Carnaval
Cest Carnaval chez nous. Carnaval cest la fête, la musique cacophonique, la bière, les copains, les copines
Et on est trois potes à faire la nouba. On sest déguisés en clowns : un vieux pantalon trop grand retenu par des bretelles, une chemise blanche fripée, un veston trop grand, une perruque frisée, un chapeau mou avec une fleur en plastique fichée dessus, un maquillage de clown assez grossier. Une vieille paire de pompes noire aux pieds et cest parti pour trois jours de fiesta ! Le but nest pas de se murger dentrée mais de boire assez pour être bien parti et ensuite entretenir cette cuite. Il faut bien doser si on veut tenir le coup pendant trois jours
Le troisième jour, jai quand même un petit coup de mou. Ben jai plus 20 ans et ça se fait sentir. On est dans la rue, pleine de gens déguisés, de confettis, de bouteilles de bière, de papiers en tout genre et je dis à mes deux potes :
- Continuez les gars. Je vais me poser un moment, jai les pieds en compote. Je vous retrouve plus tard.
- Ok me répond un de mes potes.
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je menfile dans une tente où joue un groupe de musique cacophonique. Les gens sont debout sur les bancs et les tables et tout le monde danse. Je cherche un coin où poser mes fesses et japerçois une place libre à une table dans un coin de la tente. Là, les gens sont assis et je demande aux personnes si la place est libre. Une femme en face de moi me répond avec un grand sourire :
- Mais bien sur, asseyez vous.
Jenjambe le banc et je pose mon cul. Ouffffffffffffffffffff ! Quel bien ça fait. A mon grand étonnement, malgré le monde, une serveuse arrive et je commande une bière. Je regarde autour de moi pour voir si je connais quelquun mais aucune tête familière napparaît. La serveuse mamène ma bière et jen bois la moitié pratiquement dun trait. La femme assise en face de moi me demande avec un regard rieur :
- Alors, pas trop pénible ce Carnaval ?
Je lobserve un moment : la soixantaine bien tapée, des cheveux longs blonds (teints bien sur
) un peu grassouillette, un visage encore assez joli bien que marqué par lâge, des yeux gris à peine fardés de bleu et une bouche aux lèvres légèrement maquillées de rouge.
- Ca va, cest quand même assez pénible mais je tiens le coup. Je me réjouis dêtre assis dans mon divan ce soir, les doigts de pied en éventail !
- Et que votre petite femme vous fasse une gâterie ? Me demande-t-elle en rigolant
- Pour ça, il ny a aucun risque, je suis célibataire. Mais cest vrai quune bonne pipe ne me ferait pas de mal, je lui réplique en me marrant aussi.
Là, le ton est donné car elle me regarde et passe discrètement le bout de sa langue sur toute la largeur de sa bouche. Je me dis : « toi, ma vieille salope, tu cherches de la bite ». Elle se penche en avant et me fait signe de mapprocher. Elle colle sa bouche à mon oreille et murmure :
- Si ça te tente, je peux te dépanner
Elle se remet droite sur son banc, ses énormes nichons bien en avant, me regarde et me lance un clin dil qui vient confirmer ce que je pensais : je suis tombé sur une vieille garce qui cherche à se faire sauter ! Dun signe de tête je lui fais comprendre quil est temps de sortir et je me lève. Elle se lève à son tour, fait le tour de la longue table et me rejoint à la sortie de la tente. Maintenant je peux la voir en entier. Elle est grande, un peu grassouillette en effet, des hanches larges. Elle porte une minijupe noire, des bas noirs et des bottes noires également qui lui arrivent aux genoux. Jécarte le pan douverture de la tente pour la laisser passer et jen profite pour mater son cul.
- On va où ?
