L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 21) -

L'Odyssée de La Belle Hélène - Brigands sur la route pour Olympie –

Les journées de voyage dans cette si belle Grèce Antique passaient, calmes et sereines en direction de la célèbre Olympie. Les trois protagonistes avaient donc repris leur route en plusieurs étapes. Après quelques jours où il était resté réduit à l'état canin, Endymion avait finalement retrouvé l'état d'humain au bon gré de la Belle Hélène. En effet la belle Maîtresse s’amusait, selon son humeur mais surtout selon les nécessités des distances à parcourir, à transformer son esclave en chien quand il fallait effec ces longues distances, ce qui était plus aisé pour qu’il puisse évoluer à quatre pattes d’avoir l’apparence d’un quadrupède pour ne pas retarder le convoi. Mais pour les soirs et nuitées de repos, durant tout le périple, Endymion retrouvait son aspect humain, esclave certes et toujours tenu en laisse, mais humain. Et en ce jour Hélène avait décidé de le laisser sous cet aspect toute la journée, se disant qu’elle aurait aussi plaisir à le voir se déplacer en bipède, mais toujours les mains liées à une corde ! Ou bien parfois lors de pauses, elle aimait simplement le regarder attaché les mains liées à un tronc d’arbre… La belle Maîtresse se trouvait, par ailleurs, fort satisfaite de la cage qu'elle avait fait confectionner afin de réduire à Sa Volonté toute velléité érectile de Son esclave. Encagé, l'ancien berger était calme et docile, apprenant au fil des jours à comprendre et à accepter le statut qui serait désormais à jamais le sien... la plus basse position qui soit, celle d'esclave... Quant à Clytia, son corps s'était légèrement affiné avec les efforts que lui imposait leur rythme depuis le départ de Sparte. La jeune aristocrate au corps pâle et délicieusement suave s'était peu à peu métamorphosée en une jeune femme svelte et dynamique. Ses voluptueuses formes s'étaient juste un peu atténuées, mais elle s'était affinée et un léger hâle nimbait désormais l'intégralité de son corps, puisque c'est toujours nue qu'elle évoluait à quelques pas en arrière de la jument montée par La Belle Hélène dont elle était devenue l'esclave par une vénération absolue pour La Femme si exceptionnelle qui avait entraîné la chute de la plus glorieuse Cité de Son temps…

Nulle embûche, nul incident n'était venu entraver la fin du voyage de cet étrange trio sur la route d'Olympie.

Ils n'étaient plus qu'à une journée de marche du site sacré. Ils apercevaient déjà le Mont Cronion, qui surplombait la petite plaine où avaient été érigés la Cité et les stades, sur la rive droite de la rivière Alphée, dont ils avaient suivi approximativement le cours depuis le début de la fuite de Sparte. Comme à l'habitude, Hélène reposait à l'ombre d'un arbre, Endymion avait fait boire la jument et la bouchonnait maintenant. Quant à Clytia, elle avait préparé une légère collation pour Hélène et demeurait maintenant prosternée à quelques pas de sa Maîtresse... prête à tout instant, sur un simple claquement de doigts, à effec tout ce que La Belle Hélène exigerait d'elle. Scène bucolique... apaisante... délicieuse si l'on y ajoutait le charme savoureux des corps entièrement dénudés des deux esclaves, femelle et mâle, et naturellement l'inégalable et incroyable Beauté d’Hélène, à peine dissimulée, ou plutôt suggérée, par la fine toile translucide de la tunique courte qu'elle portait pour chevaucher afin de n'être pas gênée pour écarter les cuisses...

Hélène claqua des doigts justement. Clytia se redressa rapidement se positionnant agenouillée, mains derrière le dos, buste droit relevant sa belle poitrine aux tétons déjà dressés d’excitation. Elle trémoussait d’envie espérant avoir le privilège de fourrer sa langue entre les divines cuisses de La Maîtresse et de tout faire pour boire le divin nectar jouissif de la Belle Hélène et d’apporter un maximum de plaisir à Celle-ci. On aurait dit un animal, une chienne plus exactement prête à sauter pour faire la fête à sa maîtresse ! Hélène la toisa longuement avec sérénité. Elle l’observait sous toutes les coutures, dévisageant avec tendresse le corps de son esclave femelle. La Belle Hélène paraissait réfléchir à quelques perversités quand un petit sourire tendre se fit aux commissures de ses lèvres, sourire qui précéda ses mots :

