Marie Et Henri
Mon mari est mort dans un accident, me laissant veuve à 31 ans. Il avait une excellente situation, nous vivions largement. Sa disparition me laissait sur la paille. Jai eu la chance dêtre rapidement indemnisée par lassurance du chauffard. Depuis je vis de mes rentes uniquement dans la maison de campagne quil avait acheté en pleine brousse : le village le plus proche se trouve à une bonne demi heure en voiture.
Je me suis laissé aller à une vie monacale. Cest une vielle amie qui ma décoincée. Je recommence à vivre comme les autres. Bien sur sa présence me manquait, je suis arrivée à moins penser à lui à ses caresses et nos baises. Parfois je vais même au cinéma dans la ville la plus proche. Je lis beaucoup de journaux et revues politiques. Jadore la politique depuis toujours. Je pourrai adhérer à une formation pour militer : ça par contre mennuierait.
Je reprends gout au sexe, dabord en me masturbant souvent comme je le faisais quand il était là.
Seuls ses regards me manquent. Jai commandé dernièrement ce qui se fait de mieux comme jouets sexuels. Je mamuse souvent avec pour le bonheur de ma chatte et de mon cul.
Je vis seule dans cette charmante fermette entourée dun grand parc lui même enclos dans de grands murs. Je suis ainsi totalement libre de mes mouvements. Surtout totalement libre de vivre nue ce qui me plait énormément. Ainsi lan dernier jai fréquenté un club naturiste. Je revoyais des bites calmes pour la première fois. Je vie plus sereinement ainsi.
Je donne libre court à mes instinct de masturbation. Assise sur lherbe haute, contre mon arbre préféré je me branle au moins une fois par jour, même sous la pluie dorage en été : cest excitant et rare. Un jour, javais invité une ancienne copine décole que je retrouvais par hasard au cinéma.
Nous nous amusions alors à des jeux dangereux entre filles. A ce moment là, les filles normales ne jouaient pas comme nous. Pourtant ce que nous faisions était très agréable, même si par les plaisirs retirés, nous devinions que quelques choses devaient linterdire.
Ainsi Marie venait, pourtant elle mavertissait par un coup de fil quelle viendrait avec son mari
Ainsi elle aussi avait cédé à un homme, chose quelle mavait promise de ne pas faire. Enfin même avec son mari, je le recevais fort bien.
Je mitonnais un bon petit repas bien arrosé de Corbières : ils arrivaient. Les bises réglementaires et nous voilà partis vers les souvenirs. Henri, lépoux de Marie est très sympathique : il me semble assez sexy. En lexaminant de près je crois quil a une belle bite (décidément je suis coquine aujourdhui). Notre repas est vite passé, nous allons faire une promenade digestive. Avant de partir je leur demande de se déshabiller pour être libres. Surpris ils le font. Jai raison il a une belle queue comme je nen ai pas vue depuis longtemps ; quoique celle de mon époux était très bien pour moi. Henri se met entre nous deux, en nous ne tenant pas les bras. Quelques fois un écureuil peureux file devant nous en montant à un arbre.
Nous commençons à parler de nos souvenirs : Marie commence, sans trop se préoccuper de son mari:
- Tu te souviens de ce que nous faisions dans ma chambre ?
- Bien sur comment je pourrais oublier les fabuleux orgasmes que tu me faisais avoir avec ta langue.
- Parce que tu crois que toi te ne me faisais pas jouir ?
Henri nous écoute attentivement. Marie a du lui parler de nous deux.
- Tu me donne envie de toi.
- Si tu veux, moi je veux bien.
Nous sommes justement sous mon arbre : Je prends Marie dans mes bras : nos bouches sont à nouveau ensemble, nos langues semblent se reconnaitre puisquelles se caressent longuement. Marie sarrange pour que nos seins se retrouvent aussi. Je comment à être trempée ; Henri nous regarde, je le vois commencer à bander : il se développe pas mal.
Je me laisse faire, abandonnée autour de ses bras et son corps. Le plaisir arrive trop vite : mon orgasme est gigantesque : je suis seule depuis trop longtemps sans doute, quoique je me sois branlée ce matin au réveil.
