Laure 1 : Les Deboires De Laure

LAURE 1 : LES DEBOIRES DE LAURE.

Ce jeudi, ma mission au Gabon s'était achevée  par la remise de mon rapport préalable au Ministre de l'Agriculture... Mon siège m'ayant convoqué pour " débriefing " le mardi matin. ...Je n'était pas du tout séduit par l'idée d'improviser en urgence, un week-end de fin mai, à Libreville où je ne connaissais que mes collègues de l'Agence. A Rome, ce ne serait guère mieux, difficile d'organiser un truc valable en si peu de temps et par téléphone qui plus est !...J'appelais cependant ma copine, la contessa Flavia da V... qui avait été ma collègue à Bangui et qui m'hébergeais souvent, en tout bien tout honneur, dans son bel appartement de la via Baccina... Seul, un répondeur téléphonique était disposé à noter mon appel... J'annonçais mon arrivée prochaine et raccrochait... C'est alors que l'idée me vint de faire un stop-over à Nice....Je composais le numéro de ma tante Sylvie, la sœur de mon père, qui avait 78 ans et habitait dans les hauts de Grasse...Échec... Ça sonnait dans le vide !... En dernier ressort et aussi pour avoir des nouvelles de ma très chère tante, je décidais d'appeler sa fille, ma cousine Laure qui avait un an de moins que moi, soit trente et un ans...A la sixième sonnerie, elle décrocha :
Laure M...., j'écoute !
Bonjour Laure !... Je suis Alanick, ton cousin . Je t'appelle de Libreville et je cherche tante Sylvie car je pensais faire un stop chez elle le week-end prochain...
Alanick !..Tu es au Gabon !...Je suis ravie de t'avoir au bout du fil... Mais tu n'as pas de chance !...Maman s'est fait opérer de la hanche...Elle est en rééducation à Antibes.... Veux-tu que je lui demande de te loger chez elle même en son absence ?....Ou bien, accepterais-tu de coucher chez moi... Je n'ai que le clic-clac du salon à te proposer... mais c'est de grand cœur et ça serait un grand plaisir pour moi … Je me sens un peu seule depuis que nous avons divorcé Marco et moi !
Je l'interrompis, surpris de cette nouvelle que j'ignorais totalement l'instant d'avant.

..
Tu as divorcé ?... Quand ?...
En septembre dernier, peu de temps après ton dernier passage, quand tu partais à Bangui... Si tu te souviens bien, il y avait déjà du tirage entre nous ...Il s'était mis avec une jeune italienne Antonella...
Sacrée nouvelle !... Dans ces condition je ne peux qu'accepter ta proposition...On va se faire une petite fête, ça te remettra les idées en place !..Je réserve mon vol pour demain matin et je te rappelle, OK ?
C'est d'accord !...Je te remercie... Je déprime un peu, tu comprends ?...Avec maman en rééducation en plus !... Ta visite est très opportune...Merci !..
Ce n'est pas à toi de me remercier....de me rendre service puisque tu m'offres un week-end sympa... C'est à moi de dire merci pour tout par ...anticipation !
Après quelques protestations que je laissais sans écho, je raccrochais pour contacter l'agence de voyage avec laquelle mon Organisation traitait habituellement.... Une heure plus tard, je retirais mon billet en " business classe " Libreville-Nice-Rome. Je rappelais Laure pour lui indiquer mon heure d'arrivée à Nice...Elle serait à l'aéroport et m'accueillerait à mon arrivée.

Après avoir subi les formalités routinières de police et récupérer ma valise, je me dirigeais vers la sortie franchissant aisément la douane... J'aperçus tout de suite Laure que sa chevelure blond vénitien tendant fortement vers le roux, la rendait facilement identifiable.... Elle portait un tailleur gris clair sur un chemisier vert nil assorti à ses yeux...Elle me souriait en me faisant de grands gestes de salutation de l'autre coté de la paroi de verre qui nous séparait encore...A peine avais je franchi la porte qu'elle se jeta dans mes bras, m'étreignant comme un être très cher... beaucoup plus qu'un simple cousin germain....A travers le grand parking, elle me guida vers sa voiture, une Mini vert bouteille tout en parlant à toute vitesse de tout et de rien !...Mes bagages déposés dans le coffre, elle entrepris de me conduire chez elle, avenue Gay, à proximité de la cathédrale russe orthodoxe, sans s'arrêter de parler !.
