Saint Valentin

« Bonjour, j’espère que je ne vous dérange pas ? »
« Non, entre. »
Veille de Saint Valentin, mon voisin venait de sonner à ma porte. Il ne semblait pas trop à l’aise. Bon, nous n’avions eu jusqu’à présent que des discussions de voisins, à refaire la météo. Pas grand-chose à dire sur lui, sympathique, la quarantaine, mariée à une jolie blonde que j’aimais regarder rentrer chez elle. Bon, je l’avoue, j’ai du me branler souvent en pensant à son petit cul.
« Tu veux boire quelque chose ? »
« Oui, je veux bien, cela m’aidera peut être »
« Je n’ai que du whisky. Sec, orange ou coca ? »
« Sec, avec un glaçon si vous avez »
Je suis allé chercher 2 verres, les ai déposés sur la table et servi 2 bonnes rasades. Il avait les joues, comme un jeune communiant qui vient avouer une faute.
Un glaçon dans son verre.
« Tchin ! Quel est l’objet de ta visite ? Détends toi, je n’ai jamais mangé personne, qu’as-tu à me dire ? »
Et là, il est passé du rose au rouge vif.
« Je ne sais pas trop comment le dire ? J’ai peur de votre réaction »
« Ne fais pas ta mijaurée, je suis prêt à tout entendre. Lâche-toi, je vois bien que tu as quelque chose à me demander »
« Et bien voilà, demain, c’est la Saint Valentin et je voudrais offrir un cadeau à ma femme. Elle fantasme sur vous, me parle souvent de vous. Elle n’est pas au courant, je ne lui ai rien dit, j’aimerais, enfin, si vous acceptez… »
Il a repris son verre, a avalé une grande gorgée qui l’a fait tousser, je le sentais de plus en plus mal à l’aise.
« Bon, lâche-toi, que veux-tu ? »
« Je, je, j’aimerais lui offrir un stri, je pensais que je lui ferais un énorme plaisir si vous lui faisiez un strip-tease. Excusez-moi de cette demande, vous avez le droit de refuser, de me foutre dehors, de me traiter de tous les noms »
Il a baissé la tête, fixant ses chaussures.
« Pas de problème, Denis, si cela peut vous faire plaisir.

Bon, je n’ai jamais fait et je ne suis pas sûr de réaliser quelque chose de très érotique. Mais j’ai 24 heures pour m’entraîner. De plus, je ne suis pas sûr d’avoir gardé un physique de sex-symbol, les années m’ont un peu fané. Je dois être prêt pour quelle heure et comment envisages-tu mon spectacle ? »
Je lui ai resservi un verre sans m’oublier.
« Et bien, j’avais envie de lui bander les yeux, d’éteindre la lumière. Je viens vous ouvrir et vous vous placez au milieu du salon. Je lui enlève son bandeau, allume le spot dans votre direction et vous faites votre strip-tease. Vous me feriez un tel plaisir d’offrir ce spectacle à ma femme »
« Pas de problème, Denis, en espérant ne pas trop décevoir »
2 verres supplémentaires et il repartait comme un joyeux luron, se confondant en excuses et remerciements. Sacré Denis, sacrés voisins, 54 ans et me transformer pour une soirée en chippendales. Mais ce petit spectacle m’amusait alors je suis allé fouiller dans mes disques la musique d’accompagnement. Bon, Joe Cocker, inutile d’aller chercher trop loin. Et après, recherche de ma tenue. Il me fallait des fringues faciles à enlever, aucune envie de me rendre ridicule avec des boutons ou une fermeture indélicats.
Samedi 14 février, 20 heures, attente devant la porte d’entrée des voisins. Celle-ci s’est entrouverte et je me suis laissé guider au milieu du salon dans le noir complet.
La musique a démarré, 9 semaines et demi, le spot est venu m’éclairer et j’ai commencé ma danse. Cécile était enfoncée dans son fauteuil, ne bougeait pas, une surprise totale. Après avoir tourné plusieurs fois, je me suis mis de dos et ai fait tomber ma veste par terre. Un coup de pied pour l’éloigner et je me suis remis à tourner au rythme de la musique. Lui faisant face, j’ai arraché les boutons de ma chemise pour lui montrer mon torse. Et je me suis retourné pour la faire glisser sur mes épaules et la laissée tomber à terre. Je suis revenu près d’elle et j’ai commencé à déboutonner mon pantalon, 3 pas en arrière demi tour, et j’ai laissé glisser mon pantalon à mes pieds.
