Mon Petit Jardinier 03.

Et joignant le geste à la parole, je le chope et l’entraîne vers la douche. Avez-vous deviné par où je l’ai agrippé ? Cela s’entend, pas comme une petite fille bien sage : main dans la main, mais par la partie qui dépasse encore allègrement de son anatomie : il a encore la trique et n’a pas débandé d’un iota. Sa queue me colle dans la main comme à une joueuse de handball la résine qu’elle dépose sur le ballon. Quel plaisir de diriger un garçon de cette façon, il se laisse faire et je discerne que son boa est bien vivant dans ma menotte.

À la porte de la douche, j’ai une furieuse envie de goûter ses lèvres, les miennes sont comme mes mains : enduites de sperme conglutiné, mes joues encore pire sont poisseuses.

De ma main encore libre, je le prends par l’arrière du crâne pour le faire descendre vers moi, nos joues se touchent et je dépose un baiser langoureux pour l’inciter à me le rendre, mais lui, doit poser ses lèvres dans des amas disparates de sonfoutre qui ont échappés à ma collecte. Quelle vicieuse je fais ! Mais je trouve que c’est une telle preuve de complicité de partager cette substance qui n’a rien d’attirant en elle-même d’aspect et de goût mais qui atteste une fusion de nos deux âmes, et après tout et pourquoi serait-ce toujours aux filles d’avaler cette sauce, notez que je suis mal placée pour dire cela car je suis une grande adepte de la chose, mais je trouve encore plus formidable de la partager avec un garçon, et j’en connais qui adorent cela et même de mutualiser une autre éjaculation que la sienne: mon frère Théo par exemple.

Mais revenons à nos moutons, Toussaint ne fait pas sa mijaurée et il me donne plein de bisous en plein sur des îlots de sperme. Ses lèvres s’enduisent de filaments blanchâtres comme des cirrhes, cela m’anime d’un furieux désir de goûter avec lui les émanations de son premier émoi.

Je l’attire vers moi, nos lèvres se rapprochent, ma langue gourmande sort jusqu’à atteindre et recueillir une partie de ce suc testiculaire en titillant ses lèvres.

Gauche comme pas un, il est amorphe, j’imaginais qu’il allait se jeter lèvres contre lèvres pour qu’elles adhèrent ensemble, mais c’est moi qui suis obligé de faire tout le travail, il ne sait même pas embrasser !
Et c’est moi qui m’y colle ( si je puis dire ) et ma langue se faufile entre ses lèvres et cherche fortune au milieu d’un mélange délicieux de salive et de sperme, enfin nous nous accolons ( si je puis dire ) et nous échangeons un merveilleux cum kiss agrémenté par le branlage de sa bite que je n’ai pas lâchée.

La bouche pleine d’effluves nous nous séparons enfin la tête ébranlée ( si je puis dire ) et le cœur palpitant.

- Tu avais déjà goûté ton sperme ?

- Oui mad’selle Ma’ion, mais c’est infiniment meilleu’r avec vous.

- Et tu fais pleurer ton Koko souvent ?

- Oh oui je le fais souvent pleu’er, me fait-il avec un air affligé comme s’il avait accompli un crime.

- Mais n’aie pas honte ! Le seul reproche que je peux te faire c’est de pas inviter une fille avec toi pour t’aider. Et plusieurs fois par jour ?

- Oui, me fait-il cette fois avec un large sourire.

- Et à chaque fois c’est aussi copieux ?

- Oh oui à chaque fois, j’ai une abondante éserve, me dit-il en me montrant ses couilles.

- Et bien nous allons voir cela un peu plus tard, enlève le peu de choses qu’il te reste pendant que je fais de même.

- P’ende douche ensemble ?

- Oui tu veux pas ?

- Oh si !

Je déboutonne mon chemisier, le quitte, mes petits seins toujours excités pointent, et après je fais coulisser la petite fermeture éclair de ma minijupe qui tombe à mes pieds. Lui, occupé à détacher les lacets de ses chaussures tombe nez à chatte avec mon abricot.

- Cette fois tu la vois bien ! Mieux que tout à l’heure, savais-tu que je n’avais pas de culotte ?

- Oui j’avais ´emarqué.


- eh bien pourquoi n’avais tu pas cherché à la mater plus ? Tu as tout de suite détourné le regard.

