Arbitrage
J' inscrivai le nom des vainqueurs du dernier combat, penchée sur la table, et vit Jordan passer du coin de lil. Je souriais à la feuille en me mordant la lèvre. Il allait et venait énergiquement entre les tatamis. Sa chemise et son jean mettant en valeur son corps athlétique. Un vrai délice... Il repassa. Une main frôla mes fesses. Je ne réagisais pas et continuais d'écrire, me retenant de rire. Mon corps tout entier brûlait d'impatience. Encore 15 minutes.
Il revînt à ma table, se pencha sur mon épaule et me donna une nouvelle feuille avant de me gifler le bas des fesses. « 15 minutes. » me souffla-t-il avant de s'enfuir. Je devins écarlate. Mon bas ventre se contracta. Oh ce que j'en avais envie.. Je me mordis la lèvre, tentant de me contenir devant le public.
Il ne restait plus que 7 minutes et je surveillais assidûment l'heure depuis l'horloge du gymnase. Je n'en pouvait plus d'attendre. Jordan continuait ses allées et venues, me glissant une main, ou m lançant un regard lubrique. Il me rendait folle et j 'attendais l'heure la culotte de plus en plus humide.
1 minute. Je tournais autour de sa table, relisant les scores sans les voir. Les quittaient les tatamis, la compétition s'était enfin achevée. Un corps vint se coller contre mon dos et m'attrapa par les hanches. Jordan. Je lâchais un petit soupire, presque soulagée. « Aller cocotte, suis moi. » Il m'agrippa fermement par le poignée et se faufila entre les autres arbitres d'un pas rapide, direction les vestiaires. Il me poussa à l'intérieur sans ménagement, entra à son tour, alluma la lumière et ferma la porte à clef. Je ne pouvais plus revenir en arrière. Il se retourna pour me faire face et s'avança lentement vers moi, le regard lourd d'envie. Lorsqu'il s'arrêta, nos corps n'étaient plus qu'à quelques centimètre l'un de l'autre. Il planta son regard dans le mien, prédateur. Son cur battait vite, irrégulièrement. J'entre ouvris les lèvres, soutenant son regard.
Bientôt, ma chemise était complètement ouverte et il lorgnait ma poitrine sans aucune gêne. Il souffla dans mon décolleté et me fit frissonner. Toujours avec ce sourire indécent il m'ordonna d'enlever sa chemise. Je m'exécuta, en me tortillant et m'étirant vers le haut pour accomplir ma mission, me rendant plus vulnérable encore. Il en profita pour fourrer son nez dans mon soutien gorge et entrepris ainsi de mordre les balconnets. Je lâchais un cris de surprise tout en jetant ma chemise et en abaissant les bras. Il se redressa rapidement tout en me regardant, lil pétillant. « Dégrafe moi ça.. » m'intima-t-il, d'une voix dangereuse. Je m'exécutais à nouveau, m'écrasant contre lui pour passer les bras derrière. Son érection entre mes jambes me rendait folle, pourquoi ne pas aller à l'essentiel ? Il effleura mes flancs et alla affoler mes tétons fraîchement libérés.
Sans plus attendre je me jetais à terre, comme une chienne, et cambrais le dos, jambes écartés. Il avait une vue imprenable sur ma croupe. Il effleura mes fesses, refit claquer le tissu trempé et le fit glisser sans douceur jusqu'à mes genoux. Je tressautais encore. Entre mes seins, je le vis sagenouille derrière moi. Sa langue alla léché les poils de mon entre cuisse, et remonta. Il humait à grande inhalations se qu'il appelais 'l'odeur de chienne en chaleur'. Je dégoulinais de mouille, et savais son visage recouvert. Je me cambrai encore un peu lorsque sa langue alla flatter mes grandes lèvres, et mon souffle s'affola lorsqu'il me mordilla le clitoris. Je lâchais un râle en me mordant la langue... Ses deux mains m'empoignèrent par les hanches et il me pénétra avec sa langue, simulant des va et vient en agitant mon cul. Les seins ballottés sauvagement, je me tendais à lextrême, le visage face au plafond, yeux clos. Ce que c'était bon. Je sentais l'ensemble de mon corps se crispé, les dents serrés je subissais encore ses coups de langues incessant... partout... Mon bassin s'agitait maintenant seul, astiquant joyeusement les deux doigts de Jordan. J' haletais, et l'entendais haleté aussi. Brusquement, je me retrouvais vide, ses deux mains se refermèrent sur mes seins dures et sa queue fit une entré immédiate. Je suffoquait, haletais, écarquillais les yeux, tout en même temps je suppose. Il m'attirait à lui pour que le sente jusqu'au fond. Une décharge emplis mon bas ventre, je gémis. « C'est comme ça que je t'aime le plus, bébé. » fait-il en respirant difficilement. J'ai un faible sourire, mais toute mon attention reste sur son membre, quand va-t-il donc bouger ? Quelques secondes après, il se retira complètement pour revenir aussitôt, m'arrachant un petit cris à chaque allé et venu. Il me faisait languir et retardait mon orgasme depuis bien assez longtemps maintenant.
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