All Inclusive...Pour Tout ?
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les animations sont maintenant terminées depuis une bonne demi-heure. Le karaoké a laissé la place à une musique dambiance permettant la discussion. Il est 23h00 et la majorité des vacanciers de lhôtel sont soit sortis en boîte, soit déjà couchés ce qui est assez rare. Nous sirotons notre troisième consommation, « Alexandra » pour Eliane et « Pina Collada » pour moi, avantage non négligeable du all inclusive. Nous nous sommes offert ce voyage après plusieurs années sans vacances pour faire un break
la retraite approche et il faut sy préparer !
Je regarde Eliane qui semble parfaitement décontractée au bout de ces quelques jours. Elle sourit et son regard pétille, peut-être aussi un peu à cause de lalcool. A 58a, des formes un peu généreuses quelle naime pas beaucoup, elle est pourtant encore très « consommable » et ces vacances sont loccasion de lui prouver.
Tout serait parfait ce soir, si bien sûr quelques troublions ne venaient faire tache dans le décor. A quelques tables de nous, un groupe de 5 mecs et de 2 filles que nous navons eu aucune difficulté à identifier comme russes, boivent et chantent sans discontinuer. Les filles sont habillées avec ce quelles pensent être du bon goût et les hommes exhibent à qui mieux mieux leur torse et leurs tatouages. Lun dentre eux surtout en est couvert et son débardeur distendu par les muscles semble en cacher bien dautres. Une sorte de Schwartzy slave. Ils sont conscients de leurs forces et se comporte vraiment en terrain conquis. Le barman Mauricien habitué à ce genre de clientèle se contente de resservir les tournées commandées.
Depuis quelques minutes, ce groupe se tourne assez souvent vers notre table. Visiblement nous sommes un sujet de conversation. Le colosse surtout semble sintéresser à nous et jespère quil nest pas francophobe car je ne crois pas que je ferai le poids ! Les ricanements me mettent mal à laise, je pense quil va falloir lever le camp ; jen fais part à Eliane qui est daccord, considérant quelle a assez bu pour ce soir, mais quun petit passage par les toilettes est impératif : « je ne tiendrai jamais jusquà la chambre ! »
Elle séloigne vers le fond du bar, adressant au passage un petit signe de la main à notre barman.
Je mengouffre dans le couloir qui mène aux toilettes ; au passage, il me semble bien avoir essuyé quelques quolibets mais la langue de Tolstoï garde tout son mystère pour moi. Je comprends rapidement que mon inquiétude est fondée. Au fond du couloir, le copain du colosse se tient devant la porte du WC des femmes. Je fais mine de my diriger mais il marrête en plaquant sa main sur ma poitrine et me montre la porte dédiée aux hommes. « My wife
» Fais-je en montrant le local qui se trouve derrière lui. Il me désigne à nouveau lautre porte. Je recule et jattends
je ne sais que faire.
Jentends un cri ; pas de doute, cest la voix dEliane. Cette fois sen est trop, je fonce vers la porte. Je me retrouve soudain plaqué au mur, immobilisé par une clef de bras, mon visage râpant le crépis du couloir. Je trouve quand même la force de récidiver en me débattant « I want to see my wife ! » . Même sil na pas la carrure de son ami, il est dune force redoutable et il le sait. Il ricane « Ok Ok
you want to see ? ok ». Il me pousse devant lui à lintérieur de la pièce. A cause de ma position courbée, je suis obligé de me contorsionner pour découvrir ce qui sy passe. La brute est bien là
Eliane aussi
et ce que je vois me tétanise. Ma femme est renversée sur le meuble lavabo, sa robe est déchirée en haut et relevée sur son ventre, sa culotte elle aussi arrachée ne tient que dun côté au niveau de la cheville. Entre ses cuisses, le russe sactive par de grands coups de rein, son sexe disparaissant entièrement dans celui de ma femme.
Le rythme saccélère et le russe malaxe dune main les seins blancs veinés de bleu sans douceur aucune. Eliane est partie dans un feulement qui dure déjà depuis un moment quand dans un grognement rageur, il se libère dans son ventre. Il reste immobile comme électrocuté et jai limpression de voir ses couilles tressauter. Il se retire et essuie sa queue encore tendue dans la robe déchirée. Il se réajuste et jai le loisir de bien détailler le sexe qui a ravagé ma femme. A léchelle de son propriétaire. Il jette un coup dil dans la glace et prend le chemin de la sortie tandis que son acolyte me propulse par terre au milieu de la pièce. En passant à côté de moi, il se penche et me lance avec un accent terrible « Merci
Monsieur ».
Nous restons ainsi pendant plusieurs minutes, Eliane complétement assommée et moi à cause de lérection qui déforme mon bermuda. Jai une vue imprenable (le terme ne semble pas de circonstances) sur le sexe dEliane, distendu comme jamais et donc le sperme sécoule lentement. Je finis par me relever et je me dirige vers les toilettes des hommes
là, ne pouvant tenir plus longtemps, je me branle en me repassant le film des événements qui viennent de se dérouler.
Nous nous retrouvons dans le couloir. Eliane tient sa culotte déchirée roulée en boule dans sa main, elle a rafistolé vaguement le haut de sa robe.
Les jours suivants, et jusquà notre départ, je me rends bien compte que ma femme fait tout pour croiser le chemin du grand Russe. Je ne sais pas sil la prise à nouveau mais je sais quil naurait eu aucune difficulté.
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