La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 396)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Suite de l'épisode précédent N°395 -
Maître Domisol alors sort de sa mallette de travail une flûte à bec en plastique, comme celle dont se servent les jeunes pour apprendre la musique au collège, et il lenfonce dans lanus de fadiese MDE qui se tenant à quatre pattes na pas vu la forme de lobjet qui lui rentre dans le cul par le gros bout et lui dilate la rondelle sans préparation, ni lubrifiant. Lesclave pourtant habitué à se faire saillir régulièrement ne peut sempêcher de se mordre les lèvres pour ne pas se contracter et risquer de gémir sous la douleur de la pénétration rapide quil se voit contraint de subir. Le Dominant qui tient en main le bec, quhabituellement on garde en bouche, pousse de toutes ses forces pour pouvoir lenfourner encore plus profondément.
- Ah te voilà bien garnie
. Une vraie chienne « à vent » ridiculement accoutrée. Cela tapprendra à ne plus oublier de prévenir de mon arrivée, moi qui mimaginais à tort que tu aurais eu grand plaisir à me voir en souvenir de ma dernière visite
.. Alors, vulgaire larve ! Tête au sol et creuse les reins pour faire saillir ta croupe de minus. Et tâche de ne pas profiter de ta liberté pour tenter de redresser ton zigouigoui de misère, car cest une chienne à trous dont je vais avoir besoin, pas dun trombone à coulisse qui a envie de sétendre et de se faire entendre.
Même si ses fesses le brulent déjà intensément des suites des coups de cravache donnés sans ménagement par le Majordome, fadiese MDE se dit quil est préférable pour lui de ne pas tenter de répondre une fois de plus en cherchant à se justifier, car jamais Monsieur Walter naurait été en mesure dentendre raison et de reconnaître ses propres torts pour ne pas risquer de perdre la face devant un tiers à cause dun esclave. Et puis surtout au fond de lui, fadiese MDE nest pas mécontent de la situation étant plutôt porté sur la soumission avec humiliation physique et verbale qui lui permet de ressentir ce quil est devenu, et il ne peut quapprécier à sa juste valeur laprès-midi qui sannonce déjà bien excitante pour lui.
Sans tarder le réparateur sattelle consciencieusement à changer les cordes basses du piano qui ont fini par céder avec lâge, mais il ne manque pas de jeter en permanence un coup dil de plus en plus pervers et excité sur la lopette nue qui a toujours le derrière bien dressé, duquel émerge le bout dune vulgaire flute en plastique fluo jaune, plantée au milieu dun postérieur rougi qui garde encore les traces des récents coups de cravache. Monsieur Deschamps saffaire sans perdre de temps pour pouvoir profiter plus longuement de lesclave efféminé quil a envie de culbuter et de malmener rudement pour son plus grand plaisir de Dominant homosexuel de surcroît, appréciant de trouver en ce lieu une lopette prête à satisfaire le moindre de ses désirs, même parmi les plus lubriques et pervers. Ayant terminé linstallation et le réglage des nouvelles cordes vient le temps de laccordage, Maître Domisol écarte le banc qui est installé devant le clavier et il att par les couilles fadiese MDE pour linstaller à la place, le tirant par ses maigres attributs pour le déplacer comme on le ferait dun vulgaire sac de linge sale muni dune anse.
- Mets-toi là à quatre pattes, tu vas me servir dassise et tâche de garder le dos bien droit, je naime pas les fauteuils qui saffalent, encore que je me demande si ta maigre carcasse va arriver à me supporter, car on dirait bien que tu nas que la peau sur les os, à force de vouloir jouer à la starlette efféminée.
Le Dominant sinstalle sur le banc-humain pour pouvoir monter et descendre quelques gammes. Il se redresse et sactive à faire tous les réglages nécessaires, revenant régulièrement sinstaller sur le dos de fadiese MDE qui menace chaque fois de sécrouler ayant du mal à supporter les 90 kilos du Dominant bien en chair. Le temps lui semble pesant dans tous les sens du terme, mais également très excitant, car à chaque fois que Maître Domisol vient sassoir, il ne manque pas de jouer avec la flûte à bec, lui faisant faire des petits ronds ou des va-et-vient qui viennent détendre encore un peu plus lanus et le rectum de fadiese MDE. Lesclave qui ne sait toujours pas par quoi il a été enculé craint malgré tout dêtre déchiré lorsque linstrument sera retiré car il sent bien quil ne sagit pas dun simple gode anal bien lisse, ressentant en son fondement les aspérités de lengin qui lécartèle de lintérieur en profondeur. Ayant terminé ses réglages et rangé tout son attirail, le Dominant se rapproche de fadiese MDE toujours immobile à quatre pattes devant le piano, la tête rentrée entre les bras et la flûte à bec qui lui sort du derrière.
- A nous deux, maintenant ! Je vais me charger de « taccorder » aussi à ma manière ! Commençons par voir combien tu sonnes faux !