- Je suis fatiguée et je n’ai pas envie de toi… Mais tu vas me distraire ! Oui juste me distraire… Donne-toi en spectacle pour Moi … Aller, couche-toi sur le dos et écarte bien tes cuisses face à Moi, puis caresse-toi et tu te baiseras avec tes propres doigts, ensuite tu es autorisée à t’asseoir toujours cuisses bien écartées face à moi pour t’enfiler la main et ce que tu pourras de ton poignet … Moi je te regarde ! Je te veux bien remplie, bien pénétrée et sentir ton plaisir monter, ton excitation aux limites de la jouissance mais sans que je t’autorise celle-ci … Et tu devras tenir et tenir encore sans jouir tant que je ne te dirai pas de t’arrêter … Petite et délicieuse laquelle je veux te donner pour Mon plaisir à te regarder, juste pour te faire monter le tient durant un long moment sans que tu puisses lâcher ta jouissance … Et ne me déçoit pas, je veux te voir chienne, femelle en chaleur…

Et d’un geste Hélène lui signifia de commencer.
Clytia ne se fit pas prier pour se mettre en position exigée, déjà excitée par le simple fait d’avoir à obéir à La Maîtresse et de plus se sachant pour le moment le centre d’intérêt de Celle à qui elle a voué sa vie. D’abord couchée sur le dos, cuisses largement offertes, ses gestes étaient indécents quand elle commença à se caresser les épaules, les hanches, l’intérieur des cuisses pour remonter doucement sur son ventre via de multiples et douces caresses sensuelles. Puis ses mains caressaient ses seins, ses tétons toujours avec une sensualité à faire pâlir une catin ! Confortablement installée, ce début de spectacle plaisait à Hélène qui ne perdit pas une miette de la prestation de son esclave. Puis ses doigts allèrent vers son pubis imberbe pour aller s’immiscer entre ses lèvres intimes et trempées… Elle titilla son petit bouton rose déjà érigé qu’elle fit ressortir en écartant le tour du clitoris… L’esclave mouillait abondement quand elle s’enfila d’abord deux doigts qui s’enfoncèrent comme dans du beurre, elle les fit aller et venir d’abord doucement puis de plus en plus rapidement … Un troisième la pénétra puis quatre et enfin cinq qui la besognaient avec frénésie en des vas et viens qui lui fit onduler le bassin qui se soulevait de terre en des soubresauts de plaisir et mettant encore plus en évidence sa chatte remplie bien en vue au regard d’Hélène. Clytia gémissait, elle aurait aimé joui tant elle était excitée mais elle savait qu’elle n’y était pas autorisée et commençait déjà à se retenir avec difficulté, l’envie étant trop forte.

Endymion ne bougeait pas, mis à l’écart, agenouillé, il en était réduit à l’état de simple spectateur et malgré la grande excitation que le spectacle lui procurait, il ne pouvait bander dans sa cage de chasteté, ce qui lui provoquait une douleur à la verge emprisonnée. L’esclave femelle s’arrêta quelques secondes, juste le temps de s’asseoir pour pouvoir encore mieux se fister le con. Le sexe bien dilaté, écarté, trempé, elle n’eut aucune peine à renfiler ses cinq doigts qui occupaient toute la largeur des parois de son vagin.
Au bout de longues minutes, elle enfila sa main complète jusqu’au poignet en haletant fortement pour se retenir autant du plaisir qu’elle se procurait que du regard fixe de La Maîtresse. Cela dura encore un très long moment. Clytia faillit jouir malgré elle, à deux doigts d’un puissant orgasme qui aurait traversé tout le corps de l’esclave, quand heureusement, c’est à ce moment-là, qu’Hélène satisfaite du beau spectacle lui intima calmement de s’arrêter :

- Ca suffit ! Tu m’as bien divertie, décidemment j’ai vu ce que j’ai fait de toi, une belle chienne en chaleur … Maintenant reprend ton souffle et vient te prosterner face à Moi pour embrasser Mes pieds, en guise de remerciements…

C’est une Clytia presque chancelante, à la respiration rapide, trempée de sueur qui stoppa sa frénétique masturbation sous l’ordre de La Maîtresse. Il lui fallut de longues secondes pour reprendre son souffle et son esprit. Une fois ceux-ci calmés, elle se mit en position de levrette, pour se prosterner, les bras bien en avant, le cul bien relevé, pour embrasser du bout des lèvres les divins pieds de La belle Hélène.