..L'ascenseur nous amena très vite à son petit appartement, au cinquième et avant dernier étage d'un immeuble moderne : un living-room meublé entre autres, du fameux clic-clac présentement en forme de canapé, en annexe un coin-cuisine, une belle chambre spacieuse équipé d'un lit king-size, une salle de bain très bien équipée avec toilettes séparées....A vrai dire je m’intéressais plus au physique de ma cousine qu'à la distribution de son appartement !...Elle avait ôtée sa veste et son chemisier de soie mettait en valeur sa poitrine érigée...apparemment, elle portait du 85 C.... Sous le fond de teint très léger qui atténuait la blancheur de sa peau de rousse, transparaissaient légèrement les tâches de son dont elle avait eu tellement horreur à l'adolescence et qui ajoutaient à son charme maintenant...Elle continuait à me parler des charmes de son appartement quand je n'avais d'yeux que pour ses superbes jambes gantées de bas de soie grège sans couture.... Revenant brutalement sur terre – c'est ma cousine germaine et c'est pas bien de la mater avec... concupiscence !- j'interrompis son baratin pour établir notre programme pour cette fin d'après-midi en lui rappelant que je souhaitais voir ma tante et aussi m'acheter un maillot de bain !... Vingtaine minutes plus tard, la question était résolue : la visite à la mère de Laure était renvoyé au lendemain, Laure endossa rapidement une tenue mieux adaptées à notre programme que son élégant tailleur gris..et on partait en voiture en quête du fameux maillot...et d'une plage pour l'inaugurer....Très vite, je fus perdu dans les rues de Nice...Laure conduisait très ...énergiquement et un peu vite à mon goût...Il ne nous fallu que peu de temps pour parvenir à l'espace Masséna... Trouver un parking pour la Mini fut beaucoup plus long et sportif...Finalement, elle trouva un emplacement tellement étroit que je dus descendre de voiture pour lui permettre de se garer... Je jetais un coup d’œil à ma montre : 18.15...L'inauguration du maillot pas encore acheté, était remise à plus tard !.
..Laure m-avait pris par la main et m’entraînais dans un dédale de boutiques. Elle s' arrêta devant l'une d'entre elles à l'enseigne d "Angélique- Sport wear " et entra...Après les salutations, les présentations et les embrassades d'usage – j'eus droit aux quatre bises de rigueur -, Laure exposa le but de notre visite . Après l'avoir écoutée, Angélique, une jolie brune qui avait approximativement l'age de Laure, actionna le volet roulant et ferma sa boutique.
C'est presque l'heure de la fermeture et, comme cela, nous ne serons pas dérangés .
dit elle en farfouillant dans de profonds tiroirs d'où elle sortit une multitude de maillots de bain.
Choisissez, cher ami dit-elle . Je vais chercher un peu de champagne pour fêter cette rencontre et le retour de Laura que je n 'ai pas vue depuis des lustres !...
Angélique revient rapidement, chargée d'une bouteille et de trois flûtes qu elle installa sur une table basse. Après avoir invité Laure à s'installer dans un petit fauteuil, elle ouvrit la bouteille pendant que je farfouillais sur le comptoir... Je tombais bientôt en arrêt sur un minuscule bikini marron glacé fermé par un laçage sur un seul coté. Comme je demandais son avis à ma cousine, Angélique, l’œil égrillard, me proposa de l'essayer.
Pourquoi pas ? dis-je en relevant le défit.
Elle m'accompagna dans le fond du magasin où se trouvaient trois cabines d'essayage, ouvrit le rideau , me fit entrer en me remettant trois ou quatre maillots puis referma le rideau...Je me déshabillais et accrochais mes vêtements à la patère... J'étais nu et regardais dans le miroir ma bite au repos surmontant mes deux gros testicules quand un pan du rideau s'écarta...Le visage d'Angélique souriante et les yeux braqués sur mes attributs, apparu dans l'ouverture.
Ca va ? Vous n'avez pas besoin de mon aide ?...Oh ! Mais c'est pas mal du tout votre truc !...J'aimerai bien l'avoir dans ma chatte !...
Dans un réflexe ridicule, mes mains vinrent se croiser sur mon pubis, s’efforçant de mettre mon sexe à l'abri du regard concupiscent d'Angélique.
... Je bafouillais :
Non, merci... ça va aller pour l'instant.. !
