Une Jeune Fille Trop Brimée ...

Je suis en couple depuis bientôt deux ans avec Carole, charmante blonde de trente huit ans, de trois ans ma cadette, divorcée, tout comme moi

Sa fille Marjorie, dix sept ans vit avec nous, c’est fou ce qu’elle change en ce moment, la chrysalide se transforme peu à peu en papillon, nous nous entendons parfaitement, bien qu’elle elle reste distante, il faut dire que sa mère y est pour quelque chose, a mon avis elle la brime trop, interdiction de faire ceci interdiction de faire cela, d’aller ici, d’aller là, de porter des vêtements trop excentriques (autrement dit pas sexy du tout ! ) alors que sa mère ne se prive pas de porter des vêtements qui montrent la naissance de ses seins ou qui dévoilent ses cuisses dans le seul but de m’exciter… moi et d’autres hommes !

Pourtant j’ai dis et répété a Carole qu’à force d’être privée, car je suis certain qu’elle est vierge, un jour sa fille ‘péterait un câble’ et risquerait de faire n’importe quoi, ce a quoi elle a répondu ‘ - je veille au grain ‘ !

Je lis souvent la tristesse dans ses grands yeux effilés quand le soir en regardant la télé nous somment tous les trois assis sur le grand canapé, Marjorie recroquevillée dan un coin, vêtue d’un grotesque pyjama en coton épais alors que sa mère blottie dans me bras dévoile ses cuisses sous une nuisette en dentelle ajourée

Peut être est-ce pour provoquer Carole ou moi qu’elle croise ses bras sous ses seins pour les faire ressortir sous tissu épais ? En tout cas je sais qu’ils sont en forme de poire, et quelles belles poires ! Sournoisement et parce que je sais que Marjorie se sent épiée par moi et n’en parait pas offusquée, je ne me prive pas de la mater en cachette de sa mère, j’essaie de deviner la forme de sa vulve calquée par le lainage épais, je devine juste le renflement convexe de ses lèvres charnues

Pour taquiner la jeune fille et inconsciemment lui laisser espérer ce que je pourrais bien lui faire, pour ce faire je laisse trainer mes bouts de doigts sur les tétons dardés de Carole ou encore caresser imperceptiblement l’intérieur de son genou, Marjorie entrelace alors nerveusement ses doigts et frotte ses cuisses l’une contre l’autre avant de s’enfuir dans sa chambre d’où quelques minutes plus tard il me semble entendre les gémissements caractéristiques d’une femme qui se donne du plaisir

Carole enfin soulagée de n’être plus contrainte à serrer les cuisses m’invite à toucher sa chatte car elle a senti l’érection poindre dans le bas de ses reins

- C’est moi qui te fais cet effet José chéri ?
- Qui veut tu que ce soit ?????.

.......
- Prend moi sur tes genoux ‘elle’ ne reviendra pas
- Tu en accepte les risques ? alors enfile-toi sur mon pic

C’est au tour de la mère de laisser fuser des onomatopées à peine étouffées, la maison se transforme en un récital ‘ au bonheur des chattes’

Le lendemain je reçois un ‘s m s’ accompagné d’une photo sur mon portable, c’est un selfie du visage rayonnant de Marjorie tirant une belle langue rose, le message dit simplement : ‘ j’ai bien dormi, et toi ? ‘
Je lui réponds avec le même genre de photo, ma langue sortie et ces mots : ‘ voilà de quoi te faire rêver ‘ …

Depuis lords nous nous adressons en cachette des grimaces et des phrases a doubles sens de plus en plus graveleuses, quelques fois en présence de Carole nous sommes au bord de la crise de rire, l’un de nous dois quitter la pièce pour ne pas éveiller les soupçons de la mère … jusqu’au jour où nous allions êtres confrontés a nos ‘intrigue’ téléphonique…

- Marjorie, je viens de recevoir un coup de fil, ta grand mère est dans le coma, je dois partir de suite a son chevet, je vais appeler ton père afin qu’il te prenne quelques jours chez lui
- Mais je suis assez grande pour rester ici enfin ! et mes cours ?
- Tu as peut être raison c’était pour ne pas encombrer José
- Elle ne m’embarrasse pas du tout voyons, part tranquille je ne lui lâcherais pas la bride
- Tu as raison, je compte sur toi pour la surveiller, je vais me préparer
- Donne nous des nouvelles de grand mère dés que possible maman

