Julie La Dure

Brune, coiffée les cheveux tirés en arrière vers un gros chignon, vêtue d’un tailleur noir très chic, elle est très sévère dans son travail. Partout où Julie est passé, son souvenir laisse des traces d’une femme dure, sans pitié. Personne n’a jamais pu découvrir chez elle un geste de simple humanité, elle ne connait que la dureté.
Chez elle, par contre tout change. D’abord elle abandonne cette allure hautaine, dominatrice. Elle redevient ce qu’elle était avant, une femme normale, presque une midinette, attirée par le sexe, ce qu’elle sa garde bien de montrer. Si dans la vie professionnelle, on lui donne 45 ans, en réalité elle n’a que 32 ans. Elle ne compte pas les amants ou amantes qu’elle a eu ni même les objets qu’elle utilise pour ses plaisirs nombreux.
C’est une débauchée, une libertine de première classe. Bien sur elle n’agit jamais dans la vile où elle travaille. Dès le vendredi soir, elle fille à une centaine de kilomètres pour descendre toujours dans le même hôtel de luxe où elle a ses habitudes. Là la femme dure disparait totalement.
Elle revêt un uniforme de femme libre: jupe écossaise très courte, débardeur blanc serré, bref l’idéal pour lever qui lui plait. Elle n’est pas sectaire, ses désirs vont d’un homme bien monté ou non à une fille sexy, bien munie d’amortisseur: elle aime les gros seins, les siens sont petits.
Si Julie est ici c’est pour faire le plein de sensations fortes, elle est prête à se donner à plusieurs à la fois du moment qu’elle a plusieurs orgasmes. Une des dernière fois, elle avait une bite dans le puits, une autre dans le cul, deux dans les mains et une chatte sur la bouche; elle se souvient encore du bon gout de la fille, même si elle est incapable de se rappeler son visage.
Il ya deux boites réputées une surtout pour les filles seules. C’est là où elle va: il y a plus de chance de trouver une ou deux filles selon son besoin de cette nuit en plus elle est attirée par le jacuzzi.

Elle verra si en sortant elle va à l’autre où les couples sont plus nombreux. Le taxi la dépose devant la boite « le plaisir » en souriant, il pense qu’elle a se faire mettre partout: il aimerai l’accompagner.
Dès l’entrée, passé le videur, une forte odeur de sexe, de cyprine et de sperme envahi sonnez: ces bonnes odeurs l’excite. Elle va vers le bar, s’assoit sur un siège surélevé, les jambes ouvertes, à la découvertes des participants. Julie voit peu de monde, la lumière tamisée ne lui permet pas d’apercevoir le fond de la pièce. Elle peut remarquer quand même que les filles sont plus nombreuses que les hommes. Elle commande un whisky, elle y plonge les lèvres quand une femme de son âge vient lui parler. Parler ici c’est toujours dans le but d’une bonne affaire en cul. La fille est châtain clair, aux jolis yeux verts. Une rareté. le corps est plus que visible, elle est nue; sans complexe.
La seule parure se sont ses poils pubiens.
Elle ne déplait pas à Julie qui touche rapidement un sein qui gonfle immédiatement. La fille parle d’elle:
- Je viens de jouir avec un homme, il me la mise partout, même dans la bouche; j’ai encore le gout de sperme en moi, tu veux goûter ?
- Du sperme dans ta bouche, bien sur.
- Il m’en a mis dans le con.
- Tu me fera gouter ton sexe ?
- Lèche le maintenant.
Le barman intervient:
- Pas ici, c’est le bar, allez sur une des banquettes elles sont là pour ça.
Avant d’aller sur la banquette, Julie passe par le vestiaire y déposer sa mini jupe et son débardeur. Sa conquête l‘accompagne vers une banquette libre. Le nudité ne gêne personne. Julie, avant tout jette u coup d’œil sur ses voisins.
