La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1470)
esclave 976-038-936 au Château (suite de l'épisode N°1462) -
Je suis animalisé et javoue que jen éprouve une véritable excitation mettant en exergue mes pulsions serviles
Ayant terminé ma pitance, même si jai un peu de mal pour manger directement dans une gamelle, mais il faut que je my habitue si le Maître veut continuer à me considérer pour ce que je suis véritablement, cest à dire un bon chienchien servile et obéissant
. Cette considération animalisée et exprimée par Monsieur le Marquis est même un grand honneur quIl daigne maccorder car Il ma appelé le chien. Est-ce le nom auquel je dois répondre ? Est-ce seulement la désignation dune espèce animale ?
Non, le Maître ma fait comprendre, avec réalisme que cest bien plus que cela, quen fait, un soumis servile de ma catégorie, ce nest pas juste un nom de chien, cest être un chien, cest-à-dire, se comporter comme tel, à être dressé, éduqué, obéir à donner la papatte par exemple, si le Maître lexigeait. A se déplacer en quadrupédie, à être tenu et mené en laisse, à uriner en levant la patte arrière contre un arbre, à ramener la baballe sil me la lance, à espérer au susucre sIl estime que je le mérite avec une caresse affectueuse sur mon cuir chevelu, bref cest plus quun comportement canin quil faut avoir, cest ressentir être cet animal domestiqué et uniquement pour le bien-être du Maître.
Ainsi le Châtelain me fait comprendre que seule Sa satisfaction compte et pas la mienne. Quun chien dominé na pas à être insatisfait de son sort ou de sa condition. Car être ainsi, insatisfait, serait de fait rechercher la satisfaction pour moi-même. Et la seule et unique satisfaction que ma condition servile mautorise à rechercher, à obtenir avant toute chose est la Sienne et surtout pas pour la mienne, mais bien pour la Sienne
Comprendre cela, cest comprendre, ce que cest véritablement être un chien
Comprendre cela, cest comprendre, ce que cest véritablement être un chien
Par ailleurs, comment devrais-je appeler Monsieur Walter lorsque jaurai lautorisation de parler à nouveau, car cest bien lui le Majordome.
Cela remonte déjà à plusieurs années. Jai rencontré le premier Maître qui a commencé mon dressage sur un site internet. Après quelques échanges, il me convoque chez lui. Les conseils que javais lu ci-et-là sur internet recommandaient aux soumis de ne pas recevoir, par prudence. Donc convoqué chez lui à 15h00, arrivé au bas de son immeuble, plusieurs minutes en avance
Jai attendu quil soit lheure de la convocation pour sonner à linterphone.
- 3° étage porte gauche, tu prends lescalier, lascenseur ne test pas autorisé.
La porte de limmeuble souvre, je monte les trois étages et sonne à la porte indiquée.
- Entre
- Bonjour
Mons
- Maître.
- Bonjour Mon Maître.
Une vive claque qui fuse
Je suis un peu surpris
- Je ne tappartiens pas, tu dis Maître et quand tu parles de moi, tu dis Le Maître.
- Oui Maître, répondant rouge de confusion
Je me mets de suite à genoux et mincline respectueusement.
- A poils, plis tes vêtements correctement, et mets ce bandeau sur tes yeux. Et attends.
Excité, je mempresse de me déshabiller
être nu chez quelquun que lon connaît que par internet, cest assez perturbant
Mais il faut passer par là pour assouvir mes tendances serviles
Nu, je me positionne comme je lai vu décrit sur de nombreux sites : Les mains au niveau des reins, les jambes écartées, le buste droit, la tête baissée.
- Reprends la position que tu as prise à linstant
Jobtempère, bien évidemment. Et là, jentends le Maître parler à une autre personne :
- Quest-ce que tu en penses ?
- Pas mal
mais ses poils le font te ressembler
- Oui je suis daccord avec toi, lesclave ne peut ressembler au Maître qui le possède.
