Decouverte De Soi
Jai 25 ans, jai commencé une aventure avec une femme de 23 ans mon ainé, il y a 5ans maintenant, et nous vivons une histoire particulière.
Jai rencontré Madame Colonel S, lorsque jétais à lUniversité à 1800 Km au Nord de LAGOS, la capitale économique du NIGERIA. La première fois que je lai vu, elle ma saoulé sous prétexte que je lavais appelé madame plutôt que par son titre de lépoque Commandante. En fait, javais ressenti cela comme une humiliation subit devant mes camarades, amis et profs de toute luniversité. Je lui en ai donc gardé rancune.
La Seconde fois que je lai vu, cétait 3 moisa peu près après notre première rencontre. Je rentrais pour les vacances de fin dannée. Javais le paludisme. Après deux jours de trajet en voiture, le sort a voulu que notre véhicule tombe en panne à moins de 10 Km de notre lieu de destination devant un camp militaire à Lagos. Jai été admis aux urgences de lhôpital militaire et quelques minutes avant de perdre connaissance. Je me réveillais deux jours après pour apprendre que la commandante du camp à pris en charge les frais.
Elle est venu me rendre une visite éclair la veille du jour où les médecins devait me libérer pour me mettre au courant quelle avait informer le consulat de mon état et quils étaient daccord que je reste chez elle pour me rétablir, si je ny voyais pas dinconvénient avant de poursuivre le voyage de 600 km restant pour rentrer dans mon pays.
Le lendemain, je découvre sa maison, une villa gigantesque avec piscine et vue sur la mer, entouré de jardin, despace vert dans un quartier de milliardaire.
Deux domestiques et un cuisinier sont chargés dêtre au petit soin avec moi. Avec eux, nous échangeons toute la journée comme de vieux amis. Mais dès que la patronne arrive le soir, cest fini les amitiés, ils deviennent tous muets. Je me réfugie donc seul sous la télé, et quand elle vient sasseoir près de moi, je narrive pas à la blairer, donc je monte me coucher tôt.
Plus tard, Lady S vient minviter à venir déguster avec elle un dessert quelle sest faite livré. Je décline loffre prétextant quil me faut prendre mes médicaments. A mon grand étonnement, elle me fait monter mes cachets. Elle sassoit sur le lit et me demande quand je compte repartir. Je ne répond pas. Elle enchaine avec deux ou trois autres questions. Toujours silence. Enfin, elle se lève et va sur la table face au lit pour me servir mes cachets.
De dos, je la regarde mieux et je prends conscience quelle essaye uniquement de maider. Près de moi, je vois autre chose : une hanche complètement épanouie et large qui supporte des fesses rebondies qui remplissent la culotte fleurie bleue clair totalement moulante quelle porte.
Une petite poitrine de jeune fille de 17 ans pour une femme de la quarantaine, deux petits seins ronds café et brillant caché dans un décolleté rouge bordeaux. Son visage rond avec des petits yeux légèrement bridés se pose délicatement sur moi, alors que je contemple ses lèvres pulpeuses. Je note que la lèvre inférieure est naturellement rose et profondément fendillé en son milieu.
A ce moment, je ne vois plus lofficier autoritaire presque arrogante mais la belle femme noire coiffé comme un homme, le teint café au lait, le regard sur et le sourire naturellement rose semblable à une déesse de bronze.
Elle me tend le verre et les cachets. Je prends mes médicaments tout en gardant lil sur elle.
- Ca va. Tout va bien. Je ne vais rien te faire.
Je me tais toujours en la regardant fixement
- OK, Comme je ne peux discuter avec personne dans cette maison, je suis dans la chambre en face, si tu as besoin de quelque chose
Puis elle passe la porte et je la rappelle avec un « please » presquinaudible. Elle revient. Je me pousse dun côté du lit et je tapote la partie libre pour lui faire signe de sasseoir.
Elle soupire bruyamment puis sy couche.
- Je sais que la première fois où on sest vu je ne tai pas fait bonne impression.
Alors quelle continue à bavarder, je mendors
Un peu plus tard, jouvre les yeux et je ne la vois pas mais je lentends au loin comme sous la douche.
Vers 3 Heures du matin, je me réveille. Jai une folle envie de sexe. Je me retourne et la voilà à ma gauche qui dort. Elle sest recouverte dun léger pagne. Je ferme à nouveau les yeux et je détourne mon visage. Mais au bout de quelques minutes, je me rends compte que mon envie ne fait quaugmenter. Jy réfléchis une dizaine de minutes qui sécoule comme une heure. Et merde, ce nest pas la peine de me leurrer, jai envie de sexe. Dailleurs Quand faut y aller, Faut y aller.