Un éclair lumineux est passé dans les yeux de la fille lorsque nos regards se sont croisés, le soir lorsque je suis rentré du travail je trouve une Marjorie littéralement métamorphosée dans une robe courte a bretelles quasi indécente chipée à Carole qui montre jambes et décolleté vertigineux, maquillée, cheveux relevés, coiffée comme sa mère, plus quelques gouttes de son parfum, a croire qu’elle veut se faire passer pour elle, en tout cas la ressemblance est surprenante

- Tu veux que je te serve un apéritif José ?
- Off, pourquoi pas, c’est même une bonne idée, merci belle Marjorie
- Tes chaussons sont là, va t’assoir, j’arrive

A peine assis, la jeune fille arrive avec un plateau sur lequel sont posés deux verres de Martini, zeste de citron et glaçons

- Et voilà ! je sais que tu adore ça
- Mais dis-moi ? d’habitude tu ne bois pas ?
- Oohhh pour une fois, ne dis rien a maman c’est tout ! j’ai commandé une pizza, comme ça nous pouvons rester devant la télé, à ta santé José !
- A tes amours petite
- Je ne suis plus une petite fille José
- Je m’en suis aperçu !

La conversation a continué sur un ton anodin jusqu’au moment du film a la télé

- Je vais éteindre la lumière comme d’habitude
- Je reviens …

Marjorie s’est absentée j’ai cru qu’elle allait se coucher mais ‘O’ surprise, elle est revenue vêtue d’une nuisette de sa mère, dans la pénombre je distingue sa poitrine et sa toison pubienne, elle s’assied a mon coté prenant soin de ne pas me toucher, sa respiration est haletante, quelquefois courte et quelquefois longue comme si elle se remettait d’une apnée

- José ?
- Oui Marje ?
- Je peux me blottir contre toi, comme maman le fait ?
- Viens …

J’ai laissé une jambe sur le canapé et j’ai écarté l’autre, la fille et venue s’assoir au plus prés de mon bassin ou une érection se manifeste déjà, la tentation de la caresser est si grande que je laisse mes mains sagement sur mes cuisses, comme pour accen mon trouble Marjorie trémousse son derrière sur moi

- Quelque chose te gêne Marje ?
- Oui … maman doit ressentir la même chose car je la vois souvent passer une main entre vous deux …je peux moi aussi ??? …….

- Je ne te le conseille pas
- Pourquoi ?
- Parce que … parce que tu me fais de l’effet
- Ahhhhh, alors tu bande ?
- C’est brutal comme définition, mais c’est ça
- Tu me laisse toucher ?
- Sûrement pas …
- Donne-moi ta main …

Ne sachant où elle voulait en venir je la laisse me guider, sous mes doigt je sens un téton qui cherche à percer la dentelle, dans un réflexe idiot mes doigts se referment emprisonnant tout le sein, le soupir de bonheur qu’elle pousse est tellement attendrissant et spontané que finalement je maintiens la pression sur sa poitrine dure comme du bois, sa tête repose sur mon torse, lorsque je réalise qu’une de ses mains se fraie un passage ente nous deux c’est trop tard ma queue est saisie a travers l’étoffe
Au lieu de chercher à me retirer je fais tout ce qu’il faut pour qu’elle puisse me masser la bite a son aise

