La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 390)
Suite de l'épisode N°384 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Monsieur le Marquis dEvans vient de laisser son cher ami denfance, Dominique, DomDominus de son nom de Dominant D/s, qui sapprêtait à aller punir sa soumise « reka9 » parce quelle sétait masturbée sans autorisation et qui, prise en flagrant délit, avait même eu le toupet de se rebeller au lieu de faire profil bas en reconnaissant ses torts. Le Noble Châtelain se dirige vers un attroupement qui a visiblement attiré, par pur voyeurisme ou par simple curiosité, quelques Invités quIL nidentifie pas encore de loin, apercevant néanmoins, au milieu deux, deux de Ses esclaves-femelles dont il distingue les corps peints en doré qui brillent dans les éclairages tamisés du Grand Hall transformé en Donjon D/s pour la nuitée orgiaque. Désireux de savoir ce quil en est, le Châtelain sapproche et constate quau centre de ce groupe de personnes se trouve une soumise qui a été solidement attachée sur un fauteuil médical comme ceux que lon trouve dans les cabinets des gynécologues, installé là pour loccasion et mis à disposition des Dominants amateurs de jeux « médicaux ». Debout juste derrière se trouve Sir RightHand, un Dominant anglais de pure souche qui a fini par déserter les rues huppées de Londres dont les pavés sont si souvent mouillés par une pluie abondante pour venir profiter amplement du soleil que lon trouve sur la French Riviera (Côte dAzur). Le Dominant na pas hésité pour loccasion festive à faire le voyage dune traite à bord de sa Ferrari Rouge pour franchir les kilomètres qui séparent Cannes où il réside désormais toute lannée et le cur du Beaujolais, où se situe le célèbre Château du Marquis Edouard dEvans. Tandis que le Châtelain approche, le Dominant délaisse pour quelques instants la poitrine de sa soumise « FrenchPussy » sur laquelle il saffaire et quil malaxe voluptueusement dans tous les sens depuis de longues minutes. Il se redresse pour accueillir à bras ouverts le Marquis.
- Dear Marquis, Sir Evans, je suis trop content ici. Pardonnez my français car moi fais beaucoup progrès, mais pas encore très très good
Parlant assez lentement, pour être assuré que son ami anglophone le comprenne assez bien, malgré une conversation qui ne sannonce pas pour être des plus aisées, le Noble, tendant à son tour les bras en direction de son ami doutre-manche pour une bonne accolade des plus amicales, lui répond.
- Très cher Sir RightHand, je suis moi aussi très content de vous savoir ici. Avez-vous fait bon voyage ? Je nai pas eu le temps de vous le demander lorsque je vous ai croisé sur le perron, accompagné de votre soumise.
- « pair on » ??? What is this ? je avoir une seule soumise pas une « paire » de soumise
- Désolé, Je voulais juste dire « lorsque je vous ai croisé à votre arrivée, à lentrée, en haut des marches », cest cela le « perron » dun château.
- Ah sorry ! Je avoir pas compris
et FrenchPussy avec ball-gag car elle peut crier trop fort peut pas traduire pour moi. Elle donne beaucoup cours français à moi mais difficile être débutant et avoir toujours parlé anglais only since 45 ans.
Le Marquis dEvans regarde avec délectation la soumise qui a été installée sur le fauteuil médical, les mains liées à larrière juste derrière le fauteuil ce qui loblige à rentrer le dos et bomber le torse, faisant ressortir sa poitrine attrayante avec deux seins en forme de poire, que surplombent deux auréoles gonflées et colorées et au centre deux tétons assez long, raides et proéminents. Les deux mamelles sont enserrées au centre dun harnais de corps en cuir, formé de divers croisillons et losanges, dont deux qui entourent chaque sein. Léquipement continue jusque vers le pubis enserrant la soumise au niveau de la taille, puis du bassin, pour se terminer par deux fines lanières qui passent dans chaque pli de laine. Les deux pieds de FrenchPussy sont fixés sur les étriers qui sont écartés en position maximum, et même bien au-delà de la position naturelle du bassin, ou de la position dite médicale lorsquon ouvre les cuisses pour une auscultation gynécologique intime.
La soumise a de fait son sexe largement exposé aux yeux de tous et en particulier de deux esclaves-soumises MDE, N°6 et N°18, glissées entre les cuisses de la soumise écartelée. Les deux chiennes-femelles du cheptel sont munies lune et lautre dune pince à épiler et sactivent à débarrasser toute la zone pubienne du moindre poil. Un petit « supplice » punitif qui ne semble pas plus que cela être apprécié de FrenchPussy qui est en larmes mais qui étant bâillonnée ne peut pas exprimer autrement son désagrément de la situation, sans parler de la douleur de lécartement extrême qui lui est devenue difficile à supporter. A la gêne et honte se mélange cependant une forte excitation car elle sait quelle est sous le regard sévère du Maître auquel elle appartient et que sa punition est méritée, ce qui lui impose donc de devoir lendurer en silence, pendant tout le temps que durera la sanction quil a choisi de lui infliger. Aux côtés du Dominant Londonien se trouve Master Gé et sa toute nouvelle soumise « Gémienne » qui est sagement agenouillée à ses côtés.