Je réfléchis un moment, à la recherche dun endroit où je pourrais fourrer cette salope quand je vois à une dizaine de mètres des toilettes publiques, genre chiottes de chantier, en plastique bleu dun mètre cinquante de côté. Je me dis que cest lendroit idéal pour démonter le cul dune pareille chienne. Je lui fais signe de me suivre et avant de rentrer dans les chiottes, je jette un coup dil circulaire. Personne aux alentours, cest parfait. Jouvre la porte, nous nous engouffrons dans les toilettes et je referme aussitôt la porte avec son loquet. Lendroit est miraculeusement propre ; des confettis trainent parterre mais sinon cest nickel. Je suppose que le personnel chargé du nettoyage est passé il y a très peu de temps.
Tout de suite, elle me plaque contre une paroi et se met à me rouler une pelle. Elle enfile une main dans mon pantalon et me saisit la queue quelle se met à tripoter. Depuis lépisode de la tente je bande comme un malade donc elle na pas grand-chose à faire pour me mettre en forme. Elle me murmure :
- Mmmmmmmm
! Tes super bien monté mon salaud !
Jagrippe un de ses gros nichons et je lui demande
- Comment tu tappelle ?
- Rita, me répond-elle. Et toi ?
- Eric. Enchanté de faire ta connaissance Rita mais je tai pas entraîné ici pour que tu me roule une galoche mais pour que tu me taille une pipe. Mets- toi à genoux et suce-moi !
Dune pression sur lépaule, je lenjoins à faire ce que je demande. Elle retrousse sa minijupe pour saccroupir et baisse mon pantalon aussitôt suivi de mon boxer. Ma bite est devant elle, tendue, gonflée. Elle la prend dune main et commence par la lécher tout en me branlant. Je lui dis :
- Arrête de me branler et de me lécher mais suce-moi, vieille salope. Lâche ma bite et ouvre la bouche !
Elle sexécute.
- Non, garde ma bite. Tu as voulu me dépanner, tu vas continuer comme je lentends ma cochonne
Lentement, je commence des va et viens dans sa bouche, du bord de ses lèvres au fond de sa gorge. A chaque fois que jarrive au fond elle pousse un hoquet. De la bave commence à couler au bord de ses lèvres mais je continue à la pilonner sauvagement. Je lui dis :
- Regarde-moi, salope ! Tu veux de la bite, je vais ten donner
Elle lève vers moi ses yeux où des larmes commencent à perler. Jen ai rien à foutre et je continue de lui martyriser la bouche à grand coups de reins. La salive lui dégouline sur le menton et vient tacher son pull noir. Je lui ordonne :
- Ote ta veste et ton pull, je veux que tu me branle avec tes gros nibards !
Elle mobéit. Sa doudoune, son pull et son soutif finissent parterre et jai devant moi la plus grosse paire de nibards que jai jamais vu. Malgré lâge de la donzelle ils tiennent encore bien, sont fermes et sans vergetures. Ses tétons pointent alors jen profite pour en prendre un entre deux doigts et je me mets à le rouler dans un sens puis dans lautre. Elle pousse des petits gémissements de douleur mais ça ne me fait ni chaud ni froid. Jai décidé de menvoyer cette vieille radasse comme moi je lentends alors je laisse mes états dâme de côté.
- Mets-toi un peu en arrière, je vais te coller ma bite entre les seins et tu vas me branler comme la bonne salope que tu es.
Encore une fois elle obtempère sans broncher et se met à me branler divinement. De temps en temps je crache un peu de salive entre ses seins pour lubrifier cet assemblage. Cette sensation est sublime et je sens que je ne vais pas mettre longtemps à jouir. Avant de cracher ma purée entre ses seins, je me retire et lui dis :
- Allez ! Assez joué.
Elle me jette un regard de chienne en chaleur et me dit :
- Ce programme me plaît bien, je suis trempée, je dégouline.
Je lui mets une légère baffe sur la joue droite :
- Ta gueule salope ! Je me fous complètement de ce qui te plaît ou pas. Tout ce que je veux cest te sauter, rien de plus. Alors ferme-la et mets toi à quatre pattes.
