Léa, Marc Et Pierre
Nos amis sont comme nous: libertins. Normalement nous allons soit chez eux soi à la maison. Nous sommes jeunes, mois de 30 ans, nous avons de multiples expériences que nous partageons pour notre plaisir. Normalement nous devions passer la nuit chez nous. Mes parents se sont pointés, mettant à bas nos projets. Cest Marc, mon mari qui a trouvé lastuce: il téléphone à son amantes, disons plutôt notre amante, Léa, pour quelle appelle sur le téléphone fixe pour nous inviter chez elle. Mon ami, lui téléphone dans un hôtel de luxe pour retenir une chambre pour quatre.
Le stratège marche, mes parents savent que nous devons sortir pour garder la mère dun ami. Bien sur je me prépare pour la soirée: robe transparente à mi cuisse, pas de string ni autre sous vêtement. Je porte quand même un léger manteau, pour ne pas paraitre presque nue aux yeux de mes parents. Marc lui est habillé normalement.
Il me tarde dêtre à lhôtel, jai ce soir particulièrement envie de Léa. Son ami Pierre mindiffère un peu. Ce soir je veux être lesbienne avec quand même des bites là où il faut. Je ne lai pas dit à Marc: nous nous sommes vues chez Léa dans la semaine, nous nous sommes aimées avec passion: cétait notre première fois seules, nous en avons profité.
Nous sommes dans la chambre à quatre. Nous nous mettons nus sans que personne nen fasse la demande, cest devenue une habitude. La nudité pour nous est le sel de nos ébats. Pour nous, les filles rien de particulier ne se remarque sinon nos seins qui enflent un peu. Par contre pour les hommes, ils ne peuvent pas cacher leur désirs. Leurs queues bandent dangereusement. Leur premier soucis est de nous baiser, pas leur compagne habituelle, celle de lautre. Au cours de notre escapades nous avons décidé avec Léa de faire tout ce quil fallait pour quils se branlent, se sucent et si possible sencule: après tous ils aiment quand nous baisons entre filles, nous voudrions les voir se donner du plaisir entre homme.
Nous laissons bien murir les bites en les agaçant un peu avec les langues, les mains, même les seins. Quand nous nous serrons contre le compagnon de lautre leurs queues sont contre nos ventres. Pour moi cest une chose importante de sentir une queue en érection contre moi. Je tiens mon amant par la taille pendant quil membrasse. Je bouge mon ventre pour que sa bite ne soit pas immobile: je le branle à ma façon.
Il passe sa main entre mes fesses, jadore cet instant où je sais quil va venir me branler le cul avant autre chose. Quand il arrive sur mon rectum, je lai déjà presque ouvert. Il men caresse le tour avant de le planter. Que cest bon cette caresse. Il fait aller et venir son doigts dans le cul. Je le laisse faire. Pourtant jajoute aujourdhui un quelques chose qui létonne au début avant de laccepter: moi aussi je moccupe de son cul. Je le lui caresse lentement pour le transpercer aussi doucement jusquà lui mettre tout un doigt dans lanus. Il ne proteste pas, il accélère seulement le doigt quil a mit dans mon ventre. Il me couche sur le lit, toujours dans les même dispositions. Marc et Léa en sont au même point. Je remarque quelle a fait comme moi, le cul de mon ami est occupé par une doigt.
Je suis obligé de lâcher le cul de Pierre qui maintenant va sucer ma chatte. Là, je ne veux pas manquer ses caresses linguales: dans la catégorie des lécheurs de chattes il occupe une place importante. Il sait bien comment me faire jouir très vite, souvent et fort: il lèche mon clitoris, entre deux doigts dans ma vagin, trouve toujours le point G et dautre que je ne connais même pas. Il noublie jamais de commencer une sodomie avec deux doigts; Ajouter à ça les caresses sur les deux seins, je ne suis quune pauvre femme dans ses bras.
Léa doit aussi bien jouir avec mon Marc. Je lentend geindre sans arrêt. Sil lui fait comme moi, il doit y avoir peu de différence avec Pierre. Sauf que cest son amant qui la baise devant lui. Javoue que pour ma part japprécie de vois Marc baiser Léa.