- Je c’oyais que c’était involontai’e, et je ne voulais pas et’e emba’assé si vous vous en appe’ceviez.

- Mais mon gros bêta, c’est exprès pour que tu puisses la voir que je me suis approchée si près.

Je le saisis pour rentrer sous la douche, il a la béquille toujours levée, je le cramponne fermement, sa démarche me fait rire, il a une drôle d’allure! ma main et mon bras l’handicap pour marcher naturellement.

Je le pousse dans la douche et rentre avec lui avant de fermer la porte, ma douche n’est pas petite mais à deux nous devons nous rapprocher jusqu’à nous toucher, face à lui sa bite me chatouille les seins.

J’ouvre l’eau et bien sûr elle met un temps infini avant de chauffer, mais même l’eau glacée ne perturbe pas l’ardeur de son membre qui a trouvé refuge entre mes seins.

Je prends du gel douche dans ma main et l’étale sur sa poitrine musclée, c’est d’une splendeur et d’un érotisme inouï de savonner un garçon. Docile et soumis, je choisis de commencer d’abord par son visage délicat et attendrissant, ses joues douceâtres et glabres comme je l’ai déjà dit sont un régal à affleurer, puis viennent ses bras immobiles comme morts, c’est moi qui les soulèvent pour les frotter partout, pour les pieds c’est plus compliqués, dans cette espace réduit, je suis obligée de me glisser pour m’asseoir les jambes de chaque côté des siennes et je les lave avec amour, je remonte vers ses jambes puis ses cuisses et je suis bien sûr nez à bite.

Je passe mes mains par derrière et je frotte énergiquement ses fesses pour laisser le meilleur pour la fin. Elles sont toujours d’une robustesse et dureté étonnantes, je n’hésite pas à bien toiletter partout avant de les claquer de toutes mes forces, cela ne le déstabilise pas et ne le dérange nullement, mais revigore encore plus, si cela est possible, l’énorme massue qui me fait face.


Combien de temps va-t-elle tenir cette forme spectaculaire ? Même après avoir crachée sa semence elle ne s’est pas relâchée, même légèrement, mais est resté remarquablement levée. Je prends un peu de savon pour la briquer sans trop la branler, juste bien l’ablutionner partout sur son triptyque. Je n’insiste pas trop malgré l’énorme envie qui me taraude afin de lui réserver une pipe digne de ce nom dans un espace moins confiné pour être lui et moi vraiment à l’aise.

Voilà mon travail plutôt agréable est fini, à lui de jouer. Je me redresse comme je peux et lui lance :

- À toi maintenant, tu peux passer partout où tu veux.

Il prend un peu de gel douche et débute par le haut sur mon visage et insiste bien sur mes joues, il étale et fait mousser le produit qui finit par disparaître avec le jet de la douchette qui n’a cessé de couler. Puis il passe sur mes épaules et mon dos et vient sur mon ventre.

- Tu n’as pas oublié quelque chose ?Fais-je en lui prenant les mains afin de les passer sur mes seins.

Il n’a aucun mal à les recouvrir entièrement mais n’ose faire de mouvement.

- Vas-y, suis-je encore obligée de lui dire pour l’encourager, pelote-moi bien mes petits tétons.

Il s’exécute mais je sens un bouleversement et une maladresse que je lui pardonne volontiers.

- Et maintenant après mes nénés, ma nénette.

Alors là, c’est l’affolement complet, j’ai l’impression que ses pupilles font trois fois le tour de ses yeux écarquillés.
Intérieurement, je suis super heureuse de l’exciter autant sans trop lui montrer pour ne pas le déstabiliser.

Tant bien que mal, il passe ses doigts sur mon petit abricot.

- Frotte bien au milieu, lui fais-je en prenant ses doigts pour les introduire entre ma fente.

Sa bite entre nous est aux anges, elle remue pour essayer comme la grenouille de devenir aussi grosse que le bœuf.


Il est temps de lui faire découvrir de nouveaux plaisirs, j’éteins la douche.

- Viens avec moi, chuchoté-je.

D’une main le conduisant toujours par la bite, de l’autre saisissant une serviette que j’étale sur le lit, sans même nous être essuyés je le couche sur le dos.

- Veux-tu mettre ta langue à l’endroit où tes doigts viennent de se faufiler ?

Je vous laisse imaginer sa réponse.......

A suivre.

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