Chapitre 1 : Les Presentations

C'était il y a 4 ans, j'avais alors 22 ans, célibataire, et j'avais quelques jours de vacance. Je viens d'arriver à Valorcine en haute Savoie après une longue randonné qui avait duré toute la journée. J'était arrivé de Paris la veille et j'avais envie de profiter de mes quelques jours sur place. Nous étions en juillet, et pourtant aucun de mes amis avaient pu ce libéré pour venir avec moi. J'étais donc seul, je me sentait libre mais j'aurai bien aimé être accompagné.
J'avais réservé une chambre dans un petit hotel à Chamonix. Le matin, j'avais pris le train jusqu'à Valorcine, fait ma randonné et je décidait maintenant de reprendre le train pour rentré à l'hôtel. Pas de chance, la ligne était coupé car un train tait tombé en panne et je n'avais aucune idée de quand je pourrai rentrée. J'étais très fatigué de cette randonné et j'avais très envie de rentrer me détendre. J'ai donc eu l'idée de longer la route vers Chamonix et de faire du stop, sait-on jamais... Très mauvaise idée.. Cela faisait 15 minutes que je marchais un soudain un orage éclata et une pluie battante accompagna mon parcours. J'étais trempé jusqu'au fesses. Mon pouce tendu vers la route en marchant porta ces fruits, une voiture s'arrêta. Je m'approchai à peine du véhicule qu'une voie féminine me dit :
_ montez vite, vous allez attr froid.
Ce que je fis sans réfléchir.
_ bonjour je m'appelle Julien, merci de vous être arrêté, je vais à Chamonix, vous allez dans cette direction ?
La femme me répondit
_ bonjours je m'appelle Celia et voici mon mari Roger. Nous habitons à 2 minutes d'ici, vous êtes trempé. Je vous propose de venir chez nous vous sécher et mon mari vous raccompagnera après. Cela ne te dérange pas chéri ?!
Le mari répondit :
_ pas du tout, on ne peut tout de même pas vous raccompagner dans cette état !? Quand dite vous ?
J'étais fatigué, trempé et sans réfléchir mais gêné quand même je leur répondit :
_ c'est très gentil à vous, j'accepte mais je ne voudrais pas vous déranger, c'est déjà si gentil de vous être arrêté !
Roger qui conduisait me répondit
_ il n'y a aucun souci, cela ne nous dérange absolument pas.

Le temps qu'il me dise ça, nous étions arrivé. C'était un grand chalet. Roger alla tout de suite à la cheminé pour allumé un feu pendant que Celia me montra la salle de bain, me tenda un peignoir et me dit me lui donné mes affaires à sécher.
Je revenais dans le salon, en peignoir et Roger me proposa de m'assoir sur le canapé.
_ vous prendriez bien un whisky avec moi ?
_ avec plaisir ! Merci
Celia se joignit à nous et pris la parole :
Alors que fesiez vous sous cette pluie battante ?
Je leur expliquais que j'étais un jeune parisien venu passé quelques jours de détente et de randonné dans le coin et que la ligne de train était coupé et que j'avais entrepris de faire du stop pour rentrée. Puis nous avons longuement parlé de tout et de rien, faisant plus ample connaissance et en enchaînant un autre verre sympathiquement proposé. On se mis même à se tutoyer rapidement.
Célia était une très belle femme de 38 ans, brune au yeux bleu, avec un beau visage qui laissait déjà apparaître quelque petite ride. Son corp etait sublime et elle avait un joli decolté qui laissait deviner une super poitrine. Sans relation sexuel depuis trois mois, j'avais des fois du mal à la regarder dans les yeux.
Roger avait 48 ans, grand assez costaud, avec un ventre bien rond. On sentait l'imposant bonhomme qui était un bon vivant. Il pourrait être mon presque être mon père mais la discussion avait fait disparaître nos écarts d'âge.
Dans la discussion Roger me dit :
_Écoute, il est déjà 19h30, je travail cette nuit et si j'ai bien compris tu n'as personne qui t'attend ce soir. Je te propose de rester dîner. On à trois chambres en plus de la notre, autant que tu dormes ici et on verra demain pour te ramener à ton hôtel.
La fatigue et le whisky m'avait assommé et j'acceptais sans négocier. Après tout j'étais tous seul en vacance, de la compagnie me ferai du bien.
_ et bien c'est d'accord, Celia, peux tu nous faire à manger pendant que notre hôte va prendre une douche ?!
_ok , viens Julien que je te donne une serviette et des vêtements sec. Roger est plus gros et plus grand que toi mais ça fera l'affaire.
Cette douche me fit le plus grand bien. Je pensais à la belle Celia et j'en ai presque bander.
Après avoir enfiler les vêtements secs, je revenais vers le salon en passant devant la cuisine avec la porte entrouverte. Je fut très surpris, presque même choqué, de voir Celia ce faire prendre debout fermement par Roger pendant qu'elle faisait la cuisine. Ils n'avaient pas remarqué ma présence derrière la porte et je contemplait le spectacle. D'un coup il la pris par les cheveux la metta à genoux et lui enfonça sa bite bien monté au fond de sa gorge et d'un grand râle cria :
_ avale tout ma salope !
Elle se débattait presque lorsqu'il éjacula au fond de sa bouche. Elle avait tout avalé . Elle toussa un peu remonta son leggings et repris sa cuisine. Roger glissa une main dans son pantalon et on devina qu'il lui insérait un doit dans l'anus pendant qu'elle continuai à cuisiner. D'un coup il l'enleva ce qui provoqua à Celia un gémissements. Je m'éloigna de la porte pour retourner vers la salle de bain avec une énorme trique. Je fis semblant de ressortir de la salle de bain et Roger sorta de la cuisine au même moment.
_La douche était bonne ?
_oui merci
_ bien passons à table, je vais bientôt aller travailler.
Le dîner ce passa dans une très bonne ambiance. Ils ne se doutaient pas que je les avait surpris et je n'arrêtait pas de regarder Celia et de me dire " mais quelle salope !"
On ne s'éternisa pas. Roger me montra ma chambre et me dit à demain. J'entendis la voiture partir et une porte se fermer quelque part dans le chalet. Sûrement Celia qui regagnai ça chambre. Je m'endormais très rapidement dans un sommeil profond.