Chapitre 5 : Le Revirement De Situation
Le matin je me leva à 7h30, j'enttendais la radio dans la cuisine. Je me decida à descendre au rez de chaussé prendre un café. En passant devant la chambre de Célia et Roger, j'apercu par l'entrebaillement de la porte Julie en train de dormir au pied du lit avec la couverture que Célia lui avait donné en guise de serviette sur elle. Célia dormait egalement dans son lit. Arrivé dans la cuisine, je vit Roger, déjà habillé il me saluat et me demanda :
_ bien dormi ? tu veux un café ?
_oui merci ! Ok pour un café avec deux sucres s'il te plait
_ok je te fais ça. Pardon de te pressé mais si tu peux monter te préparer pendant que je te le pépare, on va pas tarder à partir au refuge.
_ ok pas de souci
Je monta prendre une douche et m'habiller. Je prépara un sace de randonné et descendi prendre mon café. je pris une tartine et rejoigna Roger dans l'entrée.
Et c'est parti pour 3h30 de marche au lever du jour. le paysage etait magnifique je me disait que j'avait bien fait d'accepter de l'accompagner. On parlait pendant la ballade de toute et de rien. Je n'arretais pas de penser à la scne torride que j'avais vu avec Julie. Je me disais qu'il fallait que j'arrete d'y penser car j'allais bientôt dire quelque chose qui lui aurait mis la puce à l'oreille. Ils ne m'avaient pas vu. J'allais tout de même pas me devoiller betement.
On arrivait au refuge, il me presenta son ami Bernard, un gars la cinquantaine, même genre que Roger, bon vivant, avec des bras et des mains de travailleur manuel. Il nous accueuilla et nous invita à dejeuner avec lui à l'étage du refuge où etait ses appartement privé. Il n'y avait que nous trois dans le batiment. Apres l'aperitif, on passa à table. Bernard ne posa plein de question sur la vie parisienne et m'apprenna qu'il y avait travaillé quand il etait plus jeune en tant que serveur dans un bistrot. Le repas se passa à merveille jusqu'à ce Roger lance à Bernard :
_ et sinon tu savais qu'il se tapait ma femme ?
Le silence qui s'en suivit fut le plus imposant et le plus lourd que j'avait connu.
Bernard éclata de rire. une surprenante reaction qui me detendis un peu, puis Roger repris :
_ oui il set appe ma femme, mais il ne fait que la satisfaire avec sa bouche. Elle le domine completement. Ma chienne Julie les a surppris et m'a tout repeté cette nuit.
les yeux que j'avais apperçu cette nuit etaient donc ceux de Julie. j'étais maintenant pétrifié, je ne pouvais rien nier... A son tours Bernard pris la parole.
_Ah oui ta chienne Julie ! elle est bonne cette petite, et elle adore ça ! faudra que tut me la monte un de ces quatre pour qu'elle me vide les couilles !
Je n'en revennai pas de la discution à laquelle j'assistait.
_ Oui c'est d'accord je te la ramenerai. Tu vois Julien, Julie est notre petite soumise à Célia, moi et quelque amis depuis un an. C'est elle qui a voulu tout ça en mettant une petite annonce sur internet. Elle ne se doutait pas que ses voisins tomberai dessus. Au début elle etait retissante, de peur de se faire découvrire par ses parents. Mais nous lui avont promis d'etre tres discret, propre, et qu'elle n'aurait aucune trace... elle est devenu beaucoup plus docile avec le temps. C'est notre petite pute gratuite !!!
Et ils eclatère de rire.
_Maintenant tu es le petit soumis de ma femme. Tant mieux mais une chose me chagrine. Elle ne m'a jamais demandé l'autorisation d'etre satisfait par un autre gars et ça me met en colère tu comprends ?
_ Oui... je suis désolé, je ne voulais pas au deb...
_Chut calme toi et tais toi. Je veux bien renoncé à ma jalousie si tu accepte un petit service en echange.
_ tout ce que tu veux, je ne veux pas de problemes.
_ bah voilà, un toutou bien dressé, il ne veux pas de probleme, tu enttends ça Bernard ?
_oui, j'enttends ça.
_oui merci c'etait très bon.
_ok tu veux un dessert ? j'ai que des yaourt
Je me dettendais et acceptait. Il se leva alla au frigot et revena avec des yaourt. Roger fit tomber sa fouchette, et me demanda :
_elle est tombé de ton côté, tu peux me la ramasser s'il te plait ?
_oui bien sûr !
Je me pencha pour la ramasser et à se moment là, je senti quelque chose de froid et visqueux tombé sur mes cheveux. Je me releva. Bernard m'avais versé le yaourt sur la tête. et me dit en souriant:
_voilà ton dessert.
_A genous maintenant !! me dit fermement Roger
Je m'executa, j'avais un peu peur. Bernard s'approcha de moi, ouvrit sa braguette et sorti une bite plutot grosse. Elle sentait un peu fort, il n'avait pas dut prendre de douche le matin. Il m'etalla le yaourt sur le visage et m'ordona d'ouvrir la bouche. Ce que je fis...
