Balle De Match

Voici l’histoire qui m’est arrivé il y a quelques années avec un de mes meilleurs amis à l’époque, Pierre, aujourd’hui perdu de vue. Je prends du plaisir à vous la raconter le simple fait de repenser à ce jour m’excite immédiatement.
Avec Pierre nous avions l’habitude de louer une salle de Tennis perdue en campagne en bordure de notre petite ville pour faire quelques matches, mais il y a eu une fois où nous n’avons pas fait que jouer au tennis…

Comme d’habitude ce jour-là à notre arrivée nous nous sommes changés directement sur le bord du terrain, ce qui me permettait à chaque fois de jeter un coup d’œil sur le corps de Paul, qui avait alors 19 ans, moi un an de moins. Il se mettait d’abord torse nu pour enfiler son polo, des pectoraux et abdos bien formés, sans être baraqué, il était bien taillé, et une belle gueule avec ça, brun, beaux yeux marrons, il avait pas mal de succès avec les filles. Il enlevait ensuite son pantalon, pour me laisser voir ses jambes et son boxer, gris ce jour –là, sur lequel je pouvais deviner le contours de ces couilles et la forme de son gland, lors d’un petit regard volé.

Une fois en en short et prêts, nous nous mettons à échanger quelques balles tranquillement pour s’échauffer, puis après quelques minutes commençons le premier set, jusque-là tout se passait comme à chaque fois. Ce premier set a été très disputé, et une fois terminé, on se repose un peu avant de reprendre, c’est là que Pierre me dit, avec un sourire en coin de lèvre :
- Ça te dis on fait un tennis déshabilleur pour mettre un peu d’enjeu ? A chaque point gagné, tu décides si tu remets un vêtement ou si tu en fais enlever un à l’adversaire ?
- Ahah ! lui dis-je un peu gêné, pourquoi pas, mais on a que un polo, un short et quelquechose en dessous, ça risque de pas être très long…
- Oh si le match est équilibré ça peut être drôle !
- Ok ok essayons alors !

Et nous revoilà partis sur le court, prêts à commencer ce nouveau match.

A vrai dire, j’ai pris l’air gêné et hésitant, mais en réalité, je ne demande que ça et j’aurais préféré qu’on joue à ce petit jeu depuis longtemps ensemble ! J’ai une assez bonne technique et j’arrive à lui tenir tête, mais Pierre est quand même plus fort que moi, je risque fort de me retrouver vite à poil, mais j’ai bien envie de voir son paquet se bouger sur le terrain, je vais luter pour lui faire enlever son short !

Après tirage au sort, c’est lui qui a le premier service, il m’envoie une lourde première balle que je peine à renvoyer, puis me prends à contre-pied, premier point perdu…
Pierre se prend le polo sans rien dire pour me faire signe de l’enlever, je m’exécute, me voilà torse-nu, après tout c’est pas plus mal, il fait bien chaud ici.
Je gagne le second point avec grand plaisir et ordonne à Pierre d’enlever son polo, il a un peu de sueur sur le torse qui lui font briller les pectoraux.
Le troisième point est disputé, personne ne veut enlever le short en premier ! Mais après une belle montée au filet, c’est à moi de tomber le short, et montrer mon slip Calvin klein, je respire un grand coup, prenant l’air de me remettre dans le match, mais surtout en fait pour garder le contrôle de moi-même et ne pas me mettre à bander comme un fou !
Je gagne sur service le point suivant, et pour calmer un peu le jeu, je décide de remettre mon short, et prendre deux secondes pour boire une goute d’eau. Le jeu reprend et je gagne de nouveau le point, cette fois il va devoir enlever le bas à son tour, je ne peux m’empêcher de largement sourire de satisfaction en le voyant passer ses jambes l’une après l’autre, et retirer son short, pour enfin se présenter face à moi torse-nu avec ce beau paquet. Il ne semble pas déstabilisé, il n’a pas l’air de bander, j’essaye de ne pas trop fixer son entre-jambe, mais me fais quand même la promesse de faire gonfler tout ça.
- A moi de servir, se contente-t-il de dire.

Ace. OK !
- Allez petit joueur, réenlève ton p’tit short je vois bien que t’as trop chaud ! me dit-il d’un ton moqueur.
- Ok, ok, lui dis-je en souriant et appliquant ma punition.

Au prochain point, le joueur décidera si il veut remettre un habit, ou bien finir son adversaire et le mettre à poil, si je gagne, je ne sais pas très bien quelle décision je prendrai. La question ne se posera pas car après un long échange, je mets la balle dans le filet et me retrouve vaincu.
- Aïe aïe aïe me dit-il en riant ! Tu fais la faute, à toi de payer, allez enlève moi ça illico !!!
- Ah ah enfoiré lui dis-je en riant à mon tour !
Mine de rien à ce moment là je ne bande pas, je suis plutôt stressé. Pierre ne m’a jamais vu nu, j’ai un sexe de bonne taille, avec le poil taillé, les couilles et l’anus rasés, et circoncis, j’offre donc mon gland à la vue de la personne qui se trouve en face… Je ne sais pas comment il va réagir à la vue de mon sexe.
- Oh mais t’es circoncis ? me dit-il d’un air étonné ? Je savais pas ! (j’imagine bien, pensai-je). Allez on reprend, à toi de servir !