- Elle est grosse et dure …
- Tes seins sont merveilleusement moelleux
- Touche-moi...
- Que dis-tu ?
- Touche-moi en bas …
- Marje, je ne peux pas faire ça
- Tu ne peux pas ? ou tu ne veux pas ? Si tu savais comme je suis mouillée …
- Ne tache pas le canapé !
- Ce sera ta faute, pose ta main sur ma motte
- Je vais t’essuyer avec un mouchoir
- Et si tu le faisais avec ta langue ? celle que tu m’as montrée sur la photo et qui m’a effectivement fait rêver ??
- Tu cache bien ton jeu, nous qui te prenions pour une oie blanche !
- Je fanfaronne mais en fait je suis toujours vierge et ça commence à me peser
- Ne compte pas sur moi pour cette besogne
- Oh ! quel macho ! tu appelle ça une ‘besogne’ ? peut être pourrait tu simplement me lécher ? ta langue, même si elle est longue, ne risque pas de me déflorer
- Tu as réponse à tout
- Alleeeerr s’il te plait lèche ma foufoune !!!!
- Non et non !
- Tu dis non mais ta queue dit oui ! je la sens sauter dans ma main quand je prononce le mot ‘lécher’ !
- C’est une coïncidence …
- Ouaiiiis ! bien sûr ! tien, regarde …
- Ne fait pas ça.
..
- Trop tard !

Marjorie vient de faire glisser une bretelle sur son épaule découvrant ainsi un sein magnifique, comme je l’avais deviné en forme de poire, croyant la déstabiliser je la repousse d’entre mes cuisses, tombée a la renverse elle se retrouve sur le dos, cuisses ouvertes, la nuisette remontée au nombril, je ne vois que sa chatte entrebâillée

- Lèche-moi José et je vais me coucher aussitôt

Je suis tenté par le diable qui se présente sous la forme d’une gamine aux sens en ébullitions, elle lisse ses poils vers l’extérieur ouvrant sa fente a l’extrême, ses lèvres luisantes de mouille sont reliées par un filet blanc, elle a gagné, je me penche lentement, elle soulève et ondule son bassin pour faire tomber mes dernières résistances… si toutefois j’en avais encore, je me jette comme un affamé sur cette vulve d’où monte un fumet de femelle en chaleur

- Aaaaaaaaaahhhhhhhhh !!!!!!! Va-y !montre moi tes talents, dévore ma moule ! Huuuuuuuuummmmmmmmm oooooouuuuuuuiiiiiiiiii !! C’est boooooooooooooooonnnnnnnnnn ! Aspire mon clitoris … hoooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!! Je vais jouir ……..

J’enfonce ma langue jusqu'à toucher son hymen, Marjorie serre brutalement ses cuisses sur mes oreilles avant de les écarter largement en hurlant de bonheur

- NOOOOOOOOOOOONNNNN ! Jeeeeeeeejouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!

Une déferlante de mouille inonde mon visage, repue elle allonge, resserre ses jambes et semble s’assoupir, ses seins découverts se soulèvent encore très haut, je m’avance pour téter un bout bien ressortit

- Laisse-moi à présent ! Je vais me coucher
- Tu as raison, ça pourrait finir mal, en tous cas merci pour cette petite récréation !

Elle disparait me laissant avec une érection énorme, limite douloureuse, je décide de regarder la télé pour me calmer avant d’aller me coucher, vingt minutes plus tard j’éteins tout et part dans ma chambre ou une surprise m’attend, Marjorie est étalée jambes écartées, nue au milieu du lit, sa ‘fleur’ intime est entrouverte, pour préserver sa pudeur elle a replié un bras sur ses yeux, sa poitrine est encore soumise a rude épreuve par une respiration soutenue

A quoi bon vociférer ? Comme a mon habitude je me déshabille entièrement et m’allonge à coté d’elle sans chercher à profiter de la situation, pourtant ma queue a nouveau raide s’allonge jusqu'à mon nombril et se soulève a intervalles réguliers, soudain une main fine s’en empare et tire la peau a fond en arrière, je ne bouge toujours pas, Marjorie rampe pour venir embrasser mon gland où perle certainement une goutte de plaisir, elle s’aventure a goûter a cette sève intime , une seconde plus tard mon nœud est au chaud dans son palais
La fellation maladroite s’améliore vite, elle aspire avec gourmandise ma queue, semblant attendre impatiemment l’éjaculation
Je lui fais comprendre l’arrivée imminente de mon sperme en me raidissant au maximum, mais au lieu de se retirer elle s’accroche des deux mains à ma queue et mes couilles

