Us2 - La Confusion Du 7 Anglais Et Du 1
En rappel, les récits US sont des histoires vécues, sans être romancées.
Chambre 201
Quand je suis arrivée à lhôtel, je vainement cherché ma chambre, confondant le 1 français avec le 7 Américain. Cette femme de ménage, métissée, tirant plus de lhispanique, ma redonné courage. Mais à peine meut-elle ouvert la porte que tout bascula.
Daccord, jadorais faire de la soumission, même que cest mon péché mignon. Nempêche que me suivre comme ça dans ma suite et me lancer « French Kiss » ma donné des idées, il fallait que je redresse la situation. En effet pour les Américaines, French kiss, veut dire baiser sur le sexe. Des copains mavaient prévenus, que les femmes en sont très friandes, car « mals baisers » aux US. On mavait dit aussi que si elles trouvaient lhomme qui ne faisait pas semblant, cétait par la suite, délicat de se « décoller » de leur assiduité.
Elle ma suivi dans la chambre, il va falloir quelle assume
. Petite robe courte et plumeau. Jai dû lui faire comprendre que je désirais prendre une douche, mais que pour ce faire, elle allait laisser tomber les poussières et déshabiller Monsieur Jacques (Jack pour les intimes). Mes rudiments dAnglais me permettent de me faire comprendre. Il faut dire que jai repris mes livres de classes avant de venir, car jétais le bon dernier dans les cours. Mieux vaut tard que jamais, par nécessité
. Avec lavantage maintenant, merci lusine des cours donnés, de comprendre, et surtout de faire semblant de ne pas parler un mot et que les sons émis par les gorges déployées soient incompréhensibles dans cette langue.
Alors, cette soubrette a compris, surtout que le billet de 10 dollars posés sur la table est un bon pourboire
quil fallait se bander les yeux et que javais le droit de lui faire ce que je voulais. Pas question de jouer les timides, lignorant comme dans lavion
. Je redeviens moi-même. Donc les yeux bandés, elle se met à la besogne.
Imaginez : elle me déshabille pendant que jen profite outrageusement pour la peloter
et évidemment, étant sous mes ordres, elle na pas le droit de rouspéter. Je lui ôte ses sous-vêtements qui à mon avis me gênent : bientôt, elle na plus que sa petite robe.
Puis il faut quelle me plie correctement mes habits, je dois ensuite se rendre à son travail. Et attention, je suis exigeant ! Évidemment, je la punie car elle ny arrive pas. Normal ! Elle a toujours les yeux bandés. Accoudée sur le lit, bien cambrée, je lui inflige ma première fessée sur le sol de lOncle Sam, et je renouvèle car je suis toujours aussi peu satisfait.
Ouille, ouille, ouille !
Chut pas de bruit !!!!! (shhh ... no noise)
Heureusement, ensuite elle a droit à quelques minutes de répit car nous nous rendons dans la salle de bains
Tout en me maudissant surement intérieurement, je lui ôte le restant de ses vêtements, car maintenant, elle va devoir me laver. Voyant quelle se révolte de cette nouvelle tâche, je lui madministre une fessée et un baiser style suçon sur un sein pour me faire pardonner. Je nai pas envie quelle aille voir un shérif après, surtout avec des fesses rouges
Cest quand son corps se cabre en arrière que jai senti son désir mammaire, quelle aime que je joue au bébé sur ses seins aux larges aréoles très foncées dont un immense piton pointe au-dessus des montagnes de chair. Un petit coup de dent pour pincer et montrer que je suis son Maitre.
Direction donc baignoires, et je mets la douche en support haut. Je lui ôte le bandeau car, là, je veux vraiment faire une bonne douche, être propre après mon voyage. Le savon glisse entre ses doigts, mais elle sefforce de bien me laver moi, son « Maître », puisque tel est son devoir. Je suis sûr quelle commence à ressentir des sensations inconnues dans son bas-ventre mais qui ne doivent pas lui déplaire, surtout quand je lui demande de prendre mon sexe en bouche pour voir sil est propre.
Puis ce fut à mon tour de la laver et elle dut se laisser faire
Mes mains explorent tout son corps, dans les moindres détails, avec le savon
Mais voyant dans quel émoi elle est, et considérant que cest indigne dune servante, je décide alors de lui infliger la plus belle correction de sa jeune carrière de soubrette quand nous aurons fini de nous laver
Et je vous jure que cette dernière fessée lui a ôté toute envie de se révolter
Ooooooooo
Dans sa peau je me mets à sa place
En sortant de la douche, mon Maître (Jack) me rebande une nouvelle fois les yeux et mordonne de le sécher ainsi, en faisant attention à ne pas le lui faire de mal. Non mais quel sadique ! Je mapplique consciencieusement à ma tâche qui nest pas facile du tout, puisque je ny vois rien. Lui me sèche à mon tour en appliquant la serviette sur tout mon corps et en continuant évidemment son exploration perverse tout en guettant ma réaction. Voyant que je continue à réagir à ses caresses, il mordonne de mallonger sur le lit, sur le dos tout dabord.