Je lui tourne alors le dos, je me sens un peu humilié, mais cette sensation d’être là offert, à poil, vaincu sur le terrain, m’excite aussi, et je décidai alors de bien lui présenter mon cul imberbe en ramassant une balle, pour voir s’il me mate et si ça fait un peu d’effet dans ce petit boxer ! L’effet ne se fait pas attendre, à ma surprise, il me lâche sur un ton provocateur :
- Oh mais t’as un bon ptit cul de salope toi en fait, t’es bonne mon pote hmmm !
Il dit tout ça sur le ton de la blague, mais je sens bien qu’au fond c’est un peu une invitation, je réponds alors à sa provocation en me cambrant, le cul dans sa direction, et en me mettant deux petites claques sur la fesses droite, tout en lui souriant.
On tente de reprendre le jeu et notre sérieux, et je gagne le point suivant, je suis sur le point de me mettre à bander, je vois ma bite grossir un peu, je préfère remettre mon boxer, mais ce ne sera que de courte durée, car le point suivant, Pierre gagne avec facilité et me dit :
- Enlève-moi ça, j’veux voir ton ptit cul d’allumeuse !
Je ris et me résigne à me remettre à poil. Le jeu reprend, et je perds de nouveau le point.
- On fait quoi dans ce cas là ? me demande-t-il ? il faut te trouver une autre punition ! Je sais ! Je te donne une fessée pour te punir !
- Non oh non arrête lui dis-je en souriant, pas ça t’s !
- Oh que si ! me répond-il, le sourire aux lèvres, et se dirigeant déjà vers moi.
Je commence à vouloir fuir, et il me court après un tour de terrain, nous rions aux éclats tous les deux, je sens qu’il commence à être excité et qu’il en veut vraiment à mon ptit cul ! Je m’arrête finalement, essoufflé, au niveau de la chaise d’arbitre, je prends des deux mains les barreaux supérieurs de la petite échelle de la chaise surélevée, mais la jambe gauche sur le deuxième barreau, et me cambre un peu en arrière, offrant ainsi mon cul avec mon petit trou imberbe et rose bien en vue de mon bourreau.
- OK OK ! Je me rends lui dis-je en reprenant mon souffle !
- Ah c’est pas trop tôt ! me dit-il en se mettant derrière moi. Quel joli petit cul, il donne encore plus envie vu de près ! Alors, on a mérité une bonne fessée ??
A peine terminée cette phrase, il me frappait un bon coup en plein milieu du cul, et terminait en caresse, en passant un doigt sur mon trou. J’ai lâché un petit cri de surprise.
- Je t’ai fait mal ?
- Un peu quand même oui ! lui dis-je, mais tout en gardant la pause, comme pour en demander une deuxième.
- Ah oui, ça rougit déjà, me dit-il, et il commença alors à me caresser à l’endroit ou il avait frappé.