Maître Domisol se penche sur lesclave et se met à souffler dans la flûte à pleins poumons. Aucun son ne sort hormis le bruit de limposante expiration de linstrumentiste bien peu académique, mais lesclave ne peut sempêcher de sursauter en ressentant lair qui lui pénètre dans les entrailles, autant de surprise que de désagrément, surtout quil ne comprend toujours pas ce qui lui arrive.
- Cest bien pire que ce que jimaginais, tu ne sonnes pas faux, on ne peut tirer aucun son de ce côté-là. Laissons tomber la flûte à bec et voyons voir si tu es plus doué pour les castagnettes !... Debout, les mains sur la nuque, exécution !
Tandis que lesclave se redresse comme cela lui a été exigé, gardant la tête baissée et regardant au sol, le Dominant sassoit sur le banc de piano en bois recouvert de cuir, et il att par la minuscule queue fadiese MDE pour le faire approcher tout près de lui.
- Qui ta permis de bander, la lope ! Je nai nul besoin de voir ton dard sortir, tes trous me suffiront amplement lorsque jen aurais fini de jouer avec tes breloques vides. Jaime sentir ta honte envahir ton visage lorsque je te rappelle que tu nes quune vulgaire femelle ratée qui na même pas la chance davoir une chatte humide entre les cuisses. De toute manière, je naime pas les cavernes onctueuses spacieuses où lon se perd, je préfère enfourner ma queue dans un étroit fourreau de pédé juste bon à se faire enculer.
Après de longues minutes de jeu de mains intempestifs sur le sexe et les testicules de celui qui se prête sans broncher à toutes ses manipulations excitantes et accepte les propos les plus humiliants qui lui sont adressés, Maître Domisol sinterrompt brusquement, non sans avoir fortement pincé et malmené sexe et couilles de lesclave avant de le lâcher, profitant également de ce changement pour extraire la flute à bec qui était toujours enfoncée dans lanus de fadiese MDE. Il la retire très délicatement, quand même, pour ne pas risquer de blesser les parois internes fragiles de celui qui lui a été gentiment confié par Monsieur le Marquis dEvans et dont il se doit malgré tout dêtre soucieux, quelques soient les jeux D/s auquel il aurait envie de le soumettre.
- Bon assez joué, tu nes finalement pas meilleur pour les castagnettes, car les tiennes sont tellement creuses quelles sonnent faux. Je ne peux même pas envisager de men servir comme cymbales car ta baguette molle narriverait même à taper dessus. Alors, voyons voir si tu seras plus doué pour jouer du pipeau. Là au moins, cest un instrument facile à utiliser, il suffit de le mettre en bouche correctement.
Maître Domisol se redresse aussi sec, appuyant fortement sur lépaule gauche de fadiese MDE pour lui faire comprendre quil doit sagenouiller. Il dégrafe la ceinture en cuir de son pantalon, baisse légèrement son boxer pour en extraire un phallus déjà bien gonflé et att les cheveux de lesclave pour le mettre à la bonne hauteur.
- Ouvre la bouche, putain ! Et enfile moi cela profondément dans ta gorge. Suce bien, catain ! Je me doute que tu en as envie depuis de longues minutes.
Lesclave, qui effectivement ne demande pas mieux, ne se fait pas prier pour ouvrir la bouche, tendre les lèvres et commencer une fellation « à faire rougir les putains de la rade » comme chantait Sardou (parlant de la rade du Port de Toulon, et en particulier du quartier « Chicago » célèbre dans le monde entier, et surtout connu par tous les marins en mal de baise qui sont passés par là, car les putains y étaient amenées par dizaines pour venir tapiner dès que des gros bateaux militaires accostaient après un long séjour en mer). Ces femmes exploitées avaient bien souvent sombré dans la prostitution contre leur gré et navaient guère eu le choix de pouvoir se libérer de leur condition sexuelle et se soustraire au pouvoir de leur maquereau simplement intéressé par laspect pécuniaire du rendement de leurs bêtes de somme sexuelles. La saine D/s est tout à lopposé de la prostitution, même si parfois dans le vocabulaire des mots comme « catin » ou « putain » sont parfois utilisés pour désigner soumis et soumises dans le feu de laction et de lexcitation. Et cela fadiese MDE qui est un esclave-soumis librement asservi le sait très bien, comme lensemble des esclaves du cheptel qui sont libres de partir sils le souhaitent, car Monsieur le Marquis dEvans qui est un vrai Dominant de renom na jamais retenu personne contre son gré. Lesclave efféminé, qui manifestait un fort désir de soumission dès son arrivée, sait quil a trouvé refuge au Château du Marquis dEvans où Le Maître Vénéré a daigné laccepter à Ses pieds et la pris sous Sa protection pour lui permettre dassouvir ses fantasmes les plus secrets et de vivre sa soumission masochiste, tout en servant Le Maître à qui il est très reconnaissant de la place quil lui a été accordé au sein du cheptel, exprimant dautant plus sa gratitude quil a également la possibilité de pouvoir sadonner à sa passion musicale relativement souvent, ce qui ne lempêche pas cependant de devoir comme les autres esclaves participer aux diverses tâches quotidiennes qui lui sont imposées pour la bonne tenue du domaine, dans lintérêt du Châtelain avant tout, mais aussi de lensemble de tous ceux qui y vivent.