- C’est bien ! Je suis satisfaite. Reste ainsi un long moment. Ne bouge plus. J’aime te regarder ainsi longtemps quand tu es dans cette position servile à Mes pieds…

Alors Clytia ne bougea plus. Elle resta ainsi positionnée plus d’une heure. Le cul relevé, la chatte dégoulinante de mouille sur ses cuisses largement écartées… Lui écarter les cuisses, c'était justement la pensée qui habitait en cet instant les brigands qui les observaient depuis une demi-heure. Ils n'auraient guère osé s'approcher plus de la Cité d'Olympie, consacrée au Dieu des Dieux, le tout Puissant Zeus... Mais ici, à quelques heures encore du Mont Cronion, ils se sentaient en droit d'exercer encore leur douteuse activité à détrousser les gens de passage. Ils étaient quatre, rompus à tous les crimes. Et profitaient en cette saison de l'afflux de visiteurs venus de toute la Grèce et même du monde Antique pour participer ou assister aux prestigieux et si célèbres Jeux d’Olympie qui débuteraient dans quelques jours.
Caché derrière un haut bosquet et subjugué par la sensuelle nudité des esclaves, le plus jeune des brigands, recrutés quelques semaines seulement plus tôt, et n’y tenant plus, avait saisi son sexe à pleine main et se branlait avec ardeur en observant le corps nu et gracieux de Clytia, dont la croupe dénudée le fascinait si parfaitement exposée dans la position d'offrande servile qu'elle tenait, immobile depuis un fort long temps. Les trois autres, plus expérimentés, bandaient déjà, mais ils se gardaient bien de s'exciter trop, sachant tout ce qu'ils pourraient exiger de ces innocents lorsqu'ils seraient surgis des fourrés en brandissant leurs glaives. Ils avaient rarement besoin d'user de ces armes, d'ailleurs. La plupart des voyageurs les imploraient immédiatement de leur laisser la vie sauve, leur abandonnant tous leurs biens, et leur pudeur lorsqu'ils n'étaient pas trop moches... Hommes et femmes, peu importaient à ces brigands qui aimaient autant vidanger leurs couilles dans le con d'une femelle que dans le cul d'un mâle... Peu importait le flacon pourvu qu'ils aient la jouissance...

Ils étaient voleurs de grands chemin certes ! Mais surtout de bien pervers personnages. Et quand ils abusaient de leurs victimes, s'ils en étaient satisfaits, ils laissaient ensuite fuir leurs prisonniers, nus et dépouillés de tout, non sans leur avoir imposé encore quelques dégradantes situations... les plus malchanceux ou malchanceuses étaient ceux qui leur plaisaient, car alors ils conservaient leur victime prisonnière plusieurs jours, passant dessus tous leurs vicieux caprices, satisfaisant leurs désirs les plus pervers... avant de la vendre à quelque maîtresse de bordel, pour un destin de jouet sexuel... Ils se demandaient déjà quelles cruelles humiliations ils allaient bien pouvoir infliger à ce magnifique trio... deux femmes et un homme, d'une beauté rare et manifestement rompus à bien des pratiques si l'on en croyait la façon de se déplacer de ces êtres sublimes... Les brigands crasseux en bavaient de désir et leurs verges durcies leur étaient maintenant douloureuses à force de se tendre à ce spectacle presque irréel... Le plus jeune des quatre dut se mordre la lèvre pour ne pas gémir lorsqu'il cracha sa gourme après s'être frénétiquement branlé avec le regard fixé sur le cul magnifique aux courbes si bandantes de la jeune et belle esclave prosternée. Il se disait que pour la première fois, il insisterait auprès des trois autres, qui le moquaient et ne lui laissaient que les plus bas "morceaux"... il insisterait pour qu'ils lui laissent l'usage prioritaire de ce cul si parfait, de ces fesses délicieusement rebondies, de ces hanches larges mais fermes, de cette créature dont le crâne rasé répondait à merveille au lisse d'une croupe parfaite...

Il avait de la semence plein les mains lorsque les autres brigands surgirent en hurlant, brandissant leurs glaives... il s'essuya donc sur sa tunique et se redressa pour se lancer à leur suite. Le trio, surpris, semblait pétrifié. Pas pour longtemps... Hélène d'un bond s'était levée et se tenait en position de défense lorsqu'un premier brigand, à la barbe noire et à la chevelure hirsute arriva sur elle. Clytia de sa position de levrette s'était jetée dans les pieds d'un autre, aux cheveux roux, le faisant trébucher et Endymion s'apprêtait à faire face à l'assaut du troisième. En retard, le quatrième venait gauchement à la rescousse, sa verge ramollie mais dégoulinante encore de son plaisir solitaire pendant entre ses cuisses. Le rouquin tombé douloureusement contre un rocher avait lâché son arme et Clytia d'un bond s'était jetée sur lui, saisissant fermement sa queue bien dure et y enfonçant ses ongles... Endymion affrontait le glaive de son adversaire en usant d'une épaisse branche comme d'une arme et Hélène venait d'asséner au brun brigand, le plus grand et musclé du quatuor, un violent coup de pied entre les cuisses, au niveau du bas-ventre, qui l'avait stoppé net dans son assaut ! …

(A suivre…)

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