Je ne bouge pas et ne dis rien, je reste le cul offert pendant qu’il me caresse, avec un doigt qui s’égare régulièrement sur ma rondelle. Je jette un coup d’œil en arrière et ne peut rater que cette fois le boxer gris est bien rempli, une belle queue le gonfle et ne semble pas pouvoir rester contenue longtemps. Il se met alors à m’embrasser les fesses, je ne dis toujours rien, je laisse juste échapper un soupir de satisfaction, je ne sais pas s’il l’a vu, trop occupé à mon cul, mais je bande comme un fou, raide ! Après avoir baisé mes fesses tout en me caressant le petit trou du bout des doigts, il vient à présent mettre sa langue contre mon petit anus, et en force délicatement l’ouverture du bout de son habile et chaude langue.
- Oh oui vas-y lui dis-je en chuchotant.
- T’as vraiment un bon cul de chienne ! Me répond-il en me mettant une nouvelle fessée.
Il me rentre doucement son petit doigt dans le cul tout en me caressant la bite de l’autre main, je suis tellement excité que j’ai peur de tout envoyer trop vite ! Il faut se concentrer et faire durer ce moment magique le plus longtemps possible. Je décide alors de l’arrêter avant l’accident, et d’aller voir de plus près son entre-jambe.
Je me retourne vers lui, assis sur un barreau de l’échelle, la tête au niveau de sa taille, je caresse sa queue à travers le boxer, avant de la libérer et le mettre à poil à son tour. Au moment ou je baisse son boxer, sa bite vient cogner contre mon visage, bien raide, quel bel engin ! Je la saisis, la branle doucement de plus en plus afin de faire sortir complètement le gland, et l’engloutis entière jusqu’au plus profond de ma bouche, je referme mes lèvres quand je sens son gland au fond de ma gorge, et me retire lentement en passant ma langue partout autour de sa bite. Il gémit de plaisir et me met la main sur la tête, afin que je continue de sucer bien à fond cette belle queue, en lui caressant le cul et les couilles. Il est au paradis
- T’arrêtes surtout pas c’est trop bon !
Je suce à fond, la sensation de cette bite chaude et douce, qui va et vient dans ma bouche me rend fou d’excitation, je bande à fond et me mets deux doigts dans le cul pendant que je continue ma tâche.
Après quelques minutes, il se retire de ma bouche et me dit d’un ton autoritaire :
- Fais moi voir ton cul cette fois je vais te prendre comme un salope.
Je reprends ma position initiale sur la chaise d’arbitre, et lui tends mon cul, avec l’anus déjà prêt, après avoir pris deux jusqu’à trois doigts pendant que je suçais Pierre. Il se jette sur mon cul et me le bouffe littéralement, me met deux doigts pendant qu’il me lèche le contour de l’anus, quel pied !! Il s’écarte alors un peu, m’assène de nouveau une belle fessée qui me fait gémir de jouissance, et je sens alors son gland chaud venir se coller à mon anus, avant de se promener de haut en bas le long de la raie de mon cul, avant de finir par se mettre contre ma rondelle, et d’y pénétrer tout doucement le bout de son gland. Il a une bonne bite le salaud, au moins 17cm et un bon diamètre, même bien préparé, son entrée me fait grimacer. Il s’en rend compte, retire alors son gland avant de le remettre encore plus doucement, puis d’enfoncer, millimètre par millimètre, sa queue jusqu’au plus profond de mon cul. Je me cambre alors en gémissant et ne peut m’empêcher de jeter un regard derrière moi, pris en levrette par mon pote, sa bite plantée dans mon cul, quel spectacle ! Il reste ainsi quelques secondes immobile, avant de reculer doucement, puis commencer un va et viens de plus en plus rapide dans mon petit cul offert. Je transpire à goutes et nos sueurs se mélangent à chaque coup de rein qu’il m’assène. Il se retire après quelques minutes afin de ne pas éjaculer trop vite. Il s’allonge sur une serviette sur le court et m’invite à le rejoindre. Je me mets face à lui, m’assoit sur son torse, et saisis derrière moi sa bite humide, que je guide vers mon anus dilaté, et me l’empale de nouveau jusqu’au fond. Cette fois c’est moi qui donne le rythme, à chaque va et viens mes couilles et ma bite viennent claquer sur ses abdos si bien sculptés. Je caresse son torse avant de lui rouler une énorme pelle. Ça m’a fait tout drôle, il était en train de m’enculer, mais cette pelle me paraissait aussi grave et choquante que ce que nous étions en train de faire. Je le regardai dans les yeux, puis l’embrassai de nouveau, tout en continuant les vas et viens dans mon cul. Après quelques moments de jouissance intense (je ne saurais dire combien de temps ça a duré), il me dit qu’il va jouir, je me retire alors, le fait se lever, puis à genoux devant lui je reprends sa bite en bouche, je veux sentir son sperme chaud sur ma langue, sur me joue, sur mon torse. Je suce à fond et le branle en alternant, il finit par se raidir, lever la tête au ciel, et dans un râle, m’envoyer une bonne giclée de sperme sur les lèvres, que je lèche aussitôt, mais déjà deux autres giclée chaudes me tombent sur le front et la joue, et il continue de lâcher sa charge sur mon torse. Je suis aux anges, je me branle à fond, suce les dernière goutes sur son gland, étale son sperme sur mon torse, et me branle frénétiquement, la main glissante de son jus, afin de jouir enfin moi-même, je me mets un dernier doigt juteux dans le cul, puis tombe sur la serviette, recouvert de sperme, essoufflé, épuisé, soumis.
Pierre se rhabille rapidement, je m’essuies partiellement et me rhabille également, et nous quittons la salle, ayant l’habitude de nous doucher chez nous, ici malheureusement il n’y a pas d’eau chaude ! Nous sommes assez silencieux, un peu gênés tous les deux. Avant de partir, Pierre me dit :
- C’était vraiment sympa aujourd’hui, vivement le prochain match ! Par contre notre petit jeu t’es pas obligé de raconter ça ! me dit-il avec un clin d’œil.
- Oui t’inquiète t’imagines bien !

Nous avons refait notre petit jeu deux fois mais l’année d’après nous sommes partis faire des études dans des villes différentes et nous sommes perdus de vue.