Vacances Étonnantes (2)
Vacances étonnantes (2)
Je vous avais promis la suite du séjour vécus avec le vicaire et du séminariste lors de mes vacances dans l'immense maison de famille.
Dans un sens c'était presque moi qui étais gêné de ce que j'avais vu et vécu. D'avoir assisté aux ébats de ces deux hommes d'église m'avais beaucoup surpris, mais aussi excité.
J'ai continué certains soirs d'aller épier leur gymnastique nocturne sexuelle. C'était Tristan qui allait chercher le père Olivier dans sa chambre pour des moments de plaisirs et d'orgasmes intenses.
J'avais un peu discuté et échangé avec Olivier sur ses pratiques et il m'avoua qu'il y a un an Tristan lui avait fait découvert ce qui était interdit. Mais il eu beaucoup de plaisir avec les caresses, les fellations, les massages et même plus rarement la sodomie. C'était vraiment l'éventail complet. Er Tristan sans trop l'impose le menait vers cette débauche. Olivier avait pris progressivement goût à cela. Il me disait qu'avant il se masturbait au grand maximum dix fois sur toute l'année, mais depuis Tristan la fréquence s'est accrue. Il m'appris qu'avec mon invitation, cela lui était plus facile qu'au presbytère. Mais ici c'était tous les jours et plusieurs fois par jour. J'ai compris que c'était plutôt Tristan qui était très demandeur et surtout un peu accro.
Un matin Tristan arrive au petit déjeuner, avec son air toujours guindé et presque ingénu. Je leur annonce qu'aujourd'hui nous allons assister à une visite conférence et faire deux visites de musées etant donné l'éloignement nous mangerons au restaurant. Olivier et moi sommes déjà habillés en corrects-vacanciers et comme à certaines sorites hors de la plage et forêt, Tristan se mettait en soutane. J'en avais un peu assez de cette tenue en congé. Il nous annonce :
Tristan : Attendez quelques minutes, avec ce programme je vais mettre ma soutane
Moi : (depuis quelques jours avec son jeune âge je le tutoie).
Tristan : Si, si, nous sortons, nous visitons et il y aura du monde, vous savez bien que dans ces circonstances je ne veux pas être habillé comme toi Olivier.
Olivier : il faut être de son temps et cela n'empêche pas ton engagement
Moi : Et surtout avec ce que vous faites ! ! (sous-entendu le soir)
Tristan : je monte et j'arrive
Moi : Attends, attends un peu, (et une vois un peu plus directive) tu pourrais être éventuellement mon fils, alors tu va m'écouter, s'il te plaît. Bien, je veux bien que tu mette ta soutane et ton col romain, mais à une seule condition tu te mets entièrement nu dessous. Je ne veux strictement rien.
Il rougit d'un seul coup. Il veut dire quelque chose mais reste la bouche simplement ouverte sans son tellement surpris. Il était presque tétanisé. Olivier ne disait rien toujours assis sur sa chaise. Mais un petit rictus aux lèvres.
Moi : Tu vois je suis assez conciliant, tu as ta soutane de séminariste, mais avec tout ton vice en dessous. Maintenant tu te dépêches.
Sans aucun mot, Tristan se dirigea vers le couloir pour monter dans sa chambre.
Olivier : Veuillez m'excuser Jean-Eudes mais vous exagérez un peu. Il va rester comme cela toute la journée ?
Moi : Eh ben oui !! mais pendant que nous irons à la voiture, vous montrez dans sa chambre et prenez lui un slip et un short, on ne sait jamais.
Après cinq minutes Tristan est devant nous en soutane.
Moi : C'est bien ! mais tu n'as pas triché ?
Tristan : Non, vous voyez !
Il lève très légèrement sa soutane pour nous montrer ses jambes (aux beaux galbes) Je m'approche prends le bas de la soutane et la lève complètement, et il a mis un mini string.
Moi : et çà ? c'est ce que tu appelles ne rien porter?
Tristan : C'est pas grand-chose, je ne vais pas être toute la journée sans sli^p, tout de même.
Moi : et bien si. Enlève ton string et mets-le sur la chaise.
Tout cramoisi et presque tremblant Tristan attend un petit instant avant de se décider d'enlever son sous-vêtement.
Tristan : Eudes, vous qui êtes si généreux et bien souvent compréhensif, vous êtes un méchant un tortionnaire moral. Vous vous rendez un peu compte de ce que vous me demandez
Moi : Oui je comprends. Mais qu'est-ce que je vois.
Je soulève de nouveau sa soutane, et . . il est en pleine érection.
Moi : Cà ne vous trouble pas trop à ce que je vois.
