La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 387)

Suite de l'épisode N°379 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –

Tandis que le Majordome du Château du Marquis d’Evans se retire bien à l’abri derrière les rideaux d’occultation du dortoir de l’infirmerie où il entraine à sa suite Mûriana MDE, l’infirmière en titre mais aussi l’une des esclaves du cheptel au service du Châtelain, et qu’il s’affaire à l’enculer comme il avait prévu de le faire depuis le matin même, le chien-esclave blessé e6938 MDE entend bien de son côté sauter sur l’occasion qui lui a été accordée pour pouvoir se vider les couilles et se remettre de son « aventure » de la matinée à la suite du coup de poing qu’il a reçu qui lui a fracturé l’os nasal. Il a reçu l’autorisation de profiter de l’autre esclave, soumise Thaïs MDE, et entend bien jouir dans la bouche de la chienne-femelle, puisque c’est le seul orifice qui est à sa portée, compte-tenu qu’elle porte toujours la ceinture de chasteté et que son anus tout comme son vagin sont remplis des poireaux dont le port lui a été imposé par la cuisinière à titre de punition. Nonobstant la douleur que le chien-esclave ressent encore sur tout son visage tuméfié, il se lève du lit d’un bond, tandis que Thaïs MDE, docile, s’approche se mettant à genoux aux pieds du lit, prête comme on le lui a ordonné de mettre sa bouche et toute sa science de suceuse de bites au service du malheureux estropié.

Thaïs MDE est d’autant plus excitée qu’en partant, pour copuler dans son coin, Walter a remis en route l’œuf vibrant qui est en action avec des vibrations poussées au maximum, à l’intérieur même de son vagin déjà terriblement en feu car si souvent sollicité pendant des heures durant. L’esclave-mâle est vêtu d’une simple chemise de malade qui n’est fermé à l’arrière que par un simple bouton pression, comme celles que l’on fournit dans les hôpitaux. Son sexe qui se redresse déjà à la simple idée de ne plus être encagé et de pouvoir s’octroyer du plaisir jouissif déforme et tend le tissu vers l’avant.

Thaïs MDE habituée à obéir en toutes circonstances aux ordres et à ne pas prendre les devants, hésite à soulever la blouse de malade, laissant e6938 MDE prendre en charge la suite des opérations, ce que d’ailleurs il ne tarde pas à faire, oubliant presque sa condition d’esclave-soumis en retrouvant une part de liberté charnelle et de virilité presque machiste, il ajoute mais suffisamment bas pour n’être entendu que de la chienne à ses pieds.

- Bon, la blondasse, tu me fais quoi ?... Tu crois que tu vas me sucer à travers le tissu en t’en servant comme préservatif. J’ai le nez cassé c’est tout et je n’ai pas la verge malade et contagieuse. Donc, au boulot ! Putain ! Glisse-toi la dessous vite fait entre mes cuisses, car il y a ma queue de mâle qui s’impatiente.

Thaïs MDE est un peu étonnée des propos et du ton avec lequel l’esclave e6938 MDE se permet de lui parler, d’autant plus que la règle commune est le silence imposé entre les esclaves du cheptel. Même si elle a entendu que les règles étaient adoucies à l’intérieur de l’infirmerie, elle ne pense pas que cela confère des droits aux malades dépassant le strict besoin médical de s’exprimer. L’esclave-soumise accepte sans rien dire depuis son arrivée au château toutes les brimades et paroles déplacées ou moqueuses qui lui sont imposées par le Majordome et la cuisinière, parce que le Maître Vénéré l’a remise entre leurs mains, en exigeant d’elle qu’elle leur obéisse tout comme elle serait tenue de le faire pour le Châtelain lui-même. Elle ne pensait pas avoir à endurer aussi les humiliations et insultes venant d’autres esclaves, mais elle sait aussi qu’elle est la toute dernière arrivée dans le cheptel et qu’elle doit mener profil bas, repensant tout d’un coup au bizutage qu’elle avait dû subir lorsqu’elle avait commencé ses études supérieures, comme s’il fallait passer par cette case initiatique pour pouvoir abandonner un peu plus son égo afin de s’intégrer dans un groupe constitué et solidaire.
Elle décide donc de ne pas réagir et se glisse sans attendre sous la blouse d’e6938 MDE en ouvrant la bouche prête à aspirer le sexe de son frère de soumission pour le faire gonfler et durcir plus encore, afin de pouvoir l’amener jusqu’à l’instant suprême de l’éjaculation. Mais dans son empressement à agir et à simplement obéir, puisque l’ordre venait en premier du Majordome qui lui avait imposé de donner du plaisir buccal à l’esclave meurtri, la chienne-femelle a presque oublié qu’elle n’est pas libre de tous ses mouvements.