J’avais choisi un string pour qu’elle puisse voir mes fesses. Je me suis penché en avant, ai passé mes doigts sous les élastiques et l’ai laissé glisser le long de mes jambes.
J’ai ramassé le string, l’ai fait tournoyer au dessus de ma tête, puis l’ai jeté. Je me suis penché pour offrir à son regard mes fesses, ai ramassé le bouquet que je lui avais acheté et me suis retourné, m’approchant pour le lui offrir.
Elle avait les yeux grands ouverts, ne sachant pas choisir entre mon entre jambe ou le bouquet.
« Bonne Saint Valentin, Cécile »
« Euh ! Euh ! » Elle semblait complètement perdue, la bouche entrouverte, on aurait dit une petite fille ouvrant son cadeau de Noël.
« Prends ton bouquet et trouve lui un vase »
Elle s’est levée difficilement, j’avais l’impression que ses jambes avaient du mal à la tenir et s’est dirigée vers la cuisine, nous laissant un petit moment seul avec Denis.
« Je ne sais pas si j’ose vous le demander, mais j’aimerais que vous laissiez ma femme vous toucher. Je suis sûr qu’elle en a envie mais elle n’osera pas vous le demander. J’aimerais tant lui offrir ce plaisir ».
Elle est revenue avec son vase avec les fleurs, l’a posé sur la table de salon et s’est rassise.
« De quoi as-tu envie, Cécile ? », lui demandai-je, face à elle, les mains derrière le dos.
« J’aimerais toucher » dit-elle en tournant son regard vers son mari.
« Vas-y, ma chérie, si Monsieur te l’autorise »
« C’est ta fête, fais ce que tu veux » me rapprochant d’elle.
Timidement, elle a avancé sa main et s’est posé sur mes couilles, les soupesant, les caressant ce qui me mit aussitôt en érection.
Sa bouche s’est approchée de mon gland, elle s’est entrouverte et comme elle semblait hésitante…
« N’écoute que tes envies, prends moi en bouche et fais moi jouir »
Elle a alors posé ses lèvres sur mon gland, timidement, l’a embrassé. Puis, ses lèvres se sont entrouvertes et sa langue est entrée en action, le contournant, le léchant.
Puis, elle m’a prise dans sa bouche. Je voyais qu’elle y mettait un maximum d’applications. Elle ne semblait pas très experte mais qu’elle y mettait tous ses soins pour me donner du plaisir.
« Denis, ta femme est très attentionnée. Avec une petite formation et un peu d’expérience, je pense qu’elle serait une merveilleuse suceuse. Elle te suce souvent ? »
« Presque jamais. Elle a du le faire qu’une dizaine de fois et à chaque fois, j’ai du lui demander cent fois »
J’ai caressé la joue de Cécile, puis j’ai posé ma main sur le dos de sa tête pour qu’elle me prenne entièrement en bouche. Elle a eu un petit recul puis m’a laissé pousser sa tête et elle m’a engobé. Elle a eu un haut le corps quand j’ai attient le fond de sa gorge et s’est retirée. J’ai de nouveau appuyé un petit peu sur sa tête et elle m’a de nouveau engobé. Je n’ai plus eu à intervenir et elle m’a faite une superbe gorge profonde. Je n’ai retenu sa tête que pour éjaculer dans sa bouche.
« Avale, petite chérie », ce qu’elle fit lentement.
Après avoir sucé une dernière fois, elle s’est rassise dans son fauteuil.
« Denis, si tu allais nous chercher à boire pour fêter cette soirée ? »
« Quelle bonne idée, j’ai acheté du champagne, tu veux une coupe, ma chérie ? »
« Oui »
« C’est OK aussi pour moi »
Il est revenu quelques minutes plus tard, avec sa bouteille et ses coupes et nous a servi.
« Tchin ! Si Cécile est d’accord, j’aimerais que vous lui fassiez l’amour »
Cécile a de nouveau baissé la tête et un petit « oui » est sorti de sa bouche.