Le pan du rideau retomba et j'enfilais le bikini marron glacé dans lequel j'eus bien du mal à faire rentrer ma queue en pleine turgescence....Je finis non sans mal, d'arranger mes petites affaires et sortit dans la salle en faisant un pas de danse... sous les yeux des deux filles, Angélique, hilare et Laure, beaucoup plus réservée !..
Aussitôt mon achat réglé et la bouteille de champagne asséchée, Laure activa notre départ de la boutique... Quelque chose semblait lui avoir déplu ...Embrassades finales... La bouche d'Angélique effleura mes lèvres et me glissa dans l'oreille
Mon numéro est dans le sachet. Appelle-moi quand tu veux !...
Je répondis par une pression de ma main sur sa taille souligné ensuite par un bref clin d’œil...Laure était déjà sur le seuil de la porte...Je jetais un coup d’œil à ma montre qui affichait 19 .45 h... Dès notre arrivée à la voiture, Laure m'expliqua qu'elle avait parlé avec Angélique de son ex mari le fameux Marco, croupier de son état, prétentieux et ramenard comme pas possible
Elle m'a dit qu'il baisait avec tout ce qui passait à sa portée... Tirait son coup et disparaissait !... On ne faisait pratiquement plus l'amour, Marco et moi...Il me baisait mais je ne me doutais de rien !.... Il a même couché, d'après Amandine, avec ma plus proche copine, Magalie que j'ai toujours cru lesbienne...Elle m'avait proposé en termes à peine masqués de partir à Vintimille, en week-end toutes les deux...mais je ne suis pas de ce bord là !...
Elle pleurait maintenant....J'essayais de la consoler... Finalement, après mains baisers et quelques douces caresses, elle reprit le chemin de l 'avenue Gay. Les yeux plein de lames elle conduisait :
Cette salope d'Angélique.... Qui te fait du gringue devant moi, vient te voir à poil dans la cabine d'essayage !...Encore un peu, elle te baisait devant moi !...
Arrête !...Je suis ton cousin... pas ton amant !...Pour elle, rien ne s'oppose à ce que nous fassions l'amour, elle et moi !... Mais il n'en est pas question ! ...Alors, allons nous changer rapidement et emmène moi dîner dans un truc sympa !..
Un gros quart d'heures plus tard, elle sortait de sa chambre, ragaillardie, superbe dans une robe vert pale qui découvrait largement ses genoux, les épaules recouvertes d'un pachemina tirant sur l'orange..... La Mini nous amena rapidement à Cagnes sur mer.. L'ourlet de sa robe était remonté consciemment ou involontairement, plus qu'à mi-cuisse, découvrant une bande de peau au dessus de son bas de soie....Je découvris l'attache d'une jarretière....Ma bite commença à enfler dans mon slip...J'étendis mon bras gauche et caressais tendrement ses épaules à demi nues....Elle ne fit aucun commentaire semblant apprécier mon geste... Il fallait arrêter... C'était ma cousine germaine et les lois des hommes comme celles de Dieu interdisaient de telles pratiques entre parents si proches !... Je retirais mon bras... Elle me regarda, me sourit en disant....
Pourquoi t'arrêtes-tu ?...C'était si bon !...
Mais on était arrivé et elle garait sa voiture sur le parking d'un restaurant de plage...Avant de descendre de la Mini, je l'embrassais à la commissure des lèvres.... Elle entra à mon bras dans la salle du restaurant plus que parcimonieusement éclairée et demanda au réceptionniste une " table ; discrète ". Il nous installa en bord de plage, dissimulé aux regards des clients par un massif de plantes vertes en pot..... A peine assise, elle commanda un " y Mary " auquel j 'ajoutais un scotch " J and B " soda... Je pris place à sa droite, face à la mer, sur la confortable banquette recouverte de tissu provençal....Dés que le serveur nous eut apporter nos boissons, elle commença à parler de Philippe, celui des premières années puis de l'espèce de sado-maso qu'il était devenu peu à peu... Elle fut interrompue par l'arrivée du maître d'hôtel qui enregistra notre commande très simple – huîtres et loup grillé de Méditerranée – à quoi j'ajoutais une bouteille de Menetou-Salon, un blanc de Loire que j'affectionnais....Dés le départ du responsable, je me tournais légèrement vers elle, mon bras gauche posé sur ses épaules...Ma main droite était venue, avec une négligence apparente, prendre position sur sa cuisse...son bas crissait sous mes doigts...Elle ne réagit apparemment pas à mon comportement très différent déjà de celui que devrait montrer un cousin germain , et repris le fil de sa confession.