Encore une fois elle mobéit en gloussant. Comme sa minijupe est déjà retroussée, je descends ses bas jusquà mi-cuisses. Elle a un string noir que jécarte, découvrant sa chatte et son trou du cul. Sa moule et son petit trou sont rasés mais la dernière opération a dû avoir lieu il a quelques jours car je remarque un certain signe de repousse. Je mempresse de le lui faire remarquer en me moquant :
- Dis-moi, tu as oublié de te raser ce matin ?
Je me mets à lui farfouiller la chatte. Cette salope est effectivement trempée ; je lui enfile le majeur de ma main gauche et son jus sort en faisant un bruit de succion. Elle cabre les reins quand je lui mets un deuxième doigt et pousse un gémissement de plaisir. Son souffle saccélère tandis que je fais aller mes doigts dans sa chatte. Elle passe une main entre ses cuisses et se met à faire tourner son clito avec son majeur. Ses gémissements augmentent et je me dis quelle est à deux doigts de jouir. Je retire mes doigts de sa moule juteuse et les lui enfile dans la bouche. Elle suce son jus goulûment et me murmure:
- Enfile-moi ta queue, je veux te sentir. Baise-moi comme une chienne mais sil te plaît ne mencule pas, je déteste ça.
Je lui mets deux énormes claques sur les fesses et lui répond :
- Vieille salope. Si je veux tenculer, je tencule. Dailleurs je pensais commencer par ton cul et je crois que je vais me tenir à ma première idée. Ici, dans ces chiottes, cest moi qui décide. Toi tu la ferme et tu subis !
Joignant le geste à la parole, je crache un peu de salive sur son petit trou. Je létale bien et enfile lentement mon majeur. Elle à une réaction de fuite pour se soustraire à mon doigtage mais la promiscuité de lendroit lempêche daller bien loin.
- Ne bouge pas chiennasse, je te prépare pour une bonne sodo. Je vais te dilater le fion avec mes doigts et ensuite jy enfilerai ma bite. Jespère juste que tu as le cul propre sinon tu seras obligée de me nettoyer la pine avec ta langue quand je taurai bien défoncé le cul.
Je ressors mon doigt de son anus et constate quil est légèrement brunâtre. A lodeur, cest sans équivoque : elle est allée chier il ny a pas si longtemps que ça. Je le lui fais remarquer avec autorité :
- Bordel ! Tu aurais pu te laver le cul après avoir été chier, connasse. Mon doigt est plein de merde. Comme je nai pas de capote, ma bite sera pleine de merde donc tu me nettoieras.
Je me redresse, récupère le jus de sa chatte pour me lubrifier la bite et son cul ; japproche mon gland de son petit trou et lui dit :
- La chevauchée fantastique débute maintenant. Je vais te démonter le cul. Penche-toi en avant et écarte tes fesses avec tes mains.
Elle pose sa joue sur sa veste, amène ses deux mains à ses fesses et moffre son gros cul. A son regard je vois quelle nest pas rassurée, voir quelle a même un peu peur. Elle tente une dernière fois de se soustraire à ce que je vais lui faire subir :
- Non, sil te plaît, pas dans le cul. Ca me fait mal, je déteste ça.
Je me penche un peu vers elle et lui murmure :
- Ceux qui ton prise par le cul ne savaient pas y faire. Moi je suis le clown sodomite et je nai jamais eu de réclamations après avoir bourré le cul dune gonzesse. Au contraire, elles en redemandaient. Tu vas en redemander toi aussi, tu verras ma salope. Tu ne pourras plus ten passer. Je te donne un petit truc : quand je rentre ma queue dans ton cul, pousse comme si tu devais chier et ça va rentrer comme dans du beurre.
Je mets encore un peu de salive sur ma bite et sur son anus puis dirige mon gland contre son trou. Jappuie légèrement. Je vois ses muscles se dilater et dun coup de rein sec ma bite rentre dans son cul. Elle pousse un cri aigu :
- Aïïïïïïïïe !!! Vas-y doucement sil te plaît
. Ca me fait mal.