Bien sur je jouis comme une folle plusieurs fois en criant. Pierre excité me prend maintenant sous lui. Jécarte les jambes. Il entre son sexe dans le mien. Il est long et gros, presque trop. Je recommence à lui mettre mon doigt dans lanus. Il écarte mes chairs lentement, je le sens bien entrer. Je le sens surtout quand il est au fond. Je serre les muscles qui entourent le vagin pour être plus serrée: je le sens encore mieux. Je jouis encore quand son sperme vient au fond de mon ventre. Il sort de moi affaibli, presque mort.
Marc est comme lui, il commence à débander. Normalement ils en ont pour une bonne vingtaine de minutes avant de redevenir « exploitables ». Pour Léa et moi, ce nest pas grave, nous aimons nous faire lamour, surtout devant eux. Maintenant la totalité du lit est pour nous. Nous nous embrassons, nous serrons bien pour sentir nos corps contre lautre, particulièrement nos seins. Jaime sentir son pubis contre le mien, Nos jambes souvrent seules. Nos mains vont sur la chatte de lautre pour y trouver un sexe très humide, plein de cyprine et de sperme. Nos doigts branlent le clitoris de lautre, jusquà notre commune jouissance. Après ce premier essai nous allons plus loin en 69 pour nos lécher ensemble les parties les plus délicates de nos sexes. Jaime quand après mavoir fouiller le vagin sa langue va sur lanus. Elle me le lèche toujours avec délicatesse, par contre elle y pénètre sauvagement. Pour son cul, je me sert toujours de mes doigts: jaime la prendre ainsi. Pour finir nous nous installons presque assises, nos clitoris contre lautre. En quelques mouvements, ce qui montre notre intimité nous jouissons.
Aujourdhui elle veut inaugurer la nouvelle mode des USA: le fistage. Heureusement quelle a porté une bouteille dhuile de massage. Je lui en noie la chatte avant de poser ma main dessus.
Je ne sais combien de temps jai fisté ma copine, en tout cas jenlève ma main qui elle est fatiguée. Elle la regrette. Elle refuse dans un premier temps la bite de mon ami dans sa chatte: elle la préfère au cul. Elle reste sur le dos, Marc doit lenculer ainsi.
Pour moi cest plus simple, je suis en levrette, mes fesses bien en lair, lanus prêt. Je sens enfin une belle bite se poser sur mon cul. Je donne un léger coup de reins. Pierre entre sans difficulté: nous en avons lhabitudes. Jaime le sentir passer autour du sphincter. Jaime sentir ses poils contre mes fesses, jaime quand nous faisons des allers et venues. Jaime quand ses mains caressent mes seins, et que ma main « martyrise » mon clitoris.
Nous jouissons presque ensembles tous les quatre. Nous avons droit à au moins 5 minutes de calme. A nouveau, avec Léa nous reprenons nos caresses. Jessai de lui caresser le clitoris: elle a récupéré de son fistage. Je la fait jouir en solitaire avant quelle me retourne la politesse. Nous baisons jusquau moment où nos mâles bandent à nouveau.
Nous mettons en route notre plan. Pour aujourdhui nous ne voulons pas aller loin. Nous leur disons que sils ne se sucent pas, nous nous refuserons à eux. Il faut croire quils craignent cette menace. Nous avons gagné;
Ils se couchent sur le coté, en 69. Cest Marc qui le premier prend la bite de Pierre dans une main. Il la branle légèrement: elle devient encore plus dure. Pierre en fait autant à Marc et presque ensemble, ils se sucent comme sils faisaient ça depuis toujours.
Avec Léa, nous sommes folle de jouissance: chacune se branle en regardant la bite du copain. Ce qui nous étonne est la fin: quand ils jouissent ils gardent la bite dans la bouche comme pour nous. En se relevant ils nous montrer que leur langue est encore pleine de sperme. Nous les embrassons pour partager. La prochaine fois ils faudra quils se sodomisent.
Ils sont maintenant trop crevés pour nous baiser. Tant pis. Nous nous entendons avec Léa pour passer un après midi ensemble, cette fois avec des godes pour pouvoir nous baiser et ou enculer.
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