Rapports De Bon Voisinage 4
Julien prit les coordonnées du lieu de rendez-vous, et promit dy être à 17 h. Ensuite, il téléphona à sa femme qui nétait pas encore partie déjeuner. Il lui dit quil laimait et quil la désirait. « Tu sais ce que jai fait ? lui dit Carole.
Non, quoi ?
Jai profité dune absence de Fabienne que jai envoyée à la banque. Je me suis doigté en pensant à la soirée de hier soir, tu as été génial.
Tu vas le refaire ?
Je naurais pas trop le temps cet après-midi.
Tu veux le refaire ? Là ?
Tu es seul dans ton bureau ?
Oui. Et toi ?
Aussi, Fabienne ne revient quà 2 h, le magasin est fermé.
Mets ta main sur le haut de ta cuisse à lintérieur, là où ta chair est souple, tiède, bientôt moite.
Ok, je le fais.
Palpe doucement, remonte jusquà ta culotte, tu as mis une italienne ce matin je crois.
Oui.
Glisse ton majeur sous lélastique, lisse ton clitoris.
Cochon !
Mais cest comme ça que tu maimes.
Cest vrai, continue.
Ecarte bien tes cuisses de salope, tends tes seins, respire fort.
Humm.
Mords-toi les lèvres, et jette ta tête à droite et à gauche violemment comme si tu ne pouvais plus résister au désir.
.
Tu jouis déjà.
Continue.
Baisse ta culotte avec le dos de ta main, mets ta main en cuillère sous ta chatte, écarte tes doigts en rateau.
Et puis ?
Remonte doucement en laissant tes doigts traîner dans tes creux, renouvelle cette caresse.
Hummmm, ouiiiiiiii.
Tu mouilles ?
Un peu.
Essuie tes doigts sur ton ventre à hauteur du nombril. Prends ton clitoris entre ton pouce et ton majeur.
Oui.
Pétris le comme si tu voulais obtenir une boulette de mie de pain.
Salaud ! tu sais y faire toi, je coule tu sais.
A la bonne heure, suce tes doigts après les avoir humés. Mets toi deux doigts dans la chatte, et pose ta paume sur ton pubis. Ça fait une pince.
Oui.
Masse ta muqueuse, tortille toi du cul, si tu es assise.
Oui, oh ouiii
.
Vas-y, lâche-toi.
.Jai joui, mon chéri, et toi ?
Ne tinquiète pas pour moi tu sais que je préfère le réel, mais je bande très fort. Tu vois si on avait des smartphones tu pourrais voir.
Une idée de cadeau alors. As-tu déjeuné ?
Non, il faut que jy aille. Vivement ce soir que je sente le fond de ta culotte. Tu es ma pute, chérie.
Oui, et ça me plaît. Vivement ce soir mon amour.
Julien était étonné dêtre aussi comblé. Il avait eu quelque remords à tromper Carole la veille. Mais ses scrupules sétaient évanouis depuis que Jessica lui avait révélé quil ne savait pas tout. Carole et Martine étaient vraiment les partenaires idéales pour assouvir ses pulsions qui étaient grandes, mais quil savait faire partager. Il pensa tout à coup que sa belle-fille soupçonnait ses talents et quelle aussi voulait en profiter. Il écarta une nouvelle fois cette perspective, et fut satisfait davoir noué des relations avec Martine qui sannonçaient intenses et qui auraient pour avantage de le détourner de Jessica.
Julien assura ses cours, quand il termina, il avait juste le temps de se rendre dans la résidence que lui avait indiquée Martine. Une étudiante voulait sattarder seule avec lui sous un vague prétexte, il dut léconduire et devant son insistance il lui donna rendez-vous le lendemain dans son bureau. Arrivé devant le hall dentrée de la résidence où habitait lamie de Martine, il ne sut sur quel bouton appuyer, Martine avait oublié de préciser le nom de son amante. Il lui téléphona, et un déclic déclencha louverture de la porte dentrée. « Cest au 7e , lui avait précisé Martine, à gauche en sortant de lascenseur ». La porte était entrouverte quand il sortit de lascenseur, mais il sonna le plus discrètement possible. Martine lattendait, dans son tailleur très strict, les jambes gaînées de bas qui appelaient le toucher, elle était superbe.
« r ! mais Marie est mon amie et elle me doit beaucoup, dailleurs je compte lui parler de toi. Elle nous laissera venir quand nous voudrons. Tiens jai une photo delle sur mon portable, je vais te la montrer :
Mais elle nest pas mal !
Ah tu vois, tu seras sûrement enchanté de faire sa connaissance le moment venu.