Tout à coté d’elle deux filles s’embrassent en se branlant. Plus loin un homme encule une fille qui se fait sucer par une blonde. Plus loin ce sont quatre filles qui sont en carré. Excitée par la proposition de son amie, elle mouille terriblement. En un éclair elle se demande ce que diraient ses collaborateurs de la voir ainsi offerte à une autre fille.
C’est presque par gourmandise qu’elle embrasse sa camarade: c’est vrai la bouche a encore un bon goût de semence d’homme dans la bouche. Sa langue en fait le tour. Sa bouche descend sur le cou pour aller vite sur un sein. Elle le caresse avec une main et lèche le téton: quel régal. Sa chatte coule presque toute sa cyprine: elle continue a mettre sa bouche de plus en plus bas pour arriver sur le mont de vénus. Son nez passe vite sur le poils pour aboutir non pas sur le clitoris comme se serait normal, elle plonge la langue dans le réceptacle de sperme. C’est vrai, là le sperme y est plus abondant. Julie s’en délecte, alors qu’elle était là pour faire des câlins avec des filles. Son amie a du recevoir plus d’une bite dans son con.
Le couple maintenant s’arrange pour se branler. Julie adore faire jouir une autre fille. (D’ailleurs si elle pouvait elle se paierait bien une de ses collaboratrice). Elle se sert de sa main droite pour prendre en main toute la chatte offerte. La cyprine mouille la main qui cette fois cherche le clitoris. Il bande déjà, elle n’a aucune difficulté pour le caresser doucement. La main de l’autre lui rend ce qu’elle fait. Leurs bouches sont collées. Julie est plus pressée que l’autre qui vient de jouir en se faisant mettre plusieurs fois par un nombre indéterminé d’hommes. Elle se donne complètement en s’abandonnant totalement. Une autre fille bien comme elle les aime vient près d’elle. Elle caresse un sein; Julie la laisse faire. Elle reçoit une autre main entre ses fesses: les doigts de cette fille cherchent simplement l’autre coté encore vierge de caresse. Julie se laisse faire, elle ouvre comme elle peut son anus. C’est bien ce qui lui fait plaisir: une main sur la chatte, une autre sur son cul. Presque une double pénétration quand le doigt entre à fond dans le rectum. Quand deux autres filles viennent elles ne désire qu’un seule chose, se faire sucer par les deux filles qui baisent. Julie aime bien la cyprine alors sans hésitation sa langue fouille les sexes proposés.

Son amante du moment la laisse tomber pour venir entre ses cuisses: elle la lèche partout, surtout dans le puits des plaisirs. La langue entre lentement en se faisant plus dure quand elle est à l’intérieur. Excitée Julie pense qu’elle a une petite bite dans le sexe. Le va et vient la fait jouir encore une fois.
Elle se lève pour chercher d’autres amants ou amantes. Elle trouve deux filles d’âges très différent, dont une déjà cougar. Elle n’a jamais baisé une personne dans la cinquantaine sonné. Bien sur le seins tombent bien un peu, mais le reste semble plutôt bien adapté à son plaisir. Elle s’invite pendant que les deux femmes s’embrassent. Elle ne fait que poser sa langue entre les deux bouches. D’un commun accord les voilà langues dehors réunies par les pointes: genre de baiser très excitant. Julie sent deux mains venir sur ses cuisses. Elle les ouvre en grand pour les accueillir.
Il lui semble que les deux mains se disputent l’accès à sa chatte. C’est vrai, une main est sur sa chatte proprement dit et l’autre entre ses fesses à la recherche d’un petit trou. Sa position est inconfortable, alors les deux tribades la font assoir entre elles. Elle est assise au bord du divan, ainsi son sexe peut se faire masturber comme son anus. C’est la cougar qui entre deux doigts dans l’anus. Elle les fait aller et venir. Julie ne sait trop comment rendre ce qu’on lui donne, alors elle attend son heure. L’autre femme, passe sa main dans sa fente pour y trouver les endroits les plus sensibles. Le clitoris encore une fois reçoit une main que le caresse. Chaque fille qui l’a branlée a une façon légèrement différente. C’est justement ce qui plait à Julie. Elle se laisse aller sur le dos, presque couchée. Une bouche vient sur la sienne. Elle a gout à une chatte. Quand elle jouit, Julie peut se mettre à genoux devant la cougar qui écarte vite les cuisses. La chatte est comme celle d’une très jeune fille. La langue est vite sur et dans la chatte ainsi ouverte.
