L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 23) -
L'Odyssée de la Belle Hélène : La prise de Procuste (suite)
Procuste la baisait avec une ardeur des plus farouches, bestiales ! Hélène sentait aller et venir tout son corps soumis à l'initiative de l'homme qui était en elle et la possédait de façon certes plutôt banale, mais puissante ! Elle sentait les regards des brigands et de ses esclaves rivés sur elle, consciente de la volonté de son tourmenteur de l'humilier... Mais il ignorait ainsi qu'elle prenait un profond plaisir à sentir en elle cette énorme queue dure et épaisse... Elle s'abandonnait, mouillant d'abondance et lubrifiant ainsi le sexe du brigand qui enflait encore ! Persuadé d'avilir sa prisonnière en la possédant ainsi de force devant ses esclaves, Procuste ahanait bruyamment, encouragé par ses hommes qui admiraient la performance virile de leur chef. A leurs yeux, Hélène n'était qu'une chose privée de toute autonomie, livrée aux appétits sans limite de Procuste, bien connu pour épuiser les femelles sous ses assauts. Cette délicate femelle, aristocrate et élégante allait en baver, ainsi réduite à l'état d'objet sexuel. Ils ne pouvaient qu'ignorer qu'en Hélène s'était établi une métamorphose, lorsqu'Elle était ainsi contrainte, Hélène retrouvait son âme de êta, son expérience de pornaï soumise et le plaisir qu'Elle avait appris à retirer de toute activité sexuelle...
Alors que son corps était ainsi tendu, que son sexe était empli d'une queue démesurée, qu'elle était baisée avec acharnement, Hélène était emplie d'une véritable frénésie intérieure. Elle s'emplissait du plaisir d'être traitée comme une simple putain... Elle sentait la douleur des muscles de ses bras et de ses jambes, tendus à l'extrême, sa chatte remplie, les à-coups et saccades qui la forçaient à aller et venir autour de ce phallus qui s'enfonçait en elle... Elle sentait la transpiration qui dégoulinait à l'extérieur de son corps et son plaisir dégoulinant en dedans. Oui Procuste l'humiliait, la baisait, la possédait .
- Patnos ! aboya-t-il, à ton tour, tu l'as mérité... Prends la femelle que tu tiens et tâches d'en jouir comme un homme ! lança-t-il au jeune brigand.
Le jeune bandit se précipita pour se saisir de la corde servant de laisse à Clytia. Il l'attira un peu plus loin, derrière un fourré sans cesser d'admirer cette merveilleuse croupe que la jeune femme faisait volontairement onduler en avançant à quatre pattes vers ce qui l'attendait.
D'un geste Procuste fit signe à ses deux autres complices qu'ils pouvaient également disposer de l'esclave mâle. A leur tour, ils gagnèrent un recoin quelque peu à l'écart, s'apprêtant à prendre Endymion par les deux bouts, comme ils aimaient à le faire lorsqu'ils disposaient ainsi d'un prisonnier livré à leurs bas instincts. Ainsi rapidement, Endymion à quatre pattes fut enculé par le rouquin, tandis que l'autre brigand s'agenouillait devant son visage, poussant son sexe en érection entre les lèvres soumises du prisonnier. Un échange d'allées et venues se mit ainsi en place, dans la bouche et le cul d'Endymion, lensemble dans un même rythme... Des fourrés s'échappaient maintenant râles et gémissements divers... A linstar de sa Maîtresse et de Clytia, lesclave mâle trouvait tout de même du plaisir à se faire embrocher de la sorte. Lui aussi avait compris le message du regard de sa Maîtresse laissant à penser de se laisser r. Ses premières expériences de soumission telle celle avec le Dieu des Forges et du Feu lui avaient enlevé toute appréhension à se faire r par ses orifices et même désormais, il savait quels plaisirs, il pouvait en tirer, il savait que sous les assauts pervers des deux brigands, il trouverait son bonheur à se sentir comme une vulgaire putain, sale, abusé
Il savait quil aurait une forte jouissance mentale ressentie, bien présente dans son esprit desclave, sensation qui commençait dailleurs à se produire par le simple fait de se sentir enculé.
