Dansons...
Dansons
Ça suffit maintenant, vas te faire voir ailleurs ! Vas te faire décoincer où tu veux ! Je nai pas que ça à faire !
Je laccompagne à la porte, ramassant ses affaires trainants, elle pleurniche, je me montre insensible à ses larmes de crocodile sur le palier de la porte. Je la ferme sur Lilly. Au revoir !
Non, quelle mouche ma pris de lembarquer, une fille rencontré sur un parcours vitae au bord du Lac Léman, fichtrement bien montée, beau visage, blonde, cheveux courts, afin une nana sportive, expansive et gaie. On sétait déjà croisés plusieurs fois. Cest son rire qui me la fait remarquer, son éclatement de rire sympathique. Lilly avait ce petit plus en elle, qui a fait que
Son allure mattirait, on arrêtait de courir pour sessouffler un instant, nous voilà devant limmeuble où jhabite au quartier des Eaux-Vives. Il faisait trop froid pour rester immobile, je lai invité venir se réchauffer chez moi.
- Un thé bien chaud fera laffaire, me répond-elle.
On montant dans lappart Lilly a bien regardé mon nom affiché :
- Cest Gillou
- Eh oui Lilly en life.
Lilly voulait savoir ce que je faisais dans la vie et si je vivais seul. Elle cest défait le haut de sa combinaison de training pour ne pas transpirer, je lui ai indiqué un fauteuil au salon, le temps de lui préparer son thé.
- Gillou, je peux mettre un CD ? Houa, tu as tous les disques de Barbra Streisand ! Je ladore ! Et encore Whitney, cool, salsa et tout le tralala. Chouette !
- Bien sûr tu peux, choisit ! Fais comme chez toi.
Je lui ai ajouté un peu de rhum, bien sucré son thé, de quoi à se réchauffer. A mon arrivé au salon Lilly était en soutien-gorge et frottai sa chemise à son cou, agenouillé devant le lecteur CD. Elle se leva pour se laisser gondoler au rythme de la musique, je lai pris dans mes bras et on a dansé envoutés de la chanson « People » de Barbra. Lilly se laissait guider par ma façon particulière de danser un slow.
Lilly gâchait son geignement apparemment gêneur, mais il ny a pas de doute, Lilly a bien et belle jouit. Pas de moyen de lui faire lever la tête, elle se détachait de moi, me laissant avec ma bosse sur ma faim.
Il y avait la tension dans lair, plus de ce fameux sourire qui mavait tant attiré. En goutant son thé refroidi, Lilly me regardait, fuyait mes yeux, me cherche à nouveau, me disant :
- Gillou, je ne sais pas ce quil marrive, je suis lesbienne et à mes 21 ans je nai point eu dhommes, mais
là, je suis perdue. Je testime grandement, même si on est encore des parfaits inconnue, mais jusquà cet instant je navais que des yeux rivés vers les femmes et je me découvre dun coup pas si sûr que ça. Cette attirance pour moi est nouvelle et je ne suis moins certaine que cela, de vouloir franchir le pas. Jai bien senti ton entrejambe, et je tavoue quil me fait peur et meffraie
de lautre coté, euh ???
Lilly sétait rhabillée de son haut, commençant à se zipper la fermeture depuis en bas. Je mapprochais delle, reluquer son magnifique buste, soupesais ses seins, quand Lilly sest retirée abruptement.
- Holà, Lilly, laisse-moi admirer tes formes, il ny a pas de mal à ça, non ?
Sans dire mot, Lilly se mettait à membrasser. Dabords doucement, tâtant, langue inquisitrice, ensuite déchainée. Ce baiser durera un long moment, accompagné des tendresses corporelles. Sa chemise entrouverte me donnait un élan de découvertes, jai quitté sa bouche pour sublimer tendrement un mamelon qui se dressait fièrement vers moi.
- Je suis navré Gillou, non pas ça !
Donc Lilly minterdisait sa cocarde pourtant chaude à caresser.
Bon, puisque je suis respectueux envers lautrui, je mets un terme à cette relation tumultueuse, comme je lexpliquais au début du récit.
Jétais de loin prêt à adopter la doctrine : « une de perdue, dix de retrouvés ». Ce nest ni mon style, ni ma conviction intime. Javais du mal à admettre ce qui mest arrivé, mais bon
?
Je navais pas envie du tout de me consoler auprès dune copine. Je poursuis mon train-train, prépare à manger en solidaire, mets les nouvelles télévisées et choisi un programme à regarder.
Il ny a pas à dire, Lilly me trottait dans la tête en manque dune soirée assouvissant avec elle.
A 21 heures le téléphone sonne :
- Cest Lilly, je peux passer Gillou ?, mais il y a aussi Manon, ma compagne. On veut te parler !
- Euh
eh ben, je suis un peu dans lembarras, mais, ouais, si vous voulez. Radote-je, bouche bée. Mes sentiments démotions encore détendus il y a trois heures auparavant, se décrispèrent. Quy a-t-il ce qui mattend ?
- Vous-êtes où maintenant ?
- On est devant la porte en bas, si tu veux bien nous ouvrir.
Je réceptionne les deux minettes. Manon est un vrai canon de métisse, elle doit avoir une dizaine années de plus sur son compteur que Lilly. Elles se présentent comme amantes, couple lesbien depuis deux ans.
- Que puis-je pour vous ? Vous offrir un verre ?
Manon prend la parole :
- Une coupe ou un verre de blanc volontiers. Si tu ne vois pas inconvénient, on se tutoie. Jai ma ptite idée pour maintenir le bonheur de Lilly. Elle men a parlée de son coup de foudre pour toi. Pas de soucis pour moi, je suis daccord de partager mon bonheur. A toi de jouer franc jeu !
