La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 388)
Suite de l'épisode précédent N°387 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Le Majordome sempresse de rejoindre lintendance pas mécontent malgré tout de sêtre débarrassé pendant quelques temps du « panier de poireaux » quil avait prévu de traîner tout laprès-midi. Il sapproche de son bureau et entre sans frapper dans cette pièce comme à son habitude, sûr de ny trouver affairée que lesclave-femelle Océane MDE quil a réquisitionnée comme tous les après-midi pour assurer les basses tâches matérielles de secrétariat et laider dans ses fonctions dintendant du domaine. Entendant le bruit de la porte qui claque en se refermant, lesclave, qui était en train de travailler sur lordinateur et navait rien vu, se lève précipitamment, sagenouille et sincline jusquà ce que sa tête repose sur le sol, le cul nu et bien relevé, attendant lordre de pouvoir reprendre son travail. Océane MDE est consciente de la place privilégiée quelle occupe pouvant rester assise sur une chaise, bien au chaud dans le bureau de Monsieur Walter, tandis que tant dautres saffairent dans des tâches plus harassantes à lentretien du Château et des dépendances. Elle fait de son mieux pour donner entière satisfaction au Majordome qui supervise et encadre son travail, mais en réalité pour donner satisfaction au Maître Vénéré auquel elle appartient.
Océane MDE est totalement nue comme tous les esclaves du cheptel, ne portant que son collier de chienne autour du cou, duquel pend une courte laisse en cuir. Lesclave-soumise a été choisie pour ses compétences vanille en la matière de secrétaire de direction qui reste sa formation première, mais elle sait très bien que bon nombre dautres esclaves mâles ou femelles pourraient remplir ces fonctions, tout aussi bien si ce nest même mieux. Elle sapplique donc mille fois plus quelle ne laurait fait pour un simple employeur professionnel vanille. Servir le Maître Vénéré reste son vu le plus cher, ce qui lui permet de vivre sa soumission au quotidien dans une vraie Dévotion, Vénération dautant plus sublimée quelle a plus souvent la chance que dautres dapercevoir le Marquis dEvans en personne, notamment parce quelle est souvent présente pour prendre des notes lorsquil y a des réunions de travail qui ont lieu dans lenceinte du Château, soit avec le personnel et/ou le Majordome, soit avec des personnes en relation daffaires avec le Noble qui ne peut jamais oublier même lorsquil se repose dans son Château quil est avant tout un « businessman » très soucieux de la bonne marche de ses nombreuses sociétés et holding financière.
- La chienne, tu peux te relever. Apporte-moi sans tarder le signataire car je ne vais pas pouvoir rester ici très longtemps. Depuis lincident de ce matin, je suis très en retard sur mon planning quotidien, dautant plus que jai dû prendre en charge le dressage dune nouvelle recrue, ce qui nest vraiment pas pour mavancer dans ce que javais prévu de faire aujourdhui.
- Monsieur Walter, pardonnez-moi. Je viens juste darriver à 14h pile comme dhabitude et je nai pas encore terminé de rédiger tous les chèques. Voulez-vous que je vous apporte déjà ce qui est prêt ?
Walter durcit sa voix pour répliquer, car il naime pas du tout que qui que ce soit se permette de lui répondre et de contrecarrer ses ordres et ses projets, même sil se doute que matériellement lesclave na pas du beaucoup chômer depuis son arrivée car il nest effectivement pas très tard. Mais son petit côté pervers se trouve satisfait car il a trouvé une occasion de profiter de la situation et de malmener un peu celle quil maintient cloitrée et isolée dans son bureau.
- Comment cela ? Tu oses me dire que tu nas pas encore terminé ! Tu crois vraiment que tu es ici pour te prélasser à rien faire ! Et bien, cela ne va pas être compliqué, autant de chèques non prêts à la signature, autant de punitions pour tes fesses, car tu vas mobliger à modifier mon emploi du temps pour revenir signer ces chèques plus tard, sans parler du temps que je vais perdre à te fustiger convenablement.
Lesclave sait très bien quelle ne doit pas chercher à argumenter si elle ne veut pas encore plus senfoncer et récolter le doublement de sa punition, même si son tempérament masochiste lui fait penser que cela ne serait pas pour lui déplaire après tout.
- Alors, il en manque combien dans ce parapheur ?
- Sept, Monsieur Walter. Sept chèques que jétais en train de préparer. Je suis désolée, mais vous maviez laissé aussi beaucoup de commandes à préparer aujourdhui.