Ainsi, petite coquine, tu te révoltes et refuses de te laisser faire. Et ça texcite hein ? Mes fessées ne te suffisent plus, alors mets-toi à quatre pattes immédiatement ! Appuie-toi contre le mur pour bien te cambrer que je te donne une belle raclée mais en te voyant te trémousser. (Du moins cest ce que jai cru comprendre)
Et les fessées tombent ! Comme la vue lui plait aussi, il mordonne ensuite de quitter cette position peu agréable pour me donner la fessée comme à une vilaine petite fille, car non seulement, il veut me voir me trémousser mais le sentir et que je sente également à quel point tout ceci lexcite aussi. Donc, il sassoit au bord du lit et mallonge en travers les bras et les jambes pantelants de part et dautre. Je suis vraiment à sa merci dans cette position. Il commence à me donner quelques fessées tout en dosant bien sa force et lendroit quil fesse. Je suis tombée sur un expert.
À quatre pattes ! Cest un ordre ! Suce-moi et mieux que tout à lheure, hein !
Mais je refuse. Alors il me prend la tête dans ses bras et mappuies son sexe contre la bouche en essayant de louvrir, de sa main qui est restée libre.
Noublie pas ce que tu as entendu dire des Français (« je savais par le personnel resté en France, que les femmes Américaines, du moins la plus part, ont quelques penchants sado maso, et adorent par-dessus tout se faire dévorer le sexe, chose que les Américain trouvent sale) Ce matin : tu es à mes ordres. Tu dois me combler, sinon, la punition sera à la hauteur de ta désobéissance.
Mais comme je ne suis pas très douée, mon bon Maître me guide par ses ordres et par ses mains, tout en jouant avec ses doigts avec mes tétons puis ma grotte damour
Ah, si je comprends bien, il faut aussi que je téduque à ce niveau-là ! Déjà que tu es une piètre nettoyeuse, je vais essayer de transformer en une femme de ménage parfaite pour moi. Couche-toi sur le dos, le lit est propre par tes soins !
Et cest alors que je le vois me prendre les deux jambes et les relever avec force.
Ah oui, tu vas voir ce que cest ! Au moins, tu auras une bonne raison de gémir.
Il mécarte les jambes, présente son sexe, heureusement petit, à lentrée de ma grottes damour et lenfonce dun coup. Il commence à me ramoner avec son espèce de bâton. Voyant que je me tords comme un ver de terre, il prend une serviette de toilette pour me bâillonner, sinon je vais alerter tout lhôtel. Il continue à me pilonner encore quelques minutes afin que je comprenne bien que cétait lui le Maître, puis il fait une pause
Quel sadique ! Avec son âge, il sait parfaitement doser son engin pour faire monter le Plaisir comme il se doit et en profitait lui aussi au maximum.
Ah, le scénario que je désire tant se joue, là, sous mes yeux et jen suis lactrice principale. Et pourtant, qui aurait cru cela le matin même quand jai pris mon service ? Jai vraiment rencontré la bonne personne. Ce qui est dommage cest que lexpérience ne sera peut-être plus jamais renouvelée et pourtant, je suis sûre que ma soumission va me faire naître de nouvelles vocations.
Allez, jai besoin que tu me nettoies. Suce-moi encore comme tu las si bien fait tout à lheure ! Oui prends-moi bien comme cela. Cest bien, tu commences à être douée maintenant, mais il faut que tu restes encore quelques temps
Et si tu me nettoies bien, tu seras bientôt récompensée comme il se doit
Et en plus il mencourage ! Là, je décide donc dêtre très obéissante et de ne pas me révolter car jai très envie dêtre récompensée. Ses mains continuaient à me palper puis il décide de nous faire changer de position pour me faire découvrir de nouveaux plaisirs.
Allonge-toi sur le dos et laisse-toi faire !
Il grimpa sur moi afin que nous nous retrouvions en tête bêche. Quelle drôle de position !!!!
Continue à me sucer comme tu las si bien fait, et laisse-toi faire !
Pendant que je continue à astiquer sa bite qui continue à gonfler dans ma bouche et qui essaie de senfoncer de plus en plus profondément, tellement je mapplique, il commence à me lécher de sa langue agile. Il est vraiment super doué pour la faire se tordre et virevolter dans ma grotte damour. Mais ses mains ne sont pas en reste. Ses effleurements continuent, plus ou moins appuyés, et moi je continue à gémir de plus en plus fort puis je tressaille. Mon corps lâche, atteint de soubresauts. Ça y est, jai réussi à atteindre lextase avec un homme que je ne connaissais même pas. Le baiser Français dans toute sa splendeur, le rêve
.