- Et là tu nas encore rien vu. Il ny a que le gland qui est rentré. Maintenant on va procéder à lembrochage en bonne et due forme. Je vais tenfiler ma queue jusquà la garde.
Je crache encore un peu de salive sur ma bite, prend ses hanches à pleine main et dun furieux coup de rein menfonce au plus profond delle. Elle gémit, couine, pousse un feulement et je reste dans son cul sans bouger. La sensation est délicieuse. Cest chaud, ma bite est comprimée. Je sens son sphincter se dilater. Je lui demande :
- Alors ma belle salope, ça te plaît ? Tu vas voir que tu vas aimer te faire défoncer le cul.
La tête enfouie dans sa doudoune elle me répond :
- Oh mon cochon ! Continue
Putain ce que cest bon. Vas-y, ne te gêne pas, déchire-moi le fion.
- Oublie pas que tu devras bien me nettoyer la bite après.
- Je men fout, me répond-elle dans un souffle
- Cest bien ce que je pensais, tu es un vrai trou à bite
- Oui, je suis ta chienne. Fais de moi ce que tu veux, je suis toute à toi.
Je lui mets une grande claque sur la fesse gauche et elle pousse un gémissement de douleur. Je lui besogne le cul, dabord lentement puis de plus en plus vite. A chaque coup de rein elle glisse un peu plus sur le sol si bien quelle finit la tête dans la paroi des WC. Cette vieille pute pousse des couinements mêlés de douleur et de plaisir. Je suis persuadé quil y a longtemps quelle na pas connu une troussée aussi magistrale. Je sors ma queue de son trou du cul et bien évidemment elle est maculée de traînées brunes. Son cul reste béant et lodeur qui monte à mes narines me retourne un peu.
- Putain, tu es dégueulasse, je lui fais. Ton cul est plein de merde et ça pue incroyablement.
Je me relève, ferme le couvercle de la cuvette des WC et lui ordonne :
- Viens tasseoir ici !
Elle obtempère mais je dois laider à se relever car ses jambes sont entravées par ses bas qui lui arrivent toujours à mi-cuisses. De plus, avec la magistrale sodomie que je viens de lui faire subir elle doit avoir un peu mal au cul. En bon Suisse, jai toujours un petit canif sur moi et une fois quelle est assise sur les chiottes, je le sors, déplie la lame et entreprend de tailler le Nylon noir de ses bas pour la dégager. Elle proteste mais cest trop tard. La culotte de ses bas est séparée en deux. Son string subit le même sort : un coup de canif de chaque côté, au niveau des hanches et le voilà qui finit parterre. Je replie la lame de mon couteau, lui enfile deux doigts dans sa chatte juteuse et lui dis :
- Comme ça, tu seras bien plus à laise pour te faire baiser.
- Mais comment je vais faire après, en ressortant ?
- Tu es une grande fille, non ? Tu te débrouilleras.
- Tu es un beau salaud. En fait, tu nen à rien à foutre de moi.
- Eh non, ma salope. Vraiment rien à foutre de toi. Tout ce que je veux cest me vider les couilles et tu es la parfaite gerce pour ça.
Je sors mes doigts de sa chatte et entreprend détaler sa mouille sur ma queue toujours raide. Je retourne récupérer son jus et je létale bien sur toute la longueur de ma trique. Je mapproche de son visage:
- Allez, nettoie bien tout ça. Jai mis ta mouille dessus comme ça elle naura pas trop le goût de merde. Une fois quelle sera propre je vais te la fourrer dans la chatte.
