La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 395)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Suite de l'épisode N°388 -
Walter, le Majordome du Château du Marquis dEvans vient de quitter son bureau, laissant soumise Océane MDE, lesclave-femelle du cheptel, qui lui tient lieu de secrétaire pour laider dans ses fonctions dintendant, totalement frustrée nayant eu droit à aucun plaisir charnel et même pas aux plaisirs masochistes dont elle est si friande, car même les coups de canne que lui avait fait miroiter le Majordome pervers ont été supprimés pour cause de punition supplémentaire, la laissant retourner à ses tâches quotidiennes, en nayant pour seuls compagnons de sa condition servile que des papiers administratifs à traiter et son matériel bureautique, bien peu érotiques en soi
A peine, Walter est-il sorti dans le couloir que son téléphone portable quil garde accroché à la ceinture se met à sonner. Cest un appel qui vient de retentir en provenance de la salle de surveillance du Château. Le Majordome sinquiète dêtre dérangé de la sorte à cette heure de la journée, se disant quil a déjà eu fort à faire avec le premier incident de la matinée. Commençant à tempêter tout seul en tapant du pied par terre, cest relativement tendu quil décroche son portable.
- Bonjour Monsieur Walter, Pardonnez-moi de devoir vous déranger, cest Didier, le surveillant en fonction de la salle des gardes.
- Bonjour Didier, que se passe-t-il encore que vous soyez obligé de mappeler sur mon téléphone en urgence par le canal interne? Je pense que jai déjà eu mon lot de soucis pour la journée. Mais il y a des jours où je me dis que tout doit aller mal ! Alors quelle est la mauvaise nouvelle ?
- Rien de grave, Monsieur Walter, rassurez-vous. Cest juste quun certain Monsieur Deschamps de la société « FrancePianos » se trouve à lentrée extérieure du Château et il prétend quil avait rendez-vous cet après-midi. Or, il ny a aucune intervention marquée sur mon planning et de plus cette société nest pas référencée dans les fournisseurs du Château que je suis autorisé à laisser pénétrer dans lenceinte pour les livraisons.
- Oui, Didier, sans souci. Vous pouvez laisser entrer le véhicule et demandez-lui également dapprocher jusquaux bas des marches du grand escalier du perron. Il y a au moins deux ans que lon na pas eu besoin de faire appel aux services de ce prestataire, cest peut-être pour cela quil ne figure pas dans vos fichiers qui ont été épurés et remis à jour récemment. Par contre, je suis étonné et chagriné dapprendre que linformation nest pas arrivée jusquà vous, car cela est programmé depuis plusieurs semaines, ce me semble. Cest lesclave-mâle « fadiese MDE » notre mélomane-instrumentiste de service qui sest chargé dappeler lui-même le réparateur et qui devait vous tenir informé du jour de son intervention
(Puis fulminant à voix haute)
Je crois bien quil va mentendre celui-là et que la punition de ma composition que je vais lui jouer va lui siffler dans les oreilles une mélodie en totale cacophonie.
Le Majordome prend en main dans un geste instinctif sa cravache, comme sil était déjà prêt à sen servir sur la couenne de lesclave fautif qui est de fait responsable de son dérangement puisque rien ne semble avoir été organisé pour laccueil de Monsieur Deschamps qui a fait le déplacement depuis Lyon en personne, ce qui de plus va lobliger une fois de plus à modifier son planning pour aller recevoir lui-même le dépanneur.
- Monsieur Walter, pardonnez-moi dinsister, mais comme rien na été programmé, je ne suis pas certain quil ny ait pas des esclaves nus qui vont se trouver dans lallée centrale, aux abords du Château, et dans les pièces du Rez-de-chaussée. Dois-je prendre les mesures nécessaires pour les faire évacuer au préalable, car vous savez combien Monsieur le Marquis dEvans tient à ce que toutes les personnes extérieures qui ne font pas partie de Ses amis personnels et aussi de la communauté BDSM ne soient jamais en contact avec les chiens et chiennes du cheptel, pour des raisons de discrétion dune part, et pour ne pas offenser ceux qui ne comprendraient pas nécessairement ce qui se passe à lintérieur des murs du Domaine et ne seraient pas en mesure dapprouver les pratiques D/s ou dimaginer la très grande magnanimité de Monsieur le Marquis qui accepte de prendre sous Son Joug les esclaves librement asservis qui ne désirent que de pouvoir être autorisé à ramper à Ses pieds.