Je pose à nouveau les yeux sur sa croupe. Jy passe ma main et elle glisse sur le pagne. Je sais que j vais faire quelque chose de défendu, alors je lenjambe et je descends éteindre la lumière puis jallume la veilleuse.
Je me recouche puis doucement et lentement je palpe le derrière, jintroduis après ma main sous le pagne. Il y rencontre un slip de soie bien doux. Je masse les fesses avec précaution et tendresse. Je les caresse en décrivant des cercles puis de deux doigts je déplace les bords du slip vers la raie des fesses. Ce joli slip en soie se transforme en string et mes doigts peuvent effleurer maintenant la peau brulante. Lorsque je lui touche la peau des fesses, elle bouge un peu. Je marrête alors que mon pénis sest désormais tellement endurci quil me fait presque mal.
Jintroduis mon index dans ma bouche pour bien le mouiller puis je le fais descendre dans la raie des fesses en commençant par le haut. Mon index atteint dabord son petit trou et tout en le resalivant après chaque caresse, je masse légèrement les petites stries. Puis descends mon doigt pour rencontrer son trou. Je tire ce qui reste du slip vers l coté pour dégager tout laccès à la chatte. Et pendant que doucement jintroduis un puis deux doigts dans la chatte qui mouille instant après instant, je caresse de lautre main, ses cuisses en les effleurant pour y laisser une sensation de chair de poule.
Enfin, elle relève son pied droit en déplaçant son genou de sorte que le bouton rose est devenu bien accessible. Alors, jouvre ma fermeture éclair, mon braquemart avait tellement dégouliné de liquide spermatique que je nattendis plus. Je lintroduis dans la fente mouillée prête à être défoncée.
Mon cur palpite, ma respiration semballe au fur et à mesure des va-et-vient, et un plaisir de plus en plus fort se réveille dans mes couilles. Mais plus javance plus je sens que ma position actuelle ne me suffit plus. Je me relève puis je monte sur elle
.
Mais elle fait brusquement un mouvement imprévisible et ouvre les yeux. Elle se retourne et me regarde presque couché sur elle, la verge bien au chaud dans sa chatte. Avant que je ne puisse réaliser, elle me serre le cou dune main
- Cest toi ? Mais cest
.. Cest
.. Oooooh
Je suis à moitié affalé sur elle, les yeux dans ses yeux. Calmement, elle lève une main et me caresse la tête et les cheveux et de lautre main une fesse. Puis elle arbore un sourire doux qui me redonne des forces. Je retombe derrière elle. Elle se retourne face à moi et savance pour me faire face. Elle membrasse sur les lèvres dabord et plus profondément ensuite en introduisant de façon experte un bout de sa langue. Rien denvahissant, juste une partie de la langue que jaccueille et caresse à mon tour avec ma langue.
Puis elle caresse le dard légèrement puis avec un peu plus dinsistance en va-et vient régulier pendant quelques secondes. Lorsque je sens le foutre monté, il sarrête net et sattaque à mes boules, les massant doucement en suçant mes têtons, enfin mon corps sent quune femme vient de le comprendre.
Enfin, elle me dit :
- Viens, monte.
Je ne me fais pas prier, je monte sur elle, pour une bonne levrette. Elle écarte les jambes. Je veux descendre à son pubis pour lui montrer toute ma reconnaissance, mais elle me retient par la taille et dit :
- Pénètre-moi, je ten prie
Comme je mattarde un peu, elle se fait suppliante
- Sil te plait viens maimer
Alors, je mintroduis en elle.
- Ca me fait mal là-bas. Viens plutôt ici.
Elle introduit mon sexe dans la chatte à nouveau puis me mincite à remonter de sorte que jai sa tête à hauteur de mon cou.
- Doucement. Respire
Je respire
- Respire profondément. Vas-y. met tout ton long pénis. Maintenant ressort-le en totalité. Enfonce-le à nouveau ; ressort moi ce gros bâton et remet le en touchant les bords. Je veux quil me caresse les lèvres en descendant.
Je suis à la lettre toutes ses consignes et je les exécute. Puis je me mets à cogner la paroi vaginale en entrant, et à chaque fois, elle pousse un petit crie. Donc, je pousse de plus belle, je cogne de plus en plus durement. Je vois son magnifique ventre dathlète trembler une fois, puis une deuxième fois et une troisième parcouru par des spasmes. Enfin ses spasmes se transforme en contraction et elle lève son buste dans un élan sexuel indescriptible, inspirant fortement dans un râle profond puis retombe comme descendant du ciel. Je suis ébahie mais je nai pas encore eu ma part.