La tête de Thaïs MDE passe en effet à travers le trou d’un carcan de bois qui repose aussi sur ses épaules et qui l’oblige à garder la tête droite et levée. Le cercle de l’échancrure est suffisant pour que son cou ne soit pas à l’étroit mais cela ne lui permet d’avancer la tête que de quelques centimètres et par ailleurs le carcan, rectangle en bois lourd et épais, déborde vers l’avant et l’arrière. En s’approchant de l’esclave-mâle, c’est donc le morceau de bois qui bute en premier sur le devant des cuisses, tandis qu’elle s’apprête à commencer à lécher le sexe qui n’a pas encore pris toute sa longueur et sa grosseur. Remontant la tête pour essayer de pouvoir mieux avaler le pénis de celui qu’elle doit sucer, mais sans trop pouvoir voir ce qu’elle fait de par ses contraintes qui lui rigidifient le visage et limite son champ visuel, c’est le carcan qui vient en butée appuyant carrément sur les couilles pleines de l’esclave qui fait pousser un hurlement à celui-ci, en même temps qu’il enlève vite fait sa chemise de malade pour voir ce qui se passe en dessous.

- Non, mais cela ne va pas ! Fais attention ! C’est fragile les deux beaux bijoux d’un Homme. Qu’est-ce que tu crois ! Tu es là pour me sucer, pas pour me martyriser un peu plus. J’ai eu ma dose ce matin même. Tu es vraiment une blondasse inexpérimentée. Je me demande bien comment Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans a fait pour te laisser venir dans Son Château, car il n’accepte que les chiennes racées et tu ressembles à tout, sauf à cela ! Et puis, tu peux m’expliquer pourquoi tu portes ce machin-là autour du cou.
Tu as encore dû désobéir pour que Monsieur Walter et Madame Marie t’aient ainsi accoutrée et je ne parle même pas de ce que tu as dans le cul, même pas le droit d’être pluguée normalement.

Thaïs MDE ne répond pas, préférant respecter à défaut de précisions contraires la consigne du silence imposé entre esclaves tel que cela lui a été ordonné dès son arrivée. Elle a de plus en plus de mal à contenir la tension qui lui déchire le bas-ventre et la montée du plaisir qui est en train de la déborder. Elle voudrait bien pouvoir sucer correctement la queue de l’esclave-mâle mais elle se rend vite compte que quelque soit la position qu’elle adopte, elle arrive à peine à attr entre ses lèvres le gland et le début de la hampe qui se tend désespérément à la recherche d’une cavité pour se fourrer dedans. A défaut de mieux, elle décide d’envoyer les mains pour attr le sexe et le branler vigoureusement pour donner un peu plus de plaisirs charnel à celui qui voudrait bien pouvoir l’enfourner plus profondément et la baiser de la bouche, mais qui comprend bien que pour une fellation, même pas en gorge profonde, il devra repasser. Il voudrait bien appuyer sur la tête de Thaïs MDE pour s’enfoncer un peu plus en elle, mais outre le fait qu’il a l’impression de la coincer au niveau de la gorge ce qui le fait quand même hésiter, il se reçoit à chaque mouvement en avant le morceau de bois dans les couilles ce qui est loin de le satisfaire et de concourir à son plaisir charnel. L’esclave-femelle bien embêtée de la situation se demande si le Majordome n’avait pas bien calculé son coup avec toute la perversité dont il est coutumier et s’il n’avait pas déjà anticipé ce qui allait se passer lorsqu’il avait décidé d’autoriser l’esclave-mâle e6938 MDE à profiter comme il le pourrait de la bouche de Thaïs MDE, seul orifice accessible, sachant très bien qu’il n’était accessible qu’en apparence seulement.