Ce quelle ne disait pas encore cest que Marie était aussi son amante. Elles étaient si intimes que Martine fatiguée de lobstination de son mari à ne pas recevoir le petit ami de Vanessa, elle avait demandé à sa collègue de faciliter les rencontres de sa fille. Marie avait spontanément offert lhospitalité à Vanessa et son petit ami ; elle avait prêté une clef qui permettait aux deux jeunes gens de profiter surtout des après-midi du mercredi en labsence de la propriétaire des lieux. Mais ce quignorait Martine cest qu un après-midi Marie rentra chez elle plus tôt que prévu. Et elle surprit les deux lycéens dans la chambre damis.
Loin dêtre choquée par la situation quelle avait favorisée, Marie les encouragea à poursuivre leurs ébats.
Merci Marie, dit Vanessa, en tendant les bras pour lembrasser.
Mais tu as une très jolie poitrine dit Martine.
Cest ce que me dit aussi Jérôme, dit Vanessa en souriant.
Il a bien de la chance de tavoir.
Et nous de tavoir pour amie, tu sais on ne sait pas quoi faire pour te remercier.
Oui, Madame, quest-ce quon peut faire ?
Martine qui les trouvait croquants, voulut les provoquer :
Vous avez fait à plusieurs ?
Non, oh non, dit Jérôme.
Moi jaimerais bien, dit Vanessa.
Même avec quelquun de plus âgé ?
Je ne sais pas dit Jérôme qui ne comprenait pas aussi vite que sa petite amie.
Avec toi tu veux dire, dit Vanessa. Mais ce serait super ! Tu vas nous guider.
Marie se déshabilla lentement et une fois nue elle commanda à Jérôme de se lever , elle demanda à Vanessa de rester allongée, elle monta sur le lit et se mit en chienne, elle écarta les cuisses de la jeunes fille pour la lécher, et offrit sa chatte à Jérôme, elle passa sa main entre ses cuisses pour écarter les plis de sa vulve : « Viens, petit cochon, allez naie pas peur » Jérôme surpris par la situation avait du mal à bander, il dut se masturber pour faire honneur à la belle amie de sa petite amie. Vanessa, elle, était aux anges, certes elle avait déjà couché avec des amies pour ne pas paraître idiotes auprès des copines, mais cétait resté superficiel, elle avait seulement dormi nue enlacée avec deux ou trois camarades. Elle découvrait les joies du plaisir accordé par une femme qui devait certainement être experte, elle mouillait dailleurs très fort sous leffet des coups de langue que lui prodiguait Marie. Oui, ça valait le coup de sacrifier Jérôme à cette nouvelle expérience quelle se promettait de connaître depuis longtemps et dapprofondir aussi. Elle frissonna autant sinon plus que lorsque Jérôme la conduisait à lorgasme. Ce dernier avait enfin redonné à son sexe une dureté qui lui permit de pénétrer Marie, il était à genoux sur le pied du lit et lui donnait enfin les coups de boutoir que sa nouvelle partenaire espérait. Celle-ci était devenue gluante sous la double influence du plaisir quelle donnait à Vanessa et de celui que lui procurait un jeune mâle arraché un instant à létreinte de sa petite amie.
Mais oui, gros balourd ! je ne suis pas une vierge, et elle eut tout juste le temps denfourner le gland qui en était à se troisième éjaculation de laprès-midi. La bouche pleine, Marie fit venir Vanessa à hauteur de ses lèvres et elles partagèrent en se léchangeant le jus de leur amant commun. Tous les trois étendus nus sur la largeur du lit perdirent conscience quelque temps. Marie fut la première à reprendre ses esprits, elle demanda à ses deux partenaires sils souhaitaient prendre une collation. Mais voyant lheure, ils dirent quils se contenteraient dune douche. Vanessa devait prendre le bus pour regagner la banlieue résidentielle où elle habitait, Jérôme devait rejoindre son groupe musical. Ce dernier voulait revoir Marie seule, il profita de la présence de Vanessa dans la salle de bain où elle sattardait, pour demander à Marie si elle voulait le « voir » seul.
A condition que tu ne le dises pas à Vanessa, et que lon continue à se « voir » à trois.
Ok, tu me donnes ton portable ?
Il enregistra le numéro que lui donnait Marie dans ses contacts, mais en prenant la précaution de lui donner un autre prénom.