- Didier, ne vous tourmentez pas. Ce nest pas la première fois que Monsieur Deschamps est admis en ces Nobles murs. Même sil ne fait pas partie des amis intimes de Monsieur le Marquis, il officie sur Lyon sous le nom de Maître Domisol. Il ny a donc pas besoin de prendre quelques mesures préventives que ce soit, car je pense quil ne sera nullement offusqué dapercevoir des esclaves mâles ou femelles vaquer à leurs occupations dans leur « tenue de service » habituelle (nu(e), avec collier et laisse, voire contraintes, plug et cage de chasteté). Sans compter quavec le froid qui fait dehors et la neige qui sest remise à tomber, je doute fort quil y ait une seule personne qui traîne dehors en tenue dAdam et dEve.
- Ah, très bien, Monsieur Walter. Je vais donc ouvrir les grilles et lui demander dapprocher avec la voiture. Y a-t-il autre chose à faire pour votre service ?
- Je vais aller moi-même accueillir cet excellent accordeur de piano dans le hall dentrée. Mais, Didier, pendant ce temps, tâchez de joindre ce stupide chien de fadiese MDE pour quil me rejoigne de toute urgence dans le salon bleu. Je pense que cette tête de linotte à la minuscule cervelle de cabot qui a oublié de vous prévenir, a dû également aussi oublié le rendez-vous. Et dites-lui quil vaut mieux quil se grouille car il va comprendre de quel bois je me chauffe lorsque je suis dérangé à tort.
- Oui, Monsieur Walter, je fais le nécessaire à linstant
Quelques minutes plus tard, laccordeur sonne à lentrée de la haute et double-porte principale du Château au moment même où le Majordome arrive dans la hall dentrée et ayant au préalable interpellé une soumise-femelle au passage pour quelle débarrasse de son manteau couvert de neige le visiteur, le Majordome le salue avec le meilleur accueil et lentraîne vers la pièce où se trouve le magnifique piano à queue de collection, une véritable antiquité achetée à prix dor dans une salle des ventes, tout en marqueterie de la maison Boulle qui est la pièce maîtresse du petit salon bleu, où Monsieur le Marquis aime parfois se retirer au calme pour trouver linspiration pour les magnifiques sagas dont il est lauteur.
- Je suis désolé, Monsieur Deschamps, car nous vous avons fait attendre par ce froid à la grille dentrée du château. Le chien-esclave fadiese MDE qui vous a contacté aurait dû prévenir de votre arrivée et même être là en personne pour vous accueillir en mes lieux et place, car ny connaissant pas grand-chose en matière dinstruments de musique, je vais être bien incapable de vous indiquer la raison pour laquelle nous vous avons sollicité. Jai fait quérir ce stupide cabot qui va mentendre dès quil va montrer son museau.
- Ne vous tourmentez pas, Monsieur Walter. Je sais tout à fait ce que jai à faire et jai pris soin avant de me déplacer de commander les cordes qui doivent être changées. Je regrette cependant de ne pas avoir sous la main votre chien fadiese MDE, car il maurait aidé, enfin disons plus précisément que jen aurai bien fait bon usage, si vous comprenez ce que je veux dire. Cest tellement un plaisir pour moi davoir loccasion de venir jusquau célèbre Château de Monsieur le Marquis dEvans et de voir de près Ses esclaves toujours aussi bien dressés, obéissant au doigt et à lil.
- « Aussi bien dressés »
. Je ne suis pas sûr que ce soit le qualificatif que jutiliserai pour cette minable lopette à cause de qui je dois perdre mon temps, si ce nest bien sûr le plaisir de vous tenir compagnie.
Le Majordome arrive devant la porte du salon bleu, louvre pour laisser passer celui quil accompagne. Entrant à son tour, il aperçoit juste à côté du piano, le jeune esclave fadiese MDE agenouillé, tête baissée, encagé, les mains jointes dans le dos.
- Monsieur Deschamps, vous pouvez vous installer et commencer votre travail, mais je dois sans attendre corriger ce malappris qui na même pas été capable de venir vous accueillir.
Sans prendre le temps de réfléchir et même de linterroger, Walter savance cravache à la main, prêt à fustiger le chien-mâle qui le voyant sapprocher sest incliné sans même savoir ce qui se passe et pourquoi il est réprimandé, alors même quil était dans la salle, à lheure dite, comme celui avait été imposé en personne par le Majordome, le jour même où ce dernier lui avait donné lautorisation de contacter la société « FrancePianos » directement depuis le poste de son propre bureau, lui disant quil en informerait par la même occasion la salle des gardes. Mais Monsieur Walter qui gère beaucoup de choses dans limmense Château, nétant pas infaillible, a complètement oublié ce détail qui remonte à plus dun mois. Cest donc très courroucé, ayant depuis lévénement tragique du matin les nerfs un peu à fleur de peau, quil savance pour se positionner juste au-dessus de lesclave complètement apeuré et tremblant.