Thaïs MDE a de plus en plus envie de jouir et elle n’arrive plus du tout à se retenir car l’œuf vibrant lui dévore sa chatte brûlante.
Pour autant, elle se sent particulièrement gênée de se mettre à haleter comme une chienne en chaleur et même à hurler son orgasme alors même qu’elle est incapable de satisfaire les besoins sexuels de l’esclave qui cherche désespérément à éjaculer dans sa bouche, tandis qu’elle s’affaire à faire glisser sa main de plus en plus vite sur le sexe qu’elle branle frénétiquement. Le chien-mâle attendait tout autre chose et il a bien du mal à conserver un état d’excitation satisfaisant et sa bandaison est en train de s’affaisser, malgré les gestes de va-et-vient de Thaïs MDE qui enserre le pénis avec détermination et sensualité. C’est la chienne-esclave qui prend l’initiative de trouver une autre solution palliative, se disant malgré tout que l’ordre qu’elle avait reçu était clair et elle se rappelle mot à mot les propos du Majordome : « Femelle ! Tâche de donner le maximum de plaisirs à notre blessé de « guerre ». Très exceptionnellement, je te donne le droit de jouir autant que tu veux, car il doit y avoir longtemps que tu en as plus qu’envie et cela va mettre un peu d’animation musicale dans ce lieu qui sent beaucoup trop les produits médicaux ».

Thaïs MDE se redresse légèrement, s’adosse au lit en laissant reposer ses épaules et le haut de son torse sur le matelas. L’équilibre n’est pas des plus confortables car elle doit s’arcbouter vers l’arrière en reposant sur ses jambes repliées à moitié et le carcan qu’elle porte l’empêche de poser la tête sur le lit. Néanmoins, dans cette position sa poitrine généreuse et ses deux monts majestueux se trouvent à l’horizontale juste à l’aplomb du bord du lit. D’une main ferme, elle att la queue d’e6938 MDE qui se laisse faire et elle l’entraine pour la glisser en direction de ses deux seins. Ses deux mains empoignent ses deux grosses mamelles pour les resserrer et former un fourreau dans lequel elle enserre bien au chaud la queue du chien-mâle qui aussi sec se met à se redresser et à se tendre, avant de commencer à s’agiter d’avant en arrière. e6938 MDE plutôt ravi de la situation et pour encore mieux se glisser dans la vallée mammaire enjambe le corps de la chienne-femelle qui commence à jouir n’en pouvant plus d’attendre. Elle coule et son eau de fontaine qui déborde sur les côtés de la ceinture de chasteté vient tomber sur les pieds du chien-mâle qui n’a jamais été aspergé de la sorte. Il en ressent une excitation encore plus grande et s’affaire à se branler de plus en plus voluptueusement entre les deux seins jusqu’à ce qu’il sente la montée du plaisir prêt à le déborder. En l’espace d’un éclair, il retire son phallus tout excité du fourreau que la chienne-esclave avait gardé bien serré et il pousse Thaïs MDE pour la faire redescendre au sol, reposant sur ses genoux, de manière à ce que sa figure soit juste à la bonne hauteur. Poussant de longs râles gutturaux de mâle en rut, il éjacule sur le visage de Thaïs MDE qu’il inonde de spermes onctueux et épais, venant placer ensuite son gland entre les lèvres de l’esclave pour lui faire aspirer les dernières gouttes de son nectar qui continuent de sortir, jusqu’à ce que la dernière goutte soit vidée.

Thaïs MDE ressent de son côté orgasme sur orgasme, elle est couverte de spasmes convulsifs et n’a même plus la force de crier son plaisir. Elle est épuisée et ne peut même pas se laisser aller car l’œuf est toujours en action à l’intérieur de son vagin maintenant son excitation à l’acmé sur la crête des plaisirs intenses. Elle est dans un état second, ses yeux regardent dans le vide, tremblante, flageolante, presque vacillante, elle est partie dans un autre ailleurs au-delà du ravissement extrême. C’est à ce moment-là précisément que le Majordome réapparait avec Mûriana MDE après que celui-ci ait bien éjaculé de tout son foutre dans le cul de l’infirmière dans une enculade bestiale et profonde. e6938 MDE un peu inquiet de voir l’état de la chienne-femelle à ses pieds se permet de les interpeller.

- Monsieur Walter, excusez-moi de vous déranger. C’est l’esclave Thaïs MDE, j’ai l’impression qu’elle vient de tourner de l’œil.

Le Majordome s’empresse d’éteindre la télécommande de l’œuf vibrant tandis que l’infirmière s’approche et att le bras de la chienne-femelle pour en tâter le pouls. Elle lui donne deux petites tapettes sur la joue pour la faire sortir de son état de transe.

- Thaïs MDE ! C’est Mûriana MDE l’infirmière. Regarde-moi, fais-moi un signe de la tête si tu m’entends.