Procuste sourit, après s'être longuement abreuvé à la rivière, il revint vers Hélène, toujours liée à sa branche... Il vint tout près d'Elle... Elle demeurait immobile, sa situation rendant tout mouvement quasiment impossible. Procuste était tout près, admirant ce corps sublime de la tête aux pieds, cette chevelure aux reflets dorés, ce visage d'une finesse inégalable... Tout en ricanant dun rire Dominant, il tourna autour dElle doucement tel un prédateur sûr de pouvoir profiter de sa proie et qui samuse à prendre son temps. Puis il simmobilisa derrière Elle. Sans un mot et après avoir admiré la fabuleuse croupe de la plus Belle Femme du Monde, il leva le bras et de sa grosse main il lui asséna une subite et puissante fessée
Hélène sursauta mais réussit à retenir un cri de surprise quand une deuxième fessée tomba aussi rapidement que la première
Puis une autre et encore une autre
Au total ce fut une bonne vingtaine de fessées qui volèrent sur les fesses amplement rougies de la Belle. Le brigand avait lair satisfait
Il se recula même pour admirer son travail :
- Ha ! ha ! ha ! Que voila un beau cul bien rougi !
Hélène navait émis le moindre son plaintif durant la volée de fessées, aucun cri, juste quelques gémissements lesquels aurait pu laisser à penser à Procuste, que sa proie trouvait plus de plaisir que de douleur
Il se remit à marcher doucement, son visage juste à quelques centimètres de la nuque dHélène pour venir se poser bien en face dElle.
- Regarde-moi ! ordonna-t-il.
Obtenant ainsi immédiatement que le regard dHélène se plonge dans le sien. Il renforça encore la pression sur le bout de chair si sensible et insista jusqu'à voir une larme se former dans ces yeux d'un bleu si profond qui restaient fixés sur lui... Triomphant, il ne put contenir un sourire sans pour autant faire cesser son supplice. Hélène ouvrit la bouche, aspirant une bouffée d'air, comme pour tenter d'échapper à cet étau qui la torturait...
- Je peux continuer ainsi... des heures, lui souffla-t-il avec une haleine chargée qui écoeura la Divine Beauté.
Et il continua, jusqu'à obtenir de la voir se tortiller un peu, dans cette position si contraignante qui soulignait sa si profonde vulnérabilité. Il continua jusqu'à obtenir un geignement plaintif que sa prisonnière laissa s'exhaler. Alors il l'embrassa goulûment, délaissant les tétons qui abandonnés irradièrent une douleur plus brève mais si intense quHélène gémit de plaisir en offrant sa bouche à son tourmenteur. La prisonnière savait que tant qu'Elle serait ainsi entravée, rien ne serait possible, sauf à espérer l'intervention possible d'Un Dieu. Mais Les Dieux sont si inconstants ! Y compris, surtout, son époux Apollon... Aussi ne devait-Elle compter que sur Elle-même. Même si Elle se savait protégée car Certaines Divinités de lOlympe, cest tout de même uniquement sur Elle quelle comptait pour se tirer de la situation à son avantage. Mais pour l'instant, cela passait par une soumission totale, par l'acceptation de tout ce que cet homme brutal et puant exigerait d'Elle. A vrai dire, Hélène se dit qu'il n'était pas impossible qu'elle en tire encore quelques plaisirs à linstar de ceux quElle venait davoir tandis quElle fut, tantôt, besognée par le chef des brigands. Après tout, elle n'avait pas eu besoin de feindre pour laisser libre cours à sa jouissance lorsqu'il l'avait baisée. Cesser un temps de décider, s'abandonner, être docile... cela pouvait être amusant, tant que cela ne durerait pas, se dit-Elle tandis que l'homme rustre passait une main entre ses cuisses, poussant son pouce entre les chairs humides de son intimité...
(A suivre
)
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