Julie se régale d’un gout légèrement salé.
Elle lèche les grandes lèvres avant d’ouvrir l’abri du clitoris qui ressort. Cette amante malgré son âge veut faire un 69. Julie se trouve sous elle. Elle ne pensait jamais qu’une telle femme soit aussi agile dans l’art de Sappho . Les orgasmes se succèdent sans arrêt. C’est Julie qui la première demande grâce.
Avant de partir Julie demande à sa compagne d’aller dans le jacuzzi pour être délasser avant d’autres orgasmes. Il est presque plein, les femmes semblent aimer les jet de bulle qui leur caresse les endroits sensibles. C’est-ce que cherche Julie: elle se délasse complètement, le corps détendu contre une femme jeune plus tôt le genre de Julie. Sans rien demander, elle l’embrasse. L’autre ouvre ses lèvres. Sans se gêner elle caresse la vulve de sa voisine, qui se laisse faire, sans rendre la caresse. Par contre la cougar assise de l’autre coté a prit possession à nouveau de son clitoris. Julie sent avec plaisir les bulles venir juste sur son cul. Elle se laisse aller vers un ultime orgasme
Fatiguées elles sortent ensemble pour prendre le même taxi: elles sont dans le même hôtel. Leurs chambres ne sont séparées que par un couloir. Julie l’invite à venir chez elle. Elle prennent un champagne pur se remonter un peu. Sa nouvelle amie voudrait prendre une douche avant d’aller se coucher. Julie l’accompagne: ce n’est pas pour se laver, c’est pour s’aimer sous l’eau une dernière fois. La couguar est elle aussi fatiguée, elle va dans sa chambre après que Julie lui ai dit que le soir elle irait dans l’autre boite pour se faire mettre par plusieurs hommes. Cette couguar en a eu assez pour une bonne semaine, elle aime les filles, malgré qu’elle soit veuve ou sans doute à cause de ça.
Julie se couche nue, comme toujours. Elle s’endort comme une masse rompue pas les orgasmes multiples. Elle se réveille fort tard, pas avant 13 heures, juste pour commander un déjeuner rapide pour faire une bonne sieste. Elle sort de l’hôtel vers 17 heures pour faire des achats. Oh, pas des vêtements ordinaires: des chemises d’hommes, des strings pour son travail, et surtout des « bibelots », des plugs pour tout dire pour son sexe et son anus.
Elle va dans une restaurant réputé dans l’espoir de ce faire lever par un homme ou une femme, elle s’en fiche. C’est un couple qui vient vers elle. La femme la repérée grâce à sa jupe qui montrait qu’elle ne portait pas de sous vêtement.
Chez ce couple Julie se livre totalement; Elle accepte tout ce qui lui donne du plaisir, particulièrement le lange de l’homme qui la fait grimper aux rideau. La femme prend le relais quand Julie a dans sa bouche la bite du mari. Julie ne peut que se laisser faire, son hôtesse est une femme bien au courant de ses capacité à donner du plaisir aux autres. La langue est rapidement sur le clitoris, deux doigts dans son con et deux autres dans son cul. Julie ne résiste jamais à ces intrusions. Elle en réagit toujours par une orgasme. Pile au moment de sa jouissance elle reçoit le sperme du mari dans le bouche. Elle veut que la femme profite aussi du sperme de son mari, elle l’embrasse pour donner sa part de semence. Julie fait ce qu’elle veut, elle se donne en 69 à l’autre femme qui en profite. Elles se font jouir seulement deux fois. Pour continuer la nuit, Julie leur demande de venir avec elle dans la boite échangiste. Sans réfléchir longtemps ils acceptent.
