : taimes prendre ma bite dans ton cul, il ny pas à dire
Tiens, je vais me finir aussi, pour la peine.
Jonathan, après avoir ralenti pour me regarder jouir comme un dingue, et maintenant que je me suis vidé, se décide à présent à conclure. Il accélère et me donne des coups de reins puissants. Le pire, cest que, bien quayant éjaculé, je ressens encore du plaisir à sentir cette queue aller et venir en moi. Lorgasme sest éteint du côté de mon sexe, mais je suis encore irradié par une jouissance anale. Mes gémissements sont moins forts, mais la volupté qui minonde reste merveilleusement agréable. Jouvre les yeux pour voir Jonathan sacharner sur moi. Je me sens toujours aussi honteux, mais rien ny fait, au contraire. Plus je me fais pistonner le cul, plus jaime. Ça dure encore quelques dizaines de secondes mais nous sommes au bout : Jonathan pousse des grognements de bucheron pendant quil finit de me bourrer le cul, puis se bloque en poussant un long cri rauque et en se vidant en moi.
Le calme est enfin revenu et je vais pouvoir passer à autre chose. Mais une voix inattendue se fait entendre et nous sursautons tous les deux. Cest Corinne.
- Bravo, les mecs ! En voilà un spectacle instructif ! Il me semblait bien que vous me cachiez quelque chose tous les deux. Javais vu juste.
Je suis comme pétrifié. Javais tout supporté, tout enduré pour éviter ce genre de situation et voilà que ça me tombe dessus dun coup. Je viens davoir la honte de ma vie en me faisant sodomiser et en jouissant comme une salope, mais lhumiliation va encore plus loin : ça vient de se passer devant ma femme !
- Jonathan, je te savais pervers et obsédé, mais toi, Nicolas, tu mas bien eue ! Quand je pense que j'avais du remords à te cocufier ... Pour la peine, je vais ten faire voir, du pays !
Connaissant Corinne, je crains le pire.
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Maudites vacances ! Chaque fois que jy pense, je me souviens de cette plongée inexorable dans la honte et lhumiliation et de ce moment où Corinne ma surpris en train de prendre du plaisir à me faire sodomiser par mon rival. À partir de ce moment-là, jai eu droit à toutes les variantes : comme si limagination de Jonathan ne suffisait pas, cest Corinne qui sest mise à monter les enchères.
Pour la fin de ces vacances jai eu droit à toutes sortes de parties à trois (ou quatre) dans lesquelles jai eu un rôle souvent peu reluisant. Elle a "officialisé" toutes mes humiliations : elle ma obligé à la regarder pendant quelle baisait, à me branler, à sucer Jonathan, à me faire sodomiser par lui pendant quelle et sa copine mataient et commentaient.
Puis pendant des semaines et des mois, jamais à cours d'imagination, elle s'est acharnée, a inventé toutes sortes de trucs avec dautres types, chez nous, dans le train, en voiture et ailleurs
Avec des hommes, mais aussi des femmes,
J'ai tenté de trouver une place moins humiliante, de jouer un rôle plus valorisant, et j'y suis parfois parvenu. Mais bizarrement, je dois avouer que la volupté de se faire dominer en étant cocu, passif ou voyeur est finalement plus intense que tout ce que j'ai connu par ailleurs. Maintenant, Corinne m'associe à ces étranges perversions et j'y prends goût au point de ne plus vouloir men passer. Un de ces jours, je vous raconterai peut-être quelques épisodes croustillants de ma nouvelle vie sexuelle, dans lesquels je nai pas toujours le dessous
Vous trouvez que je ne suis quand même quun faible, un minable, une lopette ? Cest un point de vue qui se défend mais que je trouve simpliste et réducteur : je pense que les gens comme moi qui se laissent dominer peuvent aussi être considérées comme des personnes :
- ouvertes desprit,
- adaptables,
- acceptant linnovation et linconnu,
- capables de se remettre en cause et daccepter des options nouvelles,
- prêtes à partager et à sadapter au plaisir des autres,
- capable dencourager et de stimuler limagination de ses partenaires.
Cest quand même plus valorisant de voir les choses ainsi, non ?
En tout cas, on ne peut nier que cest grâce à des gens comme moi que des femmes comme Corinne et des hommes comme Jonathan peuvent donner leur pleine mesure !
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