Vilaine fille ! Salope ! Mais quest-ce que tu viens de faire ? Allez, à quatre pattes ! Ça mérite bien encore une fessée. Tu ne mas même pas prévenu que tu allais jouir sur moi et moi je bande encore ! Appuie-toi contre le mur que je puisse voir ta belle croupe bien cambrée !
Je suis une nouvelle fois punie avec délice. Les fessées alternèrent avec claquements et effleurements
Mais bon, ce nest pas tout ! Maintenant il va falloir que je termine le travail commencé tout à lheure ! Je nai pas fini dexplorer ta grotte damour, il faut que jaille voir si mon éducation est efficace. Allez mets-toi en position !
Et me voici de nouveau allongée sur le dos. Mais cette fois-ci, avant de me prendre par les jambes, mon Maître prend à nouveau de la serviette de toilette et sort deux cravates de sa valise pour me ligoter.
Tu bouges tellement que je ne peux pas bien faire mon travail et voir si je tai fait du bien.
Il me force à lui enfiler un préservatif, saisit mes deux jambes et mécartèle ! Honnêtement, je nen peux plus, mais jen redemande encore, tellement je suis au septième ciel. Ses coups de boutoir reprennent doucement mais profondément tout dabord. Cest bien ce quil ma dit : il explore tout mon tréfonds dans ses moindres recoins en faisant tournoyer son petit engin, comme il a lair davoir de lexpérience
. Quel Maître ! De temps en temps, il sarrête pour contempler les effets de ses efforts puis les coups de boutoir reprennent. Je sais quil ne sinterrompra que quand il aura joui, car il veut prendre son pied, lui aussi, et cest pour cela que, même pantelante, je continue à me laisser faire, car jen ai toujours envie et il ma fait tellement de bien.
Soudain il se retire. à-il joui ? La novice que je suis ne sen est pas rendu compte. Mais que voulait-il faire encore ?
Avant que je ne te récompense de ma semence, jai besoin de voir si tu es assez préparée pour laccueillir. Reste dans cette position, je te lordonne !
Je nen peux plus, je souffre de crampes et mes cuisses nen peuvent plus dêtre ainsi écartelées.
Pitié Maître, osai-je murmurer, je nen puis plus. Laissez-moi au moins me dégourdir un peu les jambes !
Daccord, mais pas trop longtemps, mon sexe est si dur quil me fait mal. Il va falloir que je tembroche. Aller, je te détache, garde la position. Bon ça y est, tu tes assez dégourdie ? Allez, glisse ce coussin sous tes fesses que je texamine, mais écarte bien les jambes !
Moi qui déteste être doigtée, je mattends au pire. Il doit être un peu gynéco sur les bords, car avec ses doigts, il palpe lintérieur de mon vagin, réceptacle damours phalliques tant et si bien que les frissons me reprennent. Ah ! Il était vraiment très doué et a vraiment bien compris la règle du jeu. Il joue également avec mon petit bouton de rose quil prend soin de dégager avec ses doigts pour le sucer délicatement. Voyant que je suis une bonne élève, il me dit :
Bon, tu es prête ! Mais ma queue a besoin de durcir encore ! Suce-moi bien comme il faut que je te prenne par derrière ! Tu mouilles tellement que je rentrerai comme dans du beurre et que la pénétration nen sera que meilleure car plus profonde. Je veux que tu te mettes à quatre pattes sur le lit et que tu tappuies bien contre le mur. Relève ta belle croupe et guide-moi !
Il enfile un préservatif neuf. La pénétration nest pas aisée mais je fais mon possible car cest ma position préférée. Maintenant quil est bien entré en moi, il recommence à me pilonner comme il la fait la fois précédente tout en dosant savamment la profondeur et la force de sa pénétration. En même temps, comme il a les mains libres, il sen donne à cur joie pour me donner de petites fessées pour mencourager. Il noublie pas non plus de meffleurer les tétons ni de prendre mes seins à pleine mains. Ces seins lourds de désir et de plaisir qui sont heureux davoir pu tomber entre de si bonnes mains. Cest le cas de le dire ! Je continue à me tordre de plaisir, et lui continue à me pilonner et à me ramoner. Puis il commence à accélérer, ses coups de boutoirs sont moins appuyés mais plus rapides. Je sens que son excitation atteint son paroxysme et quil va éjaculer
Traitre, il sort alors que jy prends plaisir, comme si seul le sein existe, en un tour de main, il a enlevé le préservatif, me met à plat sur le dos et se masturbe au-dessus de moi
il éjacule, entre mes seins avec un râle de plaisir
Jétale son liquide sur mes seins, je suce mes doigts
Quel Français, quel bon gout
Sans quil me demande et pour lui montrer ma satisfaction, je le prend en bouche pour me repaitre du précieux liquide .
Merci Maître Jack
aux Plaisirs de la Chair !
Bien venu aux USA
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!