Il m'enfonca sa queu dans la bouche et commença des va et viens... je ne savais pas quoi pensé ou faire. Sucer une bite ne m'avait jamais attiré pas plus qu'un les hommes, je n'y avais d'ailleur jamais pensé car ça me dégoutait. Et pourtant c'est bien ce que j'étais en train de faire.... je ne pensais à rien, je m'eforçais juste de le satisfaire bien docilement.
Roger baissa son panthalon. Je me dit que je devrais le sucer aussi. Mais à ma grande surprise il me dit.
_leche moi le trou de bal !
il se retourna, se pencha un peu, j'avais maintenant son anus en face des yeux. Il etait propre et ne sentait rien. Mais avant que je me rende compte de quoi que ce soit, Bernard appuya ma tête dans son cul.
_leche le, il t'a dit ! fous ta langue dans son son trou !!!
je m'appliquais a bien mettre ma langue au fond, en lechant tout ce que je pouvais melangé avec tout le yaourt que Bernard m'avait étallé sur le visage. Roger se branlait pendant ce temps et Bernard aussi. Soudain Roger se retourna et avant que puisse reagir, il m'ejacula sur le visage, c'etait chaud et visqueux.
_viens la petite pute ! moi aussi je vais t'inauguré ! ahhh
Il ejacula aussi sur mon visage.
_ tu as bien fait de venir petit !! Tu m'a bien vidé les couilles . S'exclama Bernard
J'etais à genous au milieux des deux, souiller par un mélange de foutre et de yaourt sur le visage. Je ne réalisais pas ce qui venait de se produire. Je ne pensais à rien, je ne disais rien, j'executais... Roger se mis devant moi :
_nettoie bien ma queue, il reste du sperme dessus
_ la mienne aussi me dit Bernard.
Je m'appliquais à bien nettoyer leur queue en bavant pour ne rien avaler.
_bien maintenant retire tes vetements sauf le haut. et reste à genous.
je ne comprenais pas mais continuer à faire ce qu'ils me demandaient docilement. j'étais de nouveau à genous au milieux d'eux, juste en t-shirt, ils rigolaient, j'étais humilié, le visage souillé de yaourt et de sperme qui dégoulinait.
_leve la tête et regarde nous.
Juste au moment où je leva la tête, un jet chaud et puissant atterri sur mon visage et n'en finissait plus de coulé, puis un deuxieme se mis à coulé en même temps. Je réalisais qu'il se soulageait sur ma tête.
_T'as vu ça Roger !? Deux en un ! nous on te lave et toi tu nous serts de chiotte !
_ouai Bernard, mais je pisse à côté du trou ! ouvre la bouche !
Toujours sans reflechir j'ouvris la bouche et je senti le liquide chaud la remplir. Je recrachait tout. une fois terminer, Bernard me montra la douche, me donna un nouveau T-shirt et me dit de me dépécher. Une fois terminé et habillé, je les aies rejoins où je les avait laissé. Roger me tendis un sceau et une serpière et m'ordona de nettoyer le carelage plein d'urine. Pendant se temps, ils prenaient un digestifs et Rogers m'annoça qu'il fallait rentrer. Nous quittions Bernard et sur le chemin du retour. Roger me demanda si j'avais apprecier se monment. Je lui repondi que je ne savais pas. Je n'avais pas été dégouté ni enjoué mais une chose etais sûre.
_Il te reste deux jours avant que tu ne reparte chez toi. Je voudrais que tu sois notre pute à moi et Célia et out ceux dont je déciderai jusqu'à ton départ. Tu auras le droit d'y mettre un terme à tout moment et nous le respecterons. Tu nous serviras aussi de bonne à tout faire et tu porteras les vetements de Célia. Tu seras bien traité en condition de chienne. Tu porteras et collier et de temps à autre une laisse. Tu n'auras pas les peids et mains attaché mais tu devras les garder dans le dos quand on te l'ordonnera. tu as jusqu'en bas pour y reflechir. Soit tu accepte et tu restes, sois je te racompagne à un hotel et tu seras libre de reprendre le court de ta vie.
J'ai reflechi jusqu'à chez lui. puis j'ai preféré renoncé. Il m'a racompagné à un hotel où j'ai fini mon sejour à faire quelques randonnés et essayé de pensé à autre chose. J'y ai tres souvent repensé et j'ai bien sûre regretté de ne pas avoir accepté leur proposition. J'avais gardé contact au cas où et j'ai fini par apprendre qu'ils avaient demenagé en Australie. je ne les ai jamais revu. La dernière image de Célia, c'est quandelle dormait avec Julie au pied du lit.
Ce que vous venez de lire c'est réellement produit. Je le raconte tel que je l'ai vecu et souvent un peu résumé. Aujourd'hui j'ai toujours du mal à y croire. je n'ai jamais re-connu ce genre de situation mais j'ai tenté une relation bi-sexuel avec un couple, suite à ce qui c'était passé dans la montagne avec Roger et Bernard. Mais c'était très classique. Les prochains chapitres seront fantasmagoriques et raconterons comment ça serait passé si j'avais accepté la proposition de Roger. Merci pour tout les commentaires ou les messages privés que vous me laisserez !
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