Environ cinq ans après notre mariage - j'avais vingt-six ans - il me proposa, pour atteindre un plus haut niveau de plaisir, de recourir à des godemichés... Amoureuse comme je l'étais encore, j'acceptais....Il introduisit dans ma chatte un vibromasseur qui était un peu plus gros que sa bite...J'ai eu très mal au début puis un très puissant orgasme !...Ensuite, il entreprit de me sodomiser avec son jouet, ce qu'il n'avait jamais fait auparavant avec sa queue ...Comme mon petit trou refusait de s'ouvrir, il eut recours à un plug enduit de lubrifiant qu'il réussit à introduire dans mon petit trou et qu'il poussa profondément dans mon canal anal....Il fessa sèchement mon cul, m'ordonnant, menaçant, de conserver son truc en place dans mon intimité, même pour sortir en ville...
Je l'écoutais effaré par ses dires tandis que ma main droite progressait sur sa cuisse, atteignant la bande de peau douce qui s'étendait entre le haut de son bas et son mont de Vénus... Une voix me disait en moi-même: " arrête ! Tu es un sacré salop et c'est ta cousine germaine ! Tu devrais avoir honte ! " Mais ma main était maintenant à la lisière de sa petite culotte, le majeure bien que entravé dans sa progression par son porte-jarretelles, s'infiltrait sous l'ourlet...Laure se tourna vers moi en écartant ses cuisses... Elle avait des larmes dans les yeux mais ces lèvres me souriaient.... Elle avala la moitié de son cocktail et reprit :
Quelque temps plus tard, six ou sept mois,Après après avoir baisé sauvagement tous mes trous, il m'offrit en cadeau, trois petites culottes fendues en dentelle, une noire, une verte.. 
Elle s'interrompit...les huîtres arrivaient sur un plateau en métal argenté, entourées de glace pilée et décorée de demi citrons.... Laura essuya ses yeux, vida son y Mary tandis que ma main quittait son entrejambe... Je servis le vin blanc... Je demandais, ignare
Je ne vois pas ce que c'est tes culottes fendues !...Explique moi !
Laure rougit légèrement en me prenant la main et arborant un air professionnel – j'ai oublié de vous dire qu'elle avait ouvert avec ma tante un atelier de mode où elle créait, sous sa griffe, des vêtements féminins très stylés et très appréciés – me répondit :
Comme son nom l'indique, c'est une culotte très érotique, qui a la particularité d'être ouverte à tout vent, sur toute la longueur de l'entrejambe de celle qui la porte de sorte que, dès qu'elle écarte les jambes, son minou comme son petit trou sont découverts.
Je n'en croyais pas mes oreilles...Un silence dont nous profitâmes pour finir nos huîtres s'établit....
Le serveur apportât le loup qu' il préparât sur une table de service sous nos yeux très intéressés.. Nous l'avons dégusté en silence, en asséchant la bouteille de Menetou ... Pour ma part, je ruminais aussi les révélations de Laure en attendant la suite !...J'avais du mal à comprendre le comportement de ce salop qu'elle avait cependant épousé.... Laure devina sans doute mes pensées ; Elle posa à nouveau sa main sur ma cuisse en reprenant le fil de son récit.
En dépit de mes protestations, il me contraignit à essayer sur le champ, la petite culotte rouge...passa sa main dans la fente, aguichant au passage mon clito...puis il m'ordonna " tu dois porte chaque jour, l'une de ces culottes....Si jamais je constate que tu n'en portes pas, je prendrai des sanctions ! " En réfléchissant un peu, j'en arrivais à la conclusion qu'avec quelques précautions ce ne serait pas si... gênant et puis...je l'aimais !Le lendemain il m'annonça qu'il partait en remplacement au Grand Casino de San-Remo, pour quinze jours... Quand il revint, souriant et en pleine forme, je me déshabillais spontanément pour lui montrer que je portais bien une culotte fendue, la vert clair en l’occurrence..Une tape sur les fesses en guise de remerciement...