« Je n’ai pas très bien entendu, Cécile, peut être l’âge m’a-t-il rendu un peu sourd. Que veux-tu ? »
« Je voudrais… que vous me fassiez… l’amour »
« Non, Cécile, je ne crois pas que c’est ce que tu veux, je pense que tu préfèrerais que je te baise »
« Oui »
« Oui quoi ? Cécile. Demande le moi »
« Baisez-moi, Monsieur »
« Denis, tu vas baisser un peu la lumière, me resservir à boire et Cécile va nous faire un joli strip-tease, que je puisse profiter de ses charmes »
Denis s’est levé, a de nouveau rempli mon verre, m’a invité à m’asseoir dans un fauteuil, a pris sa femme par la main pour l’inviter à se lever et à se placer au milieu du salon, l’a embrassé en lui glissant un « je t’aime ».

Je n’ai pas eu un spectacle d’effeuilleuse professionnelle mais sa timidité et sa pudeur ont accentué l’érotisme de la scène. Elle hésitait entre commencer par le haut et par le bas. Elle a d’abord retiré son pull, puis son T shirt pour faire apparaître un joli soutien gorge blanc, bordé de dentelles. Puis elle s’est attaquée à son jean, qui arrivé à ses pieds se refusait de continuer son chemin à cause des chaussures. Elle du s’asseoir pour les retirer. Elle s’est relevée, nous montrant une petite culotte bien sage. Une petite tâche dans son entrejambe montrait que ce début de soirée ne l’avait pas rendu insensible. Elle s’est mise de dos pour dégrafer son soutien gorge puis s’est retournée. Je l’ai invitée d’un sourire à enlever ses mains qui les cachaient. Elle a rapidement fait glisser sa culotte et elle se tenait droite, un bras devant ses seins, une main cachant son sexe.
« Cécile, si tu veux que je te baise, il va falloir te montrer. Dans peu de temps, je saurai tout de ton anatomie, plus même que ton gynéco. Denis, tu veux bien mettre la lumière à fond que je puisse l’admirer. Et puis, je te demande de te mettre aussi à poil à côté d’elle, il n’y aucune raison que tu ne participes pas toi aussi à cette fête »
Il s’est levé, a allumé toutes les lumières et est venu se déshabiller. Ils étaient maintenant les 2, l’un contre l’autre, tous timides, cherchant à se dissimuler.
« Mettez les mains sur la tête »
Elle avait de jolis petits seins, encore semble-t-il bien fermes, un petit ventre rebondi et une chatte bien soignée, juste un petit ticket de métro blond laissant apparaitre ses lèvres. Lui, 2 jolies bourses et un tout petit sexe, sans un poil.
« Retournez-vous pour me montrer vos culs »
J’avais maintenant devant moi une paire de fesses. Un cul de femme est quand même plus joli, plus en rondeur et beaucoup plus attirant que des muscles poilus.
« Ecartez un peu les jambes, penchez-vous et écartez vos fesses pour me montrer votre trou du cul »
Ils ont semblé hésiter et Denis s’étant tourné, Cécile fit de même et j’avais maintenant une superbe vue sur 2 petits trous du cul. Pour goûter pleinement au spectacle, j’ai siroté tranquillement mon verre.
« Denis ne t’a jamais enculée ? »
« Non »
« Pourquoi ? »
« Il me l’a proposé plusieurs fois et je n’ai jamais voulu »
« Pourquoi ? »
« C’est dégueulasse »
« Denis, vous avez du lubrifiant ? »
« Non »
« Va chercher du beurre », ce qu’il fit immédiatement. Sa précipitation laissait supposer qu’il considérait ma demande comme une victoire, elle allait offrir ce soir ce qu’elle avait toujours refusé.
« Cécile, demande-moi de t’enculer, de te dépuceler du petit trou »
« Oui, Monsieur, enculez-moi »
Denis est revenu avec sa motte de beurre dans les mains.
