Ebony, Cougar, Baise
Madame S. est colonel. Elle ma soigné et hébergé et juillet. Nous avons eu une histoire ensemble. En la quittant, je nai pas fait les choses dans les règles
.
Octobre 2011, Je suis en route un lundi pour Lagos, il est 8 heures. Jy serai au mieux à 17 heures. Je ne veux pas prendre un bus de nuit donc je vais dormir à la gare. Je décide de rappeler ma bienfaitrice. Pendant les trois mois quon duré mes vacances, je nai pas appelé Mme S. Seulement maintenant jai besoin dun endroit où crécher et elle la seule personne à me le fournir.
Je lappelle donc et lui demande si je peux faire une escale chez elle pour la nuit. Elle na pas répondu à ma requête. Et pourtant, quand elle décroche, je présente mes excuses pour le temps pendant lequel elle na pas eu de nouvelles, puis je menquiers de ses nouvelles avant de me lancer. Malgré cela elle reste silencieuse, un moment puis coupe le téléphone après.
Lorsque jarrive à la gare, je nai donc aucun choix que de masseoir confortablement auprès des revendeuses pour y passer la nuit. Il sonne presque 19 heures quand jentends quelquun au loin mappeler. Je le reconnais : cest le chauffeur de Mme S.
Il me conduit jusque chez Mme s. Je rentre dans la Villa et elle est déserte. Je massoies dans un canapé et je pose mes valises près de moi. Peu après, je mendors.
Quand Mme S. rentre, elle me réveille et nous dinons après ma douche, dans une ambiance polie mais légèrement tendue. Puis à la fin du diner, elle débarrasse et se met à la vaisselle. Je me place juste à côté delle en face de lévier pour rincer les assiettes. A ce moment, elle se saisit dune fourchette lair menaçante :
- Pourquoi tu ne mas pas appelé en partant ? 3 mois. 3 mois sans nouvelles.
- Je suis désolé, je ne voulais pas vous déranger, lui répondis-je poliment
- Me déranger ? Déranger ! Dis plutôt que tu ten fous. Je me suis inquiété. Je ne savais pas si tu allais bien où sil tétait arrivé quelque chose.
- Je vous assure que si javais su que cela vous touchait autant, je vous aurais appelé.
- Si cela me touchait ! Quand jai payé tes soins et que je tai accueilli chez moi, cétait pour tes beaux yeux ?
Elle me fixe profondément et jen perds mes moyens, percé à nue.
- Je pensais que cétait pour
. Pour
. (balbutiement)
- Ah
Juste pour que tu me baises ? Cest donc pour cela que je tai accueilli ? Ah ! cest ce que tu timagines. Tu peux donc le rayer de ta liste. Coucher avec une femme plus vieille que toi, cest fait.
Elle repose la fourchette et pose sa main sur les bords de lévier. Je remarque quelle tremble légèrement. Je pose doucement une main sur son bras.
- Jai eu peur. Jai pensé que si je tappelai je risquai de découvrir que ce moment nétait quune histoire qui ne représente rien pour toi. Et jai voulu préserver dans le silence, la beauté de ce qui sest passé.
Je descends ma main sur son ventre et par derrière, je lenlace de lautre main.
- Jai voulu garder cet instant pur dans mon cur pour pouvoir le chérir le plus longtemps possible.
Elle se dérobe à mon étreinte et porte mes valises vers la chambre. Je la suis. Elle entre et laisse la porte entrouverte. Cest la première fois où je reviens dans cette chambre depuis la nuit folle que nous avons partagé ensemble. Elle pose mes valises sur une table et se retourne face à moi.
Doucement, je lui caresse les cheveux, le visage, les lèvres. Puis je lembrasse tendrement ; peu à peu elle se détend et moi jy mêle une légère fougue. Des mains, je recherche fébrilement ses seins sous son décolleté et son soutien-gorge, puis je les emprisonne dans mes mains et je les malaxe. Elle me déboutonne furieusement mon habit. Pendant que dune main elle me caresse la poitrine, elle descend lautre pour sentir ma bosse à travers mon pantalon. Je sens sa main qui me procure une douce sensation sur mon membre à travers le tissu dur de mon jean.