Elle approche timidement sa langue de ma bite et commence son délicat décrassage. Elle est un peu réticente alors je lencourage :
- Vas-y, ne fais pas ta mijaurée
Elle sapproche, ressort la langue et au moment où elle touche mon gland je pousse mon membre dans sa bouche. Mon gland cogne contre ses dents ce qui marrache un petit cri de douleur. Maintenant que le début de ma bite est dans sa bouche, je lagrippe par les cheveux au sommet de son crâne et je menfonce dans sa gorge. Elle mavale complètement, mes couilles viennent taper contre son menton. Elle pousse un hoquet et se met à râler d. Je ressors légèrement pour lui permettre de reprendre son souffle puis je retourne caler ma queue au fond de sa gorge. Elle lève vers moi des yeux révulsés et des larmes coulent sur ses joues. Ma bite dure létouffe littéralement. A nouveau de la salive coule sur son menton. Je fais encore quelques allées et venues dans sa bouche puis je sors. Jexamine ma pioche et constate quelle est bien propre.
- Tu vois ? Maintenant elle est propre. Tu as fait du bon boulot. Ce nétait pas si pénible que ça, non ? Maintenant je vais pouvoir te baiser la chatte avec une bite ripolinée.
Je maccroupis devant elle, met mes deux mains sur ses genoux et lui écarte les cuisses largement. Je remarque que sa chatte trempée a laissé des traces sur le couvercle des toilettes.
- Met-toi en arrière, je lui ordonne. Et relève les cuisses bien haut
Elle obtempère et passe les bras sous ses cuisses afin de maintenir ses jambes écartées le plus largement possible. Je lagrippe par les reins et la fais glisser contre moi afin que ses fesses arrivent sur le bord des toilettes. Sa chatte est béante, son clitoris gonflé darde vers moi. Je le prends entre le pouce et lindex de ma main gauche et plonge deux doigts de mon autre main dans sa chatte gluante. Sa cyprine se met à couler entre ses fesses, tartinant son petit trou au passage et fini par tomber sur le sol en gouttelettes. Cette vieille garce mouille comme une fontaine et ça mexcite terriblement. Je lui enfile encore deux doigts de plus dans la chatte si bien quil ny a que mon pouce qui soit à lair libre. Je lâche son clito et appuie mon pouce dessus. Je fais rouler son bourgeon tout en faisant des va et viens avec mes doigts. Je la masturbe férocement. Je suis surexcité de voir cette salope écartelée, ses gros nibards gonflés. Je sens sa respiration accélérer, sa chatte devient plus béante et toujours plus dégoulinante. Sa mouille coule en continu dans la raie de son cul et commence à former une jolie flaque parterre. Ses muscles se resserrent sur ma main, je la sens au bord de lexplosion. Elle se met à gémir comme une donzelle qui se fait dépuceler.
- Vas-y, laisse-toi aller ma grosse chienne. Prend ton pied. Je veux te voir jouir.
Sa respiration saccélère encore et soudain ses gémissements se transforment en un cri qui lui vient du fond des tripes. Un puissant jet de cyprine éclabousse ma chemise blanche. Tout mon torse est trempé. Je la sens trembler sous la puissance de son orgasme. Tout son corps est parcouru de tremblements incontrôlés et il manque peu pour que je reçoive un coup de botte dans la tête. Je freine les mouvements de ma main et lentement je la sors de son con brûlant. Ma main dégouline, ma chemise est trempe et une belle flaque sest formé parterre. Je la laisse reprendre son souffle et ses esprits. Une fois que la tempête qui a parcouru son le corps sest un peu apaisée, elle entrouvre les yeux, me regarde et me souffle :
- Oh putain de putain
! Cest la première fois quon me branle comme ça. Je nai jamais joui autant fort, cest trop bon, jen veux encore. Baise-moi, enfile-moi ta queue.