Elle interrompit son récit pour commander une Vodka. J'y ajoutais un Single malt sur glace à mon usage...J’aperçus des lames dans ses yeux verts...Le serveur nous apporta nos consommations... Laure pris le temps d'avaler une gorgée de son drink puis reprit
Après une longue période durant laquelle nous n’eûmes guère d'activités sexuelles d'autant qu'il travaillait très tard la nuit, souvent jusqu'à l'aube... (D'après Amandine, c'est alors qu'il a commencé à coucher souvent avec Sophie...et d'autres...Je ne me rendais compte de rien; je devenais inconsciemment une pute soumise à ses caprices sexuels...) il réapparut une fin d'après-midi comme je venais de rentrer à l'appartement, souriant. Il me conduisit à notre chambre, me déshabilla sans toutefois m'enlever la petite culotte fendue que je portais ce jour là selon ses instructions, me culbuta sur notre lit.... Il me fit longuement l'amour en passant son vit par la fente de la culotte, puis me retourna comme une crêpe, sur le ventre....Nous n'avions ps échangé  cent mots depuis son arrivée ! …Il m'ota ma petite culotte Je crus qu'il voulait me sodomiser...Je ne protestais pas sans doute pour ne pas offenser mon seigneur et maître ! Je pris spontanément la position en levrette, ce qui me valut une énergique claque sur mes fesses tendues vers lui " Je vais changer ton plug et tu vas passer à la dimension supérieure...Je n'ai aucune envie de t'enculer, ma salope ! Contente toi de m'obéir. un point, c'est tout! " puis il me montra l'engin qu'il souhaitait introduire dans mon anus... un cône en silicone noir de plus de 4 cm de diamètre à la base pour plus de 10 de long ! Je protestais... Deux claques très sèches frappèrent mes fesses... " Obéis et ferme là !... "
Sa voix se brisa sur une série de sanglots....J'étais abasourdi...et aussi très curieux de la suite de ces " jeux " hards !...Elle se repris et poursuivis :
Ensuite il ôta l'ancien plug, lubrifia mon canal anal déjà bien dilaté en y introduisant trois doigts enduits de gel puis entrepris de les remplacer par " mon nouveau jouet " enrobé de lubrifiant... Les quatre ou cinq premiers centimètres, une fois franchis la barrière de mon sphincter, s'enfoncèrent dans du beurre... J'avais une impression d'envahissement doublée d'une brûlure intense... Je pleurais... cela ne l’arrêta pas : la progression du plug dans mon intimité se poursuivait petit à petit, avec une pression accrue...Je gémissais... Il claqua à nouveau mes fesses avec violence... Je criais... Une pression supplémentaire amena le socle du jouet en butée, au fond de la raie de mon cul . J'avais l'impression d'avoir un tison enfoncé entre mes fesses !... Il me retourna sur le dos.... "Inutile de chialer !... Tu es ma pute et tu vas garder ce plug jusqu'à ce que je l'autorise à l'enlever... En attendant, habille toi pour sortir...Tout ce que je te demande, c'est de ne pas porter de culotte... mais des bas de soie et un porte !...Surprise et troublée, je m'exclamais " sortir sans culotte ? … Tu n'y penses pas sérieusement !... " Il pinça très méchamment les mamelons érigés de mes seins … " J'ai dit sans culotte, je crois ...Alors exécution où je fesse ton putain de cul! "  Je partis vers la salle de bain...Il me rappela "  je veux une robe à large décolleté, pas trop serrée en bas...et pas de soutien gorge ! " Je rentrais dans la cabine de douche, pleurant comme une Madeleine... Marco avait beaucoup changé révélant un coté sombre... Un maquereau,... Non, mon mari un maquereau..... c'était totalement impossible !...Je décidais donc de me conformer à ses instructions une dernière fois...J'attachais mon porte-jarretelles chair, enfilais une robe beige en lin a décolleté pigeonnant puis des bas de soie ambre que je fixais . Je chaussais des escarpins à talons bas, me maquillais légèrement avant de retourner dans ma chambre. Assis sur mon lit, Marco vérifia l'ampleur de mon décolleté puis la longueur de ma robe....Elle sembla lui convenir : il m' ordonna de m'asseoir à coté de lui . L'ourlet remonta à mi cuisse...Il le tira un peu plus vers le haut, vers mon entre-jambe. " Écarte tes cuisses. "...Sur le panneau de glace qui recouvrait le grand dressing de notre chambre, je découvrais, ahurie, le spectacle de mon sexe largement ouvert, encadré par la forêt mordorée de mes poils pubiens... 
Nouvelle coupure due à de nouveaux pleurs entrecoupés de lourds sanglots !