De ce fait, Manon se lève, enlève tout lattractif habillement de son buste volumineux. Quel bombasse de globes à laréole large, ordonne à Lilly de légaler.
A peine digéré ce quil marrive, Manon fait déjà valser le sang de Lilly en la caressant et léchant. Lilly se cambre, bouge sa tête de chaque coté, se baigne dans le bonheur. Manon lui défait sa jupe et string, même son porte-jarretelle, elle la veut, comme elle est venu au monde, nue ! Manon se laisse déshabiller par Lilly.
Je leur tiens une coupe de champagne, les déshabillant plus que nues avec mes yeux, je les vois déferler au fond de leurs cavernes, avant que Manon fasse la fête à Lilly. Manon sait diriger et vaincre la timidité de Lilly, une vraie cheffe en matière, meneuse de trique. Tout ça est joué avec plus grand naturelle, digne du professionnalisme, quelle nen ait pas, selon ses dires.
- Tiens-toi prêt quand je te dirai, mets-toi déjà à laise et libère ton gourdin. Tu sais chez nous gouines la préliminaire est la chose la plus importante.
Lilly se met confortablement en posture sur le divan, les yeux fermés. Manon me demande à couvrir ses seins de caresses et léchouilles et de lembrasser. Manon, elle commence par les pieds de Lilly et applique ses caresses à chaque centimètre dune jambe et lautre pour finalement se morfondre en clitoridienne acharnée, ouvre ses pétales en sanctuaire accueillant. Sous ses coups de langue, ses muqueuses se rendent rouge brillantes. Je dois abandonner la bouche de Lilly, car le souffle lui manque pour se laisser aller onctueusement à gémir. Manon me fait signe de la relayer et achever la jouissance de Lilly. Elle me remplace aussitôt pour sublimer le haut. Cyclone et tremblement fut sous ma langue, Lilly sagrippe à Manon de toute sa force. Une coupe pour saltérer, Lilly à mon coté droit, Manon à gauche. Saluant ce pétillant avec le nectar intime de Lilly, le verre posé, Manon prend la main de Lilly et la porte, comme première, sur ma bite qui sautille dérection. Jadore la manière délicate de Manon de familiariser Lilly avec mon braquemard en douceur.
- Chaque chose à son temps chérie, avance Manon.
Lilly comprend tout de suite, elle emmène sa belle et aphrodisiaque compagne dans ma chambre à coucher, en me trainant en main. A croire ou pas, par ma queue. Elle tire le couvre-lit, éloigne la couette, menvoi de lautre coté du lit, place Manon en diagonale sur le lit. Me regardant, elle se concerte la façon à diriger en commençant chacun par un pied dune main, lautre cajole son corps, ses seins, doigts pincent ses tétons. Le sanctuaire jambe terminé, nos deux bouches sapprochent conjointement sur le temple du plaisir de la belle, magnifique métisse à jouer. Lilly elle aussi est dans son élément, me cédant en premier son récipient à remplir de sa cyprine galactique. Etant métisse, sa peau légèrement teinté bronze, ses pétales vaginales généreuses, bordées dune couleur foncé aux bords, mais un rouge vif et folâtre de part ses muqueuses et pardessus un clitoris géant. Une véritable pinette à branler et à sucer. Doté dune sensibilité extrême, ses tétons agacés par Lilly, Manon saute en direct dans un premier orgasme houleux.
- Lèche-moi ma chatte chérie à ton tours et tu sais
encore mhonorer comme tu sais faire
Le mot a passé, Lilly sapplique, Manon couenne de belle lurette dêtre embouche par Lilly en même temps quelle lui passe deux doigts dans son pli anal largement lubrifié. Malgré tout missives jouissives, Manon me fait comprendre que ma place est à ta tête, elle veut une gorge profonde. Je madonne à cette seringue buccale en pinçant forte les tétons géants delle simultanément. Graciée maintes fois de lemploi de Lilly en fontaines, Manon avale mes jetés séminaux, aussitôt elle me dit :
- Encule-moi Gillou, non, attend, cest moi qui va le faire en « Andromaque », Lilly se mettra à mon coté pour mharponner. Souffle systolique, Manon taraude lexquis corridor anal avec mon pieu, nous joue Symphonie théâtrale dune ampleur inédite, une véritable brame de gorge finale. Cette trique est la première scène épistolaire hétéro pour Lilly et animé de satisfaction telle quelle sest invité à sa première visite vaginale dans la même position Andromaque.
Manon lui accompagne et lenflamme avec deux doigts dans son intestin. Nos instruments de laboures font fondre littéralement Lilly dans un tsunami. Lilly ses cordes vocales dans une extrême jouissance et ne sarrêtant pas au premier. Lilly saute comme une cinglée de baise, pour elle sa première fois fut une révélation ahurissante.
Lilly a vaincue sa peur et elle en fait son outil en post dilection. Une soif en elle commençait lui faire prendre chemin dans une union parfaite, basé sur en ménage à trois.
Pour que laudition de nos étreintes reste dans un cadre strictement privé, jai acheté une propriété campagnarde en France voisine.
Jai é chacune de mes compagnes à une année dintervalle. En commun accord nous nous sommes désunis cinq ans après pour rester les meilleurs amis du monde. Leurs ambitions ont trouvés refuge dans un nouveau cadre, professionnelle pour Manon et familiale pour Lilly.
Avec lenthousiasme elle mont donnés lautorisation de publier ce récit : ça pourra décoincer bien dautres.
Cest vrai ?
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