- Je vais te baiser, cest sur, je lui réplique. Et je vais même me vider les couilles dans ta gueule de salope
Le plus incroyable cest que je nai toujours pas débandé dun millimètre depuis le début. Sûrement leffet de lalcool et surtout le fait de plier cette vieille pute à toutes mes envies, toutes mes perversités et tous mes vices y sont pour beaucoup. Je mapproche delle, plie les genoux, prend appui dune main contre la paroi des chiottes et de lautre main je dirige ma bite à lentrée de son con détrempé. Je lui murmure à loreille :
- Je vais te sauter comme une pute
Dun coup de rein sec je la pénètre jusquà la garde. Mes couilles rebondissent contre ses fesses et je reste figé au fond de son fourreau brûlant. Sous leffet de cette pénétration brutale, elle cambre les reins contre moi pour maccueillir au plus profond delle en poussant un râle sourd. Je me mets à lui pilonner la chatte furieusement. Cette fois cest moi qui ai envie de prendre mon pied et darroser cette garce de mon foutre. Ses énormes seins tressautent à chaque coup de rein. Jen saisis un avec ma main gauche et le malaxe, le pétris, lui tord le téton dans tous les sens jusquà arracher des gémissements de douleur à la salope que je suis en train de sauter. Je sens son con se resserrer autour de ma bite. Son plaisir est en train de monter. Je continue mes furieux coups de reins. Sa nuque est appuyée contre la paroi et ses cheveux sont complètement ébouriffés. Je lâche son sein que je suis en train de martyriser, met ma main autour de son cou et je commence à serrer doucement. Je lui murmure à loreille :
- Ouvre les yeux, salope. Regarde-moi.
Elle ouvre les yeux, plante son regard dans le mien et jy décerne nettement une flamme de défi. Je rassemble un peu de salive sur ma langue et je lui crache au visage. Je linjurie en la traitant de vieille pute, de grosse salope, de truie, de trou à bite et jen passe. Ceci a un effet sur elle car je sens les muscles de son con se serrer de plus en plus ; elle pousse un feulement rauque et jouit. Je sens son jus qui marrive sur le pubis, me dégouline sur les couilles et les cuisses. Je ny tiens plus. Ma bite est sur le point dexploser, mes couilles me font mal, je suis à deux doigts de cracher ma purée. Je me dégage de sa chatte collante, lui baisse les cuisses et je lenjambe en lui mettant ma queue sous le nez. Elle la saisit dune main, ouvre la bouche et la gobe en me masturbant. Je lui crache de longs jets de foutre au fond de la gorge quelle avale avec de grands bruits de déglutitions. Quand jai découillé tout ce que javais, elle entreprend de me nettoyer la queue plus pour ne pas perdre une goutte de mon foutre que par souci de mon hygiène. Enfin, à mon grand soulagement, ma bite ramollit. Triquer pendant autant de temps, cest finalement un peu douloureux. Je reprends mon souffle tandis que de sa langue elle récupère les dernières gouttes de mon sperme. Je suis vidé, mon cur tape fort dans ma poitrine et jai le souffle court.
Je me remets sur mes jambes et je constate quelles tremblent. Putain ce pied géant que jai pris. Je madosse à la porte, en attendant de retrouver mes esprits. Jouvre les yeux et je regarde la salope que je viens de me farcir. Elle est assez pathétique : affalée sur les toilettes, les cuisses écartées et la chatte béante. Le sol est couvert de sa mouille. Ses bas en lambeaux pendent lamentablement sur ses bottes et traînent dans son jus. Sa minijupe retroussée sur son ventre grassouillet lui donne véritablement un air de vieille pute. Ses monstrueux seins se lèvent et se baissent au rythme de sa respiration rapide. Toujours appuyée contre la paroi, sa tête est penchée de côté. Ses cheveux sont en bataille, une traînée de sperme et de salive coule au coin de sa bouche. Ses bras ballants pendent le long de son corps. Aucun mouvement de sa part, mis à part sa respiration rapide.
- Il est temps de sortir, tu ne crois pas ? Lui dis-je en la regardant. On va aller boire un verre, je crève de soif.
- Mouais, bonne idée, lâche-t-elle en marmonnant. Mais je peux pas sortir comme ça. En plus, je peux plus bouger. Tu mas démonté le cul, mon salaud. Jai mal. Tout mon corps me fait mal. Les cuisses, les hanches, le cul, les seins, la mâchoire
Tout me fait mal.
Elle se tait et reprend sa respiration.