Elle ouvre léclair de mon jean et en ressort mon braquemart debout, chaud, nerveux, bien dur et prêt. Je passe une main par derrière et lui dégrafe son soutien-gorge. Puis je passe mes deux mains sous sa jupe pendant quelle enlève son décolleté. Je saisis les bords de son slip et je le fais descendre jusquà ses mollets. Je suis prêt à la retourner et à lenfourner. Je veux quelle tienne la table tout en restant debout, que je puisse la pénétrer le plus profondément possible
Et Là :
- Ding, Ding, Ding
Quelquun sonne. Elle marrête, remet en place son slip et sors. Je lattends jusquà ce que le sommeil memporte. Le jour suivant à mon réveil, elle est déjà partie. Je fais tout de même la connaissance dune de ses amies : Cest une berbère, la trentaine, habillé en exécutive woman, portant une paire de lunette rose, les cheveux nattés avec quelques cauris posés ça et là, un nez effilé, des yeux perçants et une fine bouche.
A la minute où je lai vu ce qui remarque cest une forte poitrine, elle doit faire ma taille 1m 75. Peut-être 70 kg mais pour une forme de mannequine et un visage de mode. Le courant passe entre-nous dès cet instant. Elle dirige une startup qui loue des avions et des jets privés dans tous le pays. Elle me fait dire que si jaccepte dattendre 6 jours, elle me trouvera sans problème un vol gratuit vers ma destination finale. Jaccepte et elle confie mon numéro à son assistante qui devra minformer dès que tous sera prêt. Je passe donc toute la semaine sur place mais rien ne se passe jusquau
.
Vendredi soir, Mme s sest enfermé dans son bureau après le diner. Elle mévite et donc je reste avec Anya, la berbère. Nous avons engagé une discussion et le vin aidant peu à peu le sexe sy est mêlé.
- Comment cest arrivé la première fois lui ai-je demandé
Anya aime parler de sexe. Et elle a bien compris ce que je voulais savoir. Mais cette fois-ci, elle choisit bien ses mots et prends son temps.
- Nous avons participé à un congrès de femmes leaders dans mon Etat et Mme S. est arrivé en retard. Le Congrès devait durer trois jours et les hôtels étaient tous pleins. Comme je faisais parti du comité dorganisation, je lai invité à loger chez moi. Donc le soir même, on a fais connaissance. Comme je lai senti ouverte, nous avons longuement discuté sexe. Pendant que nous parlons des déviations sexuelles, jai vu dans ses yeux un feu que seul celui qui a vu peu comprendre. Jai voulu alors vérifier jusquà quel point elle était excitée. Jai commencé par quelques caresses anodines de mon index sur sa cuisse. Elle portait une jupe courte. Comme elle semblait réceptive, jai introduit ma main entre ses cuisses et jy ai rencontré une toison sauvage que rien ne cachait. Jai ensuite massé tous son pubis avec délicatesse pour trouver son clitoris. Le rôle du clitoris est seulement de donner du plaisir et je le sais. Jai dabord joué de mes doigts sur son bouton damour en le titillant, le massant et y dessinant des cercles. Lorsque jai finalement réussi à monter assez sa jupe, jai embrassé toute son entrejambe. Je lui ai ensuite léché toute la fente. Jaspirais de temps à autre la tête du clitoris et elle tremblait dans mes mains comme une feuille. Quelle sensation de puissance, jai ressenti lorsque jai posé une main un peu appuyé sur le bas-ventre, juste au dessus du pubis ; que dun doigt puis de deux je lai pénétrai et que ma langue oscilla dans tous les sens sur tous le pourtour de son clitoris. Elle eut un orgasme qui la secoua si longuement quà son retour, nous avons recommencé encore et encore.
Cette description réveilla en moi un intérêt pour une partie de sexe avec mon interlocutrice.
Le spectacle est grisant sur la terrasse en face de la piscine. Sou la lumière tamisée s est couchée sur le dos toute nu. Anya portant un string en bas et dont les grosses balloches sont nus lui lèche le vagin et lui caresse un sein avec une certaine application. Les femmes me jettent un coup dil complice et S me fait signe de la main pour que je mapproche.