- Sept ! Et bien cela te vaudra 7 coups de cannes, plus deux pour avoir tenté par deux fois de me soudoyer avec des excuses bidon dont je nai que faire. Oui, jy pense, il y a aussi le courrier à signer. Je nai pas eu le temps de passer ce matin au bureau pour men occuper. Jose espérer là au moins que tu avais tout terminé hier soir avant de songer à ten aller.
- Oui, Monsieur Walter. Le signataire avait été laissé sur votre bureau en partant comme à mon habitude.
Walter prend le parapheur du courrier à signer et se met à lire les lettres une après lautre. Tout dun coup, il se met à fulminer tout fort et att un stylo rouge se mettant à griffonner un large rond sur lune des pages. IL att la tignasse de lesclave toujours agenouillée en face le bureau et la tire vers lavant lobligeant à se redresser et à se courber sur le bureau, tandis quil lui plaque la tête sur la lettre qui comporte visiblement une unique faute dorthographe.
- Ne sais-tu pas encore que Monsieur le Marquis dEvans est très à cheval sur le respect de la langue française ? Heureusement que je relis tout, car je nose imaginer sa réaction sIL savait que du courrier avec lentête du Château de ses ancêtres et son titre de Marquis était posté rempli de fautes dorthographe.
Le Majordome dun ton mielleux, presque imbu de lui-même, et dans un français qui nest pas des plus châtié pour quelquun qui se permet des remontrances, ajoute :
- Cest pourtant simple la règle des accords avec le verbe avoir, on apprend cela à lécole primaire. Cest une histoire daccord si cest placé avant, même moi je le sais !
Lesclave Océane MDE att la feuille gribouillée dun large cercle rouge concentrique qui encadre le mot « coûté » quelle naurait pas accordé dans la phrase «
les 100 euros que nous a coûté votre équipement
». Lesclave est sûre et certaine de sa rédaction, car elle a justement fait très attention en rédigeant de revérifier les cas dexception des règles daccord des participes qui ne sont pas aussi simples que le Majordome voudrait bien le lui faire croire. Mais elle ne sait comment faire pour expliquer cela à Monsieur Walter qui ne voudra jamais entendre raison, surtout si lexplication lui est fournie par une simple esclave. Pour autant, elle hésite quand même un peu à réimprimer la lettre en la « corrigeant », en y insérant délibérément cette fois une faute daccord, tout cela pour faire satisfaire le Majordome qui semble si sûr de lui. Se disant que 9 coups de canne, sans compter la punition supplémentaire qui devrait tomber pour cette soi-disant faute qui nen était pas une, cest déjà suffisant pour échauffer son postérieur qui devra reprendre et maintenir une position assise le reste de laprès-midi. Lesclave-soumise sempresse donc de faire ainsi que cela lui a été demandé, voulant satisfaire plus le Majordome à qui elle doit obéir que lAcadémie Française après tout.
- Tu as décidé de les accumuler aujourdhui ! Histoire de ménerver un peu plus ! Tu ne penses pas que jai eu ma dose ce matin avec les débordements dessai76.
Lesclave-femelle se sent presque contente de se faire un peu rabrouer, car la plupart du temps, elle reste seule dans le bureau sans lever la tête, sattelant à sa tâche avec conscience mais regrettant parfois de navoir quun écran avec des chiffres ou un stylo avec des papiers pour lui tenir compagnie. Elle se dit que quelques petits plaisirs D/s pour ses fesses ne pourront pas lui faire de mal et rien que cette pensée la fait mouiller de lexcitation qui la gagne. Océane MDE se recroqueville, se mettant à trembler, autant dexcitation que de peur réelle, en se disant que Walter a sûrement cherché à lui tendre un piège, connaissant sa perversité coutumière, bien quelle soit étonnée à lidée de penser que le Majordome, qui est performant dans les fonctions quil assume avec conscience et dévouement incontestable, lui semble ne pas être un as dans la linguistique et quil ait pu connaître la subtilité des exceptions des accords de la grammaire française. Focalisée sur son idée, elle ne pense même pas au fait que Walter a juste remarqué simplement quelle navait pas pris soin de se déplacer comme cela lui est imposé, c'est-à-dire à quatre pattes. Elle est donc surprise lorsque le Majordome att son collier à pleine mains et la traîne carrément sur le sol à sa suite en la faisant glisser pour revenir jusquà son bureau de secrétaire.
- Voilà ! Retour à la case départ ! Et maintenant tu retournes jusquà mon bureau à quatre pattes comme la chienne que tu es, et tâche de ne pas salir la lettre que je te redonne en la trainant par terre et encore moins de la mouiller en voulant la porter entre tes lèvres. Exécution ! Chienne !