- Très cher Master Gé, permettez-moi aussi de vous dire combien je suis content de vous savoir parmi nous ce soir, et visiblement avec une toute nouvelle bestiole de compagnie. Nous navons pas eu la possibilité déchanger par mail depuis fort longtemps, je suis tellement pris en ce moment avec mes affaires et aussi la gestion au quotidien de ce grand et Noble domaine familial auquel je tiens plus que tout, sans parler de Mon cheptel qui occupe le Maître consciencieux et soucieux que je me dois dêtre vis-à-vis de ceux qui se sont mis à mon service et également sous ma protection.
- Monsieur le Marquis dEvans, cest surtout moi qui suis content davoir la chance dêtre à Vos côtés et davoir eu la possibilité demmener ma nouvelle petite chienne qui fait ce soir sa première sortie dans le monde BDSM. Je lui ai posé son collier dappartenance, il y a maintenant deux mois et je dois avouer que je suis fière des premiers progrès de celle qui ignorait tout de la D/s mais qui était au fond delle bien plus soumise dans lâme quelle-même limaginait et limagine encore, je dois dire. Je me suis approchée de Sir RightHand que javais eu déjà loccasion de croiser dans une soirée en donjon privé sur la Côte aux alentours de Nice, et je lui ai proposé « main forte » pour lépilation de sa FrenchPussy pour éviter que cela ne séternise pendant toute la nuit. En réalité, et plus précisément, jai mis à sa disposition la main experte de Votre esclave-soumise N°6 qui mavait été octroyée lors du tirage au sort, tandis que nous conversons et confortons nos idées sur la D/s et nos exigences de Dominant, Sir RightHand mexpliquant combien il appréciait plus que tout, les chattes bien glabres et sans le moindre poil chez les femelles. Je crois savoir que Vous êtes, Vous-même, Monsieur le Marquis dEvans un assez fervent amateur de lépilation intégrale pour toutes vos esclaves.
Sir RightHand qui na pas tout compris de la conversation, mais qui a bien retenu le fait quil était question de « chatte » et de « poils » se penche sur sa FrenchPussy, lui retire le bâillon-boule et, dans un français toujours hasardeux, il lui intime lordre de sexpliquer
- « FrenchPussy », arrête pleurer maintenant ! Toi expliquer pourquoi punition ce soir ici
et bien expliquer Tooouuuut
Arrête pleurer même si mal, cest toi faute ! Its your fault,
I say !
La soumise qui est installée sur le fauteuil médical, les cuisses écartées en train de se faire épiler poil après poil, se met à rougir encore plus à lidée de devoir sexpliquer longuement devant le Maître des Lieux dont elle connaît la renommée, le charisme, la justesse mais également la fermeté dans Ses exigences.
- Me
snif
. Me
snif
. Me
Monsieur le Marquis dEvans, je Vous prie de pardonner la soumise fautive que je suis qui mérite amplement son sort et son châtiment. Pour me conformer aux ordres de Sir RightHand, je me dois de vous dire que ce dernier exige que je sois toujours parfaitement épilée au niveau des aisselles et du bas-ventre. Il mimpose dailleurs une séance en institut tous les 15 jours maximum. Je naime pas particulièrement devoir aller chez lesthéticienne pour une épilation intégrale, car je trouve cela plus que gênant de devoir se mettre à nue devant une inconnue et surtout que cela reste très douloureux à supporter.
Avec une voix ferme et lourde, le Châtelain linterrompt.
- Je suppose que désirant être une soumise obéissante, tu te plies cependant aux exigences du Dominant auquel tu appartiens, et que tu le fais en outre avec plaisir, dépassant la honte que tu pourrais ressentir dun acte qui reste cependant très banal en institut, surtout de nos jours où les épilations intégrales sont de plus en plus à la mode, particulièrement appréciée dans notre milieu BDSM. Quant à la douleur, je pense quelle reste très relative, toutes les esclaves-femelles de Mon cheptel y passent et ne semblent pas se plaindre de ce qui reste un vrai soin de beauté qui met en valeur leur intimité en les débarrassant du superflu et en mettant à nu leurs lèvres rosées pulpeuses. Jexige aussi les mêmes « débroussaillages » de certains esclaves-mâles beaucoup trop velus à Mon goût surtout pour « celles » qui ne sont en somme que de belles lopettes qui nont nul besoin de montrer quelque virilité que ce soit pour servir de simples vide-couilles encagées.