Maintenant, je reprends au même endroit quelle : je lèche ses seins, sa bouche. Je la branle un peu avant de mettre ma langue sur son sexe divin. Jajoute deux doigts dans le vagin. Ca je sais quelle aime. Je les fais aller et venir lentement dans son ventre. Jai juste le temps denlever ma langue quelle pose ses doigts sur son clitoris pour se branler sans honte devant moi et son mari.
Parlons dHenri, justement, il nous regarde attentif, sa main sur la bite. Il bande trop pour la laisser tranquille. Je vois sa main aller et venir sur elle. Jaime voir un homme se masturber.
Cest beau de voir le plaisir quand il jouit avec le sperme qui sort en cascade.
Jespère quil ne va pas aller au bout : je me le paierais bien après sa femme. Elle doit le sentir, elle jouit sans me demander de recommencer par un 69 par exemple, chose que nous aimions beaucoup.
Ce quelle mapprend est quil bande très longtemps sans jouir il peut nous baiser lune et lautre sans débander, et ensuite il rebande très vite aussi pour recommencer, il peut tenir plus de deux heures ainsi. Cest un phénomène de foire.
- Henri tu veux bien menculer ?
- Bien sur, jaimerai que Marie te suce en même temps.
- Je le lui rendrai alors.
- Mets-toi en levrette, je vais arranger ça.
Je suis à quatre pattes devant lui, je mouille mon rectum avec ma cyprine bien glissante. Marie vient sous moi, me prend le clito entre ses lèvres.
Je ne sais combien de fois je jouis, jusquà un presque évanouissement.
Mes amis eux continuent sans moi : quand je reprends totalement mes esprits je les vois lui dessous, elle à cheval sur sa queue certainement dans le cul. Je recommence à être surexcitée ; je vais massoir sur le visage dHenri. Il sait ce quil doit faire, sa langue connais bien les chattes. Il me trouve des endroits inconnus de moi-même. Me voilà repartie dans une bonne série dorgasme. Pour Marie, ma présence lui apporte la possibilité de se faire caresser les seins pendant quelle se masturbe. Nous pouvons nous embrasser longuement : elle aussi ne fait pas sortir la bite qui lui donne tant de plaisir.
Nous rentrons quand la nuit tombe. Toujours nus nous allons finir dans la chambre. Henri veut nous donner un spectacle : il est couché sur le dos, il a pris sa bite dans la main, il commence à se masturber comme jaime, il ajoute un supplément avec ses doigts gauches ; il en rentre trois dans son cul.
- Oui, fais ça comme tu sais. Tu aimerais avoir une bite au cul.
- Oui, jaimerai me faire enculer.
- Je vais te le faire, jai ce quil faut, dis-je.
Je sors un de mes godes, pas trop gros, je le mets dans ma bouche pour bien le chauffer et le mouiller un peu. Sans crainte je le mets sur ce cul offert.
Jai besoin quil me suce encore une fois, je vais sur lui en 69, sauf que cest ma main qui travaille. Je le lui mets le plus profond possible, à le faire disparaitre. Jai peur davoir fait une bêtise alors quen forçant il arrive à le faire ressortir. Il gémit comme une fille baisée. Je recommence plusieurs fois en surveillant sa bite quil astique toujours. Je reste étonnée de le voir accepter toute la longueur dun gode déjà long dans son fondement et le faire sortir avec autant de facilité.
Soudain, il fait sortir le gode en même temps quun grand jet de semence sort de son engin. Le sperme est partagée entre les femmes : dommage de gaspiller une friandise.
Depuis je suis une femme totalement libérée. Cest moi qui vais choisir mes amants en ville. Je naime pas trop recommencer avec les mêmes, sauf, car il y a un sauf quand je tombe sur une belle bite qui me plait. Et aussi quand je tombe sur deux hommes à la fois qui me baise chacun dans un trou différent. Que jaime les doubles pénétrations. Etre libertine, à mon âge a son charme. Le pire est que je suis connue dans un petit hôtel où le concierge me fait de prix.
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