"Marco, je t'en prie, je ne peux pas sortir en ville dans cette tenue...J'ai l'air d'une vrai pute ! "  Il enfila sa veste " Tu fais ce que je veux...sans discuter ! C'est compris ? Sinon Gare à tes fesses !.. " et me tirant par le bras, sortit de l'appartement...J'eus juste le temps de ramasser mon sac et les clés de l'appartement sur le guéridon de l'entrée...Dans la rue où la nuit été tombée, je fus heureuse de ne rencontrer personne...J'étais nue sous ma robe... N'importe qui aurait pu le constater... Le moindre coup de vent aurait découvert mon cul et ma chatte à qui voulait voir!... Je me précipitais dans le cabriolet Triumph vert anglais de Marco. Il démarra après avoir remonté le bas de ma robe le plus haut possible sur mes cuisses...Il m'emmena dans une boite à l’aspect glauque et à vocation indéterminée (bar ?... restaurant ? Club ?...) derrière la rue Cassini dont j'ai oublié jusqu'au nom !... " Chez Popaul " je cois...J'entrais la première fortement poussé par mon...mari, dans un bar sans guère d'attrait...Guidé par un serveur nous avons longé le bar avant de décendre, en sous-sol, dans une salle toute en longueur, dotée d'un curieux éclairage à deux niveaux puissant au sol beaucoup plus discret dans le haut. Tandis que le maître d’hôtel nous conduisait vers une table, je sentais les regards des clients dardés sur moi, me déshabillant...Marco choisit, après bien des hésitations une table. De l'autre coté du passage en vis à vis, deux messieurs d'une quarantaine d'année étaient attablés devant leurs consommations. L'un d'eux était chauve et bedonnant. L’autre semblait plus jeune et portait une fine moustache de ca...Marco tira la table pour que je puisse m 'installer sur la banquette...mon sac tomba malencontreusement sur le sol, derrière moi....Je me retournais et me penchais pour le ramasser ...Je constatais immédiatement que mon décolleté offrait une vue imprenable sur mes seins à nos vis à vis qui n'en perdaient pas une miette !... Je me sentis rougir... Quelques instants après un serveur nnous apporta deux Mojitos..Je m'interrogeais sur l'évolution de ma relation avec Marco quand il posa sa main sur ma cuisse et releva l'ourlet de ma robe découvrant mon pubis encadré par mes jarretelles et surmonté de ma toison de rousse....Je vis les yeux de nos vis-à-vis s'écarquiller.... Le moustachu m'adressa même une œillade... salace "Arrête, Marco... Arrête tout de suite et partons..Je t'en prie !.. Les deux types d'en face sont en train de nous mater !.. " Sa main écartait mes grandes lèvres. Il pinça fortement mon clitoris " C'est exactement ce que je veux !...Écarte tes cuisses et obéis moi sans discuter !...Tu es ma pute et c'est tout !' Simultanément il ôta sa main qui cachait encore,en partie, mon entrejambe leur révélant le panorama complet de mon intimité....L'intensité de l’éclairage baissa sensiblement mais je voyais très bien l'un de nos deux voisins, celui qui m'avait fait un clin d’œil, ouvrir largement son pantalon et s’efforcer d'extraire son sexe de son caleçon !...Tu imagines ce que lui voyait !...
Elle ravalât un long sanglot ! … Je l'embrassais dans le cou...Elle but un peu de Vodka et reprit son récit.