La voix du Maître vient de devant moi et celle de lautre homme de derrière
Le Maître minterroge, sur mes mensurations, il les vérifie lui-même avec un mètre en ruban, puis me questionne sur mon expérience
- Aucune Maître cest la première fois, lui réponds-je
- Très bien, il faut que je te dresse alors
- Oui
Je prends une violente claque sur le cul
- Quand tu tadresses au Maître, tu dois dire Maître à chaque fois, dit lhomme
- Oui Maître
Une nouvelle claque toute aussi forte
- Je ne suis pas le Maître. Quand tu tadresses à moi, tu dis Monsieur, me rétorque lhomme qui est derrière moi
Je suis un peu perdu
- Oui Monsieur.
- Tu as déjà été enculé ?
- Non Maître et jai peur et Vous avez mis « non sodo » sur votre profil
- Oui en effet, je ne sodomise pas, mais rien ne mempêche "de te faire sodomiser par un autre". Et ta peur ne rentre pas en compte pour moi
Si jai envie de faire baiser mon esclave, je le fais prendre que cela lui plaise ou non. Mais pour linstant tu es en test, alors ton cul ne craint rien.
Les deux Dominants continuent à appréhender mon corps, à le scruter, lanalyser sous toutes les coutures.
- Tu as vu sa couille gauche, elle est énorme
- Oui en effet.
- Est-ce naturel ?
- Oui Mons
, Maître
- Très bien elle pourra faire ladmiration de mes amis
Mais regarde
il commence à bander
- Désolé Maître
- Son prépuce est très long regarde son gland reste caché
Le Maître essaie de me décalotter le gland mais il se rend compte que cest dur
- Sil réussit mes tests je ferai améliorer cela
- Oui tu as raison, un esclave nexhibant pas son gland est mal apprécié.
Je suis, je pense, tout rouge de honte suite à ces manipulations, à ses remarques crues car je sens mes joues sempourprer mais paradoxalement, je sens aussi mon excitation se développer
- Pourquoi es-tu rouge ?
- Jai honte
- Tu nas pas à avoir honte, mon chien est nu et je le caresse et je le décris et il nest nullement honteux
Alors toi qui es-tu ? Un futur esclave alors tu ne seras pas plus considéré que mon chien et tu dois accepter ta nudité, tu dois perdre le sens de la pudeur, de la honte, de ton intimité que tu dois perdre
- Ouuuii Maître.
- A genoux, vient prendre connaissance de lodeur du Maître, sens ma Verge, mes testicules que tu auras peut-être le privilège de lécher, de sucer
mais pas pour linstant
Bien entendu jobtempère, je sniffe lodeur de celui qui sera peut-être, si jen suis digne le Maître qui me possèdera. Pendant que je mimprègne de son odeur de mâle Dominant, je reçois des coups de martinet sur le cul
Maître me retient par une poigne ferme à mon bras après le premier coup pour éviter que je me dérobe au suivant
Cela surprend, mais je naccepte pas trop mal la douleur
Jen compte 15
- Cest bien, chaque fois que je te recevrai chez moi, tu recevras systématiquement des coups
pour te rappeler ton état
Redresses-toi
Je reprends la position
- Ton premier test est réussi
Tu reviens la semaine prochaine, même jour, même heure.
- Oui Maître
Le Maître reprend la laisse et me raccompagne dans le couloir
- Maintenant, dégage
Lhomme me laisse, je retire le bandeau, retire le collier, me rhabille, et je men vais
Jai à peine terminé cette dernière ligne narrant ma première rencontre dune expérience avec un Maître, que Monsieur Walter rentre et mordonne de me coucher
Les heures ont passé très vite
Est-ce que Monsieur le Marquis veut me faire perdre la notion du temps ? Un esclave doit-il avoir cette notion ? Le Noble, semble-t-il, a lui Seul la possibilité de gérer Son temps
Lesclave, lui, na pas à sen soucier
Il obéit
le Maître sait ce qui est bien pour que le soumis esclave donne le maximum de lui-même pour procurer le plaisir aux Dominants. Jobéis, mais je nai pas eu le temps de faire mes vidanges
Attaché sur la banquette, dans limpossibilité de me lever. Monsieur Walter prend les feuilles écrites dans la journée et sans un mot, ni un regard, il sort après avoir éteint la lumière et fermé la porte derrière lui...
(A suivre
)
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