- Quant à toi, minable cabot sans cervelle, tu crois que tu es ici pour te prélasser à attendre tranquillement et bien au chaud dans le petit salon bleu. Quand je pense que tu passes une bonne partie de tes journées juste à taper sur des touches noires et blanches pour pouvoir agrémenter les soirées de Monsieur le Marquis lorsquil a envie dentendre quelques airs de piano et quIL daigne réclamer ta présence quand il se met à lécriture. Et si par malheur je ne me retenais pas, tu aurais la peau des fesses si rouges, que tu ne pourrais pas tasseoir sur le petit banc devant le piano avant plusieurs jours. Et pour linstant je nai aucune idée si je vais me retenir, espèce de cabot stupide
Met toi en levrette, cul bien relevé et plus vite que ça
.
Le Majordome commence à dispenser de sérieux coups de cravache sur la croupe du chien-esclave à la peau naturellement blafarde qui prend aussi sec une couleur bien plus rouge. Monsieur Deschamps le regarde faire avec un petit sourire malicieux, pas mécontent de pouvoir assister à cette petite scène D/s qui commence à lexciter sérieusement et qui a eu pour conséquence de faire naître une bosse visible dans son pantalon à peine les premiers coups de cravache dispensés.
- Piteux chiot que tu fais ! Tu nas même pas pensé à prévenir la salle des gardes, je me demande bien comment un chien avec une minuscule cervelle de moineau peut arriver à retenir un air de musique.
- Mais Monsieur Walter
. (une petite voix timide presque efféminée essaye de se faire entendre
.), je
.
La voix lourde et forte du Majordome coupe court à cette phrase à peine entamée, en redoublant dintensité dans ses gestes et en augmentant la rapidité des coups qui pleuvent maintenant à un rythme effréné sur les fesses qui rougissent à vue doeil.
- Et en plus, tu oserais répliquer
. Et bien voilà pour tapprendre à accepter ta punition sans répondre et qui plus est en ayant à cur de songer à la fin à remercier la main qui prend la peine de te frapper et te permet de tamender sur ta faute qui reste inacceptable.
Le Majordome sinterrompt tout dun coup, commençant à avoir mal à la main à force de frapper et songeant aussi quil doit poursuivre sa tournée dinspection.
- Debout, vermine ! Nous reprendrons cela plus tard car je vais devoir partir. Tu viendras me remercier dans mon bureau à 19h05 précises. Tâche de ne pas oublier cette fois, car deux fois serait une fois de trop
Le Majordome se retourne vers laccordeur qui, subjugué et excité par les coups de cravache, a à peine posé à ses pieds sa valise de travail avec tous ses instruments, préférant profiter sans bouger du spectacle cinglant et excitant.
- Voilà, Monsieur Deschamps, je vais devoir vous laisser en compagnie de cet esclave dont le dressage est vraiment à parfaire. Je pense que vous navez plus besoin de moi pour la suite de votre intervention. Vous sembliez intéressé par ce chien, je devrais plutôt dire cette « minable chienne » car à la voir et à lentendre on se demande où est partie se cacher son chromosome Y, peut-être a-t-il été dévoré par ce minuscule ver de terre qui lui tient lieu dappendice rabougri ? Alors, je vous la laisse à disposition, un petit plaisir à titre de gratification supplémentaire pour le déplacement que vous avez fait depuis Lyon. Nhésitez pas à utiliser ce vide-couilles comme il vous plaira. Cette lopette ne mérite pas mieux puisquelle vous a fait poireauter longuement devant les grilles du Château par le froid quil fait. Ce nest pas au Dominant que vous êtes que je vais apprendre que si elle ne vous donne pas entièrement satisfaction, les punitions sont de rigueur.
- Monsieur Walter, je vous remercie vraiment de votre attention. Jai un faible pour les petites chiennes « à queue », on peut les enfiler car elles ne demandent pas mieux. Je ne sais pas si son anus a gardé la mémoire de mon passage entre ses reins, mais quand à moi, je nai pas oublié létroit orifice du chien-esclave que Monsieur le Marquis lui-même avait eu lamabilité de mettre à ma disposition lors de ma dernière intervention au Château, cela doit bien remonter à deux ans maintenant.