- Attend, je vais taider, je lui dis. Je suis peut-être vache question baise mais je ne vais pas tabandonner comme ça.
Je me baisse devant elle et descend la fermeture Eclair dune de ses botte. Je la lui enlève et retire le reste de la jambe de son bas. Je remets sa botte en place et remonte la fermeture. Même chose avec lautre jambe, je ramasse le tout et trouve son string. Je fais une boule avec et balance le tout dans la poubelle. Je ramasse son soutien-gorge, son pull et sa veste que je pends au crochet prévu pour ça à la porte.
- Allez, viens que je taide à te relever.
Je lui prends les deux mains et je lattire contre moi. Elle manque de saffaler car ses jambes ne la portent plus. Elle saccroche à mes épaules, pose son visage dans mon cou et me murmure :
- Cest la première fois quon me baise de cette façon, avec autant de brutalité. Tu mas humiliée, traitée de pute, de salope, de truie
Dhabitude cest moi qui mène les opérations mais là jétais à ta merci. Tu nes quun salaud.
Je passe le bras gauche autour de sa taille et de la main droite je prends un de ses seins. Je penche mon visage dessus et y dépose un baiser sur le téton.
- Pour moi, la baise cest bestial. Je parle de baiser, pas de faire lamour. Et là, jai eu envie de te baiser, pas de te faire lamour. Cest ce qui fait que je tai un peu brutalisée.
- En tout cas, me répond-t-elle, la tête toujours dans mon cou, jai adoré. Tu es un salaud mais un salaud adorable et un sacré bon baiseur.
Je repose un baiser sur son téton, me redresse et la regarde dans les yeux. Son regard est tendre, presque maternel.
- Tu es une sacrée femelle toi, lui dis-je en rigolant. Une sacrée bonne salope comme je les aime.
Jappuie mes dires dune claque sur ses fesses ce qui la fait rigoler également.
- Si tu le désire, je serai ta salope quand tu veux et où tu veux, me dit-elle avec un clin dil.
- Jy compte bien, je lui réponds avec un clin dil en retour.
Pendant que nous nous rhabillons, je lui demande :
- Est-ce que je peux te poser une question indiscrète ?
- Essaye toujours, me répond-t-elle
- Je sais que ça ne se fait pas mais est-ce que tu peux me dire ton âge ?
- Ce nest pas indiscret comme question. Je nai jamais eu de problème à dévoiler mon âge. Jai 63 ans. Et toi ?
- 50 balais dans un mois. En tout cas, tu te tiens très bien. Tu es super bandante.
- Merci du compliment, cest flatteur. Rien que dentendre ça je recommence à mouiller comme une gamine.
Je mapproche delle, la reprends par la taille et lui roule une pelle baveuse. En même temps je glisse une main sous sa minijupe, remonte jusque à sa chatte et constate quen effet, elle est toute humide. Je la caresse un moment, enfile un doigt dans son con et me dis que je ne lui ai même pas bouffé la chatte. Je ne sais pas le goût quelle a alors je ressors mon doigt et le porte à ma bouche. Le goût est délicieux, corsé.
- Espèce de gros cochon, me dit-elle en partant dun grand éclat de rire
Je me marre aussi, rajuste sa minijupe sur ses cuisses et nous sortons de la cabine. Personne derrière la porte, tout va bien. On reste un moment dehors à fumer une cigarette, on échange nos numéros de portable. Javise une vitre de lautre côté de la rue et je men approche. Mon maquillage de clown nest plus quun lointain souvenir. Tout a dégouliné avec la transpiration de nos ébats. Je reviens vers elle et lui dis :
- Jai plutôt lair dun clown triste, tu ne trouves pas ?
Elle se marre et me réponds :
- Cest pas grave si le clown disparaît. Limportant est que le sodomite reste pour soccuper de mon cul.
On se quitte là, après un dernier baiser fugace. Il y eu dautres rencontres torrides en Rita et moi. Je vous les raconterai une prochaine fois.
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