Lesclave Océane MDE sexécute prenant alors conscience de sa faute, celle qui lui a valu dêtre réprimandé par le Majordome une fois de plus. Elle avance avec une grâce animale ondulant dune jambe sur lautre en tenant la lettre tant bien que mal en lair dans sa main droite qui lui sert également dappui pour avancer. A peine est-elle arrivée au bureau pour déposer une deuxième fois la lettre à signer, quelle sent le Majordome qui att sa laisse, loblige à se lever et la courbe sur le bureau, ayant juste pris soin de mettre sur le côté la lettre en question et les autres parapheurs, histoire de faire place nette. La chienne-femelle masochiste sait que la punition ne va pas tarder et elle attend non sans ressentir une intense excitation dans son bas-ventre les coups de canne annoncés qui vont venir agrémenter son après-midi. Mais contrairement à ce quelle imagine, rien de plus ne se passe. Walter retourne sasseoir pour terminer de lire et de signer le courrier, la laissant dans un désir non assouvi et une attente silencieuse. Lesclave fronce les sourcils se disant que le Majordome a dû préférer terminer son travail de bureau avant de prendre le temps de la fustiger et elle patiente ne pouvant rien faire de plus, mais sentant lexcitation monter avec cette attente imposée. Son corps nu posé sur le dessus du bureau en chêne recouvert de cuir frissonne et ses fesses se contractent régulièrement ondulant sous le désir qui croît dautant plus quelle sent sa cyprine couler entre ses cuisses, ayant pris soin comme on le lui a appris à garder les jambes écartées.
Walter pernicieusement regarde les petits mouvements imperceptibles de la chienne-esclave qui est là, courbée, cambrée, exposée, le postérieur rebondi frissonnant. Il se délecte à lavance du petit tour pervers quil a décidé de jouer à celle dont il connaît par cur les côtés masochistes mais également son dévouement et lardeur quelle déploie pour remplir au mieux ses tâches. Il termine de signer les courriers et repose le signataire pour que lesclave puisse se charger de préparer les envois postaux qui seront déposés le soir même par lun des gardes du Château à la poste du village. Il se lève comme sil ignorait la présence de celle qui pourtant ne peut sempêcher de sourire en entendant la chaise du Majordome bouger, se disant que son attente passive touche à sa fin et quelle ne devrait pas tarder à recevoir les 9 coups de canne annoncés et qui plus est espérés par elle. Le Majordome savoure de voir la chienne-esclave en chaleur, dont les odeurs corporelles trahissent son excitation féminine, mais il a eu son content de plaisirs charnels et sexuels et na nul besoin à cet instant ni de plaisirs de mâle, ni même envie de jouer au fouetteur de service.
- La chienne ! Tu vas pouvoir reprendre ton travail. Je te laisse préparer tous les envois
. Ah, Oui, jai oublié de te préciser quelle serait ta punition pour avoir oublié que dans mon bureau, toutes les chiennes-esclaves se déplacent à quatre pattes. Tu es juste dispensée de cette contrainte par la force des choses lorsque tu dois porter des dossiers importants et lourds. Et bien, cest tout simple
. Jai décidé de te priver des petits plaisirs que tu espérais bien recevoir
. Même une punition et des coups de canne donnés par le Majordome, cela se mérite ! De toute manière, je vois que tu as déjà le feu aux fesses, alors pas besoin den rajouter une couche pour linstant. Tâche cependant de ne pas salir la chaise avec ta mouille de femelle qui bave de la chatte. Tu attends juste avant de bouger que jai quitté la pièce et tu te remets au travail sans tarder. Est-il besoin de te préciser quil test interdit de te servir de tes mains autrement que sur le clavier ou autour du stylo !!! Ah, ah, ah
Et bien évidemment à quatre pattes pour rejoindre ton bureau, cela sera un bon châtiment de te savoir qui va repartir, jaurais bien dit la « queue entre les fesses » si tu avais été un chien-mâle
Ah, ah, ah
Le Majordome, ravi de son petit tour pervers, séloigne laissant Océane MDE reprendre le fil de ses activités, layant volontairement frustrée, avec un désir masochiste non assouvi et une excitation qui ne trouvera pas à être apaisée de sitôt, mais sachant très bien que cela renforce en elle son désir de soumission car il pense que toutes les envies des esclaves ne doivent surtout pas être satisfaites pour maintenir en eux le manque et le besoin permanent, inhérents à leur condition servile et leur attachement au Dominant auquel ils appartiennent.
(A suivre
)
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