- Marje … ça vient.
.. Ça viennnnnnnnnnnnnnnnnt …..aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhoooooooooouuuuuuuuiiiiii !!
- MMMUUUUUUUUMMMMMMMMMMMMMM !!!!!!!!aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh !!!! c’est vachement bon !!
- Maintenant que tu es satisfaite et moi aussi, va dans ta chambre
- Je veux le perdre avec toi José, ta verge n’a pas faiblit d’un pouce, c’est un signe, viens en moi je suis prête
- Pas question
- Tu sais très bien que tu va céder, alors pourquoi nous faire languir ? regarde comme elle a faim …

Marjorie décolle ses lèvres poissées de mouille vers l’extérieur ce qui provoque un son de baisé tout à fait adorable, il ne m’en faut pas davantage pour me faire craquer, je brandis ma queue comme une épée, en faisant tournoyer le gland encore décalotté

- Je vais t’enfoncer ce sabre entre les cuisses, tu vas petite effrontée
- Jai mis une serviette sous moi pour éviter les taches
- Remonte tes genoux aussi loin que tu peux
- Comme ça ?
- Tu n’as aucune pudeur, alors observe bien mon membre perforer ton pucelage

Sexe contre sexe je frotte longuement mon gland sur sa motte jusqu'à ce qu’il soit luisant de cyprine, la bouche ouverte, les yeux écarquillés elle est prête au sacrifice , sa respiration est lente

- Qu’attends-tu ? je fatigue avec la tête à demi relevée
- Compte jusqu'à cinq et je l’enfonce …
- Un…deux…tr …aiiiiiiiiiieeeeeeeeeeee ! huuuuuuuuuuummmmmm sauvage !
- Ça t’a fait mal ?
- Je sais plus ? non, j’crois pas ! bouge pour voir ?
- Je finis d’enfoncer les derniers centimètres
- Lentement, que je vois ma chatte avaler ta verge et que je ressente ce qui ce passe a l’intérieur … Aaaaahhhhhh, oooooooohhhhh, oooooouuuuuuuiiiiiiiiii !!! c’est booooooonnnnnnnnn, ça saigne ?
- A peine … y’a plus de jus que de sang
- Allonge-toi carrément sur moi je veux sentir le poids de ton corps sur moi, baise-moi longtemps, tendrement, comme si j’étais ta femme
- Mais tu es ma femme Marjorie
- Et maman ?
- Elle n’en saura rien si nous faisons gaffe, nous trouverons un moyen de nous retrouver aussi souvent que possible, ce qui n’empêche que tu peux trouver un garçon qui te comblera , je ne suis pas jaloux
- Si j’en trouve un, vous me prendrez tous les deux ensembles ????
- Petite dévergondée je vais jouir dans ta chatte ….

A peine appuyé sur elle je lime lentement cet étui fraichement ouvert, restant immobile tout au fond pour lui faire savourer le plaisir de la queue ondulante qui lui étire pour la première fois son vagin nappé de mouille, ses vagissement entrecoupés de ‘que c’est bon’ attestent de sa satisfaction

- Merci du bonheur que tu me procure José
- Tu vas connaitre ton premier orgasme vaginale ma chérie, je vais accélérer le mouvement
- Oh Ouuuuuiiiii !! je veux connaitre ça !

En appuis sur les mains, les genoux prés de ses fesses je me retire quasi complètement pour lui assener le premier choc, sexe contre sexe, Marje surprise par cette violence se raidi

- Houuua !!! C’est ça faire l’amour ?
- Faire l’amour peut être très tendre ou très viril, que préfères-tu ?
- Viril ! fait moi découvrir le mâle qui sommeille en toi, défonce ma jeune chatte ! fait moi mourir de plaisir
- Accroche toi a mon cou et vient au devant de mes assauts, qu’importe si tu pisse partout, laisse toi aller, lâche prise
- Baise-moi José !

Dans la chambre il n’y a plus que les chuintements obscènes de son vagin et les cris incohérents de sa bouche et mes ‘han’ de bucheron que je pousse, par trois fois elle s’est raidie cherchant sa respiration pour mieux repartir a l’attaque l’instant d’après, par deux fois je me suis lâché au fond de sa matrice saturée a l’extrême de jus intimes

Nous sommes endormis encore unis par nos sexes, c’est sa première fellation qui m’a réveillé …..

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!