Si l’homme est vêtu extérieurement personne ne peut devine qu’il est nu dessous, comme sa femme qui a changer du robe: des bretelles tienne le tissu. La robe est presque à hauteur de la chatte.
Dans le boite, si la femme reste avec Juliette, l’homme est à la recherche d’un sexe. Julie est étonné de le voir avec deux autres hommes nus qui se branlent. Il leur offre son cul. Elle regarde avec intérêt un homme en levrette qui se fait mettre par le cul pendant qu’un autre lui suce la bite. Sa femme trouve la chose normale, elle embrasse encore Juliette avant de l’oublier pour une autre. Juliette ne s’en fait pas, surtout qu’elle est sollicitée par une type grand bien monté. Il est près d’elle, il l’embrasse, il la pelote. Elle se laisse faire avec plaisir: elle mouille. Elle voudrait qu’il la branle, sans oser le demander. Il la monte sur ses genoux, le dos contre lui: il caresse ses seins toujours idéalement. Il la monte sur sa bite. Sans rien dire, il la baise deux minutes avant de l’abandonner pour prendre son cul.
Julie ouvre ses fesses en espérant qu’il va la sodomiser longtemps. Elle est tomber sur une grosse bite qui lui fait mal en entrant, qui lui donne du plaisir en allant et venant, qui l’encule en la branlant. Elle jouit plusieurs fois, il lui semble perdre la tête de bonheur.
Julie est surprise de revoir son hôte qui après s’être fait mettre par un autre homme vient vers elle. Il bande plutôt bien: il s’arrange pour venir la baiser. Prise en sandwich, elle se laisse aller au plaisir qui monte dans ses reins, sa colonne vertébrale. Son orgasme est violent. Il laisse les deux bites la pilonner. Son bas ventre n’arrive pas à faire coïncider les deux bites. Elle aime les sentir se croiser dans son ventre. Elle voudrai un sexe dans sa bouche. Le seul libre est celui de la femme de celui qui la baise. Elle enjambe les corps pour lui donner sa chatte. Julie la lèche comme l’autre veut. Surtout le cul où elle entre sa langue.
Le trio la laisse un instant qui ne dure pas, cette fois ce sont trois hommes qui viennent la baiser sans rien demander. Ils la couchent sur le dos, la lèche pour l’exciter un peu. Un d’entre eux se met sur elle pour la baiser. Très lentement il la baise. Elle gémit toujours quand il la renverse sur lui. Ses fesses sont en l’air. Il lui semble qu’elle va de faire mettre dans le cul une autre fois, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Elle sens bien un autre corps venir sur elle; Par contre pour la première fois elle sent l’autre bite forcer pour entrer dans son con occupé. Elle voudrait dire non. Ils forcent pour le faire. Quand ils sont ensemble dans son ventre elle sent un plaisir plus fort qu’une baise normale: elle se laisse faire. Elle accompagne les mouvements. Le troisième homme s’est réservé la bouche. Elle le suce comme si elle n‘avait pas déjà deux bites dans sa chatte. Elle le fait jouir dans le bouche pour qu‘elle le déguste. Les orgasmes succèdent aux orgasmes, surtout le dernier quand les deux bites lâchent leur sperme à la fois. Elle entend un floc quand les bites sortent ensemble. Son vagin est plein de foutre. Elle doit en avoir presque autant dans son cul. Ca lui est égal, elle a bien joui.
La prochaine fois elle se fera fister dans le cul. Ou peut-être en même temps dans le vagin. Elle a une semaine pour décider.
Le Lundi il apparait au bureau, la visage dur, les traits lisses, les mots presque insultant. Le seul regard un peu tendre est celui qu’elle octroie à une jeune femme. Seul son bas ventre est satisfait. Mais ça, personne ne s’en doute.

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