Quand jarrive à sa hauteur, S se tourne sur le côté et me force à me coucher le membre à hauteur de sa bouche. Habillement, elle sort ma verge complètement tendue mais avant de me donner le premier coup de langue, elle se crispe un instant pour feuler gémir sujette certainement à son premier orgasme. Puis, elle goute mon gland, caresse mon braquemart de sa langue grâce à un mouvement du haut vers le bas sur les nerfs médians les plus tendues avant de lavaler jusquà la base.
Anya se lève et tire s pour la mettre en genou. Je me retrouve coucher sur le dos. Anya par derrière léché le con de S. de temps à autre, S à son tour enfonce ma bite si profondément dans sa gorge que je sens dans son mon gland toucher ses amygdales. Puis ensuite, elle me le sort et dune main experte et me lastique après avoir craché dessus toute sa bave. Je me retiens, serrant les dents pour ne pas laisser jaillir tous mon foutre sur son visage. Et elle gémit sous la pénétration des doigts lubrifiés de son amie.
Puis anya sarrête et descends son string. Je suis obnubilé par ce que je vois entre ses jambes : cest un long pénis (plus long que le mien mais avec un plu petit diamètre). Elle enduit le gland de lubrifiant et sintroduit par son trou du cul. Cette image me coupe un instant le souffle parce que cest ma première fois den voir et ce que je ressens à ce moment cest un mélange dincompréhension, dappréhension, de peur et de jalousie
. Et pendant quelle pénètre S lentement, je vois sur son visage ce désir si masculin que je connais bien. Mais ensuite je tourne mon regard et cest la douleur dun instant que je lis. Je lui caresse les seins. Je retire ma tige de sa main et je me lève. Elle pose donc les deux mains au sol pendant quanya les genoux au sol li laboure le cul.
Pendant que je suis de côté, cette jalousie fait son travail. Je nai plus envie de rester admirateur. Je ne sais pas ce que ça me fait vraiment de les voir dans cet état. Mais je me couche sur le sol carrelé puis jinvite S à venir. Les deux arrêtent et S menjambe et se couche en levrette, prends mon pénis puis se lintroduis dans un vagin mouillé mais particulièrement chaud. Anya lui reprends le cul après sêtre à nouveau lubrifié. Ce ballet à trois ne dure que quelques secondes pour quelles se mettent à jouir longuement comme folles. Lorsquelles finissent, Anya se couche sur le dos et S reste sur moi. Je veux aussi finir ce que jai commencé. Mais S marrête.
- Viens gouter ceci.
Elle guide mon pénis déjà bien lubrifié près du cul de la transsexuelle. Le gland pénètre bien facilement, le cul de la berbère. Cette dernière remue légèrement son bassin comme pour mieux sajuster et passe une main derrière moi comme pour me caresser les fesses. Je reçois cette caresse comme un feu vert. Je commence doucement puis de plus en plus vite. La sensation est différente de ce que jai toujours connu. Est-ce parce que cest un cul et non un vagin ou parce que cest un cul de transsexuelle ? Cette réflexion mexcite encore plus. Ce con est vraiment plus serrer et donc les frottements sont plus intenses. Et pendant que je la baise dune main, je sers de lautre ses grosses balloche par l bous. De lautre main, je rejoins la main de s qui caresse ce pénis si long qui reprend de la vigueur. Jouvre mes yeux jusque là fermés et quand mon regard rencontre celui de S, ce que japerçois me pousse dans un orgasme si puissant que je remplis ce gros cul de sperme qui en déborde.
Mes cris fougueux ont redonné vigueur à Anya et son pinceau. Elle se lève et empoigne S. Elles se retrouvent debout, face à face, contre le garde-fou et Anya baise si violemment que je crois avoir affaire à un autre homme. Et pendant quelle donne tous ce quelle à dans ce vagin chaud, S lui fais un va-et-vient de doigt dans le cul. La berbère sarrête raide et éjacule pendant quelles savourent toute deux les yeux fermés un orgasme commun et lent par un souffle coupé.
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