Dans lentrée, ils senlacèrent, heureux, comblés, Vanessa caressait les seins de Marie, toujours nue, quand elle embrassa sur la bouche Jérôme, longuement, et Jérôme caressa les fesses de Marie, quand elle embrassa sur la bouche Vanessa. « A bientôt, mes Chéris » ! Sitôt quils furent partis, elle se dirigea vers la chambre damis où avaient eu lieu leurs ébats, elle sallongea de nouveau sur le lit et sempara du gode encore humide du plaisir de Vanessa, elle le lécha avec gourmandise, puis tout en se caressant un sein dune main elle lintroduisit en elle actionna le vibreur et le fit aller et venir. Comme ses jeunes partenaires elle put aisément obtenir un troisième orgasme qui la combla. Elle senveloppa avec délices dans la couette où elle avait possédé Martine puis sa fille. Peut-être réussirait-elle à les convaincre de venir toutes les deux ensemble ? En tout cas elle était très heureuse des dispositions de Vanessa qui lui avait permis de connaître les plaisirs de la pluralité. Elle était surtout certaine de les renouveler avec ses jeunes amis quelle voulait vraiment chérir.
Or cest dans le lit de cette chambre dami, que Martine était maintenant lascivement étendue, trois jours plus tôt elle avait collé les lèvres de son sexe contre celle de son amante, en tribade, et elles avaient beaucoup joui ainsi. Elle se rappelait cette étreinte en ce moment où elle palpait lun de ses seins puisquelle avait enlevé son soutien-gorge , elle léchait le bout aussi puisque son tour de poitrine le lui permettait, elle découvrait enfin sa toison en écartant légèrement lélastique de sa culotte italienne. Elle tirait sur les poils qui se découvraient. Julien la regardait, admirait son impudeur, la désirait, il finit par se déshabiller. Il sapprocha et lui enleva sa culotte avec les dents et une fois quelle fut dégagée de ses pieds, il ne put sempêcher den sentir le fond de la culotte de Martine. Celle-ci sourit à ce fétichisme qui avait marqué la veille leur première étreinte, elle continuait à se doigter , ouvrait les lèvres ostensiblement pour que Julien remarque la percée de sa mouille qui allait perler la base de ses plis, elle passait sa langue sur ses lèvres quelle mordait également. Alors Julien entoura son sexe avec la jolie culotte de Martine, qui était identique à celle que sa femme avait mise ce matin. Rien détonnant à cette coïncidenc, puisque Martine se fournissait souvent dans le magasin de Carole. Il se branla avec, et il laissa son gland dépasser pour que sa partenaire puisse le lécher :
-Tu aimes les hot dogs ?
- La sauce surtout » répliqua-t-elle en riant, car elle aimait lhumour qui rend la sexualité franche, dépouillée de culpabilité Elle ne détestait pas non plus avec les hommes seulement, une certaine vulgarité de circonstance qui exprimait la violence des pulsions. Elle voulut encourager son partenaire dans cette voie :
- Je veux être ta salope.
Et elle se mit en chienne sur le lit. Julien la rejoignit, à genoux derrière elle, il coinça son gland dans la raie de Martine qui serra les fesses pour marquer sa soumission. Puis il mit son sexe entre ses lèvres, ses doigts effilés le guidèrent vers sa fente, il la laissait masser sa verge quelle dirigeait vers son vagin. Il lui pétrissait les seins en les soupesant, il mouillait ses doigts pour faire les essuyer sur les aréoles, puis il invita Martine à sucer ses doigts avant dexciter ses boutons vermeils. Elle jetait sa tête à droite et à gauche sous le coup du plaisir qui se diffusait depuis son bassin, elle cria « Non », quand julien à dessein se retira. Dis « Nique moi »,
Oui nique moi !
Dis :je suis ta pute
Je suis ta pute.
Dis : Jaime ta bite.
Jaime ta bite, bourre moi, bordel.
Et dun coup brutal il senfonça de nouveau sans grand mal car Martine était gluante, sa mouille abondante sétalait sur le haut de ses cuisses. Il savait lart de se retenir, et Martine lencourageait à maintenir cette tension :
« Oh, oui cest bon, continue. »
Mais vint le moment qui opéra une fusion suprême entre les deux êtres qui se seraient contentés du seul contentement de leurs corps. Ils sécroulèrent ravagés par un sentiment de confort extrême. Martine aurait souhaité avoir au moins un autre orgasme, mais la durée inattendue de sa petite mort ne lui permit pas de lobtenir. Au reste, elle sentait que Julien sétait attaché à elle et que très bientôt il la supplierait de le combler. Rapidement elle remit ses vêtements très chics sans prendre de douche car elle voulait sentir le foutre de son amant couler doucement et se déposer sur le fond de sa culotte, ce qui lobligerait à croiser ses cuisses durant la réunion un peu formelle quelle devait tout à lheure animer. Elle réveilla Julien et lui dit quelle filait, quil avait juste la porte dentrée à tirer, elle lui déposa un baiser furtif sur la bouche. Julien grommela, ne fut pas long à séveiller et une fois habillé partit, heureux de cette étreinte qui avait approfondi ses liens avec Martine.
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