« Tu vas me préparer ta femme, elle m’a demandé de la dépuceler. Commence à regarder son petit trou comme il vit, respire, voit comme il bouge. Commence d’abord par le caresser pour lui apprendre ton doigt. Tu peux également le toucher avec ta langue pour le goûter, puis l’inciter à s’ouvrir en le forçant un petit peu. Prends tout ton temps, ne sois pas agressif. Tu verras rapidement le changement, il va bientôt accompagner tes caresses. Chaque fois qu’il se détend, cherche à aller plus loin, s’il se ressert, retire-toi. Maintenant, tu vas prendre du beurre sur ton doigt et bien l’étaler sur son trou. Masse bien pour le faire fondre et rappelle-toi, à chaque fois qu’il se desserre, profites en pour aller un peu plus loin. Tu vois, elle s’est ouverte, tu as déjà pu enfoncer une phalange et je vois qu’elle n’est pas insensible, la pointe de ses seins se sont dressés. Retire-toi, reprends un peu de beurre et recommence ton travail. »
Je me suis levé pour caresser ses seins qui pendaient, j’avais envie de voir ses tétons pointer de fierté. Je les ai fait rouler entre mes doigts. Puis, j’ai appuyé sur le bas de son dos pour qu’elle se cambre un peu plus. Denis en a profité pour enfoncer complètement son index.
« Tu vois, elle vient de t’accepter. Attends quelques secondes pour qu’elle s’habitue, puis fais bouger ton doigt comme si c’était une petite bite. N’hésite pas à le faire tourner, tu dois essayer de continuer à l’élargir »
Denis écoutait et appliquait mes paroles. Il bandait maintenant.
« Tu vas essayer de mettre un deuxième doigt, mais fais le très doucement, tu ne dois jamais la brusquer. Son trou du cul va résister mais tu dois être le plus fort, tu dois insister pour qu’il se libère, pour qu’il s’offre. Tu aimes avoir un doigt dans le cul, Cécile »
« Oui, Monsieur, je suis prête, venez m’enculer »
« Denis, c’est à toi de faire, enlève tes doigts et place ta bite sur ton trou et encule là, donne du plaisir à ta femme »
Il a retiré ses doigts, s’est redressé mais quand il a placé sa bite sur son trou, il a éjaculé et a débandé aussitôt.
« Ce n’est pas grave, Denis, assieds toi sur le fauteuil et reprends des forces, j’aurai besoin de toi tout à l’heure ».
Pendant qu’il s’asseyait, j’ai pris sa place, mis ma bite contre son trou et me suis enfoncé. Je n’ai pas senti beaucoup de résistance, il me l’avait magnifiquement préparée. Elle était bien serrée et je prenais un réel plaisir à la ramoner.
« Je vais avoir besoin de toi, Denis », lui dis-je en relevant Cécile tout en restant dans son cul.
« Viens l’embrasser, puis mets ta bite dans sa chatte, on va lui offrir son premier double ».
Il ne s’est pas fait prier, s’est aussitôt levé, l’a embrassée, puis s’est introduit dans sa chatte. Elle a poussé un grand râle :
« allez-y, baisez-moi, c’est si bon »
Après quelques va et vient, j’ai proposé à Denis d’échanger les places, je savais qu’il avait trop envie de l’enculer et que leur relation serait différente. Nous nous sommes retirés, avons échangés nos places et nous sommes enfoncés en parfait duo. Cécile s’est mise à crier de plaisir
« Oui, oui, défoncez-moi »
J’ai pris sa bouche et lui ai roulé une magnifique pelle et ai pris ses seins à pleines mains. Nous avons du éjaculer les 2 en même temps. Nous nous sommes retirés et elle est tombée à genoux.
« Viens ici, Denis, elle va nous prendre en bouche pour nous nettoyer.
Denis est venu se placer à mes côtés, Cécile a pris sa bite et l’a enfoncée dans sa bouche, puis s’est occupée de la mienne.
Nous avons bu un dernier verre. Ils avaient un peu changé, Denis n’arrêtait pas de se caresser, Cécile se tenait les jambes écartées tout en sirotant son champagne.
« Je vais devoir vous laisser, bonne Saint Valentin »
« Restez avec nous cette nuit » me dit Cécile, « notre lit est grand et cela nous ferait plaisir »
« Je suis désolé, Cécile, mais je vais rentrer chez moi. J’ai pris un énorme plaisir à cette soirée. Tu es un sacré bout de femme, pleine de charmes. Cette fête, c’est la votre et je n’ai aucun doute que Denis saura très bien la terminer. Je suis sûr que tu as plein d’autres fantasmes et quand tu sauras les exprimer, viens me voir et nous en discuterons ».
Sur ce, je me suis levé, me suis rhabillé, l’ai prise dans mes bras et l’ai embrassée. Puis, je me suis approché de Denis et lui ai serré la main.
« Bonne nuit, les tourtereaux » et je suis rentré chez moi.

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