La chienne « à queue » fadiese MDE qui vivait mal dans un monde vanille sa masculinité ratée, étant souvent lobjet de moqueries, se sent heureux(ou heureuse) dans le Château, ne vivant plus que pour servir Le Maître Vénéré auquel il(elle) appartient désormais. Il se sent plutôt honoré et heureux de pouvoir faire office de bonne suceuse pour Maître Domisol. Le Dominant lui fourre la queue de plus en plus profondément, lui imprimant un rythme soutenu en poussant sur son crâne et larrière de la tête, ne le laissant que de temps en temps reculer pour pouvoir reprendre sa respiration avant de s. Il le baise de la bouche avec une bestialité qui nest pas sans déplaire au jeune esclave qui en retire un plaisir intellectuel dêtre ce quil apprécie dêtre, un simple objet passif utilisé comme un trou à remplir par un mâle phallique. Le Dominant sentant son plaisir monter se retire brusquement pour faire retomber la pression, mais sans laisser à sa queue le temps de débander. Il sinstalle à genoux derrière fadiese MDE, décroise les mains que lesclave gardait toujours derrière la nuque, et le projette vers lavant en levrette, tête au sol. Bien décidé à profiter du petit trou de celui qui est à sa disposition pour encore de longues minutes, il lencule avec dautant plus de plaisirs quil sent que la respiration du jeune fadiese MDE saccélère, ce qui lui donne un sentiment de puissance et de possession grandissant. Il att à pleine mains les hanches assez frêles et osseuses de lesclave quil manipule comme on le ferait dun pantin pour le faire glisser sur sa queue droite et raide comme un pieu coulissant dans le conduit étroit qui soffre à la sodomie avec un plaisir homosexuel évident.
Sentant à nouveau le plaisir monter et son sperme sur le point de sortir, il se retire à contrecur du chaud fourreau dans lequel il avait plaisir à sempaler jusquà la garde. Il att les cheveux de lesclave qui telle une marionnette se laisse démantibuler au gré des gestes du Dominant, et qui loblige à se remettre à genoux pour pouvoir le retourner et lavoir de face. Il lembrasse à pleine bouche, ou plus exactement, il lui fourre la langue profondément entre les lèvres pour le posséder encore et encore, nhésitant pas à explorer toute la cavité buccale de sa langue inquisitrice. Sans le moindre mot, Maître Domisol sinstalle à genoux, sur les talons, courbant alors fadiese MDE tête la première pour quil vienne sembrocher sur le phallus dressé.
- Je taurais bien ensemencé le cul avec mon sperme, mais il nest pas question de salir le parquet légendaire de ce merveilleux château avec ma semence, donc tu vas avoir droit de boire mon nectar parce quil faut bien que je fourre mon foutre quelque part. Tâche de ne pas en perdre une goutte, tu mas fait bien bander avec ton petit trou de chienne, je crois bien que cela va gicler pas mal quand le robinet va souvrir.
Maître Domisol att à deux mains maintenant la tête de fadiese MDE pour le faire aller et venir au rythme quil lui impose. Ce dernier na même plus assez de temps pour respirer et il se demande sil ne va pas finir par succomber étouffé, tant les coups de butoir sur le fond de sa gorge qui lui soulève presque le cur sont devenus rapides et puissants. Dans un grand râle de male en rut dont on pourrait se demander avec quel instrument de musique il serait possible den reproduire le son guttural et lintensité poignante, le Dominant éjacule par de longs jets puissants de ce liquide âpre que lesclave sempresse de déglutir pour ne pas se trouver étouffé par la quantité de sperme qui lui coule dans la gorge. Maître Domisol, ayant pressé sa queue pour en faire tomber les dernières gouttes sur les lèvres et le menton de lesclave sallonge à même le sol pour reprendre ses esprits.
- Tâche de bien tout nettoyer maintenant, que je puisse me rhabiller proprement avant de partir.
Docilement, fadiese MDE sinstalle entre les jambes du Dominant et commence à lui lécher la queue qui a fini par baisser de laile et sest affalée sur le côté, toute courbée et encore gluante de sperme.
- Cest bien, tu as une bonne langue de chienne, lèche bien partout autant que tu voudras, autour de ma queue de mâle, mais aussi mon ventre, mes jambes, mes cuisses. Tu es encore à moi pour quelques instants et je veux en profiter jusquà la lie.
(A suivre
)
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