Thaïs MDE hoche la tête et ouvre les yeux, émergeant d’une ondée de plaisirs qu’elle avait rarement ressenti aussi longuement. Dans une vraie attitude de béatitude, elle plisse le coin des lèvres comme pour sourire, mais elle a le sentiment qu’elle est devenue comme momentanément paralysée, ne pouvant esquisser le moindre geste, ne sentant plus ni ses bras, ni ses jambes et encore moins son bas-ventre encore en feu qui se contracte tout seul de l’intérieur, car les spasmes qui la secouent n’ont toujours pas cessés.

- Monsieur Walter, ne vous inquiétez pas. Cela va aller, mais je pense cependant que cette esclave a besoin d’un peu de repos, si vous ne voulez pas l’achever avant ce soir. Je crois que depuis ce matin, elle a été soumise à diverses rudes épreuves et qu’elle n’en peut vraiment plus. Laissez-là moi un petit peu à l’infirmerie, Vous pourrez venir la rechercher tout à l’heure quand elle aura repris ses esprits et que son corps se sera calmé et reposé. Comme nous tous ici, elle a des limites humaines, quelque soit la force de sa soumission, sa motivation et sa dévotion.
- Bon, d’accord, si tu penses que cela est absolument indispensable. Tu peux lui enlever son carcan car elle n’en a pas besoin tant qu’elle ne m’accompagne pas. Mais je tiens à ce que tu lui laisses ses poireaux dans le cul et le con, car c’est une punition qu’elle a mérité et qu’elle doit endurer aussi longtemps que je l’aurai décidé. Pas question aussi de lui enlever le foutre qui lui macule le visage, un vrai maquillage de chienne-esclave en chaleur qui lui va à ravir.
- Monsieur Walter, il en sera fait comme vous l’ordonnez. Permettez-moi cependant de pouvoir l’abreuver et un peu la nourrir correctement, avant qu’elle ne tombe totalement d’asthénie.
- Fais comme il te semble, c’est toi l’infirmière après tout ! Je n’ai pas de temps à perdre pour les menus détails qui sont de ton ressort. Je dois monter inspecter les étages et juste avant repasser à l’intendance pour régler certains courriers et factures, je reviendrai la chercher après cela. Dans tous les cas, il était dans mon intention de la laisser un peu se reposer après toutes ces épreuves. Elle sera très bien à l’infirmerie sous ton étroite surveillance.

Walter quitte l’infirmerie tandis que Mûriana enlève le carcan qui enserre la tête de Thaïs MDE et l’aide à se soulever pour qu’elle puisse s’allonger sur un des lits de l’infirmerie. Elle part faire chauffer un peu d’eau et prépare une boisson énergisante chaude qu’elle ramène à la chienne-femelle qui est bien contente de pouvoir se sustenter d’un bon bouillon bien chaud après tant d’efforts, d’épreuves et surtout de jouissances ininterrompues. Après avoir bu d’un seul trait le bol plein, Thaïs MDE bouge ses lèvres comme si elle voulait articuler le mot « merci » mais sans parler et sans laisser sortir le moindre son. Elle voudrait tant remercier l’infirmière qui prend soin d’elle et qui lui a permis de se reposer un bon moment en demandant au Majordome son accord, car elle sent bien qu’elle aurait été incapable de poursuivre son périple dans l’état de fatigue dans lequel elle se trouve. Elle se demande comment font les esclaves du cheptel qui demeurent ici à plein temps, corvéable à merci et si heureux de pouvoir l’être, alors qu’elle se sent déjà au bout de ses forces, n’ayant même pas encore supporté trois jours complets de dressage intensif. Epuisée physiquement, mais heureuse malgré tout d’être là dans ce Château dont elle avait si souvent rêvé et par-dessus tout ravie de pouvoir être l’une des esclaves-soumises de Monsieur le Marquis d’Evans, même si elle ne sait pas si aura la force de tenir longtemps à ce rythme, elle préfère ne pas penser, décide de faire le vide dans sa tête et s’endort dans les bras de Morphée, profitant sans attendre de ce temps d’accalmie pour se ressourcer au plus vite, car elle sait très bien qu’elle n’est pas au bout de ses peines. Elle espère qu’elle tiendra le coup au moins jusqu’au retour, le lendemain après-midi, de Monsieur le Marquis d’Evans et que le Maître Vénéré tiendra à prendre des nouvelles de sa dernière recrue, mais surtout que globalement il sera suffisamment fier de celle qu’Il a fait venir au Château pour qu’elle y soit dressée convenablement et qu’il acceptera de la garder à Ses pieds, malgré ses erreurs et ses imperfections…

(A suivre…)

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