Impressionnée par la prestance et lassurance de ce Grand Maître qui ne mâche pas ses mots et ne fait pas dans la pruderie, la soumise rougit encore plus, sentant son bas-ventre qui se contracte comme pris par une ondée de plaisirs qui la déborde. De fait, elle sarrête de pleurer instinctivement, ressentant toujours la douleur, mais presque heureuse de pouvoir offrir impudique sa chatte gonflée dexcitation aux mains expertes des deux esclaves-soumises N°6 et N°18 qui saffairent sans sarrêter, traquant le moindre poil brun qui oserait encore montrer sa queue.
- Monsieur le Marquis dEvans, je reconnais humblement que jai très mal agi. Sir RightHand a dû sabsenter pour plus de 15 jours devant retourner en Angleterre pour régler certaines affaires personnelles. Je ne lai pas fait vraiment consciemment, enfin je le crois quand même, mais jai raté mon rendez-vous chez lesthéticienne. Lorsque je men suis rendu compte, je me suis dit que finalement jy retournerai juste avant le retour du Maître, que cela serait bien suffisant puisquil nen verrait rien. Je nétais pas mécontente malgré tout de voir que je métais au passage exonérée du coup dune de ces séances bimensuelles que je napprécie guère. Sauf que le Maître a pu modifier son planning et quil est rentré bien plus tôt que prévu. Voulant me faire la surprise de son retour avancé, il est arrivé un soir à la maison alors que je ne lattendais pas du tout.
FrenchPussy sinterrompt une seconde, puis sursaute comme si elle revivait dans sa tête le moment précis où Sir RightHand était arrivé sans bruit, se glissant derrière elle pour la surprendre en lui mettant les mains sur les yeux, la faisant bondir de peur autant que de plaisirs avec un « Its Me » dans un accent très reconnaissable.
- Monsieur le Marquis dEvans, je dois avouer devant vous et tous ceux ici présents que jétais dans une tenue qui laissait franchement à désirer, je le reconnais sans détours, pas très coquette ce soir-là, du genre plutôt cocooning nonchalant, un vrai laisser-aller bien peu sexy: Je métais affalée dans le fauteuil devant la télé les pieds sur la table, essayant de passer le temps avec un sérieux coup de blues en solitaire. Sir RightHand très contrarié en me voyant dans ce vrai délabrement ma attrapé par les cheveux que je navais pas coiffés depuis au moins trois jours et il ma tiré jusque dans la douche mobligeant à me dévêtir sous leau froide et à me laver avec un gant de crin de fond en comble. Jétais très excitée, malgré le fait que jétais gênée de la situation sachant très bien que je naurais pas dû profiter de labsence du Maître pour oublier tout ce quil menseigne, et le plaisir que jai maintenant à laisser ma féminité et ma sensualité sexprimer lorsquil est là et que je suis à Ses pieds, car il a vraiment fait de moi une femme désirable tout autant quune soumise, maidant également à me sortir de la misère dans laquelle je sombrais avant quil me trouve et me prenne en mains.
- FrenchPussy ! Toi bien dire combien vilaine fille sale quand Maître absent
. Moi pas entendre et pas tout comprendre si toi parle français vite.
- Yes, I do, Sir ! Let me go on, please, Sir RightHand. ..... (La soumise reprend lexposé des faits adressé au Maître des Lieux)
. Lorsque je suis sortie de la douche, Sir RightHand un peu plus calmé était visiblement excité car il sest approché tout nu, la verge dressée et gonflée de désirs virils. Il a envoyé la main pour se glisser dans mon intimité et vérifier si je mouillais, enfin je pense que cétait son intention. Or, à son grand désespoir, il na pu que constater que je nétais pas épilée de frais, la repousse ayant une taille bien plus importante que ce quil tolère entre deux séances. Il ma fait magenouiller alors que jétais encore trempée, grelottante, la peau avec la chair de poule, et il ma baisé de la bouche sans ménagement et sans tendresse, minterdisant de jouir, en me précisant quil était déçu et offensé de constater ma désobéissance et la vitesse avec laquelle javais laissé mes démons du passé à nouveau menvahir. Il ma depuis interdit laccès de son lit, mobligeant tous les soirs à dormir par terre sur la descente de lit, me disant quil me réservait une punition qui me servirait de leçon et qui vaudrait largement la séance en institut que javais sauté, en profitant de son absence. Je dois avouer quaprès cette épilation intégrale à la pince à épiler de ce soir, je vais trouver les séances en institut à la cire bien agréables et beaucoup moins longues et difficiles à supporter.
- En entendant ta confession, je pense que tu as pleinement conscience que tu nes quune soumise fautive et coupable qui mérite dêtre châtiée comme il se doit. Jose également espérer quil est bien dans ton intention de prouver ta gratitude au Maître qui a daigné te faire prendre conscience de tes égarements et que tu auras à cur de le remercier amplement pour la punition quil a eu la sagesse de timposer.
- Oui, Monsieur le Marquis dEvans, je ny manquerais pas. Soyez-en assuré, dit-elle plus excitée que jamais avec la chatte en feu !
(A suivre
)
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