Une nouvelle fois, je lui demandais de quitter ces lieux, lui disant que je ne me sentais pas bien !...Que ces deux types me faisaient peur et que je détestais offrir à des inconnus le spectacle de mon intimité dévoilée...Tout en continuant de titiller mon clitoris avec son index gauche, il saisit mon poignet et posa ma main droite sur son entrejambe gonflée... "Tu es ma pute, salope !... Tu m'obéis et c'est tout !...Ces mecs sont des pédés !. .. Maintenant, tu me branles compris, ?... " Encore une fois, je m'exécutais, sortis sa verge et commença les habituels mouvement de va-et-vient, tandis qu'il introduit son majeur dans mon vagin... Au bout de quelques instants, il arrête mon action  " Ta cyprine coule à flot...Va aux toilettes mais ne ferme pas la porte de la cabine, je viens te rejoindre ! "...Excitée comme un crin et toujours aussi idiote, j'obéissais après avoir rapidement rectifié ma tenue... La cabine en question était assez confortable : un grand miroir au dessus d-un lavabo spacieux, un petit meuble déserte complétait l'ameublement obligatoire des lieux...Ma robe haut retroussée, l'ourlet coincé sous mon menton, je finissais de nettoyer ma chatte quand la porte s'ouvrit...Persuadé que c'était Marco, je lui demandais de fermer le verrou...Deux mains s’emparèrent de mes seins tandis qu'une bite descendait le long de ma raie et s'efforçait de s'introduire dans mon anus obturé par mon plug...Sans lever les yeux de mon occupation du moment, je dis ; " Arrête Marco ! ...Tu sais bien que tu m'as mis un bouchon !... " Une vois me répondit en me faisant pivoter en posant sa main sur mon abricot " Je ne suis pas Marco mais Hubert...Écarte tes cuisses ma salope , que je baise  ta chatte puisqu'on ne peut pas baiser ton cul!...  ! " Je reconnus avec stupéfaction notre voisin de table, le moustachu, celui qui m'avait fait de l’œil !...J'étais paralysé de surprise et n'obéis pas à l'ordre de cet inconnu réflexe conditionné ! Sa main explorait rapidement ma vulve tandis que l'autre accélérait la descente de son pantalon sur ses chevilles...puis guidait son gland entre mes petites lèvres vers l'entrée de mon vagin...C'est alors que je me ressaisis : je relevais sèchement mon genou droit qui le frappait au niveau des testicules avec toutes mes forces...Il lacha un cri de douleur, se plia en deux et s'effondra sur la cuvette grimaçant en se tenant les parties....Rapidement, je fis jouer le verrou, récupérait mon sac et filait vers notre table...L'éclairage avait encore baissé d'intensité...mais je vis que la table en face de la notre était libérée... Marco, les yeux clos, avait une attitude bizarre, relâchée, les mains sous la table...Mes yeux s'habituant à la faible luminosité je finis par distinguer une silhouette, sans doute un homme, en train de le sucer, les mains de mon " mari " posées sur une tête chauve, donnait le tempo !...Je bousculais la table, saisit son poignet :
" Je t'attends cinq minutes à la voiture... puis je me casse ! "… Je tournais les talons, surprise moi-même tant de ma toute nouvelle autorité que de mon langage inhabituel, fonçais vers l'escalier dont je gravis les marches quatre à quatre et me retrouvais dehors...Heureusement les clés de la Triumph était incluse au trousseau qui se trouvait dans mon sac... Je m'installais sur le siège passager... Trois minutes plus tard, Marco me rejoignais... "Ferme ta gueule et ramène moi fissa à l'appartement !... " Il essaya de me baratiner mais je ne voulais pas l'entendre " J'ai dit à l'appartement et en vitesse ! "… Nous n'avons pas échanger un mot jusqu'à l'arrivée avenue Gay. " Ce n'est pas la peine que tu montes !... Je veux rester seule ! Va coucher où tu veux...avec qui tu veux mais ni avec moi ni chez moi !... " Il ne répondit pas et repartit avant que je ne sois rentré dans l'immeuble, sans même un au-revoir !
Ses sanglots mirent un terme à son récit... Elle pleurait à chaudes larmes, fouilla dans son sac pour y prendre un mouchoir de papier pour essuyer ses yeux...Elle avala d'un trait le reste de sa Vodka, resta silencieuse un moment, les yeux dans le vague puis me tendant les clés de la Mini, me dit :
Je n'eus pas de nouvelles de ce salopard durant les trois jours suivants . Il me téléphona un après-midi à l'atelier pour m’annoncer qu'il partait en formation pour deux mois à Gênes et qu'il lui voulait s'assurer de ma " fidélité " avant de partir et m'imposer le port d'une ceinture de chasteté!...Je ne lui ai pas répondu et j'ai raccroché . Stop et fin...Maintenant, ramène nous à l'appartement... Je crois que j'ai trop bu...Je suis incapable de conduire...
Je réglais ma note, pris ses clés et dû l'aider, titubante, pour rejoindre la voiture. A peine assise sur le siège passager de la mini, elle s'endormit, la tête sur mon épaule. Si je n'eus pas trop de difficulté à retrouver mon chemin et l'avenue Gay, j'en eus pas mal pour la ramener via l'ascenseur, à l’appartement. …Mais ceci est une autre histoire !















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