Ma Nouvelle Vie De Salope (Suite D'Une Soirée Inattendue)
Après cette soirée, jai eu du mal à me remettre. Les choses avaient pris une tournure complètement imprévue, lidée de retourner au travail me tracassait beaucoup. Dailleurs est ce que javais même encore un travail ?
Mes émotions se mélangeaient. Il faut dire que javais toujours été une fille très droite, simple. Javais jusque-là toujours adhéré à des valeurs traditionnelles, un monde sans adultère. Je navais connu que mon mari puisque je lavais rencontré à lâge de 15 ans et lui avait toujours été fidèle, à lexception de mon imagination lors de mes plaisirs solitaires. Je navais jamais envisagé ce genre de vie non plus. Pourtant, mon corps ne lentendait pas de la même manière. Mes sens étaient en éveil, je découvrais de nouvelles sensations. Javais limpression que tous les regards étaient sur moi. Ou peut être était ce mon attitude qui avait changé. Quoiquil en soit, alors que je me débattais intérieurement avec ma moral, mes désirs les plus inavouables prenaient de plus en plus de place. Je ne pouvais mempêcher denvisager tous les regards comme une invitation à faire de nouvelles folies. Les hommes que je croisais, comme de potentiels amants parfois même dautres femmes. Cela me déroutait complètement.
Mon mari quant à lui, se contentait de me prendre dans ses bras et de membrasser langoureusement. Son regard aussi avait changé. Son corps à lui aussi était clairement en ébullition et son appétit pour moi, débordant.
Le lundi arriva trop vite à mon gout. Lorsque je poussais la porte de lagence, mon cur était sur le point dexploser. Je ne savais plus où me mettre et je décidais de faire comme si de rien nétait en attendant que John (mon patron) arrive. Je minstallai donc à mon ordinateur et consultai mes mails. Je reçu un sms de mon époux qui me souhaitait une bonne journée. Je le connais suffisamment pour deviner quil ma envoyé ce message narquois en étant dure et serrer dans son pantalon. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus excité de la situation.
Lorsque John arriva, il dit bonjour à tous comme à son habitude. Il me remercia davoir pris son rdv au pied levé et me dis :
- « Apparemment tu as fait des miracles, Mathias à signer un énorme contrat. »
Je cru voir dans son sourire un petit air malicieux mais jétais bien trop concentrée sur mon cur qui battait à tout rompre pour en être vraiment sur.
De toute la semaine, je neus plus aucune autre remarque sur ce fameux client. Pourtant le samedi, je suis en tête à tête avec John, nous sommes toujours tous les deux ce jour là. Les autres ne travaillent pas. Javais beau douté que mon mari aille vraiment envoyé la vidéo à John, je nétais pas pressée de découvrir ce quil men dirait une fois seul. Malgré ce stress, ma semaine avait été rude, mes culottes simbibaient dexcitation les unes après les autres. Ma tête était sans cesse perdue dans mes fantasmes, le rappelle de cette soirée. Javais toujours le clitoris gonflé et lenvie permanente de glisser ma main le long de mon sexe pour me soulager. Pourtant ce nétais pas possible et je devais attendre le soir, la douche pour me caresser longuement. Ensuite, je laissais mon homme me prendre sans y sentir un réel plaisir. Javais déjà conscience quil nétait pas un amant fabuleux mais depuis que javais gouter à la brutalité de vrais hommes, sétait encore pire.
Bref, Samedi arrive et jattend John à lagence. Je nai pas de RDV la matinée mais beaucoup de dossiers à traiter avec le patron. Je reçois un appel :
John : « Justine, je ne vais pas savoir venir aujourdhui, tu vas devoir te débrouiller seule, je te resonne plus tard pour voir comment tu te débrouilles ».
Alors que javais redouté ce moment toute la semaine, jétais déçue. Javais secrètement espéré que nous pourrions avoir une conversation et que je puisse ainsi passer à autre chose. Je ne su pas me mettre au travail directement. Jimaginais la conversation que je pourrais avoir avec John et cela me procurait une envie indéniable.
Mon patron été un homme charmant, grand brun, avec un regard troublant et un corps puissant. Javais toujours trouvé quil était bel homme mais ment, je ne marrêtais plus à cela, jimaginais cet homme me prendre sauvagement. Je senti mon clitoris se gonfler de nouveau et mes tétons se durcir sous ma chemise. Alors que jimaginais toutes sortes de choses, ma main se glissa dans mon soutien gorges, lautre sous ma jupe déjà relevée. Jétais seule et avant de pouvoir me remettre au travail, il me fallait sortir de ma tête toutes ces chaudes pensées, du moins si cétait possible.
Je commençais par malaxer légèrement mes seins, et pincer mes tétons. De lautre main je caressais doucement dabord mon clitoris, reprenant mon jus entre mes lèvres avant de revenir. Jenfonçais un doigt puis deux de plus en plus frénétiquement. Je soupirais de plaisir et je nentendis pas la porte du bureau souvrir. Ce nest que bien des minutes plus tard que japerçus dans lentrebâillement de la porte John, sexe en main qui me regardais.
« Si tu savais comme jai bandé toute la semaine sur ta vidéo. Je savais que tu nétais pas aussi sage que tu voulais le laisser croire, en réalité tu es une vraie petite salope. Lève-toi ! »
Jétais bien trop excitée pour réfléchir, son sexe était si dur quil ny avait aucun doute sur leffet que je lui faisais. Jexécutais donc sa demande sans réfléchir. Il sapprocha et magenouilla. Sans un mot, il magrippa ma queue de cheval et menfourna sa bite dans la bouche.
« Suce-moi bien ! mmm vas-y bien fort » Il mencourageait à la glisser de plus en plus profondément dans ma gorge et me maintenait la tête. Je sentais sa verge se gonfler de plus en plus. Dun coup il me repoussa et me dit
« Putain tu suce vraiment trop bien jai failli venir mais ce serait trop facile, je veux moi aussi te baiser comme la chienne que tu es.
Il sassit alors sur le siège de bureau et mordonna de mempaler sur sa queue. Je ne me fis pas prier. Alors quil me donnait le rythme en me tenant par les hanches, je me perdais dans un orgasme si puissant que mes jambes tremblaient en entier.
« Lève-toi et mets toi à genoux devant moi, je vais te donner ce que tu veux ma petite pute ! »
Il me gicla sur les seins tout ce quil avait. Ses cris étaient si fort que je ne pouvais douter quil avait pris son pied à me prendre de la sorte. Il ajouta.
« Ainsi ton cocu de mari pourra voir létendue de tes prouesses, maintenant rentre chez toi. Je veux te voir lundi à la première heure mais sache que tu nas plus jamais le droit de porter une culotte dans ce bureau. Si tu veux garder ton travail, je veux pouvoir me vider aussi souvent que jen ai envie dans ma nouvelle petite salope »
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