Sortie Du Couvent
En 1985 jétais fiancée avec Paul. Enfin jétais fiancée comme à lépoque : jadorais ses bonnes manières, sa politesse surtout sa gentillesse. Je lavais présenté à mes parents, pour mes 22 ans, qui laimaient bien comme futur gendre. Il était même question de nous marier. vivant ensemble, nous faisions lamour. Si au début je faisais ça pour lui faire plaisir, je sentais le bien être des orgasmes envahir ma chatte. Il mavait « » à me masturber devant lui comme il le faisait devant moi. Il marrivait parfois de me branler seule.
Et un sale jour de Novembre la catastrophe. Un accident de voiture est voilà envolé mon rêve de mariage. Je suis restée prostrée plusieurs mois, trouvant dans la religion ce qui me manquait. Jai eu envie de me consacrer à la prière.
Le couvent de carmélites est complètement fermé. Cest-ce quil ma fallait. Je priais pour la repose de lâme de Paul. Mes parents pouvaient venir me voir, et encore moi enfermée et eux dans lespace libre. Au début jétais très observant des règles.
Seulement javais oublié que mon corps avait des besoins. Malgré les interdits, non dit, je recommençais, dès le coucher à me masturber. Si au début jen avais honte, plus le temps passait moins javais de remords. Avant de prononcer mes vux définitifs, je demandais à sortir de ce qui pour moi nétais plus mon monde. La mère supérieure ma facilement laissé partir.
De retour chez mes parents, il a faut que je trouve du travail. Le seul emploi que jai eu était barmaid. Différence extraordinaire entre le silence dun couvent et les bruit dun bar fréquenté par des clients ou clientes bruyants. Il fallait me faire aux plaisanteries douteuses, aux propositions indécentes pour moi. Même souvent aux mains tant masculines que féminines sous la jupe.
Le jour où jai pu avoir mon studio, je me suis décoincée totalement. Javais envie de baiser. Il me fallait une bite. La masturbation ne me suffisait pas. Sans chercher je pouvais trouver au bar nimporte quel type qui me plaisait un peu.
- Ecoutes, soit gentille, si tu veux te payer un homme fais le, mais pas ici.
- Pourtant certaines me plaisent.
- Si tu sors avec un seul client, je te mets dehors.
La question était donc résolue. Je décidais de fréquenter une boite le soir, en pleine nuit. Dès le premier soir je voyais une foule de garçons de mon âge qui comme moi cherchaient lâme sur pour une nuit. Je voulais chercher et cest Germain qui ma trouvée. Cest lui qui ma offert un verre. Nous avons bavardé longtemps pour finalement partis sans un seul pas de danse.
Jen avais oublié de regarder si sa bite pouvait me plaire. Nous ne nous sommes embrassés que dans son appartement. Mes lèvres retrouvaient une bouche masculine. Je ne pensais plus que se fut aussi bon. Ma chatte aussi avait perdu ce que pouvait avoir de bon ce gente de baiser : je mouillais déjà.
Je me collais à Germain pour sentir sa queue contre mon ventre. Il bandait bien aussi. Je le voulais dans le ventre. Nimporte où mais dans le ventre, même dans lanus.
Il ma déshabillée lentement en membrassant partout. Je ne me souviens même pas quil mait demandé une seule fois de coucher avec lui. Quand jétais nue devant lui il a vite fait de se mettre aussi nu. Jétais tombé sur un bel homme, style statue antique sauf du coté sexe : il était dans la normalité. Seulement il bandait dur. Je nosais pas le toucher, lui oui, il ma caressé rapidement lentre jambe avant de me faire coucher.
Je me sentais toute petite en me demandant si je saurais encore baiser. Nous avons encore uni nos bouches. Il sest détache de la mienne pour venir dans mon cou puis pour descendre sur ma poitrine.
Enfin une bouche léchait mes tétons et mes seins ; Je sentais ressortir mes tétins qui me faisaient presque mal. Si sa bouche était occupée sur ma poitrine, une main est allée bien en bas, sur ma foufoune.
Je nai rien dit : je fermais les yeux pour déguster la caresse qui ma fait tellement de bien que jai joui trop vite et pour lui et pour moi surtout. Il a recommencé aussitôt : je gémissais en disant des choses comme ;
- Oui, encore, branles moi plus fort, plus vite
.
Il a prit ma main pour que je le caresse aussi. Sa bite était bien raide et dure. Il y avait longtemps que je nen avais pris dans la main. Les mouvements que je devais faire nétaient pas oubliés. Je le branlais comme il me faisait. Il allait jouir quand il sest couché à mes pieds. Je savais ce quil voulait : je lui donnais toute choupinette à gouter. Il a fait bien plus en commençant par le bas : je sentais sa langue sur mon rectum, il le léchait un peu, juste pour le mouiller avant dentrer un petit bout de langue. Ca n était tout nouveau pour moi. Chaude comme jétais je le laissais me faire du bien. Pour accen sa prise de mon corps, il mettait son pouce dans mon vagin.
Je pensais que jaimerais bien quil remplace son pouce par sa bite. Jai bien joui encore. Si sa langue est venue sur le bouton, elle ne sy est pas attardée, ce sont ses lèvres qui mont aspirée.
Javais encore en mémoire les façons de Paul qui me faisait pareil.
Et enfin le grand moment est arrivé ; Il est venu sur moi, ses jambes entre les miennes. Je sentais sa bite vers lentrée de mon abricot. Il est entré dun seul coup vif. Mes chairs sécartaient pour laisser le passage pendant que je sentais ce noble plaisir monter dans mon ventre.
Jaccompagnais ses mouvements divers. Il nétait pas au fond que je jouissais encore. Je nai pas cessé de jouir pendant quil me baisait. Il est sorti avant de jouir. Je le regrettais déjà : javais tort, il venait directement sur mon cul. Il ma sodomisé lentement, trop lentement puisque mon cul sest ouvert facilement devant sa queue.
- Encore, encules moi, fait moi jouir, tu baises bien je vais jouir.
- Tiens un petit moment, je vais jouir aussi.
Jai senti dans mon ventre le sperme quil injectait. Je ne pouvais retenir un dernier orgasme.
Nous avons recommencé quatre fois dans la nuit. Puis, le jour venu nous nous sommes regardés en éclatant de rire : nous étions pleins de cyprine et de sperme un peu partout.
Nous avons baisé presque tous les soirs pendant trois mois avant que jaménage chez lui. Je lai présenté à mes parents. Nous attendons le printemps pour convoler.
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