- Oui, cest dailleurs Monsieur le Marquis lui-même qui par mon entremise ma chargé de renouveler, dans sa grande générosité, cette libéralité dont il vous permet de profiter. Il nest pas en ce moment au Château en déplacement daffaires, sinon, il aurait eu à cur de venir vous saluer en personne, car il porte un grand intérêt à Son piano qui reste une pièce unique en France.
- Monsieur Walter, vous remercierez de ma part très chaleureusement Monsieur le Marquis dEvans. Jaurai une faveur supplémentaire à requérir si ce nest pas trop vous demander, sil vous plait. Vous serez-t-il possible denlever à lesclave pendant quelques heures sa cage de chasteté, je nai pas lintention de « siffloter dans son pipeau » pour le faire jouir, soyez en certain, ce nest pas mon genre surtout avec les femmelettes de cette sorte, mais jaime bien pouvoir palper ces petites choses pendantes pendant que je maffaire. Cela me permet de méchauffer les 10 doigts, 11 je pourrai même dire, et de me mettre les mains en condition pour avoir le doigté quil faut avant de sinstaller au piano au moment de laccorder.
- Soit, si cela peut vous être agréable, pas de soucis, je vous louvre
Vous pourrez toujours lui remettre à tout moment, si vous le souhaitez, tâchez juste de me rendre lesclave sans labimer juste pour 19h00 car cette chienne devra se présenter à mon bureau pour la suite de sa punition largement méritée.
Le Majordome sapproche de fadiese MDE et sans ménagement trifouille sur sa queue encagée comme sil sagissait dun objet incassable quil peut malmener dans tous les sens. Il prend ensuite, attaché à son trousseau de clés à sa ceinture, un passe-partout spécialement conçu pour ouvrir tous les cadenas de toutes les cages de chasteté des esclaves mâles du Château et ouvre le cadenas qui maintenait la nouille minuscule de lesclave mâle efféminée, qui sest amoindrie avec les années par leffet dune chasteté imposée quasiment en permanence pour cette chienne qui se sent plus femelle que mâle, regrettant juste de ne pas avoir un troisième trou entre les cuisses comme ses surs de soumission quil envie au plus profond de son âme.
- La bestiole, je te laisse entre les mains de Maître Domisol jusquà 19 heures. Tâche de lui obéir en tous points comme sil sagissait du Maître Vénéré en personne. Tu mas bien compris ! Tu es la gratification que le Maître offre, un petit plaisir D/s à titre de remerciement personnel.
En signe dacquiescement, fadiese MDE incline la tête respectueusement en prenant soin de ne pas ouvrir la bouche. Le Majordome séloigne, avec un petit ton ironique dans la voix ayant aperçu le regard pervers et excité qui anime déjà le réparateur de piano, dont il espère juste quil aura assez de conscience professionnelle pour sacquitter au préalable de sa tâche, car cest à ce titre quil a été admis dans lenceinte du Château, et ce donc bien avant de songer à profiter de la lope-esclave qui est mise à sa disposition pour le reste de laprès-midi.
- Au revoir, Monsieur Deschamps, bon travail, prenez bien soin du piano à queue et de son unicité car Notre bien-aimé Châtelain y tient particulièrement
Et puis au revoir, Maître Domisol, bon après-midi, prenez bien du plaisir avec cette chienne « à queue » car Notre bien aimé Châtelain a tenu à vous loffrir pour quelques heures
Il ne sest pas passé plus de 30 secondes depuis que Walter a fermé la porte du petit salon que Maître Domisol a déjà attrapé la laisse de fadiese MDE, tirant fermement dessus pour lui faire comprendre quil avait pris les choses en mains, et quil entendait bien agir en Maître ayant tous pouvoirs de Dominant D/s jusquà lheure de son départ.
- A quatre pattes, chienne ! Je vais dabord songer à moccuper à soigner du mieux possible ce chef duvre, sublime et rare piano et non du grossier débris qui est là, à terre, à mes pieds. Ton tour viendra ensuite. Mais pour que tu noublies pas ce que tu es, tu vas déjà « mavaler » cela par le trou dont la nature ta pourvu. Cela te mettra en condition pour la suite
Mais dabord, jai envie de te dite « Flûte alors ! » ou plutôt « Flûte dabord »
et tu vas vite comprendre pourquoi je te dis cela
(A suivre
)
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