Je continue à la labourer, me sentant venir. Elle me repousse de côté puis à son tour monte. Elle mécarte les jambes puis se couche la hanche entre mes cuisses. Elle introduit mon pénis dans son vagin puis resserre fermement ses jambes. Ensuite, elle me met un de se seins sous la main. Je lis dans ses yeux, quelle espère me voir les presser.
Mais non, je les caresse doucement, pendant quelle monte et descend son bassin, bouge à gauche puis à droite, défit ma verge depuis sa fondation. Et à chaque fois que je me sens venir, elle me dit « Respire, respire «, et je respire. Puis je pince ses têtons entre mes doigts, lune après lautre puis simultanément après. Elle adore ce jeu, je peux le lire sur son visage. Elle rayonne. A son tour, elle alterne les mouvements de va-et-vient. Tantôt elle va lentement plus vite, tout en me caressant les cheveux le nez et la barbe. Je sens à nouveau cet envie irrésistible de déverser tout mon foutre en elle me remonter dans le couille puis dans mon ventre en un millier de picotement agréablement intense et je ferme les yeux.
Alors, elle me pince un têton et répète
- Petit voyou, je veux que tu mattendes. Ne viens pas encore. On va senvoler ensemble.
Je lui passe l main dans les cheveux et lattire vers moi, lui introduit la langue dans loreille et lui lèche tous le globe. Elle retire la tête et me sourit.
- Tu es trop belle. Tu me rends fou lui dis-je sincèrement.
Alors, elle membrasse avec fougue. Tout en agitant à mon tour ma hanche, descend une main le long de sa colonne vertébrale jusquà la raie des fesses et à son anus que je titille en décrivant de petit cercle. Elle sarcboute et se dresse sur moi, menfoncent les ongles sous la peau en me serrant et râle comme une furie.
Je sens mon entrejambe se mouiller déjaculat alors quelle tremble de tout ses os. Je la laisse se poser doucement puis, la retourne ventre contre le lit et la pénètre par derrière. Jai envie de rester dans cette position pour le reste de mes jours tant le plaisir me monte de partout. Malgré la petite quantité de liquide éjaculé, il dégouline sur ses fesses pendant que je les martèle de tout mon poids. Ses fesses deviennent glissantes et sa chatte mouille bien. Je suis aux anges : le plaisir monte comme dans fourmillements dans mon ventre qui le draine dans tous mon abdomen. Puis mon cur se remplit à son tour de ce plaisir indescriptible et ça monte et ça monte encore et encore, pendant que je la baise de plus en plus violemment et quelle crie de plus en plus fort.
Brusquement je ressens comme une vague de plaisir électrique venant de ma nuque qui se propulse dans mon cur et implose dans mon cur. Mon souffle est coupé. Mon cur semble avoir lâché. Je ne suis plus dans ma conscience. Je suis quelque part dans un néant où ma conscience nécoute plus que le plaisir dans les différentes parties de mon cur. Cest milles et unes explosion dans tous mon corps, à lespace entre mes boules et mon anus dabord, puis entre mes deux yeux, dans mes reins, etc. tantôt de petite explosion, tantôt de grande, tantôt il me semble que cest un feu dartifice de plaisir qui parait parfois être une explosion suivit de luisantes pétales pétillantes qui tombe ou dexplosion lourde foudroyante qui paralyse une partie de mon corps. Je viens davoir un orgasme fulgurant .Ce plaisir ineffable dure ainsi pendant un temps que jestime être une belle éternité.
Enfin je reviens à moi et jouvre les yeux. Je me rends compte que jai une main pressant un sein et quelle est raidit et couché sur le côté éjaculant longuement sur le lit et à terre. Elle finit et se couche dans mes bras. Je lui demande :
- Cétait comment
- Vilain garçon, tu nas même pas éjaculé.
Je mendors en lespace de quelque seconde. Le lendemain à mon réveil, japprends quelle est partie très tôt. Elle a déposé 1000 dollars pour moi. Je refuse de prendre largent. Malgré que jai prévu passé au moins 3 jours là-bas, avant midi je rentre dans mon pays pour mes vacances. En partant, je reste tout de même convaincu quentre nous deux cest le commencement qui na pas de fin
A suivre
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