Effectivement de profil nous pouvions bien deviner que sa queue est droite.. Je m'approche et lui défais deux boutons (espacés) qui correspondent au dessus de son pubis et en dessous de ses testicules. Puis je le pousse doucement dans le couloir pour qu'il sorte en premier et nous dirigeons vers le bâtiment qui servait de garage. Olivier pendant ce temps est allé chercher les quelques effets.
Nous roulons pendant un peut moment, Tristan était assis à côté de moi et Olivier à l'arrière derrière moi, comme cela il pouvait voir ou observer son ami Tristan. Apparemment Tristan était toujours avec son érection.
Tristan : Je ne vais tout de même pas entrer à la conférence dans cet état.
Olivier : Cà dépend que de toi. Si tu n'avais pas que des pensées vicieuses en tête tout serait normal et tu pourrais te balader nu sous ta soutane sans problème.
Tristan : c'est encore loin ?
Moi : Un petit moment
Tristan : Non, nons, cela ne va pas être possible.
Et à ces mots il se met à déboutonner quelques boutons de sa soutane pour laisser sortir sa flûte avec ses vingt-deux centimètres et ensuite d'une main l'empoigne pour évidemment se masturber.
Moi : Et puis quoi encore. Tristan arrête de suite, je vais m'arrêter il y a une forêt. Si tu continues tu vas tâcher ta soutane comme les draps de cette nuit encore.
Ma main lâche le volant et lui tappe où je peux, et c'est sur le dessus de sa bite. Nous roulons encore pour atteindre la forêt.
Moi : Allez ouvre ta porte Tristan et lâche ta queue s'il te plaît. Maintenant Olivier au lieu de vous rincer l'il, sortez vous aussi et allez du côté de Tristan.
Olivier ouvre sa porte, passe par l'arrière de la voiture et arrive du côté de Trstan.
Moi : Tristan, tu te tournes vers l'extérieur et mets tes mies à terre en restant assis et vous, Olivier, penchez-vous et vider complètement Tristan pour lui supprimer cette indécente réaction de pervers. Vous ne le branlez pas, vous lui faites une fellation sans utiliser vos mains, j'ai tout mon temps.
Olivier ne s'attendait absolument pas à cela. Il pensait pouvoir encore observer Tristan dans son art de la masturbation dont il nous avait déjà fait profite certains jours dans la propriété Olivier se mit à l'ouvrage. Il insère la tige de Tristan et commence ses mouvements de la tête pour faire entrer et sortir ce barreau de chair. La salive coulait sur la soutane. Tristan avait calé sa tête en arrière les yeux fermés. De mon côté j'appuyais sur la tpete d'Olivier pour l'encourager d'aller plus loin et plus au fond de sa gorge. Même lui parfois poussait des grognements Ses succions faisaient de plus en plus de bruit. A un moment j'ai sortis ma verge bien bandée pour me faire plaisir de mon côté en voyant cet acte d'obéissance. Olivier accélérait ses mouvements de tête, sa bouche faisait de plus en plus ventouse. Tristan est passé de soupirs, à murmures puis grognements. Son bassin se soulève plusieurs fois du siège pour projeter sa queue au fond de la gorge d'Olivier qui avait parfois des haut-le-cur. D'un coup Tristan retombas violemment sur l'assise du siège in poussant un cri retentissant conjugué à un râle. Il éjaculait dans la bouche d'Oliver aui était rouge et tout décoiffé. Il n'en pouvait plus tellement il y avait de foutre en bouche. Il fait sortir la que de sa bouche, cracha une quantité impressionnante de semence sur l'herbe et mettant en m^me temps sa main sur le dessus de la bite qui crachait encore.
Olivier : J'en ai juter dans mon slip et je crois que j'ai tâché mon bermuda.
Moi : Oui vous avez bien maculé votre bermuda Père Olivier. Malgré mon obligation, j'espère que vous avez pris du plaisir.
Olivier : Oui, oui, nous vus inquiétez pas Eudes c'était bon.
Le séminariste Tristan est sorti de la voiture pour s'éloigner de quelques mètres pour vider sa vessie après cette péripétie. Il revint à la voiture en protestant qu'Olivier lui avait sali sa soutane.
Moi : Tu es gonflé Tristan, c'est de ta faute. Tu ne voulais pas être indécent, tu voulais te masturber tout à l'heure et tu crois que même seule la jute n'aurait pas maculée ta soutane. Si tu déversais moins de jute cela ne serait pas arrivé. T'as vu la quantité? Olivier a avalé à deux reprises et il y en a eu encore. Ne sachant pas te tenir, ta soutane est tâchée et le bermuda d'Olivier aussi, nous ne pouvons pas aller faire les visites, ni au restaurant, j'ai trop honte. Nous allons rentrés pour que vous vous changiez et nous irons à coté au restaurant.
Mais à cette journée, il y a eu la fon du séjour avec une sanction pour Tristan, que je vous raconterai prochainement.
Eudes
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